paix récemment élue Aung Sang Suu Kyi exhorte les grandes compagnies du monde entier à ne pas encore investir dans son pays (par peur de légitimer et de renforcer une junte -- Total en Birmanie Quel intérêt pourrait présenter pour des investisseurs (en grande partie des investisseurs du Golf) ce pays très largement sous-développé de 50 millions d’habitants ? -- Enfin, les autorités birmanes font de nets efforts pour attirer ces investisseurs : le contrôle des changes a été desserré, les processus administratifs vont en se simplifiant. -- pas explicitement le droit de propriété ! Le risque pour les investisseurs reste donc colossal, et n’a pas fondamentalement diminué ces derniers mois. Il n’est -- trancher sur cette question. Seul le temps pourra y répondre. Investir en Birmanie, c’est encore soutenir et légitimer la junte militaire. -- 23 juin 2012 à 18 h 30 min | [86]Permalien | [87]Répondre Certes, mais “investir” dans les pays sous-développés ne reste-t-il pas plus porteur, à terme, que de -- corrompues au pouvoir L’investissement les engraisse sans doute aussi … mais les entreprises et états qui le font ne sont pas des -- dans la porte : l’intérêt commun bien compris du pouvoir et des investisseurs est que çà se passe bien, et les peuples finissent par en bénéficier ! -- Et tout le monde sait depuis longtemps qu’un état fort est plus rassurant pour les investisseurs qu’une démocratie vacillante et détronée tous les 6 mois par un