des rapports les dénonçant â gel des avoirs, restrictions commerciales et dâinvestissement. -- que les entreprises européennes qui nâavaient pas encore de liens avec la Birmanie. Ceux qui avaient des investissements antérieurs à 1996 ont pu continuer leurs affaires. Câest évidemment le cas de Total, [107]qui a investi dans le gisement gazier de Yadana jusquâà récemment. Ce qui explique quâen dépit des sanctions, les entreprises -- européennes sont longtemps restées dans le peloton de tête des investisseurs en Birmanie. Câest dâailleurs souvent par le biais dâune pression des opinions publiques que des entreprises européennes -- traitent bien différemment quâailleurs. Le processus dâapprentissage va prendre du temps et, à mon sens, le retour sur investissement devrait aussi être lent, voire difficile compte tenu de lâétat de la