#NouvelObs.com Le nouvel ObservateurChallengesSciences et AvenirMa vie électrique ____________________ (Submit) rechercher Espace abonnés S'abonner Boutiques nouvelObs.com, journal d'actualité en temps réel IFRAME: http://platform.twitter.com/widgets/follow_button.html?lang=fr&show_cou nt=false&link_color=ffffff&screen_name=LeNouvelObs& * Actualite * High Tech * Bibliobs * Voyage * Immo * Photo * Video * Blog * Tele obs * Cine * Auto * Emploi * Jeux * Le Plus * Présidentielle 2012 * Monde * L'affaire DSK * Société * Economie * Médias * Culture * Sport * People * Tendance * Vu sur le web Monde > Zoom sur dix mois de révoltes arabes : la Tunisie Zoom sur dix mois de révoltes arabes : la Tunisie Créé le 17-10-2011 à 18h30 - Mis à jour le 20-10-2011 à 11h12 10 réactions Envoyer cet article à un ami Imprimer cet article Par Le Nouvel Observateur Alors que le pays va connaître son premier scrutin libre après la "révolution du jasmin", affrontements tribaux, grèves et manifestations se multiplient. Un reportage de Christophe Boltanski. IFRAME: http://platform.twitter.com/widgets/tweet_button.html?count=none&lang=f r&text=Zoom%20sur%20dix%20mois%20de%20r%C3%A9voltes%20arabes%20%3A%20la %20Tunisie&url=http%3A%2F%2Ftempsreel.nouvelobs.com%2Fmonde%2F20111017. OBS2648%2Fzoom-sur-dix-mois-de-revoltes-arabes-la-tunisie.html * Réagir Des Tunisiens au chômage devant le siège de la Compagnie des Phosphates de Gafsa. (FETHI BELAID / AFP) Des Tunisiens au chômage devant le siège de la Compagnie des Phosphates de Gafsa. (FETHI BELAID / AFP) Mots-clés : Tunisie, élections, Gafsa, révolution arabe, Ben Ali, tribus Sur le même sujet * » VIDEO. A Gafsa, seul le parti islamiste est sur le terrain * » INFOGRAPHIE. Dix mois de révoltes arabes : l'état des lieux * » Nuages sur le "Printemps arabe", par Jean Daniel * » TUNISIE. Les élections mode d'emploi * » ELECTIONS TUNISIENNES. "L’islam et la démocratie vont de pair" De notre envoyé spécial en Tunisie, dans la région de Gafsa Sa mort filmée avec un téléphone portable passe de main en main dans son salon. Ses trois frères sont là, ainsi que ses deux fillettes, âgées respectivement de 5 mois et de 1 an et demi, que personne n’a songé à éloigner. Tous regardent, sans doute pour la énième fois, ses agresseurs applaudir, crier victoire. L’ambulancier gît sur la chaussée. Son corps n’est plus qu’une grande tache rouge. "Pin-pon ! Pin-pon !", hurle par dérision la foule massée autour de lui. "Bravo les hommes ! lance avec rage une voix féminine. Enlevez-lui son pantalon !" Le plan se resserre. On distingue un couteau planté dans son œil gauche, laissé bien en évidence, comme un trophée. Ali Kalthoum a été assassiné le 5 juin dernier par une populace ivre de haine alors qu’il accourait au secours d’une prétendue blessée. "Ils lui avaient tendu un piège. Ils ont téléphoné aux urgences pour le faire venir et se sont jetés sur lui dès qu’il est descendu de l’ambulance", raconte son frère, Ibrahim. La famille a dû attendre quatre heures avant de pouvoir récupérer sa dépouille. "Dès qu’on s’approchait, ils nous tiraient dessus." Rien que dans le dos, il a reçu 40 coups de couteau. La raison de ce déchaînement de violence ? "Ils étaient de la tribu Jeridiya et voulaient venger deux des leurs tués la veille. Nous faisons partie des Ouled Bou Yahya." [JEUDI 7H]Zoom sur dix mois de révoltes arabes : la Tunisie (1/3) Dans le Nouvel Observateur du 19 octobre 2011. (DR) Affrontements sanglants entre tribus A Metlaoui, une cité minière de l’ouest de la Tunisie, la peur se lit encore sur les visages. Durant l’été, ses deux principales tribus se sont massacrées à coup de pierres, de haches, de fusils de chasse. Il a suffi d’un tract anonyme apposé sur un mur pour dresser une partie de la ville contre l’autre. Le texte annonçait que la Compagnie des Phosphates de Gafsa, la CPG, l’unique employeur de la région, allait enfin aider à résorber un chômage devenu endémique, mais comptait réserver les deux tiers des postes aux Ouled Bou Yahya, considérés comme autochtones par opposition aux autres clans originaires des oasis de Nefta ou de Tozeur. Des affrontements ont aussitôt éclaté. Dix-neuf maisons ont été incendiées, parfois même rasées au bulldozer. Le local syndical a brûlé, lui aussi. Bilan : treize morts et des dizaines de blessés. Une vieille ligne de chemin de fer, parcourue par des wagons remplis de minerais et doublée d’un mur de béton, marque la frontière entre les deux camps désormais ennemis. "On a déchiré l’affiche et ils nous ont attaqués", s’écrie un homme aux cheveux blancs, assis à la terrasse d’un café. Un "Jeridiyen", comme la plupart des habitants du quartier Tripoli. Debout, derrière lui, un plombier désigne la balafre qui lui barre le visage. "Un tir de chevrotine", dit-il. Son voisin soulève son tee-shirt. Une cicatrice s’étale sur son ventre émacié. Un troisième brandit son bras entouré d’un pansement. Alors que retentit l’appel à la prière, chacun tient à montrer sa blessure, la photo d’un "martyr" ou des images d’horreur capturées sur un mobile. IFRAME: http://www.dailymotion.com/embed/video/xlsji1 Tunisie: à Gafsa, seul le parti islamiste est... par Nouvelobs Le chômage, la racine du mal A la veille des premières élections libres de la Tunisie, le bassin minier de Gafsa et ses environs s’apparente à un chaudron prêt à exploser. Grèves, manifs et maintenant luttes tribales. La cause ? Toujours la même. Le chômage qui frappe un actif sur deux. Une contrée délaissée par le pouvoir central, malgré les richesses que son sous-sol génère. A Metlaoui, toujours sous couvre-feu nocturne, des blindés protègent le siège local de la Compagnie des Phosphates pendant que des retraités en mobylette bloquent, à deux pas de là, un train afin d’obtenir une revalorisation de leur pension. "Nous ne partirons pas d’ici tant que nous n’aurons pas obtenu de réponse positive, prévient Amara Lakhel, un ancien chef syndicaliste. Avec tout ce micmac électoral, nous ne voulons pas être oubliés." A Redeyef, près de la frontière algérienne, au bout d’une route en lambeaux, des jeunes occupent depuis juillet le site minier. Tous diplômés chômeurs. Des "maîtrisables", comme on dit ici. Ils se relaient dans la salle des machines encombrée de matelas. "Cela fait des années que l’on réclame du travail, dit Omar, licencié en gestion, 28 ans. On vit toujours chez nos parents, on ne peut pas se marier." Dans le coin, il n’y a que la Compagnie qui peut leur offrir un avenir. Fondée par les Français en 1896, elle a employé jusqu’à 15 000 ouvriers, contre 5 000 aujourd’hui. A part une fabrique de textile, la bourgade ne compte aucune autre usine. Et rien ne pousse dans ce paysage désertique piqueté de broussailles. Le peu d’eau disponible sert à nettoyer le phosphate et part ensuite polluer les terres et les nappes phréatiques. "Voter ? Pour quoi faire " Comme ses compagnons, Omar n’a plus qu’un seul "rêve" : immigrer en Europe. "Avec le bateau, mais c’est dangereux." Dix mois après la chute de Ben Ali, ces laissés-pour-compte déclarent ne rien attendre des élections à la Constituante. "Voter ? Pour quoi faire ? s’exclame Galloul Kleifi, 30?ans, chômeur diplômé en maintenance industrielle. Les partis font plein de promesses. Ce ne sont que des blagues." Au total, soixante-deux listes se disputent les sept sièges du gouvernorat. Jusqu’à ce jour, aucun candidat ne leur a rendu visite. "Nous sommes ceux qui avons provoqué l’étincelle de la révolution et nous n’avons rien récolté", soupire Sliman. C’est ici, en effet, dans cette petite ville entourée de stériles, de pontons, de rampes métalliques que la première révolte contre la dictature a éclaté. Un conflit social violemment réprimé. Trois morts dont deux par balles, des centaines de blessés, une région tout entière placée en état de siège. Une fois encore, la politique de recrutement de la Compagnie a servi de déclencheur. Le 5 janvier 2008, la population explose à l’annonce des résultats du concours. Les caciques locaux, cadres du parti, syndicalistes maison, directeurs de la CPG, ont distribué les postes à leurs proches. Manifs, sit-in. Pendant plus d’un an, le bassin résiste aux assauts répétés de la police. Sentiment d'abandon "Tout peut recommencer, avertit Adnan Hajji, l’un des leaders du mouvement de 2008. Car les revendications sociales, qui étaient à l’origine de la révolution, n’ont pas été satisfaites." Arrêté à deux reprises, condamné à dix ans de prison, il a été libéré après une année, grâce à la pression de la rue. Selon lui, rien n’a changé depuis l’effondrement du régime : "Les policiers qui nous ont torturés n’ont jamais été poursuivis. On a juste muté leurs chefs ailleurs. Le gouvernement a décidé d’indemniser les martyrs du 14 janvier [jour de la fuite de Ben Ali, NDLR], mais, ici, nos victimes n’ont pas touché un dinar. Quant au PDG de la Compagnie, il refuse de négocier et continue de gérer l’entreprise comme si c’était sa propriété personnelle." L’homme dénonce un lâchage des autorités. "A Redeyef, il n’y a plus aucun responsable de l’Etat. Le délégué [sorte de sous-préfet, NDLR] s’est replié sur Gafsa, à 70 kilomètres d’ici. Nous n’avons que quatre policiers qui ne sont même pas capables d’empêcher une bagarre. Résultat : les vols et les braquages se multiplient." Même sentiment d’abandon à Metlaoui. "Nous connaissons l’identité des assassins de notre frère, dit Ibrahim Kalthoum en sortant une liste d’une vingtaine de noms. Mais nous n’avons pas confiance dans la justice. Nous leur avons fourni des vidéos. Une seule personne a été détenue parce qu’elle s’était accusée afin de protéger les autres." Abdessalam Zeybi, un instituteur, habite une villa à l’entrée du quartier de Tripoli. Le 4 juin, en voyant les émeutiers arrivés, il a composé le 179, le numéro de la police. "Ils ne sont venus que des heures après et ils n’ont rien fait. Comme s’ils avaient reçu la consigne de ne pas intervenir. J’ai dû moi-même défendre ma maison." Ce syndicaliste ne comprend pas cette fureur subite. "Nous avons toujours vécu ensemble, sans problème. Et voilà qu’ils nous appellent des étrangers. J’habite ici depuis ma naissance. Mon père était chef de service à la Compagnie !" Des caciques de l'ancien régime montrés du doigt L’avocat et défenseur des droits de l’homme Ridha Raddaoui en est convaincu : cette guerre entre Ouled Bou Yahya et Jeridiyens a été délibérément provoquée. "C’était une tentative pour perturber la transition démocratique." D’autres affrontements à caractère tribal ont secoué récemment le bassin minier. A El-Mdhilla, à cause d’un simple verre de vin bu en plein jour dans un café. A Essned, à la suite d’une dispute entre deux écoliers. Des hiérarques de l’ancien régime suscitent, selon lui, des troubles afin "de créer le chaos et d’obtenir la protection de leur clan". Un avis partagé par un directeur de la Compagnie des Phosphates : "Ce sont des anciens du RCD [l’ex-parti au pouvoir, ] qui ont diffusé ces rumeurs de quotas d’embauches par famille, dit-il sous couvert de l’anonymat. Ils veulent nous faire regretter l’époque de Ben Ali." Du fait des grèves à répétition, des blocages multiples, l’entreprise ne tourne plus qu’au tiers de sa capacité. Pour calmer le jeu, son PDG, Kais Dali, un ex-RCDiste, avait annoncé en mars dernier le recrutement de 3.000?personnes supplémentaires. D’après son porte-parole, Ali Houchati, il aurait bien accepté à cette occasion d’accorder 64% des emplois aux Ouled Bou Yahya. "Sous la pression des citoyens", dit-il, sans autre précision. L’homme fait lui-même partie de la tribu et ne cache pas une certaine nostalgie pour l’ancien régime : "Ben Ali a laissé le pays en bon état, souligne-t-il. Sans la mafia de sa belle-famille, nous étions sur la bonne voie." Christophe Boltanski - Le Nouvel Observateur (Cet article a été publié dans Le Nouvel Observateur du 19 octobre 2011) A suivre sur le site du Nouvel Obs, vendredi : l'Egypte et samedi: la Syrie Envoyer cet article à un ami Imprimer cet article Par Le Nouvel Observateur IFRAME: http://platform.twitter.com/widgets/tweet_button.html?lang=fr&text=Zoom %20sur%20dix%20mois%20de%20r%C3%A9voltes%20arabes%20%3A%20la%20Tunisie& url=http%3A%2F%2Ftempsreel.nouvelobs.com%2Fmonde%2F20111017.OBS2648%2Fz oom-sur-dix-mois-de-revoltes-arabes-la-tunisie.html * Envoyer * Traduire * Réagir Votre réaction Mohamed Omrane Mohamed Omrane a posté le 22-10-2011 à 10:11 Cher moderateur Au nom de la démocratie et la liberté dont vous nous souhaitez , ne blouquer pas nos réactions A cet article, si vous en trouvez un dépassement, vous elimner la phrase qui vous gene ... merci Mohamed Omrane Tunisien le tunisien Lamda * Je réponds * J'alerte Mohamed Omrane Mohamed Omrane a posté le 22-10-2011 à 10:07 A Boltanski, auteur de cet article…. Le titre de votre article ne correspond en rien avec son contenu plein de pessimisme. Je ne crois pas que ce que vous avez décrit résume les dix mois de révolution !! C'est un article partial qui veut rappeler des jours difficiles qu'on a vécu et qui sont " normale voir même attendus" après une telle révolution ... Ne pas oublier par exemple les dérives vécus après la révolution française !!!. En Tunisie nous avons fait notre révolution , ce n'est que le début, et nous nous apprêtons à faire nos élections démocratiques dans la sérénité dimanche prochain et cela malgré les mauvaises langues de ceux qui veulent nous voir retourner en arrière!! En tous cas cette Tunisie , malgré ces difficultés , est peut être un peu mieux que celle qui a vu l’agression honteuse de certains journalistes (qui se connaitrons) en 2005 !? Alors apprenez à nous aider avec un peu de professionnalisme et d’impartialité. Nous réussirons.... Un tunisien Lamda * Je réponds * J'alerte Le Journal de Personne Le Journal de Personne a posté le 20-10-2011 à 19:21 Rouge Tunisien Je suis une plante rouge Qui jouit et se réjouit Du pur plaisir d'exister... Non que dis-je? Du pur plaisir de cœxister Au milieu d'autres plantes Vertes, jaunes ou rouges Vous n'imaginez pas le bonheur D'être plusieurs Une pour toutes et une fois pour toutes Et toutes pour une Le paradis au cœur de chacune... http://www.lejournaldepersonne.com/2011/10/rouge-tunisien/ * Je réponds * J'alerte Simone Couturier Simone Couturier a posté le 20-10-2011 à 10:32 Mon Dieu, comme j ai peur pour ce pays que j aime . Les Tunisiens sont tellement proches de nous, tellement attachants, que je ne voudrais pas que des partis religieux prennent le dessus et les enferment à nouveau au monde extérieur. * Je réponds * J'alerte Ahmed Mouhlay Ahmed Mouhlay a posté le 20-10-2011 à 09:38 Révoltes "arabes"? Alors que les tribues que vous citez sont BERBERES! * Je réponds * J'alerte cadi slim cadi slim a posté le 20-10-2011 à 11:27 @ AHMED MOUHLAY Contrairement à l'Algérie et au Maroc où la composante berbère est reconnue dans les constitutions, en Tunisie, il n'en est pas de même ainsi d'ailleurs qu'en Libye. * Je réponds * J'alerte Ahmed Mouhlay Ahmed Mouhlay a posté le 20-10-2011 à 15:04 Bonjour Cadi, Je sais, hélas, pire on leur fait honte d'être Berbères. * Je réponds * J'alerte cadi slim cadi slim a posté le 21-10-2011 à 10:30 @ AHMED MOUHLAY Les berbères sont chez eux en Afrique du nord, n'en déplaise à ceux qui se veulent autres. Il est toujours utile de rappeler que l'Arabie est sur un autre continent que celui qui est le berceau des berbères. L'histoire est infalsifiable de ce côté-là sinon bien des apprentis sorciers l'auraient déjà fait. * Je réponds * J'alerte Jean François Faissat Jean François Faissat a posté le 20-10-2011 à 09:10 Sortir d'une dictature pour sombrer dans l'anarchie avec le spectre de l'islamisme c'est, pour l'instant, tomber de Charybde en Scylla. Comme quoi l'évolution vers la démocratie n'est pas si évidente que cela : il ne suffit pas de renverser les dictateurs pour y parvenir même si c'est le premier pas en sa direction ! je souhaite beaucoup de courage à ces peuples du maghreb qui vont être confrontés à de nombreux problèmes de structures sociologiques ( organisation tribale, islamisme, séquelles dictatoriales etc...) avant d'aboutir à la démocratie ! * Je réponds * J'alerte cadi slim cadi slim a posté le 20-10-2011 à 16:09 @ J.F. Faissat Le parti islamiste n'est crédité que de 20% des voix, il ne faut pas oublier les 80% restants. Ceux-là ne sont pas des islamistes et veilleront à ne pas se faire confisquer leur révolution. L'occident a une perception assez particulière de l'islamisme. Au lieu de respecter le bonne vieille règle qui dit " que c'est l'exception qui confirme la règle" , là dès qu'il s'agit d'islamistes, c'est plutôt l;inverse que l'on constate. La démocratie se construit pas à pas, minute par minnute et peut-être dans un siècle ou deux, nous aurions une assise démocratique dans les pays du Maghre. Les démocrates sont là, mais écartés par les dictateurs en place et secoués par les cris des islamistes qui ont l'un le pouvoir et l'autre les mosquées, les démocrates n'ayant pas d'espace d'expression qu'ils doivent se créer à l'issue de cette révolution. Les islamistes sont une minorité mais agissante et criarde. * Je réponds * J'alerte JE RÉAGIS _______________________________________________________________________ _______________________________________________________________________ _______________________________________________________________________ _______________________________________________________________________ _______________________________________________________________________ _______________________________________________________________________ _______________________________________________________________________ _______________________________________________________________________ (Submit) Je publie Pour réagir, je dois être connecté : Je me connecte avec Facebook Twitter Google Je suis abonné(e) au magazine Connexion Abonnées Le Nouvel Observateur Connexion Abonnées Challenges Connexion Abonnées Sciences et Avenir Monde * SYRIE. 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