#Le blog qui ose dénoncer les dérives du féminisme! » Flux Le blog qui ose dénoncer les dérives du féminisme! » Flux des commentaires Le blog qui ose dénoncer les dérives du féminisme! » Le féminisme con : infidèles castreuses Flux des commentaires Femme des années 50 vs femme d’aujourd’hui Najat Vallaud-Belkacem endoctrine nos enfants dès la maternelle Your 180 X 150 Ad Code Your 180 X 150 Ad Code Le blog qui ose dénoncer les dérives du féminisme! "Homme et femme, chacun est complémentaire de l'autre." Gandhi Main menu Skip to primary content Skip to secondary content * Accueil * Présentation du blog * Contactez-moi Search ____________________ Search Your 728 X 90 Ad Code Post navigation ← Previous Next → Le féminisme con : infidèles castreuses Posted on 2 novembre 2012 by admin  Le féminisme con : infidèles castreuses Publié le octobre 8th, 2012 | par Coralie Delaume Le Monde publie un texte sur le sexisme en milieu urbain. Tous les poncifs du « féminisme » postmoderne, de la mièvrerie à lâagressivité, sây retrouvent. Si jâétais un homme, jâirais immédiatement me livrer à la police. Je nâattendrais pas dâavoir fait quoique ce soit. Je le ferais préventivement, on ne sait jamais. Quand on est un salaud intrinsèque, il vaut mieux prévenir que guérir. Par chance, je suis une femme. A priori, je ne suis donc coupable de rien. Douce par nature, bienveillante par essence, je suis avant tout une malheureuse victime. Câest en tout cas ce que je viens dâapprendre en lisant un article intitulé La rue, fief des mâles, dans le supplément Culture du Monde du week-end. «  Le viol, la peur structurante des femmes en milieu urbain  » Câest donc affreux, ce qui mâarrive, depuis que jâai quitté ma Provence natale pour élire domicile quelque part dans Paris. Je remercie dâailleurs Le Monde de mâen avoir fait prendre conscience. Habituée dès mon jeune âge et par la grâce dâun délicat atavisme, à humer de jolies primevères et à cueillir de chatoyants coquelicots, me voici désormais plongée au cÅur de cette barbarie bétonnée qui nâen finit plus dâattenter à ma sensibilité. « Sifflée, collée, insultée » â et pourquoi pas « outragée, brisée, martyrisée » â la citadine éplorée que je suis devenue subit jour après jour des « rappels à lâordre sexués ». Les femmes, toutes des proies potentielles (sisi) En effet, dans lâespace urbain, plus une minute de répit nâest possible. Nous y sommes toutes des « proies potentielles ». Cependant que les hommes, ces fieffés empaffés, « traînent » mollement le long des trottoirs, nous, pauvres donzelles sans cesse pourchassées, rasons les murs et baissons les yeux. Une épaisse boule dâangoisse nous serre la gorge, la crainte nous vrille lâestomac. Elle nous oblige à mettre en place mille « stratégies pour réduire le danger », du port contraint du pantalon dans le métro à lâévitement prudent de tout regard concupiscent. Car au cas où vous lâignoreriez, candides sottes et naïves imbéciles, « le viol est la peur structurante des femmes en milieu urbain ». Lâarticle du Monde est très sérieux. Pour le prouver, il fait appel à de doctes spécialistes ès « urbanité et peur du viol » tels Yves Raibaud, géographe, Marylène Lieber, professeur â ou professeuse, voire professeresse â à lâinstitut des études sur le genre de Genève, ou encore Patricia Perennes , qui « ose le féminisme » et sans doute bien dâautres choses encore, car câest à ça quâon les reconnaît. Ces trois-là sont formels (ou formelles ?) : « la ville est pensée par et pour lâhomme. Elle appartient aux hommes (â¦) les sociologues diront quâelle est androcentrée ». Ils nâont pas tort. De la tour Montparnasse à lâEmpire State Building, les grandes métropoles sont saturées de symboles phalliques agressifs et outranciers. Et encore, câest sans compter les grands boulevards, si droits quâils en deviennent suspects, les réverbères, ces froides tiges de métal, ou les platanes, dardant vers le ciel leurs branches gorgées de sève, les gros dégueulasses. I saw the devil, de Kim Jee-woon En plus dâêtre traquée telle la biche ingénue par le chasseur aviné, en ville, la femme nâa rien pour se distraire. Les agglomérations sont faites pour les mâles et cela dès lâenfance. Dâailleurs, les urbanistes phallocrates ne songent quâà nous brimer. Jugez plutôt : « 85 % du budget des équipements programmés dans les zones prioritaires vont aux garçons (â¦) les skateparks poussent comme des champignons un peu partout, alors quâil nâexiste presque rien pour les adolescentes ». Aucun « poupées-parks », « make-up spot » ou autre « village enchanté de Mon Petit Poney » dans nos cités. Nos gamines ? Condamnées soit à sâemmerder ferme, soit à chausser des rollers. Et pourquoi pas, demain, à enfourcher un vélo ou à taper dans un ballon : la violence symbolique est à tous les étages. La nuit appartient aux hommes : ce sont tous des loups-garous. Et puis, par delà la terreur du viol urbain et lâabsence consternante dâamusement pour les filles, il y a cette discrimination trop souvent tue : le sexisme nocturne. On le dit peu mais on le sent incidemment. La nuit appartient aux hommes car ce sont tous des loup-garous. Donnons deux des meilleurs exemples tirés de la très exhaustive enquête du Monde. Citons par exemple la discrimination-lampadaire : « 5 000 communes de France ont récemment décidé dâéteindre lâéclairage public entre minuit et cinq heures du matin ? », mesure éminemment féminophobe, tant il est vrai que lâhomme, doté comme chacun sait dâune capacité naturelle de vision infrarouge, se passe aisément de lâéclairage de rue. Nâomettons pas pour autant la discrimination-pissotière : « Pourquoi nombre de lieux festifs et nocturnes sont-ils construits sans toilettes ? Parce que la nuit est un espace jugé masculin ». Et que lâhomme, ce gros sagouin, pisse sans complexe dans les recoins. Quant aux rares solutions envisagées dans quelques pays pionniers en matière dâégalité des droits, elles sâavèrent, hélas, fort peu satisfaisantes. LâÃgypte, nous dit-on « a mis en place au Caire des rames de métro réservées aux femmes. Mais ça ne résout pas le problème de fond ». Las, si même lâapartheid sexuel absolu ne suffit plus à « résoudre les problèmes de fond », quâallons-nous devenir ? Allons-nous vers lâenfer des femmes du bus 678 ? On pourrait continuer longtemps, tant le texte du Monde nâomet aucun poncif, de lâévocation attendrie de la « maman et sa poussette » â jeune, imagine-t-on : la « maman » est toujours jeune â à lâappel explicite au combat, auquel nous devons nous préparer. Car « savoir répondre, avoir une grande gueule, faire le poids face à lâagression, ça ne sâimprovise pas ». Ainsi, sous couvert de nous décrire une jungle urbaine uniformément discriminante du 75016 au carrefour de lâOdéon, les tenants très installés du « féminisme » postmoderne nous laissent face à deux choix, toujours les mêmes. Premier choix : être une « maman à poussette », soit enfanter dans la douceur. Deuxième choix : « faire le poids face à lâagression », soit affronter dans la douleur. Pouponner ou cogner, mais toujours guerroyer Les langes et le coton rose pour les jolies princesses, le krav-maga et la grande gueule pour les rudes amazones. Câest ça, ou sâauto-condamner à être les idiotes utiles de lâandrocratie triomphante⦠Surtout, ne jamais tenter la nuance, puisquâon vous dit et vous répète que vous êtes soit des victimes soit des combattantes, sinon des traîtresses à la cause. Ne jamais envisager lâégalité, seulement la rivalité. Ne ne pas aimer la différence mais chérir la défiance. Pouponner ou cogner, mais toujours guerroyer. Car on nâéchappe pas à cette évidence : le monde est soit tout blanc, soit tout noir et les nuances de gris sont un truc de collabo. source: ragemag.fr Incoming search terms: * enquete sur le lobbyisme feministe qui sont ces femmes * aprioris sur le feminisme * madame castreuse Aucun article complémentaire. This entry was posted in Critique du féminisme and tagged antiféminisme, critique féminisme by admin. Bookmark the permalink. Laisser un commentaire Annuler la réponse. Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. 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