#publisher SciencesHumaines.com Le Cercle Psy Editions Sciences Humaines Changer le travail S'identifier Créer son compte Sciences Humaines Pour vous identifier sur le site, merci de saisir votre identifiant et mot de passe ci-dessous : ____________________ ____________________ ok Identifiant / mot de passe oublié ? Vous avez oublié votre identifiant et/ou votre mot de passe ? Veuillez saisir votre adresse mail ci-dessous, vous recevrez vos codes d'accès dans quelques instants. Votre email : ____________________ submit Sciences Humaines Rejoindre Sciences Humaines sur Facebook Rejoindre Sciences Humaines sur Twitter Retrouver Sciences Humaines sur Google Plus RSS Sciences Humaines Newsletter Gratuite Inscription Newsletter Sciences Humaines ____________________ OK * Accueil * Psychologie * Sociologie * Éducation * Philosophie * Anthropologie * Histoire * Géographie * Politiques-Économie * Communication-Organisations * JE M'ABONNE | * LA BOUTIQUE | * Mon panier | * Newsletter | * Dossiers web | * Agenda | * Ressources Lycée & Prépa | * Formation pub Psychologie Dieu ressuscité. Les religions face à la modernité > Actualité de la recherche La schizophrénie au coeur de la société Hélène Vaillé Mis à jour le 15/06/2011 Inscription newsletter Sciences Humaines commentaires 4 commentaires Envoyer à un ami Version imprimable Augmenter la taille de la police Diminuer la taille de la police Article issu du numéro Consultez le sommaire du magazine Dieu ressuscité. Les religions face à la modernité >> Consulter le sommaire Mensuel N° 160 - Mai 2005 Dieu ressuscité. Les religions face à la modernité - 5€50 Ajouter au panier J'achète ce numéro - 5€50 Ajouter au panier Je m'abonne à partir de 6€ / mois >> Voir tous les articles de la rubrique * La schizophrénie au coeur de la société * Dormir pour (mieux) travailler * Villes américaines : stéréotypes de quartiers * Comment les Français jugent les États-Unis ? * La démocratie, c'est bon pour la santé * De la vertu de la mangrove et du corail * Une langue nouvelle est née * Universités : une mue discrète mais profonde * Les fessées n'ont plus la cote * Les revues savantes en ligne * L'écran noir de la colonisation * Les 50 ans de Terre Humaine * Un mirage ethnographique ? * Réduire la liste La schizophrénie effraie le grand public et tarabuste les scientifiques. Prototype de la folie, son étude suscite l'attention conjointe des neurosciences, des sciences cognitives et de la pratique clinique. Dans la nuit du 17 au 18 décembre 2004, Romain Dupuy, 21 ans, tuait à l'arme blanche une aide-soignante et une infirmière de l'hôpital psychiatrique de Pau. Quelques mois plus tard, un malade blessait grièvement une employée d'un centre médico-psychologique à Saint-Maur-des-Fossés. Les patients étaient tous deux atteints de schizophrénie... la folie rendrait-elle violent ? Les psychiatres s'inscrivent en faux contre cette idée : les patients psychotiques, en l'occurrence schizophrènes, ne sont pas violents par nature. Le très fort taux de suicide qui accompagne la maladie prouve qu'ils sont plus dangereux pour eux-mêmes que pour autrui. Ce fait divers rappelle combien la schizophrénie reste mystérieuse aux yeux du grand public... et des chercheurs, qu'elle obsède depuis des décennies. La schizophrénie est considérée comme la plus fréquente des psychoses chroniques, dont elle serait le prototype. Selon le psychiatre Nicolas Georgieff, le terme de « psychose » désigne en psychiatrie « un type de pathologie mentale, caractérisé par un trouble grave de la relation avec la réalité, des troubles de l'identité ou de la conscience de soi, des troubles des relations intersubjectives (donc de la communication) et des perturbations spécifiques de l'activité mentale, en particulier le délire et les hallucinations (1)» Décrite par Bleuler en 1911, la schizophrénie reste impossible à définir de façon précise. De toutes les tentatives de conceptualisation, on retient malgré tout deux notions qui en constituent les caractéristiques majeures. Tout d'abord l'ambivalence, qui signifie ici la tendance du sujet schizophrène à avoir à l'égard d'un même objet des sentiments et des attitudes contradictoires et simultanés. L'autisme ensuite, qui désigne l'incapacité du schizophrène à communiquer avec autrui, un désintérêt à l'égard du réel et le retrait dans son monde intérieur. Autour de ces deux points d'ancrage gravitent plusieurs variantes cliniques de la maladie, qui rendent sa détection difficile. La psychiatrie s'est récemment dotée de « critères diagnostiques » standardisés. Les deux classifications prévalentes, celle de l'Organisation mondiale de la santé et celle de l'Association américaine de psychiatrie, répartissent les signes de la schizophrénie en deux pôles. D'un côté les symptômes « positifs » que sont le délire et les hallucinations. De l'autre les symptômes « négatifs » d'aspect déficitaire que sont la perte de la logique, la pauvreté affective, le retrait relationnel. Ces critères diagnostics intègrent depuis peu l'idée d'une rémission possible de la maladie (totale ou partielle) inenvisageable jusqu'alors. Voilà les symptômes de la schizophrénie validés, classés, évalués. Il reste que les troubles de la pensée, de la relation ou du « contact avec la réalité » sont des notions cliniques que seule l'expérience de la relation avec le patient permet d'identifier. Les praticiens s'accordent sur le fait que la psychanalyse, qui propose un mode de compréhension de ces troubles, joue là un rôle indispensable : en attribuant une intentionnalité au délire, sorte d'« inconscient à ciel ouvert », elle donne un sens à la maladie. Un fossé sépare cette pratique de terrain de la recherche scientifique fondamentale, dont les modèles objectifs et désincarnés peinent à expliquer la psychologie des symptômes psychotiques. Au carrefour de ces deux approches, clinique et neurobiologique, les sciences cognitives tentent aujourd'hui de mettre en relation les faits psychiques et le fonctionnement cérébral (voir l'entretien, p. 9). Ses objectifs sont de décrire les mécanismes des productions des symptômes et leurs troubles élémentaires sous-jacents. N. Georgieff et son équipe essayent par exemple d'agir par électromagnétisme sur le fonctionnement des zones cérébrales impliquées dans les hallucinations (langage et discours intérieur). Des signes annonciateurs ? Le diagnostic de la maladie, souvent difficile, repose sur la clinique, c'est-à-dire la reconnaissance des symptômes. Près de la moitié des futurs patients schizophrènes présentent des troubles du comportement et de l'adaptation, dix années avant la première hospitalisation. Mais ces troubles sont peu spécifiques : anxiété, humeur dépressive, perte d'énergie, difficultés scolaires, agressivité, retrait, conduites suicidaires (14 fois plus que la population générale) et toxicomaniaques (environ 40 % des patients). Des symptômes « positifs » (idées fixes, illusions sensorielles) peuvent également survenir de façon intermittente ou atténuée. La schizophrénie est donc difficile à détecter, d'autant que ces symptômes apparaissent souvent à l'adolescence, période marquée par de profondes mutations. En outre, tous ces tableaux faiblement symptomatiques n'évoluent pas vers la schizophrénie : le diagnostic de schizophrénie est posé chez environ 40 % des sujets, après la confirmation d'une persistance des perturbations pendant au moins six mois (2). L'origine multifactorielle de la schizophrénie, impliquant facteurs génétiques, environnementaux (biologiques, psychologiques, affectifs, relationnels et sociaux) et de développement, n'est plus discutée. Des recherches récentes ont montré que les parents directs d'un patient schizophrène présentent un risque de schizophrénie 10 fois supérieur à celui relevé dans la population générale. Le sexe (les hommes sont plus souvent atteints), un âge maternel avancé au moment de la grossesse, le célibat, un petit nombre d'expériences professionnelles, des conditions de vie difficiles composent la diversité des facteurs psychosociaux. L'hypothèse neurodéveloppementale selon laquelle la maladie résulterait d'une perturbation du développement du système nerveux central semble particulièrement d'actualité. Elle tend à donner la prééminence aux facteurs génétiques, devant les facteurs environnementaux qui joueraient alors le rôle de révélateurs d'un trouble existant. En dépit de médicaments efficaces (les neuroleptiques), 85 % des patients rechuteraient après un premier épisode délirant. Ce pronostic global est assombri par l'abus de substances, les symptômes peu accessibles à la chimiothérapie (troubles cognitifs) et le fort taux de suicide. Le handicap social des schizophrènes reste donc aujourd'hui très important, avec 80 % de patients sans emploi (3). Les traitements actuels s'intéressent de plus en plus à cette dimension sociale. La bonne observance du traitement par le patient et le soutien de l'entourage apparaissent également comme des facteurs essentiels d'évolution. Des programmes psychosociaux à visée éducative permettent ainsi de « restaurer les habiletés sociales » et les facultés cognitives. Les familles sont de plus en plus souvent amenées à jouer le rôle d'auxiliaires thérapeutiques : elles sont informées sur la maladie et entraînées à la communication, à la résolution de problèmes interpersonnels, à la gestion des situations de crise. Les patients bénéficient quant à eux d'une thérapeutique combinant éducation, motivation et stratégies cognitives. Celles-ci visent à diminuer les croyances délirantes ou l'impact d'hallucinations persistantes, en corrigeant les déficits attentionnels, les fonctions exécutives et de la mémoire verbale impliquées dans les capacités d'apprentissage Partager : Le point de vue de Nicolas Georgieff Vous prônez une approche pluridisciplinaire de la schizophrénie. Quelles sont les approches existantes et leurs limites respectives ? L'approche clinique, descriptive, a posé les bases d'une théorisation de la schizophrénie. Le courant psychanalytique a ensuite permis de redonner du sens et une certaine intentionnalité au délire, permettant que s'instaure une relation avec les patients. Une vision psychosociale assez radicale, apparue dans les années 1960-1970, a permis d'asseoir l'importance des facteurs environnementaux. L'approche biologique connaît alors un triomphe avec l'émergence des neuroleptiques, puis ce fut la crise : elle s'avérait incapable d'expliquer le délire et les hallucinations. C'est alors qu'a explosé le champ des sciences cognitives : à l'idée d'une explication biologique s'est substituée celle d'une explication psychologique élémentaire. Les sciences cognitives dressent aujourd'hui une sorte de pont entre la complexité clinique et ce que l'on sait des systèmes biologiques. Derrière le délire, par exemple, elles postulent qu'il y a un trouble de l'action, dont elles recherchent les mécanismes. Ces différentes approches, empiriques ou fondamentales, sont toujours d'actualité. Elles sont à mon sens complémentaires et gagneraient à collaborer davantage. Quelles sont aujourd'hui les perspectives de recherche sur la schizophrénie dans le domaine des sciences cognitives ? Le patient schizophrène a longtemps été « celui qu'on ne comprend pas ». Le diagnostic s'effectuait d'une certaine façon par défaut : sur un constat d'étrangeté, d'impuissance à communiquer avec le malade. Les sciences cognitives explorent l'hypothèse suivante : et si cette incompréhension résultait d'un dysfonctionnement des mécanismes de l'intersubjectivité, autrement dit, de la relation à soi-même et à l'autre ? Comprendre les processus élémentaires de l'empathie par le biais des sciences cognitives nous éclairerait alors sur trois grandes catégories symptomatiques de la schizophrénie : les troubles de la conscience de soi (identitaires), les troubles de la conscience de l'autre et l'autisme. Les recherches s'intéressent par ailleurs de plus en plus aux liens entre schizophrénie et enfance. On soupçonne en effet l'existence, avant le déclenchement de la maladie, d'anomalies précoces de comportement alliées à une vulnérabilité génétique. Propos receuillis par Hélène Vaillé NOTES 1. N. Georgieff, Qu'est-ce que la schizophrénie ?, Dunod, 2004. 2. O. Cancel et al., « Détecter précocement les troubles schizophréniques », Santé mentale, n° 94, janvier 2005. 3. B. Beaufils, C. Guérin et C. Lagathu, « Nouvelles stratégies thérapeutiques en matière de schizophrénies », Annales médico-psychologiques, vol. CXLIX, n° 3, avril 2001. Commentaires commentaires Il y a actuellement 4 commentaires, réagissez à cet article Schizophrénie symptômes et description positive Magris - le 19/12/2014 Bonjour, j'ai beaucoup réfléchi sur cette maladie : la schizophrénie . Pour répondre a la stigmatisation de ces personnes dites "violentes" je soulignerais que de par les symptômes de cette maladie (hallucinations ,délires , renfermement sur soi, perte progressive avec la réalité , déstructuration d'une identité ...) les personnes souffrant de cette maladie peuvent avoir des comportements violents d'ordre physique ou psychologique . Cependant, il n'y a pas de corrélation simple entre schizophrénie et violence. Le schizophrène, lors d'une crise est l'agresseur mais surtout sa propre victime. Ainsi je ne parlerais pas de violence comme telle puisque celle ci n'est pas effectué de manière consciente et adéquate a la réalité . Dans un délire schizophrénique une personne, dans son délire , va se sentir agressé, en danger , sa violence ne serait qu'une réponse a sa propre peur. Peut-on donc parler de violence dans ces circonstances ? C'est un fait qu'il y a souvent des comportements violents mais ceux ci sont involontaires, inconscients et finalement sont instantanés et irréfléchies car répondent a une angoisse, une peur terrible . Ensuite pour les problèmes d'accompagnement rencontres par certaines personnes je pense qu'il y'a trop d'obscurité encore sur cette maladie complexe empêchant une bonne compréhension et ainsi un accompagnement adéquat . La schizophrénie est une maladie complexe et large . En effet elle peut se manifester de manière très différentes en fonction des personnes, évolué différemment. Je crois donc que nous avons encore beaucoup de chemin a faire afin de mieux comprendre cette maladie et je pense sans aucune certitude vue que j'étudie la question , qu'il y a des moyens alternatifs et complémentaires a la prise d'un traitement permettant d'aider le schizophrène a gérer ses délires, angoisses, hallucinations. Le domaine de la psychiatrie doit évoluer ( la connaissance et l'approfondissement de l'écoute des schizophrénes le permettra j'espère un jour). Enfin voilà j'étudie le lien entre cette maladie et le génie ( créations artistiques) et plus j'avance plus je me rend compte qu'un lien ( pas systématique ) existe et que l'expression artistique d'un schizophrène n'est pas dénué de sens bien au contraire !. Voilà mes petites réflexions du moment . Toujours pareil!... LC - le 11/02/2014 Pourrait-on, une fois, arrêter de parler de la violence associée à la schizophrénie? Je trouve ça aberrant que dans tous les articles grand public qui traitent de cette maladie, les journalistes ne peuvent s'empêcher de raconter un fait divers où une personne présentant une schizophrénie est l'auteur d'un crime impardonnable. Pourquoi vous choisissez ce thème pour l'accroche de votre article? C'est dingue, ça me mets hors de moi. Si vous mesdames et messieurs les journalistes, vous arrêtiez d'assimiler ces deux situations, biens distinctes l'une de l'autre, peut-être serait-il plus facile pour ces malades de s'ouvrir à la société sans lire dans le regard des gens la peur, le danger qu'elles suscitent. Le titre est mal choisi, les 3/4 de l'article tente d'expliquer la maladie, d'en définir les contours. On ne parle que très très peu des malades et de la société, alors pourquoi choisir ce titre? Et puis première phrase: "La schizophrénie effraie le grand public", et puis premier paragraphe, faut qu'il traite de ces drames. Pourquoi? Qu'est-ce que ça a à faire dans cet article? J'ai travaillé avec des personnes schizophrènes, j'ai pu mesurer à quel point ce genre d'article peut avoir des effets néfastes et surtout comme ça ne permet pas de comprendre ce qu'est la schizophrénie. C'est la seule maladie pour laquelle on met toujours en avant les situations extrêmement rares et dramatiques. Pour le cancer, le sida, etc, on ne le fait pas. Comme si on assimilait toujours les hommes alcooliques aux brutes qui battent leurs femmes… Si les journalistes de ce même acabit, faisaient leur métier correctement, sans chercher le sensationnel là où il n'y en a pas, peut-être que cette maladie serait mieux comprise, moins jugée et plus acceptée…Mais bon, avec des si…. ECOUTE DU MALADE DURANT LA PERIODE DES DELIRES MESSAILI SADIA - le 01/05/2013 J'AIMERAIS SAVOIR S'IL EXISTE UN SOUTIEN PSYCHOLOGIQUE OFFERT AU PATIENT LORS DE SES CRISES ET DÉLIRES ? MON FILS N'A BÉNÉFICIÉ D'AUCUN SOUTIEN NI D'ÉCOUTE ALORS QU'IL DÉLIRAIT. ON M'A EXPLIQUÉ QUE LORSQUE LE PATIENT EST EN CRISE, ON ATTEND D ABORD QU IL SE STABILISE ... DONC, SOLITUDE, DOULEUR, ANXIÉTÉ SONT VÉCUES PAR LE PATIENT JUSQU' A CE QUE LES SYMPTÔMES DISPARAISSENT. MERCI SADIA schizo ou pas? NaNAround - le 24/04/2013 Mon psychiatre m'a diagnostiqué une schizophrénie simple. Je me reconnais parfois dans cet article, parfois pas du tout. Je suis surtout assez choqué que l'on puisse parler de maladie et pas des malades ou si peu. J'écris depuis un mois maintenant sur ce site : http://nanaround.besaba.com Peut-être un complément d'information sur le vécu? Une vie qui ne sert à rien? Juste coupable de sensibilité? Proposer un commentaire (En savoir plus sur les commentaires) Nom ________________________________________ Email * ________________________________________ Sujet ____________________________________________________________ Commentaire * _______________________________________________________________________ _______________________________________________________________________ _______________________________________________________________________ _______________________________________________________________________ _______________________________________________________________________ _______________________________________________________________________ _______________________________________________________________________ _______________________________________________________________________ _______________________________________________________________________ _______________________________________________________________________ _______________________________________________________________________ _______________________________________________________________________ _______________________________________________________________________ _______________________________________________________________________ _______________________________________________________________________ _______________________________________________________________________ _______________________________________________________________________ _______________________________________________________________________ _______________________________________________________________________ _______________________________________________________________________ Pour nous aider à lutter contre le spam, merci de recopier le code anti-spam ci-dessous * IFRAME: http://api.solvemedia.com/papi/challenge.noscript?k=2ZDlW.UdzTa8J8bMPrQ iP1EgFiV82IOp ________________________________________ ________________________________________ ________________________________________ * Champs à renseigner obligatoirement Envoyer Abonnements à la revue Sciences Humaines Feuilletez un mensuel Feuilletez un Grands Dossiers pub pub pub En kiosque * Couverture Mensuel n° 267 Sommaire Mensuel n°267 Mensuel n°267 (février 2015) * Couverture Mensuel n° 266 Sommaire Mensuel n°266 Mensuel n°266 (janvier 2015) * Couverture Grands Dossiers Hors-série n° 3 Sommaire Grands Dossiers Hors-série n°3 Grands Dossiers Hors-série n°3 (déc 2014 / jan 2015) * Couverture Grands Dossiers n° 37 Sommaire Grands Dossiers n°37 Grands Dossiers n°37 (déc 2014/ jan-fév 2015) Abonnements groupés lycées prépas Abonnements groupés personnel en formation / étudiants pub pub je commande * Abonnement Sciences Humaines * Achat livres * Achat de numeros * Inscription newsletter * Espace abonné Consulter les sommaires * les mensuels * les trimestriels * les numeros speciaux * les livres * la revue d'Histoire des sciences humaines * les collections annuelles et reliures pub Le Cercle Psy, magazine de psychologie en kiosque et abonnement nouveautés livres découvrir Changer le travail - 20 pistes pour améliorer la qualité de vie au travail Découvrir Commander Psychothérapies, mode d'emploi Découvrir Commander Les clés du langage Découvrir Commander L'entreprise Découvrir Commander Le pouvoir Découvrir Commander La psychologie. Histoire, concepts, méthodes, expériences Découvrir Commander * Contact * - Aide * - Signaler un contenu illicite * - Conditions générales de vente * - Mentions légales