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François Fillon prend acte de sa défaite mais dénonce une « fracture » à l'UMP. Vote UMP : le film d\'une journée de bras de fer 23 h 33 : François Fillon fait une très courte déclaration. Il dit qu'il a « pris acte du résultat de cet élection ». « J'aurais préféré en être satisfait, tel n'est pas le cas pour des raisons qui dépassent largement mon destin personnel », dit-il encore. « Les méthodes qui ont été déployées ne rencontrent pas mon approbation. Au delà des nombreuses irrégularités que j'aurais pu contester, la fracture qui traverse notre banc politique est désormais manifeste. La réduire et la dépasser, tel est l'objectif que désormais je m'assigne. Je ferai connaître dans les jours qui viennent les formes que prendront mon avenir et mon engagement politique », a-t-il déclaré à la presse depuis son siège de campagne parisien. IFRAME: https://api.dmcloud.net/player/embed/4e7343f894a6f677b10006b4/50aab8129 4739906d00319ed/52f9899847eb4de99174a4c4121f28c8?exported=1 22 h 45 : Jean-François Copé fait une déclaration : « La commission d'organisation des élections vient de proclamer officiellement les résultats et d'indiquer que j'ai été élu à la majorité absolue des suffrages exprimés par les militants ». « J'ai proposé aux militants et aux militantes une vision nouvelle. Il est temps que l'opposition républicaine que nous incarnons se mette au travail », dit-il. Jean-François Copé annonce qu'il a téléphoné à son rival François Fillon pour l'inviter à le « rejoindre » au sein de l'UMP et travailler ensemble car « nos adversaires sont à gauche ». « Mes mains et mes bras sont grand ouverts (...) Je n'ai ni amertume ni rancoeur. Ce qui nous rassemble est infiniment supérieur à ce qui nous divise », a déclaré le député-maire de Meaux. Il était entouré de son « ticket » -Luc Chatel qui sera vice-président délégué de l'UMP et Michèle Tabarot, qui devient secrétaire générale, le poste qu'occupait jusqu'à présent M. Copé -de son épouse Nadia, de son fils aîné et de plusieurs de ses soutiens, comme Roger Karoutchi, Rachida Dati et Nadine Morano. IFRAME: http://api.dmcloud.net/player/embed/4e7343f894a6f677b10006b4/50aab6e694 a6f629340318fa/f4fb4e428b3c4fd2b1990ea75946502c?exported=1 A LIRE AUSSI : Jean-François Copé : le «chef de guerre» de la «droite décomplexée» 22 h 37 : Le président de la Cocoe annonce que Jean-François Copé est déclaré vainqueur de l'élection avec 50,03 % des voix, contre 49,97 % à François Fillon. Le député de Meaux a recueilli 87.388 voix contre 87.290 voix à l'ex-Premier ministre, soit 98 voix d'avance. Tous les bureaux de vote même ceux qui étaient contestés comme dans les Alpes-Maritimes, ont été validés, a indiqué Patrice Gélard en appelant « à la rénovation des statuts » de l'UMP après « un scrutin difficile dans son déroulement ». 22 h 23 : Bruno Le Roux, le chef de file des députés PS, lance sur son compte twitter : « On me dit que c'est Copé qui a mieux triché que Fillon. Et donc que ça devient l'opposant officiel! ». 22 h 20 : Selon BFMTV, François Fillon devrait tenir un point de presse vers 22 h 40. 20 h 43 : La commission interne chargée de contrôler et valider les résultats de l'élection à la présidence de l'UMP se réunit pour délibérer en vue de proclamer un vainqueur. Nul se sait, dans les deux camps combien de temps va durer cette ultime réunion qui se tient à huis clos. Quelques minutes plus tôt, des sources UMP ont indiqué que la Cocoe était en train de vérifier les procès-verbaux des trois derniers départements restants : les Alpes-Maritimes, fillonistes, où des cas litigieux sont mis en avant par les copéistes, mais aussi les Bouches-du-Rhône et le Nord, favorables à Jean-François Copé. Reuters Reuters 20 h 30 : Les soutiens de Jean-François Copé et de François Fillon, tels que Christian Jacob ou Christian Estrosi, maintiennent que leur candidat va être proclamé président de l'UMP « dans quelques heures », une fois le recomptage achevé par la commission de contrôle. « Il faut avoir le calme des vieilles troupes, beaucoup de sérénité. Il n'y a pas de quoi dramatiser. Le résultat sera serré, il est normal que la commission de contrôle recompte les bulletins. Nous, on pense que Jean-François Copé maintient son avantage et qu'il sera proclamé président dans quelques heures », a affirmé Christian Jacob sur iTélé. Considérant que « ce qu'il faut est que le comptage se fasse normalement et l'appareil UMP se remettra en place », le chef de file des députés UMP a déclaré que Jean-François Copé était « en train de réfléchir aux moyens de rassembler la famille ». « Je ne vois pas ce qui justifierait aujourd'hui d'annuler complètement l'élection. Il y a un certain nombre de bureaux, notamment celui de Nice beaucoup cité, où des irrégularités ont été signalées, la commission va statuer », a déclaré ce député de Seine-et-Marne. Quant à une éventuelle co-présidence de l'UMP par Jean-François Copé et François Fillon, « ce serait compliqué objectivement, parce qu'à un moment il y a un président qui porte la parole. Le système de co-présidence ne fonctionne pas ». De son côté, l'ex-ministre Christian Estrosi, soutien de François Fillon, a déclaré : « Au moment où je parle, les derniers décomptes donnent une avance à François Fillon qui est confirmée. Mais nous devons aller jusqu'au bout du travail entamé la nuit dernière et nous escomptons bien voir la Cocoe publier l'élection à la présidence de notre formation politique de François Fillon ». « Dès lors que la Cocoe s'est tenue à son rôle, qui consiste à additionner les résultats validés par l'ensemble des assesseurs tels qu'ils nous sont parvenus hier, nous n'avons pas de raison de contester quoi que ce soit, qui plus est alors que l'avantage de François Fillon est confirmé par ces additions », a-t-il ajouté. Pour ce député des Alpes-Maritimes, « s'il y a des bureaux litigieux, il y a des voies de recours possibles -ce qui n'est pas souhaitable d'ailleurs parce que ce n'est pas la meilleure image à donner » alors qu'il ne faut « pas décourager les militants », « rassurer des millions de Français qui regardent et se concentrer après la désignation officielle du président de l'UMP pour mener le combat contre la gauche ». 20 heures. Jérôme Chartier, le porte-parole de François Fillon assure que son champion était en tête. Il a appelé à attendre la publication de « résultats incontestables » et confirmé que chaque candidat avait fait appel, pour l'assister, à un avocat spécialiste du droit électoral. IFRAME: http://www.dailymotion.com/embed/video/xv7t7d Jérôme Chartier : "Le droit électoral s'applique... par lesechos 18 heures : La Cocoe, commission interne chargée de contrôler et valider les résultats de l'élection à la présidence de l'UMP, a poursuivi ses travaux toute la journée de lundi et il lui restait vers 17 h 30 les procès-verbaux de « 10 à 20 » départements à vérifier, selon des sources UMP. En fin d'après-midi, la Cocoe, réunie au siège du parti rue de Vaugirard (Paris XVe), avait validé les résultats enregistrés dans plus de 80 départements pour l'élection du président de l'UMP, disputée entre Jean-François Copé et François Fillon. Il lui restait encore à analyser les résultats de plusieurs grosses fédérations, notamment celle des Alpes-Maritimes où des cas litigieux sont mis en avant par les copéistes, à Nice, fief des fillonistes Christian Estrosi et Eric Ciotti, mais aussi des départements favorables à Jean-François Copé, comme la Seine-et-Marne. Chaque camp affirme disposer d'une avance de quelques centaines de voix sur environ 175.000 suffrages d'adhérents exprimés, soit un écart très faible. Le nom du vainqueur officiel pourrait n'être connu qu'en soirée, dans la nuit voire seulement mardi. 17 heures. Alors que la Commission doit encore vérifier les résultats du scrutin dans une dizaine de départements, l'équipe de Jean-François Copé estime avoir plus de 800 voix d'avance. Parmi les départements qui doivent encore être examinés par la Cocoe figurent les plus litigieux, notamment les Alpes-Maritimes. Les bulletins ont été recomptés lundi dans certaines circonscriptions, notamment à Mulhouse, Vichy et dans l'Essonne, selon un proche de Jean-François Copé. 16 h 05 : Philippe Mariani, soutien de Jean-François Copé, souligne que face à la forte mobilisation, « cela vaut le coup » d'attendre 24 heures pour savoir qui a gagné. IFRAME: http://www.dailymotion.com/embed/video/xv7szf Thierry Mariani : "Il a fallu quatre jours au PS... par lesechos 16 heures : Eric Ciotti, le directeur de campagne de François Fillon, fait était, sur des résultats partiels sur 94.000 inscrits, de 2.600 voix d'avance pour l'ancien Premier ministre, et estimant avoir au total environ 200 voix d'avance. 15 h 55 : Un calcul extérieur donne François Fillon en tête de 93 voix . Yves-Marie Cann, directeur d'études à l'Institut CSA, et Nicolas Obrist, social media manager à l'Ifri, ont calculé à titre personnel le cumul des suffrages sur la France métropolitaine. Verdict du calcul : sur 171.803 voix dénombrées, 50,03% vont à François Fillon et 49,97% à Jean-François Copé, soit 93 voix d'écart. Les deux protagonistes reconnaissent toutefois que leur calcul n'est pas complet, n'ayant pas réussi à collecter les chiffres des DOM. 15 h 14 : Les assesseurs pro-Copé et pro-Fillon ont décelé lundi une anomalie arithmétique concrète portant sur 128 bulletins dans le bureau de vote de la plus importante circonscription de la ville de Nice . Dans la 1ère circonscription de Nice -bastion du député « pro Fillon » Eric Ciotti qui compte 2.300 inscrits -les militants ont voté dimanche sans surprise en masse (75,9%) pour François Fillon. Mais selon le procès-verbal validé à 3 h 15 lundi matin par des assesseurs des deux camps, avant son envoi à Paris, l'écart enregistré entre le nombre d'enveloppes de vote et les signatures sur les cahiers d'émargement est de 128. Pour Bertrand Casiglia, un porte-parole local « filloniste », l'explication est simple: certains des 1.117 votants sont partis sans signer après avoir déposé leur bulletin dans l'urne. L'assesseur « copéiste » Didier Carrétero, présent toute la soirée à ce dépouillement, se montre moins conciliant : « 128 signatures de décalage, c'est pas normal, quand on met une enveloppe on signe après ». 15 heures : Le nom du vainqueur officiel ne sera pas connu « avant ce soir », indiquent certaines sources à l'AFP. « Peut-être même pas ce lundi », ajoutent d'autres. 14 h 42 : Le président de la fédération UMP du Pas-de-Calais, Daniel Fasquelle, appelle à une « co-présidence » de François Fillon et Jean-François Copé. Constatant dans son propre département un scrutin « beaucoup plus serré que certains ne le pronostiquaient », il estime dans un communiqué que le résultat « montre qu'il y a au sein de l'UMP, deux sensibilités qu'il faut maintenant rassembler ». « Personnellement, comme beaucoup de militants, c'est dans la synthèse de ces deux courants que je me sens le plus à l'aise », ajoute-t-il. « Finalement, les militants n'ont pas pu choisir entre les deux approches et ne souhaitent pas qu'une approche prenne le pas sur l'autre », a-t-il constaté, assimilant son appel à une forme « d'union sacrée » dans une période « très compliquée » pour la France et où les présidentielles de 2017 sont encore loin. 13 h 30 : A la mi-journée, la Cocoe, la commission interne chargée de contrôler et valider les résultats de l'élection à la présidence de l'UMP, avait validé les procès-verbaux d'une soixantaine des départements. Il restait encore les résultats de plusieurs grosses fédérations à examiner, notamment de celle des Alpes-Maritimes où des cas litigieux sont mis en avant par les copéistes, à Nice, fief des fillonistes Christian Estrosi et Eric Ciotti. Christian Estrosi a assuré que les travaux se déroulaient « dans une ambiance sereine et constructive » contrairement à la forte tension qui a prévalu tout au long de la nuit. Le maire de Nice a réaffirmé que François Fillon menait toujours d'une courte tête. « Ca se passe correctement, pas dans la tension », a confirmé le copéiste Roger Karoutchi. « A l'heure qu'il est, l'avance en faveur de Jean-François Copé n'est pas altérée, au contraire, elles est même légèrement accrue », a-t-il dit en donnant l'exemple de « 100 voix » en faveur du député-maire de Meaux qui avaient été initialement oubliées en Moselle. « Il n'y a pas de surprise par rapport à hier. Jean-François Copé est toujours en avance. La Cocoe travaille bien, elle avance, elle examine les résultats. Il faut le faire avec calme et sérénité », a ajouté Luc Chatel, membre du « ticket » Copé. « Si des fraudes sont avérées à Nice, nous demanderons l'annulation de ces bureaux de vote. On ne va pas, pour quelques cas isolés de fraude, s'ils étaient avérés, remettre en cause le vote des militants », a-t-il souligné. 12 h 32 : Le Premier secrétaire du PS, Harlem Désir « déplore » que l'UMP soit « totalement tournée vers elle-même et vers sa guerre des chefs ». « Aujourd'hui la situation de l'UMP est marquée par la confusion, la contestation et la division », dit-il lors d'un point de presse. IFRAME: http://www.dailymotion.com/embed/video/xv7exq Harlem Désir sur la situation de l'UMP : «la... par PartiSocialiste 12 h 03 : « Pour la première fois, l'UMP découvre grandeur nature la démocratie. Il n'est pas anormal que des difficultés surgissent, pour certaines non prévues », écrit Gérard Longuet, dans un communiqué. « François Fillon a souffert de son statut de vainqueur annoncé, je le regrette profondément même si, consolation, dans ma chère Lorraine, il est largement en tête », analyse l'ex-ministre de la Défense. « Jean-François Copé a surfé sur les exaspérations que suscite, sur nos électeurs, le gouvernement et a mobilisé les inquiétudes les plus extrêmes des territoires les plus exposés », poursuit-il. « François Fillon a eu raison de rappeler que seule la Commission de contrôle peut proclamer les résultats. Détenir l'appareil a constitué un atout dont il faudra bien mesurer l'impact », selon le sénateur de la Meuse. « Malgré tout cela soyons fiers de la mobilisation de nos adhérents et demandons à nos deux dirigeants le sang-froid qu'exige l'ambition de servir un jour, à des responsabilités plus grandes, le pays », dit-il. 11 h 56 : « Ne dégoûtons pas les militants, qui se sont fortement mobilisés hier pour cette élection. (...) C'est une victoire pour l'UMP, un grand moment de démocratie, un grand moment de mobilisation », a estimé Rachida Dati, soutien de Jean-François Copé, sur i-Télé. « Aujourd'hui dans les partis comme en France on ne peut plus dicter aux militants français ce qu'ils doivent penser ou ce qu'ils doivent faire (...) Ce rendez-vous démocratique n'a pas été raté, ce qui est raté, et ce qui risque de le gâcher, ce sont les commentaires que j'entends depuis hier soir », a-t-elle ajouté. La commission de contrôle du parti « va valider les chiffres, la victoire de Jean-François Copé va être actée. Ce n'est pas la peine d'entacher ce scrutin pour commencer à déstabiliser (...) Jean-François Copé, c'est être mauvais joueur », a estimé la députée européenne. « C'est un parti vivant qui est né hier soir, un parti vivant démocratiquement, vivant en terme de génération, vivant en terme d'idées. On ne va pas se gâcher ce grand moment de démocratie », a-t-elle insisté. La maire du VIIe arrondissement a dit « comprend(re) » l'« amertume » et l' « aigreur » des fillonistes, qui étaient majoritaires auprès des sympathisants dans les sondages. 11 h 30 : « Ce qui pourrit la situation, c'est que tout le monde est obsédé » par 2017, déplore Alain Juppé lors d'un point presse. Cette consultation n'était pas « une erreur » mais « ça s'est enclenché dans des conditions qui font qu'on arrive au résultat d'aujourd'hui », a-t-il poursuivi. Il a précisé que lorsqu'il leur a parlé au téléphone, François Fillon et Jean-François Copé étaient « préoccupés parce que ce sont quand même des hommes responsables et ils voient bien le risque qui pèse sur l'UMP ». « Il faut reconstruire, avec les objectifs que l'on connaît : 2014 et les élections locales et européennes et, au-delà, la construction d'un vrai projet pour l'UMP », a-t-il insisté. « Nous avons, je le répète, plus que jamais besoin d'une grande formation de la droite et du centre et c'est ça qui est en jeu ». L'ancien Premier ministre a également proposé la mise en place au côté de celui des deux candidats qui sera finalement proclamé vainqueur, d'une « instance qui accompagnera le nouveau président », pour favoriser la réconciliation. Il a par ailleurs écarté toute ambition nationale : « J'ai dit très clairement que mon objectif était clair : c'est me consacrer à ma ville de Bordeaux et c'est ce que je fais (...) Je n'ai pas du tout l'intention de prendre des responsabilités nationales ». « Si je peux être utile pendant quelques jours ou quelques semaines pour calmer les choses et remettre le train sur les rails je le ferai volontiers, mais pas au-delà », a-t-il précisé devant la presse. 11 h 13 : Valérie Pécresse (pro-Fillon) se montre confiante en la victoire de François Fillon, affirmant sur Europe 1 ne pas être hostile a priori à un nouveau vote, même si « le sujet n'est pas là ». « Avant de revoter, il faut d'abord que l'on connaisse le résultat du vote. Nous, nous avons des calculs qui montrent qu'officiellement nous avons gagné cette élection, nous attendons que ces calculs soient validés ou invalidés par la commission responsable », a déclaré la députée UMP des Yvelines, dans une interview croisée avec la députée des Alpes-Maritimes Michèle Tabarot, soutien de Jean-François Copé. Valérie Pécresse a continué de revendiquer « 200 voix » d'avance pour François Fillon, et Michèle Tabarot 1.000 en faveur de Jean-François Copé. La députée des Alpes-Maritimes a à nouveau accusé le camp filloniste de fraude, notamment « dans les Alpes-Maritimes » avec « des fausses procurations, des procurations vierges distribuées dans les bureaux de vote, un bureau de vote dans la 8e circonscription où on a pu voter sur trois morceaux de liste et donc permettre à une personne de passer plusieurs fois avec des procurations ». Valérie Pécresse a de son côté dénoncé le « ridicule qui consiste à ce que l'UMP n'annonce pas les résultats officiels de son vote 12 heures après la fermeture des bureaux ». « Ca c'est la personne en charge des élections à l'UMP qui en porte la responsabilité », a-t-elle dit en allusion au secrétaire général du parti Copé. L'ex-ministre a déclaré avoir « toute confiance sur le terrain dans les assesseurs » mais s'est étonnée que les procès verbaux qu'ils ont établis, et qui ont été « communiqués aux candidats », n'aient pas été transmis à la commission de contrôle électorale. « Visiblement ils ne l'ont pas été, personne n'a donné l'instruction qu'ils le soient, c'est une désorganisation absolument incroyable », a-t-elle fustigé. 10 h 47 : Le maire de Bordeaux, Alain Juppé, fondateur de l'UMP, indiqué, sur iTélé avoir parlé à Jean-François Copé et à François Fillon et que tous les deux lui avaient déclaré être prêts à accepter la décision de la commission de contrôle des opérations électorales. Plus tôt, le maire de Bordeaux avait appelé sur son blog les deux candidats à cesser les invectives et à se rencontrer (voir ci-dessous). Sur iTélé il a encore lancé : « Nous avons, je le répète, plus que jamais besoin d'une grande formation de la droite et du centre et c'est ça qui est en jeu. Je lance vraiment un cri d'alarme, c'est l'existence même de l'UMP qui est en cause aujourd'hui, alors il faut arrêter cette confrontation ». IFRAME: http://www.dailymotion.com/embed/video/xv79mb Alain Juppé : "c'est l'existence même de l'UMP... par ITELE 10 heures : La Cocoe, commission chargée de contrôler l'élection à la présidence de l'UMP, repend ses travaux. Cette instance présidée par le sénateur Patrice Gélard les avait suspendus vers 4 heures du matin alors qu'il manquait 50% des procès verbaux de résultats départementaux. Des représentants des deux camps assistent à ses travaux, dont Eric Ciotti pour François Fillon et Roger Karoutchi pour Jean-François Copé. A son arrivée au siège de l'UMP, rue de Vaugirard (Paris XVe), Patrice Gélard a dit espérer que le nom du vainqueur soit connu dans la journée de lundi. « Ce ne sera pas avant ce soir », indiquaient certaines sources. La commission doit en effet encore examiner une bonne moitié de départements et notamment les cas litigieux de certains bureaux de vote à Nice, fief des fillonistes Christian Estrosi et Eric Ciotti. IFRAME: https://api.dmcloud.net/player/embed/4e7343f894a6f677b10006b4/50aa02a90 6361d092702a933/b669b68392344cf89e9cb7e079972fdc?exported=1 9 h 58 : Dans un communiqué, François Fillon écrit tenir « à rappeler à chacun qu'il appartient d'attendre avec sang-froid le verdict de la Commission d'organisation et de contrôle des opérations électorales. Son travail d'évaluation et de contrôle n'étant pas achevé, la dignité et la rigueur exigent de respecter le processus en cours ». « A cette heure, notre décompte confirme [notre] avance, mais seuls les chiffres définitifs et officiels permettront de trancher la situation. Cette élection doit être incontestable. Il en va de la crédibilité de l'UMP et de l'honneur de tous les adhérents qui ont massivement pris part au vote », écrit le candidat. « Au-delà de l'UMP, nous devons être à la hauteur de nos devoirs vis-à-vis de la France qui a besoin d'une opposition solide et respectée », conclut-il. 9 h 52 : Sur son compte Twitter, Xavier Bertrand réclame que chacun attende le verdict de la Commission d'organisation et de contrôle des opérations électorales . « Que tout le monde retrouve son calme et se taise, question de respect des militants! », lance-t-il. 9 h 23 : Alain Juppé demande, sur son blog , à « François Fillon et Jean-François Copé à faire cesser immédiatement les invectives qu'échangent leurs partisans, à s'engager à accepter la décision de la Commission de contrôle des opérations électorales, quelle qu'elle soit, (et) à se rencontrer pour jeter les bases d'une nécessaire réconciliation ». « Ce que je redoutais s'est produit », écrit le maire de Bordeaux : « Le Mouvement sort divisé et donc affaibli de cette confrontation intempestive. Tout au long de la campagne, il s'est moins agi de l'avenir de l'UMP que de celui de deux protagonistes obsédés par l'échéance de 2017 ». « Il faut sortir de cette situation lamentable si l'on veut éviter l'éclatement de notre parti, à un moment où la France a plus que jamais besoin d'une opposition pugnace et intelligente », exhorte l'ancien Premier ministre, qui avait été en novembre 2002, à l'occasion du congrès fondateur de l'UMP, été élu président du parti . 8 h 59 : Interrogé sur Radio Classique et Public Sénat, Brice Hortefeux estime qu'il « y a tout ce qui fait la démocratie. Et donc, hier, il y a des résultats qui sont du 50/50. Ce n'est pas invraisemblable, ce n'est pas choquant ». « Il y a une commission qui est chargée du recomptage On va faire ce qui est fait partout ans le monde, s'il y a des litiges ici ou là ». « Bien sûr que ce matin j'aurais préféré commenter un résultat », poursuit l'ancien ministre de l'Intérieur, « tandis que là, on commente une atmosphère. » 8 h 41 : Jean-François Copé estime de nouveau avoir remporté la présidence de l'UMP face à François Fillon, demandant que ne soient pas comptabilisés les bureaux de vote où une fraude a été constatée. A-t-il gagné, lui demande-t-on sur BFMTV-RMC, à l'issue d'une nuit de déchirements entre les deux camps qui se disputent ce poste ? « Ma réponse est oui », a dit le député-maire de Meaux. « J'attends sereinement que la commission de validation le confirme ». « Il n'est pas question que l'on prenne en compte les résultats de bureaux sur lesquels il y a eu des fraudes », a-t-il demandé. Mais même si on les prend en compte, « je ne crois pas que je perds », a-t-il dit. « Il y a eu, constat d'huissiers à l'appui, des fraudes importantes constatées dans un certain nombre de bureaux de vote dans les Alpes-maritimes et, semble-t-il, à Paris », a-t-il accusé. « Il y a plus de bulletins dans l'urne que de signatures d'électeurs. Ca s'appelle du bourrage d'urnes. C'est désolant », a-t-il insisté en pointant des bureaux tenus par « des amis » du député de PARIS. Evoquant son adversaire François Fillon, et la « dimension d'homme d'Etat » qui lui a été prêtée, le secrétaire général de l'UMP a commenté : « La dimension d'homme d'Etat commande un peu de sang-froid » et « qu'on soit bien en phase pour dire que les bureaux où des fraudes ont été constatées par huissier on ne les comptabilise pas ». A ceux qui parlent de putsch, il a répondu : « tout cela manque de fair-play ». « Il va falloir assez vite que chacun retrouve le sens des responsabilités », a-t-il déclaré. [EMBED] 8 h 30 : Jean-Pierre Raffarin exhorte à « dédramatiser ». L'ex-Premier ministre UMP (pro-Copé) a lancé lundi un appel à la « dédramatisation ». Sur RTL, le sénateur de la Vienne a exprimé « beaucoup de regret, une certaine tristesse puisqu'il y a une forte participation, c'était la première fois qu'il y avait un grand débat ». « Je ne crois pas qu'il y ait eu une faute de Jean-François Copé d'annoncer les résultats », « on annonce les estimations dès qu'on les a », a plaidé Jean-Pierre Raffarin. « Il a annoncé » sa victoire, « je lui fais confiance. Nous avons maintenant une contestation. Je ne suis ni sectaire ni brutal, nous avons une commission, elle va nous dire les résultats », a-t-il dit. Il a souligné la « performance extraordinaire » du secrétaire général de l'UMP, lui qu'on donnait largement perdant face à François Fillon qui « fait une contre-performance ». « Je serais assez partisan qu'on annule les résultats là où des fraudes ont été contestées par huissiers », a-t-il poursuivi. « C'est à la commission de le dire ». IFRAME: http://www.dailymotion.com/embed/video/xv76ag Jean-Pierre Raffarin sur RTL : "J'appelle à la... par rtl-fr 8 h 19 : Jean Léonetti, soutien de François Fillon, se dit sur BFMTV « très triste et très inquiet » par la confusion au sein de l'UMP. « Si cette situation se prolonge, ce sera néfaste pour notre formation politique. Il vaut mieux recommencer une élection plutôt que de rester sur un doute ». [EMBED] 8 h 07 : L'ex-ministre Bruno Le Maire estime que « le surréalisme c'est bien pour un dimanche soir » mais « ça ne doit pas durer très longtemps ». Sur LCI, le député de l'Eure estime que cette élection avait « suscité un immense espoir chez les militants » qui « se sont déplacés en masse. C'est nouveau pour notre famille politique ». « Je souhaite que tous, nous soyons à la hauteur des espoirs des militants ». « Le surréalisme, c'est bien pour un dimanche soir, ça ne doit pas durer très longtemps », a-t-il dit. « J'appelle chacun au calme et au respect des militants. La commission va proclamer » les résultats, « il faudra tourner la page, se rassembler et se mettre au travail », a-t-il dit. « La démocratie peut se jouer à une voix », « c'est la commission qui tranchera », a observé l'ancien ministre de l'Agriculture. 7 h 41 : L'ancien président de l'Assemblée nationale Bernard Accoyer (pro-Fillon) lance un appel au calme et propose la mise en place temporaire d'une « instance collégiale ». « Les tensions légitimes qui sont apparues doivent être mises de côté en attendant la proclamation statutaire des résultats par la commission de contrôle. Laissons-la effectuer son travail », a déclaré le député de Haute-Savoie sur BFMTV. Il faudrait « réfléchir à une instance collégiale pendant quelques jours », a-t-il suggéré. Avec par exemple un sage comme l'ancien Premier ministre Alain Juppé ? « Oui, tout à fait, Alain Juppé est tout à fait le type de personnage qui peut jouer un rôle majeur pour sortir de cet épisode regrettable », a-t-il poursuivi. Le maire de Bordeaux n'a pris position ni pour Jean-François Copé, ni pour François Fillon. [EMBED] « Il nous manque les procès-verbaux de 50% des départements. Nous sommes dans l'incapacité de dire qui a gagné », a déclaré à la presse le président de la Cocoe, Patrice Gélard, en indiquant que les travaux reprendraient à 10 heures lundi matin au siège du parti, rue de Vaugirard (Paris XVe). « Les chiffres sont très proches l'un de l'autre », a-t-il ajouté. [EMBED] 3 h 28 : Venu sur place peu après 3 heures, l'ex-Premier ministre François Fillon a déclaré à son départ vers 4 heures que personne ne pouvait encore « se prévaloir d'être élu à la présidence de l'UMP ». « Notre formation politique est dans l'incapacité de donner un résultat. C'est un dysfonctionnement majeur qui fait peser un doute très important sur cette élection. J'en suis extrêmement choqué. Nous allons reprendre les travaux demain matin mais en tout cas, personne ne peut aujourd'hui se prévaloir d'être élu à la présidence de l'UMP tant que la commission n'a pas validé les résultats et elle est loin de le faire », a-t-il déclaré à la presse. [EMBED] Jean-François Copé avait lui quitté le siège de l'UMP avant 2 heures du matin. Au moment de l'interruption des travaux de la Cocoe, son entourage a assuré aux journalistes présents que, sur « les 40 départements validés », Jean-François Copé disposait de « 1.221 voix d'avance » sur François Fillon. Les copéistes ont indiqué qu'ils allaient demander l'annulation du scrutin « dans quatres bureaux de vote des Alpes-Maritimes » où des irrégularités ont été constatées selon eux. 2 heures : Une dizaine de jeunes militants pro-Fillon sont venus, devant le siège de l'UMP, rue de Vaugirard à Paris (XVe), pour protester contre la victoire revendiquée par Jean-François Copé à la présidence de l'UMP en scandant « Fillon président ». Pendant quelques minutes, ces jeunes, emmenés par un proche de Laurent Wauquiez, ont brandi leur carte d'adhérent en lançant « On veut rentrer! » et « Fillon président ! ». « La nouvelle de la soirée, c'est que les fillonistes descendent dans la rue », a ironisé en les voyant un élu pro-Copé, en allusion au fait que François Fillon s'était démarqué de l'appel à manifester dans la rue contre certains projets du gouvernement, lancé pendant la campagne par son rival Jean-François Copé. IFRAME: http://www.dailymotion.com/embed/video/xv70if Mini-manif de fillonistes au siège de l'UMP par rue89 A LIRE AUSSI : UMP : le scénario rêvé pour François Hollande Le film des événements d'une soirée folle Vote UMP : le FN se frotte les mains, le PS dit ne pas «se réjouir» BLOG (Guillaume Tabard) UMP : un faux match nul, une victoire pour Hollande et Sarkozy LE FAIT DU JOUR POLITIQUE Congrès de Reims à l'UMP DOSSIER Présidence de l'UMP : le match Fillon-Copé DIAPORAMA Ils ont tenu les rênes de l'UMP Vos derniers commentaires Villeroy le 19/11/2012 à 07:13 En s'avérant incapable d'organiser, en plusieurs mois, l'élection de son président (par quelques centaines de milliers d'adhérents, seulement), l'UMP vient de démontrer qu'elle était ... Fernande le 19/11/2012 à 07:27 UMPS même combat, non ? Le discours pour l'intérêt général ... la réalité pour l'intérêt particulier !!La soupe servie dans l'auberge espagnole doit être bonne ... puechy le 19/11/2012 à 08:45 et ça veux donner des leçons aux autre quel pitié j espère que les français ce souviendrons lorsque il faudra élire un des leur comme président du ... YeManBrothel le 19/11/2012 à 09:00 Heurement qu'il y a eu les manifestations contre le "mariage pour tous" ce même WE ! Difficile de dire si c'était prévu mais le fait est que ça permet quelque peu de faire diversion du ... JDefghi le 19/11/2012 à 09:23 Les Croisés Anti-Hollande se querellent le pouvoir, c'est conforme à l'histoire... L'unité va être difficile à construire dans cette situation, y'en a un qui saura sûrement en ... Voir tous les commentaires Ajouter un commentaire Déjà inscrit Pour commenter cet article, identifiez-vous : Votre identifiant_________ Votre mot de passe________ Je me connecte Identifiants perdus ? 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