voit tout de même deux obstacles se dresser devant le développement du tourisme birman : l’absence d’un cadre juridique sur l’investissement, et la situation politique. Mais il prévient quand même ses ouailles : -- Son homologue birman Maung Maung Swe semble vouloir relativiser la «menace», même si il est d’accord sur l’investissement : la Birmanie ne compte qu’environ 25 000 chambres dans 744 hôtels, un manque -- d’allonger la durée du leasing de terrain de 30 à 50 ans pour les investisseurs étrangers, et surtout de permettre à ces derniers de posséder à 100% les hôtels cinq étoiles (seuls les deux étoiles et -- L’avenir dira si les tour-opérateurs de Thaïlande avaient raison, ou si les investisseurs ont écouté Aung San Suu Kyi, qui les prévenait il y a quelques jours lors de son passage à Bangkok : «Même la meilleure loi sur les investissements ne sera d’aucune utilité s’il n’y a pas de tribunal suffisamment propre et indépendant pour l’appliquer de façon