#publisher VousNousIls * Google+ * Facebook * Twitter * Netvibes * Delicious * Email * A la une + Le fait du jour + Les brèves du jour + En images + Dépêches * Votre Métier + En pratique + Fiches pédagogiques + Dossiers thématiques + L'essentiel du B.O. * Regards sur l'actualité + L'invité + À suivre + Pédagogie et culture + Le dessin * Parlons-en ! + Blog Rédaction + Tribune + Sondage * + Rechercher : ____________________ Search Flux RSS Newsletter * Accueil> * A la une> * Dépêches AFP> * Générales * Éducation * Générales * Culture * AFP 23.01.2012 La zone euro veut faire avancer les négociations sur la dette grecque * Zoom Réduire la taille de police Agrandir la taille de police * Imprimez * Twitter * Netvibes * Delicious [photo_1327322172919-1-1.jpg] Les ministres des Finances de la zone euro espèrent boucler lundi un accord sur la réduction de la dette grecque, vital pour éviter la faillite du pays, et avancer sur le projet de nouveau pacte budgétaire pour renforcer leur discipline et éviter de nouvelles crises. Après plus d'une semaine de négociations difficiles autour de la dette grecque, un accord semble à portée de main même si le bras de fer se poursuit entre créanciers privés et publics du pays sur les taux d'intérêt qui seront offerts aux banques pour les nouvelles obligations dont elles vont hériter. "L'absence d'accord avec les créanciers paralyse l'activité économique et empêche tout investissement. A partir du moment où il y aura un accord, et on en est très proche, ça va repartir et casser la spirale de la récession" en Grèce, a estimé lundi une source diplomatique européenne. Trouver un accord est urgent. Athènes a besoin de cet argent afin de rembourser 14,4 milliards d'euros en mars si elle le pays veut éviter la banqueroute. Le négociateur du secteur privé, Charles Dallara, a prévenu dimanche que les banques et fonds d'investissement détenteurs de dette grecque ont fait leur "offre maximale" et atteint la limite des pertes qu'ils peuvent supporter. "Tout repose maintenant largement dans les mains" des créanciers institutionnels (Banque centrale européenne, Union européenne et Fonds monétaire international) "pour choisir la direction, soit un plan d'échange de dette volontaire, soit un défaut" de paiement de la Grèce, avec des conséquences incalculables, a-t-il ajouté à la télévision grecque. Ces discussions devaient initialement déboucher sur un accord avant la réunion des ministres européens des Finances qui débutera à 14H30 (13H30 GMT) à Bruxelles. Elles portent sur l'effacement de 100 milliards d'euros de dette grecque, qui doit permettre au pays de faire baisser son taux d'endettement à 120% du PIB en 2020 contre 160% actuellement. De l'accord qui sera trouvé dépend la mise en place d'un deuxième plan d'aide de 130 milliards d'euros. Le rôle des ministres était au départ de juger la validité de l'accord et de son caractère volontaire, sans quoi il s'apparenterait à un défaut de paiement pur et simple. Mais face aux difficultés rencontrées, l'objectif est désormais d'avoir un accord sur la table d'ici au sommet des dirigeants européens le 30 janvier. Les négociations ont traîné en longueur car les négociateurs grecs, soutenus par le FMI, ont insisté pour que les pertes volontaires des banques soient plus importantes que prévu, au vu de la détérioration économique du pays. Les créanciers privés doivent donc accepter de perdre plus de 50% sur les obligations grecques qu'elles possèdent. Le hiatus porte désormais sur le taux d'intérêt qui leur sera accordé pour leurs nouveaux titres de dette. Les banques veulent qu'il soit le plus élevé possible, les créanciers publics — en particulier le FMI et l'Allemagne — plaident pour un niveau aussi bas que possible pour garantir la survie des finances de l'Etat grec. En plus de l'urgence grecque, les ministres vont devoir peaufiner leur arsenal contre la crise, à commencer par le pacte budgétaire censé renforcer la discipline de la zone euro et des pays européens souhaitant s'y associer. Ce traité a été voulu à tout prix par Berlin qui en a fait une condition sine qua non de sa solidarité financière envers les pays fragiles. Il passe notamment par l'inscription d'une règle d'or sur le retour à l'équilibre des comptes publics. Une réunion spéciale est prévue aux alentours de 20H00 (19H00 GMT) et a pour objectif d'étudier le projet sur la table, qui comporte encore plusieurs points litigieux. Les sommets de la zone euro pourront-ils être ouverts à tous les pays ayant signé ce traité ? Le pacte budgétaire sanctionnera-t-il les dérapages d'un Etat concernant les seuls déficits ou également de la dette ? Quel sera le rôle exact de la Cour européenne de justice ? Un autre sujet délicat portera sur une nomination au sein du directoire de la BCE pour y remplacer l'Espagnol José Manuel Gonzalez-Paramo dont le contrat arrive à son terme, en mai. Ce poste suscite beaucoup de convoitises. Tous droits de reproduction et de représentation réservés. ©2012 Agence France-Presse Toutes les informations reproduites dans cette rubrique (dépêches, photos, logos AFP) sont protégées par des droits de propriété intellectuelle détenus par l’AFP. Par conséquent, aucune de ces informations ne peut être reproduite, modifiée, rediffusée, traduite, exploitée commercialement ou réutilisée de quelque manière que ce soit sans l’accord préalable écrit de l’AFP. 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