LEFT CONTEXT KEY-WORD RIGHT CONTEXT Birmanie: adoption d'une loi cruciale sur l' investissement étranger - LExpress.fr L'ExpressL'ExpansionVotre ArgentL'EntrepriseCôté MaisonL'Etudiant S'abonner à L'Express : offre flash Actualité et informationsActualitéÉconomieFinanc et santéEnquêteRégionsImmobilier ActualitéEconomie RSSRANGOUN (Birmanie)Birmanie: adoption d'une loi cruciale sur l' investissement étrangerPar AFP, publié le 07/09/2012 à 12:24, mis à jour à 13:07RANGOUN (Birmanie) - La Birmanie a adopté vendredi une loi censée favoriser l'afflux de capitaux étrangers dans ce pays riche e pendant des décennies en raison des sanctions qui frappaient l'ancienne junte militaire. Le président birman Thein Sein, le 13 juillet 2012 au Cambodgeafp.com/Brendan Smialowski"La loi sur l' investissement étranger a été adopté par le Parlement", a annoncé Soe Yin, un élu de la majorité réformatrice. Objet d'âpres débat entre réformateurs et conservateurs, le texte lève un certain nombre d'obstacles a été adopté par le Parlement", a annoncé Soe Yin, un élu de la majorité réformatrice. Objet d'âpres débat entre réformateurs et conservateurs, le texte lève un certain nombre d'obstacles à l' investissement dans les secteurs de l'agriculture, de la pêche, de l'industrie et du tourisme. Depuis la dissolution de la junte en mars 2011, le gouvernement dit "civil" de l'ancien général Thein Sein a multipli et d'hommes d'affaires liés à l'ancienne junte, omniprésents dans l'économie birmane, et dont l'influence reste significative. Ils s'opposaient depuis plusieurs semaines au contenu de la loi sur l' investissement étranger qu'ils jugeaient trop libérale et défavorables aux petites et moyennes entreprises (PME). Ils s'inquiétaient en particulier du seuil minimum de 5 millions de dollars imposés aux investisseur étranger qu'ils jugeaient trop libérale et défavorables aux petites et moyennes entreprises (PME). Ils s'inquiétaient en particulier du seuil minimum de 5 millions de dollars imposés aux investisseurs étrangers pour obtenir leur ticket d'entrée sur le marché birman, tout en leur interdisant de contrôler plus de 49% du capital d'une entreprise locale. Cette disposition, faisait-il valoir, obligeai disposition, faisait-il valoir, obligeait leurs partenaires locaux à trouver plus de 5 millions de dollars, une gageure pour la plupart des PME du pays. "Nous ne devrions pas craindre les investisseurs étrangers", a plaidé Soe Yin. "Tous les pays maintiennent un certain degré de protectionnisme (...) mais certains sont trop peu confiants dans la compétitivité de leurs entreprises", a-t-i précédentes. Pour Romain Caillaud, directeur du bureau birman de la société de conseil Vriens and Partners, la loi adoptée vendredi par le parlement birman "est de nature à donner confiance aux investisseurs étrangers". Mais "elle s'inscrit dans un long processus de réforme du cadre juridique des investissements", rappelle-t-il, soulignant également "les problèmes structurels (qui) persistent, comme l Partners, la loi adoptée vendredi par le parlement birman "est de nature à donner confiance aux investisseurs étrangers". Mais "elle s'inscrit dans un long processus de réforme du cadre juridique des investissements", rappelle-t-il, soulignant également "les problèmes structurels (qui) persistent, comme le manque d'infrastructure et d'électricité et les problèmes de compétence dans la bureaucratie". La Birmani