LEFT CONTEXT KEY-WORD RIGHT CONTEXT militaire qui a appauvri le pays, les autorités birmanes semblent prêtes à tout pour se voir retirer ces pénibles sanctions internationales. Mais on ne change pas un pays en quelques mois, et les investisseurs potentiels devront apprendre à jouer avec la corruption ambiante. Pour les investisseurs étrangers, la Birmanie (Myanmar) fait l'effet d'un futur eldorado.La Birmanie, enkylosée par les sanction se voir retirer ces pénibles sanctions internationales. Mais on ne change pas un pays en quelques mois, et les investisseurs potentiels devront apprendre à jouer avec la corruption ambiante. Pour les investisseurs étrangers, la Birmanie (Myanmar) fait l'effet d'un futur eldorado.La Birmanie, enkylosée par les sanctions économiques de la communauté internationale, pourrait décider d’ouvrir son économie au mond enkylosée par les sanctions économiques de la communauté internationale, pourrait décider d’ouvrir son économie au monde dès cette année.Toute une législation à établirMais que vont trouver les investisseurs en arrivant sur place ? La réponse, pour certains experts, est pleine de promesses, mais aussi de pièges.« Nous sommes très excités. Tout le monde l’est », s’exclame Song Seng Wun, directeur exécuti sommes très excités. Tout le monde l’est », s’exclame Song Seng Wun, directeur exécutif des opérations de recherche du groupe CIMB, installé en Malaisie, une des plus importantes banques d’ investissement d’Asie du Sud-Est. « Mais nous sommes aussi conscients qu’il y a encore de nombreuses étapes à franchir », ajoute-t-il. « C’est un pays qui doit commencer presque de zéro dans l’écriture de ses loi du Sud-Est. « Mais nous sommes aussi conscients qu’il y a encore de nombreuses étapes à franchir », ajoute-t-il. « C’est un pays qui doit commencer presque de zéro dans l’écriture de ses lois sur l’ investissement. »L’ancienne colonie britannique, devenue une dictature militaire, essaye toujours de convaincre l’Occident de la légitimité de son Parlement. Comme le reste de l’Asie du Sud-Est depuis ces deux dernière au Royaume-Uni, 2012 sera l’année durant laquelle les nations occidentales, y compris les Etats-Unis, vont véritablement commencer à retirer quelques couches de sanctions économiques. La plupart des investissements en Birmanie proviennent aujourd’hui de la Chine, mais la donne pourrait bien changer.Pour anticiper, le gouvernement birman courtise ses nouveaux amis étrangers avec des arguments intéressants : un mais la donne pourrait bien changer.Pour anticiper, le gouvernement birman courtise ses nouveaux amis étrangers avec des arguments intéressants : une exonération d’impôts de huit ans pour tous les investisseurs, une refonte complète de son système monétaire grâce à l’aide du FMI et quelques déclarations suggérant qu’elle pourrait arrêter de placer la moitié de son PIB dans son armée.Les projections du Fond pourrait augmenter de 5,5% cette année, et encore de 6% en 2013. De très importants gains pourraient être réalisés dans les prochaines années si tout se passe comme prévu.Terrain miné pour les investisseursMais les investisseurs espérant prendre le train en marche pourraient bien se salir les mains.« Il y a de grandes opportunités à exploiter en Birmanie, en particulier avec le pétrole, le gaz et le secteu de 5,5% cette année, et encore de 6% en 2013. De très importants gains pourraient être réalisés dans les prochaines années si tout se passe comme prévu.Terrain miné pour les investisseursMais les investisseurs espérant prendre le train en marche pourraient bien se salir les mains.« Il y a de grandes opportunités à exploiter en Birmanie, en particulier avec le pétrole, le gaz et le secteur minier », expliqu San Suu Kyi encourage l'ouvertureLa plus célèbre dissidente de Birmanie et lauréate du prix Nobel de la paix, Aung San Suu Kyi, a déjà commencé son travail d’ambassadrice en encourageant des investissements occidentaux « éthiques, nouveaux et innovants ». Le sénateur démocrate John Kerry, président de la commission sénatoriale pour les relations étrangères, a officiellement affirmé à l’agence de press indique que la Birmanie est 180e sur 183 selon son indice de perception de la corruption. Seules la Corée du Nord et la Somalie sont classées au-dessus.Parmi les risques les plus redoutables pour les investisseurs, le système monétaire déconcertant de la Birmanie, qui prête à tous les trafics par de nombreux taux de change différents, rendant la conversion et le rapatriement de devises étrangères trè les plus importants du monde, pour enclencher ses réformes.« Singapour est assez neutre et malgré les évènements, ses autorités ont toujours eu de bonnes relations avec la Birmanie. Singapour s’ investira évidemment en Birmanie. Ils n’ont rien d’autre à faire que de trouver de nouveaux débouchés pour leurs marchés. »Global Post/Adaptation Sybille de Larocque - JOL Press A lire aussi La paix avec le américainesLibération massive de prisonniers en Birmanie Aung San Suu Kyi candidate aux élections législatives «Lady» Aung San Suu Kyi reçoit son Nobel de la Paix Mots-clés BirmanieDictature InvestisseursOuvertureSanctions économiquesAung San Suu KyiSong Seng WunSingapourAlyson WarhurstMaplecroftCorruption Ecrit par Patrick Winn - publié le 14/03/2012 - mis à jour le 21/03/2012 Noter0 CommenterVie «La construction d'un Etat islamique ...25/01/2013 États-UnisDette américaine: les républicains reviennent à...25/01/2013Barack Obama prête serment, Washington est en fête22/01/2013EN DIRECT Investiture de Barack Obama: le progr...21/01/2013 ChineLe patron du géant chinois Alibaba.com démissionne22/01/2013La Chine en baisse de régime à... 7,8% de crois...21/01/2013Rencontre avec le romancie