Les expressions françaises décortiquées
explications sur l'origine, signification, exemples, traductions
La critique est aisée, mais l'art est difficile
Il est très facile de critiquer ce que font les autres, autrement plus difficile de réaliser quelque chose.
Cette locution proverbiale a été imaginée en 1732 par Philippe Néricault, auteur et comédien dont le nom de scène était Destouches ().
En tant qu'auteur, il n'a pas laissé de souvenir réellement impérissable sauf pour trois de ses citations, toujours très utilisées à notre époque.
On a en effet retenu de lui, en plus de notre expression, "les absents ont toujours tort" et "chassez le naturel, il revient au galop"[1].
La version originale de l'expression était : "la critique est aisée et l'art est difficile".
Le sens de l'expression est très simple à comprendre, la "critique" étant ici le jugement défavorable, tandis que l' "art" n'est pas seulement lié à la création d'oeuvres artistiques, car il désigne, d'une manière générale, la façon de faire quelque chose.
[1] Citation astucieusement reprise dans le récent film "Camping", de Franck Dubosc, sous la forme "Chassez le naturiste, il revient au bungalow".
« - Mais on dit qu'aux auteurs la critique est utile.
- La critique est aisée, et l'art est difficile. »
Destouches - le Glorieux
Certains prétendent que c'est le Minotaure qui aurait dit "la critique est Thésée" (). Mais mon petit doigt me dit qu'il n'en est rien.
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Pays | Langue | Expression équivalente | Traduction littérale |
---|---|---|---|
États-Unis | en | Don't knock it until you've tried it | Ne le critiquez pas jusqu'à ce que vous l'ayez essayé |
Pays-Bas | nl | De beste stuurlui staan aan wal | Les meilleurs barreurs sont sur la terre |
Brésil | pt | Falar é fácil, difícil é fazer | Parler c'est facile, le faire c'est difficile. |

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1. mirlou
le 05/01/2007
à 08h12
2. momolala
le 05/01/2007
à 08h33
Personnellement, j’eusse préféré : "l’art est difficile et la critique est aisée" mais je ne peux plus le dire à Destouches désormais absent du débat littéraire. J’aime toutefois mieux sa formulation qui pourrait venir en conclusion, en point d’orgue d’une discussion "La critique est aisée et l’art est difficile"’ plutôt que la nôtre du jour qui tendrait à vouloir justifier son action ou à reprocher à autrui un point de vue divergent.
3. chirstian
le 05/01/2007
à 08h45
4. momolala
le 05/01/2007
à 08h46
5. chirstian
le 05/01/2007
à 08h47
La maxime réconforte ceux qui sont éreintés
Par un seul trait de plume, véritable jet de bile
Vomi par un de ceux qui n’ont jamais rien fait…
Il y a trop de ceci, et ça manque de cela
Pourquoi cette forme ci, et pas plutôt celle là ?
Oui vraiment je comprends la fureur de l’artiste
Qui lit dans le journal tous ces propos d’autistes.
Mais il y a bien pire qu’une mauvaise critique :
C’est le mépris glacial, le silence absolu :
N’être jamais cité, dans aucune chronique…
C’est l’absence de critique, le néant qui vous tue !
6. cotentine
le 05/01/2007
à 09h00
7. momolala
le 05/01/2007
à 09h58
Alors entre deux j’y-va et un j’y-viens, lâche la ligne jaune et viens nous dire un petit de tes maux !
8. <inconnu>
le 05/01/2007
à 10h12
9. louisann
le 05/01/2007
à 10h27
Maudit soit celui qui t’a fait ce vilain "cadeau" bon courage et bon rétablissemnt.
Bonne journée à tous et gare aux microbes!!!!!!!!!!!!
10. file_au_logis
le 05/01/2007
à 11h04
Serait-ce le virus ("dote", le bien nommé) qui nous a infecté nous, nous les expressionautes, qui se libère ainsi une fois ou l’autre?
GGGOOOOOOOOOOOOOOOOOODDDDDD, on a besoin vite fait d’un anti-dote!
Mon petit Godemichou adoré, fais-nous vite ca, s’il-te-plaît, avant le logiciel de partoches, même, tiens, Elpéachepé serait sûrement d’accord, s’il pouvait descendre de sa BB à adhésion totale...
Oui, l’âcre Itique est aisée, riche, bien installée, et tout, et tout... C’est pour cela que la vie lui est facile et qu’elle peut se permettre tout et n’importe quoi en toute impunité.
Le lard est difficile, malgré la bonne éducation que nous nous efforcons tous les jours et chacuns d’entre nous à lui donner. Ce lardon nous en fait voir de toutes les couleurs, nous chante sa ritournelle sur tous les tons, utilise un vocabulaire pas piqué des vers, et tout cela, dans tous les registres possible et imaginables.
11. SyntaxTerror
le 05/01/2007
à 11h21
Je croyais que cette expressio venait de l’art poétique de Boileau (qui n’est pas l’ancêtre de Narcejac) alors qu’elle vient d’un Destouches qui est peut-être l’ancêtre de Céline (hum).
Comme a déclaré la déséquilibrée avant d’assassiner Roger Schultz : la critique est Taizé.
12. <inconnu>
le 05/01/2007
à 11h47
L’artiste, lui qui ose, qui s’essaie à bouleverser les choses est associé au courage, si ce n’est au talent. Ces deux-là ne font guère bon ménage, l’un serait l’artiste qui par exemple peint avec dextérité une assiette à la main, l’autre serait l’éponge, côté scotch-brite, chargé de frotter là où réside l’imperfection mais aussi le sensible de l’artiste.
Certes, ça ne fait pas plaisir la critique, mais on ne peut vivre que de vivats non plus. Pour progresser, il est nécessaire d’avoir à se remettre en question. L’erreur est formatrice, l’erreur… une règle.
Pour résumé, l’essentiel n’est-il pas l’autosatisfaction, le satisfecit personnel ? Ou bien a-t-on un devoir absolu de convaincre ? Pour des raisons économiques : oui ! Pour des raisons d’estime de soi : à voir…
Personnellement, « j’enseigne » à qui le veut des raisonnements et analyses ayant trait au spirituel. Ai-je un devoir de réussir ? Non ! Semer est dans ce cas bien plus important que la récolte.
Dois-je écouter les critiques ? Oui, si elles sont formatrices à ce que je ne connais pas. Si cela m’ouvre l’esprit à des champs exploratoires, alors oui, la critique est nécessaire, utile même.
Mais, il y a critique et critique ! Expert ou non*. Somme toute, il faut avoir et ce n’est pas aisé, une bonne dose d’humilité sur son porte-bagages.
La phrase, l’expression idéale deviendrait donc : « la critique peut être subtile, l’art en ce cas n’en serait que mieux servi ».
*Roberto Alagna évincé de le Scala de Milan pour avoir quitté subitement la scène pour quelques sifflets. Un lecteur du journal « Ouest-France » présent ce soir là à Milan, affirme qu’en fait les spectateurs se sifflaient entre-eux. Certains reprochant aux autres leur manque de jugement critique… A voir.
cette page
13. momolala
le 05/01/2007
à 12h23
La critique, telle que tu l’évoques à propos des artistes ou comme nous y raméne le propos de l’auteur même de l’expression du jour, est un passage obligé : les critiques sont les premiers porteurs de communication sur leur oeuvre. Certaines critiques peuvent d’ailleurs être excellentes, sans être plus aisées que les mauvaises !
Dans notre société où la communication tient une place prépondérante, les gens ont tendance à se former une opinion de ce q’uils ne connaissent pas encore essentiellement à travers les critiques que l’on peut trouver dans la presse, et finalement, sont plus déçus d’être ou de n’être pas d’accord avec ces opinions "de masse" que de se trouver ou non en accord avec eux-même, leur image n’étant plus en adéquation avec la "bonne" image sociétale.
Personnellement, je pense que la perception que l’on a de l’art dépend de la sensibilité de chacun, de sa culture. Par ailleurs, je pense que c’est en se trompant qu’on apprend, que l’on soit ou non artiste. Marcel Achard le dit mieux que moi : "L’important n’est pas ce qu’on réussit, c’est ce que l’on essaie." Alors, l’avis des critiques peut, comme la nuit, porter conseil !
14. God
le 05/01/2007
à 12h59
15. <inconnu>
le 05/01/2007
à 13h31
Comme tu le soulignes si bien, « la nuit porte conseil » et si cela est vrai, cela est en partie le fruit du travail des Anges (bons), ceux chargés de nous enseigner les rudiments du « Bien Faire Quotidien » de sur la terre.
@ God : « une fidèle gastro » : c’est vrai que c’est aussi une REVOLUTION dans le bas-ventre, d’où le glissement de terrain vers le Cul Bas.
16. borikito
le 05/01/2007
à 15h12
Ah, l’antésite (anti-soif) ! et elle existe en plusieurs parfums, dont l’antésite à
l’anusl’anis, excellent désaltérant, (voir cette page)17. chirstian
le 05/01/2007
à 15h30
18. chirstian
le 05/01/2007
à 15h49
Le critique ,c’est " Celui qui examine des ouvrages d’esprit, pour en porter son jugement, les expliquer, les éclaircir " (dico de l’Ac de 1732)
et la critique c’est " L’art, la faculté de juger d’un ouvrage d’esprit."
Sans "les critiques" ( littéraires, d’art etc...)" , combien d’oeuvres resteraient inconnues du public ? Et savoir présenter une oeuvre n’est pas donné à tous. Il y a une émission "le masque et la plume" sur France Inter le dimanche soir qui réunit des "critiques" de cinéma, littérature ou théatre. Le nombre d’interventions du style "j’aime", "je n’aime pas" , par rapport aux véritables analyses laisse rêveur.
19. file_au_logis
le 05/01/2007
à 16h06
Pourquoi le mal-aimé, me direz-vous?
N’avez pas compris, hein?
Un seul bécot, c’est pas beaucoup quand même, pour son petit gilbert, non?
20. file_au_logis
le 05/01/2007
à 16h09
Mais quand te décideras-tu, alors?
Eh, t’as vu leur pub, non? Glisse et réglisse, l’anus - l’anis on sait plus, maintenant...
21. file_au_logis
le 05/01/2007
à 16h18
Très bonnes émissions, pour autant que je m’en souvienne. Surtout le dimanche matin.
Je ne suis pas trop d’accord avec les définitions données plus haut, qui parlent de "critique" comm étant un "jugement". Je crois justement qu’un bon critique doit analyser, expliquer si nécéssaire, mais pas juger. A partir du moment où un jugement est porté (qu’il soit favorable ou non), l’auteur du jugement prend position. Un critique se doit de rester neutre (à mon humble avis). Qu’il analyse, sur base de critères présélectionnés, bien sûr! Mais qu’il ne se laisse pas emporter pasr ses goûts, son tempérament, ses affinités, ses répulsions, sa couleur politique, etc...
Par exemple, ce que j’ai écrit plus haut, à propose des émissions de France-Inter, c’est la facon dont je les ai ressenties. Ce n’est pas une critique. J’ai donné mon sentiment, pas un "avis autorisé". Un critique d’art (peinture, littérature, cinématographique, etc...) ne devrait pas donner son sentiment, mais un avis autorisé. Nuances...
Mais je n’oserais critiquer les critiques...
22. momolala
le 05/01/2007
à 16h24
"PROMENADE DE PICASSO
Sur une assiette bien ronde en porcelaine réelle
une pomme pose
Face à face avec elle
un peintre de la réalité
essaie vainement de peindre
la pomme telle qu’elle est
mais
elle ne se laisse pas faire
la pomme
elle a son mot à dire
et plusieurs tours dans son sac de pomme
la pomme
et la voilà qui tourne
dans une assiette réelle
sournoisement sur elle-même
doucement sans bouger
et comme un duc de Guise qui se déguise en bec de gaz
parce qu’on veut malgré lui lui tirer le portrait
la pomme se déguise en beau bruit déguisé
et c’est alors
que le peintre de la réalité
commence à réaliser
que toutes les apparences de la pomme sont contre lui
et
comme le malheureux indigent
comme le pauvre nécessiteux qui se trouve soudain à la merci de n’importe quelle association bienfaisante et charitable et redoutable de bienfaisance de charité et de redoutabilité
le malheureux peintre de la réalité
se trouve soudain alors être la triste proie
d’une innombrable foule d’associations d’idées
Et la pomme en tournant évoque le pommier
le Paradis terrestre et Ève et puis Adam
l’arrosoir l’espalier Parmentier l’escalier
le Canada les Hespérides la Normandie la Reinette et l’Api
le serpent du Jeu de Paume le serment du Jus de Pomme
et le péché originel
et les origines de l’art
et la Suisse avec Guillaume Tell
et même Isaac Newton
plusieurs fois primé à l’Exposition de la Gravitation Universelle
et le peintre étourdi perd de vue son modèle
et s’endort
C’est alors que Picasso
qui passait par là comme il passe partout
chaque jour comme chez lui
voit la pomme et l’assiette et le peintre endormi
Quelle idée de peindre une pomme
dit Picasso
et Picasso mange la pomme
et la pomme lui dit Merci
et Picasso casse l’assiette
et s’en va en souriant
et le peintre arraché à ses songes
comme une dent
se retrouve tout seul devant sa toile inachevée
avec au beau milieu de sa vaisselle brisée
les terrifiants pépins de la réalité.
Jacques Prévert, bien sûr
23. SyntaxTerror
le 05/01/2007
à 17h05
C’est sur, ce serait une position idéale. Mais l’oeuvre critiquée n’est pas neutre.
L’auteur lui-même "se laisse emporter par ses goûts, son tempérament, ses affinités, ses répulsions, sa couleur politique, etc... ".
24. Elpepe
le 05/01/2007
à 17h09
PAS DU TOUT ! Mais alors là, pas du tout… La critique est : taisez-vous, le lard est délébile.
L’expression vient bien de la Marine, voilà.
Le postulat ainsi énoncé, argumentez.
Pépé reviendra vous mettre au lit…
25. chirstian
le 05/01/2007
à 17h30
Il me semble que - dans une certaine mesure - les instituteurs ou professeurs que j’ai eus étant jeune , faisaient office de "critique littéraire" en nous faisant découvrir un auteur ou un texte. Etaient-ils neutres ? Heureusement pas, car je leur dois mon goût pour la lecture.
26. momolala
le 05/01/2007
à 17h45
@Chirstian et Filo :
Exprimer un avis, même par un simple choix ne peut être objectif. C’est l’argumentation qui est importante. On peut, de mon point de vue dire "j’aime" ou "je n’aime pas" mais cela ne saurait suffire. On ne peut s’abstraire de ses choix tacites ou pas, Filo, mais un bon critique doit s’exprimer non seulement sur son approche affective du propos concerné, mais par rapport aux règles de construction qui arbitrent habituellement l’oeuvre en question : au théâtre du temps de Destouches et après, c’est la règle des trois unités ; en peinture on se réfère à des écoles, des techniques ; en musique, Pépé nous dira ce qu’il convient de prendre en compte, et ensuite le critique qui ne doit pas être un critiqueur assume sa propre sensibilité des choses.
C’est "donner une opinion" : ça s’apprend à l’école maintenant dès le CE2. Il y a donc du recyclage possible pour certains pseudo-criticaillons littéraires ou autres qui croient qu’il faut et qu’il suffit qu’ils aient parlé.
27. file_au_logis
le 05/01/2007
à 18h25
Comme je disais plus haut, ne pas se laisser emporter par des sentiments personnels, racistes, extrémistes, tendancieux, oscènes, etc...
Je vais ici citer mon auteur préféré:
"Mais qu’il ne se laisse pas emporter pasr ses goûts, son tempérament, ses affinités, ses répulsions, sa couleur politique, etc..."
Voilà: en un mot: qu’il ne pontifie pas!
Il y a déjà assez de cons sur la terre, il n’a pas besoin d’en rajouter...
Comme disait un personnage célèbre: "Il vaut mieux ne rien dire et passer pour un con, que l’ouvrir et ne laisser aucun doute sur le sujet!"
28. momolala
le 05/01/2007
à 18h55
Aaaahhhh ! Belle journée ! On a bien discuté.
J’espère que les boyaux de Contentine se seront assagis et lui permettront de passer enfin une bonne nuit. Vivement lundi que certains absents reprennent le boulot. A demain, les autres ?
29. Elpepe
le 05/01/2007
à 19h55
Et sa femme, dites ? Vingt ans, qu’elle l’a attendu, le retout de son Jules ! Ah, la Pénélope... Quelle nyctalope, avec le coup du suaire de beau-papa, hein ? C’est pas BB qui m’attendrait si longtemps, si je me barrais plus d’un mois ou deux d’affilée, hmmm ? Que vous seriez tous à venir gratter à sa porte pour la réconforter, tous les gueux d’Expressio, là, hmmm ?
Bon, allez, Je vais remplir le moral de BB de mon petit soleil individuel et portatif, et tant pis si votre critique est fastoche, l’art vaut bien que je m’y expose.
Au lit, les gosses !
30. file_au_logis
le 05/01/2007
à 20h45
était-ce Coluche ou Woody Allien?
Un des deux, j’en suis presque sûr. Ils auraient pu le dire tous les deux, d’ailleurs...
Si un(e) autre expressionaute pouvait venir à notre aide, cela serait - soyons modestes - simplement génial!
Ou alors, parlais-tu de mon auteur préféré? ...
31. mident
le 05/01/2007
à 23h42
les CA RRRA BI NIEEEEEEERS !!!!!!
Je suis la dernière à vous souhaiter du fond du coeur de mon ordinateur une super année expressionauticfilosoficumoristicopowétique .. et tout .. et tout.
Rattraper 6 expressions de retard en une soirée ce n’est pas rien mais, quelle bonne soirée.
Mille mercis pour tous vos voeux, je n’en ai pas loupé un seul.
Pardon cher God, mais dans la foulée, j’ai dû oublier mon petit klik à droite dans certains chapîtres.
Qui connait le nom de celui qui a dit
"ce n’est pas parcequ’on n’a rien à dire qu’il faut fermer sa g.."
Ne serait-ce pas Jean Yanne par hasard ?
Passez toutes et tous une bonne nuit et les mains dessus ? dessous ? où vous voulez pourvu que, demain matin, vous soyez tous en pleine forme expressionistique.
32. momolala
le 06/01/2007
à 08h57
33. Jonayla
le 06/01/2007
à 09h01
Bon. Je vais me prendre un Sédergine.
Bonjour et bonsoir à tous
34. <inconnu>
le 06/01/2007
à 10h03
On y relève notamment:
Splendeur et misère des cortisones
C’est beau mais c’est twist
Les choses étant ce caleçon
Je suis en congés de ma Lady............etc etc......
35. mident
le 06/01/2007
à 11h32
Merci MOMO, je vérifie dès que possible, mais maintenant en y réfléchissant, je crois bien que tu as parfaitement raison.
36. God
le 06/01/2007
à 11h35
Faut que je m’achète ce chef-d’oeuvre, les extraits étant très alléchants...
37. mirlou
le 06/01/2007
à 14h27
38. HoubaHOBBES
le 08/01/2007
à 09h20
Calemb-Hobbes
39. <inconnu>
le 28/01/2007
à 19h20
40. cotentine
le 03/05/2009
à 01h16
cette page
"Le Magazine littéraire"(peut être consulté en ligne ou acheté dans les kiosques ... et l’autre jour il titrait : " Un critique déchaîné"
Méchant, imprécis, subjectif et néanmoins très réjouissant, ce blog tente de mettre en oeuvre une autre forme de critique littéraire.
cette page une petite visite sur ce blog m’a régalée !
41. file_au_logis
le 03/05/2009
à 08h17
Bien sûr qu’une éducation est nécéssaire. Bien sûr qu’il faut dire "j’aime ceci, j’aime cela". Je ne suis pas sûr cependant qu’il faille aussi dire "j’aime pas ci, j’aime pas ca"...Car, en émettant ce genre d’opinion, on risque de détourner d’autres personnes de certaines oeuvres qu’elles auraient - peut-être - aimées sans cette influence. De plus, les goûts évoluent avec le temps. Donc, il est tout à fait possible de ne pas avoir aimé quelque chose précédemment et de l’aimer ou l’aprécier aujourd’hui.
Il y a 20 ans, je n’aimais pas du tout le Jugendstil autrichien. Maintenant oui, car entretemps, j’ai regardé autrement...
42. Muscat
le 03/05/2009
à 08h59
43. BOUBA
le 03/05/2009
à 09h14
Voici d’autres trouvailles de J.P Grousset:
C’est beau mais c’est twist !
Les choses étant ce caleçon…
Mais vous pleurez, mi-lourd ?
Un peu d’Eire, ça fait toujours Dublin !
Un seul hêtre vous manque et tout est des peupliers !
Je suis en congé de ma Lady
Être reçu England pompe
Le rugbyman est talonneur…
Mes illusions sont des truites…
Ne lâchons pas lamproie pour l’omble…
La loi de l’offre et de la limande…
Les gaîtés de l’esturgeon…
Ciel, mon méhari !
Chaloupe à tous les coups !
Je suis verseau, ascendant recto !
44. chirstian
le 03/05/2009
à 09h20
Quant au risque, en disant "j’aime ou je n’aime pas", d’influencer les autres, (vrai dans tous les domaines), il est bien réel, mais est-ce si grave ? Si un critique ne parle pas du tout d’une oeuvre, je l’ignorerais sans doute toute ma vie. S’il en parle de façon trop neutre, trop technique, vais-je avoir envie de la découvrir ? Son "j’aime -je n’aime pas" va sans doute m’influencer, mais à condition que son jugement ait de l’importance pour moi (: c’est le cas si je m’aperçois que je partage souvent son opinion) et s’il sait m’indiquer clairement ses raisons (j’aime ou je n’aime pas parce que...).
45. chirstian
le 03/05/2009
à 09h23
46. chirstian
le 03/05/2009
à 09h26
47. file_au_logis
le 03/05/2009
à 10h00
48. file_au_logis
le 03/05/2009
à 10h04
49. tytoalba
le 03/05/2009
à 11h06
La critique est un métier où il faut plus de santé que d’esprit, plus de travail que de capacité, plus d’habitude que de génie. (La Bruyère) Ma source ? Larousse.
Je m’étonne toujours de voir certaines personnalités participer à des émisssions télévisées dans lesquelles ils savent qu’ils seront critiqués et les voir s’énerver lorsque la critique ne leur plaît pas. Je pense particulièrment à une émission de Fr2 animée par un certain Laurent et dans laquelle deux critiques prénommés Eric sévissent.
50. momolala
le 03/05/2009
à 12h03
51. eureka
le 03/05/2009
à 14h09
52. Lilycoquine
le 03/05/2009
à 14h55
J’adore ce site!
53. <inconnu>
le 03/05/2009
à 15h09
J’aime beaucoup les salons de Zola où il défend bec et ongles les pauvres refusés, comme son ami Manet.
54. chirstian
le 03/05/2009
à 15h34
C’est sans doute dans le cinéma, avec la Nouvelle Vague que la confusion des genres a été la plus complète : François Truffaut, Jean-Luc Godard, Jacques Rivette, Claude Chabrol ,pour ne citer que les principaux réalisateurs de ce mouvement sont tous issus des Cahiers du Cinéma . Ils ont été critiques avant de réaliser leur premiers films et d’être à leur tour critiqués.
55. momolala
le 03/05/2009
à 16h07
56. mident
le 03/05/2009
à 16h10
comment se fait-il qu’il m’est impossible d’ouvrir mon Expressio d’hier mais bien celle-ci ? Celle d’hier comporte une série de fichier, un pour le titre, un pour les exemples, etc. Pas d’accès à aucun d’eux.
Bon dimanche à tous.
57. momolala
le 03/05/2009
à 16h11
58. mident
le 03/05/2009
à 16h12
59. momolala
le 03/05/2009
à 16h12
60. Jonayla
le 03/05/2009
à 16h38
En est une céans qui ne soit pas facile
C’est bien mon amie Tique qui avec ses faux cils
N’a jamais consenti à me trouver gracile"
Et bravo à God pour ce super tour de force informe à ... Tique !
61. momolala
le 03/05/2009
à 16h51
62. <inconnu>
le 03/05/2009
à 17h26
Art = aptitude, habileté, ensemble de moyens tendant à une fin.
Critique = examen d’un principe, d’un fait, d’une œuvre, d’une « fin », en vue de porter dessus un jugement de valeur.
Je ne sais plus qui a dit que le génie était composé de 1% d’inspiration et 99% de transpiration (Tristan Bernard, peut-être). C’est souvent vrai mais nous connaissons dans tous les arts des talents spontanés.
La critique, aussitôt qu’elle est argumentée, donc digne d’intérêt, implique culture et moyens dialectiques.
«Artistes » et « critiques » sont le résultat d’inné et d’acquis différents et dans des proportions variables. Existe aussi une race particulière d’humains capables d’être à la fois artistes et critiques, et même pas forcément dans la même discipline !
Les écrits sur l’art sont innombrables… Je risque un seul auteur, parce qu’il est quasiment contemporain, qu’il a beaucoup écrit sur le sujet, des choses sublimes et beaucoup de conneries : André Malraux.
Pour ce qui est de la critique, un seul aussi, incontournable, Kant.
Un ami avec qui je viens de déjeuner et à qui je parlais d’expressio et de l’expression du jour m’a fait remarquer avec malice que la façon dont j’ai choisi d’ordonner ma bibliothèque (dans laquelle je suis seul à me retrouver) est une façon d’exercer mon droit de critique.
63. chirstian
le 03/05/2009
à 17h47
Si l’on retient ta définition de l’art, la difficulté est fonction de la fin recherchée. Il n’est donc effectivement pas difficile, si l’objectif est peu ambitieux. Dans le TLFI je trouve : "Ensemble des règles, des moyens, des pratiques ayant pour objet la production de choses belles" , qui situe l’objectif à un niveau minimal : le résultat doit être "beau",
et aussi : "Pratique de ces règles; virtuosité, talent, maîtrise".
Je pense que c’est dans ce sens qu’il faut prendre l’expression : la maîtrise est difficile, quelque soit le domaine, non ?
64. <inconnu>
le 03/05/2009
à 18h22
Toute ma culture m’incline à penser comme toi.
Mais j’ai eu plusieurs fois l’occasion de rencontrer des artistes reconnus, de tous en particulier et même de moi en général, dont la maîtrise est spontanée et l’inculture abyssale.
Les cons osent tout..., tu connais comme moi, ...dans certains cas, ça peut marcher.
Au contraire trop de culture, l’impression, pas fausse, que tout a été dit, feine les élans créateurs...
Souviens toi du paradoxe du comédien qui, en gros, oppose ceux qui jouent d’instinct à ceux qui se torturent pour "habiter" leur personnage.
65. paperpy
le 03/05/2009
à 19h06
Mellard est difficile !!
66. file_au_logis
le 03/05/2009
à 20h00
Pourrions-nous nous y retrouver?
67. file_au_logis
le 03/05/2009
à 20h05
La beauté est intérieure, c’est un sentiment universel. Chacun la ressent d’une certaine facon, qui est bien entendu suivant les individus qui la ressente et le moment ainsi que les circonstances...
En disant que l’art a pour objet final pa production de choses belles, on ne fait - merci TLFI - que remplacer un concept abstrait (l’art) par un autre (la beauté). Avec cela, tout est dit? Non, rien est dit, tout est encore à découvrir!
Heureusement, d’ailleurs!
68. <inconnu>
le 04/05/2009
à 02h29
Bien avant Bill Gates et ses trouvailles, j’ai choisi un classement thématico-spacio-temporel. C’est-à-dire un compromis habile entre le sujet traité, la date d’acquisition et le lieu de rangement ( livres de cuisine à l’office, philosophie dans le boudoir. ouvrages coquins au pied du lit, etc...). Le piège est que nombre d’ouvrages traitent plusieurs sujets à la fois. Feu mon épouse et moi nous y retrouvions à peu près bien, même s’il n’arrivait que rarement qu’un ouvrage sorti par l’un soit rangé par l’autre à la place dont il était issu.
Tu as compris combien il est simple de s’y retrouver, surtout moi.
69. momolala
le 04/05/2009
à 07h07
70. logit4
le 12/05/2009
à 00h16
« Les gens qui disent que nul ne devrait pas pontifier après le fait sont habituellement ceux qui ont pontifié le plus avant le fait
71. gerard5253
le 11/07/2014
à 01h10
Mais ça c’était avant . Depuis nous avons eu moult occasions de nous initier aux subtilités de l’art et affiner notre sens critique pour ne citer que les principales :Star académie, the Voice , La nouvelle star
que du très haut niveau ,de la culture avec un grand C,des événements de première grandeur où se pressent les meilleurs talents afin d’être jugés par leurs pairs*?
Enfin faut que j’arrête de dire des conneries si non les messieurs vêtus de blanc vont encore venir me mettre une chemise inconfortable avec les manches attachée dans le dos avant de me faire une piqure.Ils arrivent.
Si ils me relâchent à temps je vous verrais au café
* (ou pour leur paire)
72. DiwanC
le 11/07/2014
à 02h11
Et Georges (l’autre !) dans tout cela ? Son art de manier la plume, la rime, l’image, est incontestable... même si quelques mauvais critiqueux tentèrent de le faire taire...
Tu ne m’as dérobé que le stricte nécessaire
Délaissant dédaigneux l’exécrable portrait
Que l’on m’avait offert à mon anniversaire
Quel bon critique d’art mon salaud tu ferais
Ici, texte complet. Et là, écoutez ! Pendant ce temps-là, je m’active au café-thé etc.
73. lalibellule1946
le 11/07/2014
à 02h17
Arrive-t-il à tout le monde d’être artiste même une fois dans sa vie ?
Ça dépend des définitions, spa?
Quand je pense que George Bush est devenu portraitiste...
cliquezsurslideshow
74. DiwanC
le 11/07/2014
à 02h17
75. platon07
le 11/07/2014
à 07h43
Nous sommes sur le site "Expressio", conçu par un certain Georges en 2005 après JC. Arrêtez moi si je me trompe.
Et je m’aperçois-je que l’expression du jour, repiquer dans cette serre, n’a plus rien à voir avec sa sœur jumelle du bar des sports.
S’il n’y avait parmi vous une majorité -( façon J.Chirac le 21/04/2002 )- d’artistes, d’esprits créatifs et, déposons délicatement le terme à côté des pots de confiture, de sensibilités, la serre serait en friches depuis belle lurette.
Quant à la critique, Madame Michu, entre opinion d’expert, excellent moyen de se détendre sur le dos d’autrui et poison, elle prend ici un habit de princesse que je ne vous raconte pas mais qui ressemble à de l’humour natif.
Après, l’artiste crée t’il pour lui ou pour les autres, pourquoi les critiques se portent toujours bien alors que les artistes "meurent" bien souvent...là, je peux placer une autre boutade qui résume un lointain collègue de travail.
"...Je les laisse déconner. Moi, je m’en occupe pas." C’était sa phrase définitive.
C’est tout, mais très pratique.
Vous noterez, ce qui va vous contraindre à l’indulgence, que je n’ai pas mis en fond sonore Claude Dubois, Canadien !, "J’aurais voulu être un....."
OK, Kids, on va swinguer ensemble. - (Chuck Berry ).
76. joseta
le 11/07/2014
à 08h10
77. joseta
le 11/07/2014
à 09h14
le chauffeur: - mais pourquoi criez-vous comme ça ?
le passager: - ben, je n’aime pas ce bus, alors ’je crie ticket’...
78. gerard5253
le 11/07/2014
à 09h21
Dans un pays peut-on critiquer l’état pour l’état critique du pays?
z’avez deux heures et pas d’taches de café sur les copies
79. file_au_logis
le 11/07/2014
à 09h29
Christophe, celui qui habites Colombes?
80. SyntaxTerror
le 11/07/2014
à 09h33
Il aurait du rester peintre.
81. joseta
le 11/07/2014
à 09h56
Pourquoi le père de San Antonio aimait faire ses critiques dans les musées ?
- parce que c’était le critique Dard
82. gerard5253
le 11/07/2014
à 09h59
Faut dire que les etats’uniens ont eu la mémoire courte en d’autres temps et autres lieux un peintre avait déjà été nommé aux plus hautes fonction du pays cette page
83. file_au_logis
le 11/07/2014
à 10h13
(Il est quand même intéressant de se rappeler que les deux "petits caporaux" ont tout perdu devant Moscou..., même si le début de la fin avait déjà commencé plus tôt...)
à la manière de...:
J’me l’demande...
84. joseta
le 11/07/2014
à 11h09
85. joseta
le 11/07/2014
à 11h32
Pourquoi ce peintre et critique, critiquait également la banque ?
- c’était le critique d’art Jean
86. DiwanC
le 11/07/2014
à 11h39
- Pour faire leurs mauvais coups, les critiques dramatiques ne sortent qu’après la tombée de la nuit. (Jerome K. Jerome).
- De tous les arts, l’art culinaire est celui qui nourrit le mieux son homme.
(Pierre Dac)
On est souvent toute indulgence pour les artistes et l’on devient sévère avec les critiques. Aussi, quand on en voit un se prendre les pieds dans le tapis, on ne peut s’empêcher de se réjouir !
Vous vous souvenez d’Aliboron, de Boronali et du Coucher de soleil sur l’Adriatique ?
"En raison du caractère abstrait de cette peinture, les critiques s’enthousiasment et l’affaire fait grand bruit, jusqu’au jour où le journal Le Matin reçoit la visite de l’écrivain Roland Dorgelès qui révèle, constat d’huissier à l’appui, que l’auteur se nomme en fait "Lolo", et qu’il est l’âne du patron du "Lapin Agile", célèbre cabaret de la butte Montmartre."
Plaisant non ?
Suis allée faire un petit tour chez M’sieur Rey, un artiste en matière de dico.
Art : l’un des mots les plus importants de notre culture, dit-il dans le D.H.L.F. Partant de là, il en écrit trois pages ! Un décorticage... vous dis pas !
Entre autres, il signale qu’en 1640, on trouve "beaux arts" et "belles arts" (Bossuet), pour désigner "les techniques de la beauté".
Joli non ?
il cite également ce délicieux petit mot artiser qu’on utilise au XVIe - pour "fabriquer", puis pour "arranger avec art" (1763) – qui est rapidement disparu.
Dommage non ?
87. charmagnac
le 11/07/2014
à 11h50
88. joseta
le 11/07/2014
à 11h55
L’horloger chilien critique Tac
89. gerard5253
le 11/07/2014
à 12h20
Les arts y’en a des plastiques qu’on étudie aux Beaux Arts (ce qui n’empêche pas certaines étudiantes d’avoir une plastique agréable). Les étudiants des B.A. surnommés les Quat’z’Arts donnent chaque année un bal du même nom celui-ci étant l’objet de nombreuses critiques (de la part de culs serrés aux dires de certains) mais moi je suis pas là pour juger.cette page
Cette réunion se termine traditionnellement par un simulacre d’enterrement que Georges évoque dans "Les Quat’z’Arts" une chanson de 1964cette page
90. SyntaxTerror
le 11/07/2014
à 12h34
91. DiwanC
le 11/07/2014
à 12h56
92. joseta
le 11/07/2014
à 13h01
93. joseta
le 11/07/2014
à 13h08
JOYEUX ANNIVERSAIRE LOUISANN
94. file_au_logis
le 11/07/2014
à 14h47
Faisons-lui sa fête, à Louisann!
♪♫♪♪ Ah, ça ira, ça ira, ça ira, on les aura, l’Alsace et la Lorraine, ah ça ira, ça ira, ça ira...♪♫♪♪
Ha, zut alors, j’ai trompé...
95. platon07
le 11/07/2014
à 15h27
Je m’hasarde à une entrée à la Groucho Marx pour souhaiter un flamboyant anniversaire à Louisann.
Je n’irai pas au-delà, de par ma réserve naturelle, en complimentant cette Dame par le très élégant: " Mais Madame, vous êtes fraîche comme une rose de vingt ans !"
Un anniversaire devrait entrainer un statu quo d’une minute. Pas pour se souvenir, mais pour rêver...
Qu’en plus, j’ai un cadeau ! Mais, ne connaissant Louisann, je l’ai pris pour Joseta.
A deux pas de mon wigwam -( typique bretagne centre )- musarde une rue St Mélard. Pour les salamandres, à 6 pas, fontaine St Mélard, protégée. Et quelque part dans la lande, une chapelle St Mélard.
Il y a forcément un lien entre Mélard est difficile, et l’âcre éthique...
De par moi-même, je su t’à poil.
Tournée générale de bolées... pour Louisann.
96. lalibellule1946
le 11/07/2014
à 15h30
HAPPY BIRTHDAY, LOUISANN !!!!
97. gerard5253
le 11/07/2014
à 16h02
J’espere qu’en Utopie y fait plus beau qu’ici pasqu’avec la pluie au jardin bonjour le mildiou et les rhumathismes (Suez ou Panama j’vous laisse le choix).
Oh! pardon tu cause véranda,jardin intérieur j’avais pas suivi.
98. DiwanC
le 11/07/2014
à 16h40
chirstian, lui, en est amoureux transi ! Bien souvent, abandonnant pour elle ses chers diptères, on l’entendait chanter dans les étages que...
... pour avoir un regard de
son âmeLouisann,Moi, pauvre chien,
J’aurais gaîment passé dix ans au bagne
Sous les verrous...
Le vent qui vient
à travers la montagneme parler de LouisannMe rendra fou.**
Le scooter rose qui stationne parfois devant chez Marcel est le sien ; d’où la joyeuse réflexion de joseta @ 93.
* moi non plus, mais j’ai lu Expressio... Et pis ça fait un p’tit moment que j’ai poussé la porte de ce mêêêrveilleux site, s’pas.
** S’cusez-moi M’sieur Brassens...
99. platon07
le 11/07/2014
à 17h15
Un scooter rose intemporel est stationné devant la maison de la grand mère. Celle du Petit Chaperon Rouge, puisque c’est d’elle qu’il s’agit, et qui vient faire rendre gorge au loup.
Illustration très personnelle du conte, par Waldemer Kazak.
Cette image figure sur un site assez pointu qui réserve néanmoins un petit coin de nostalgie en hymne au scooter.
100. DiwanC
le 11/07/2014
à 18h08
On est loin de l’expression du jour et on risque la critique... mais l’artistique graphisme de cette image en vaut la peine.
Mère-Grand est en pièces détachées, ce me semble...
101. lalibellule1946
le 11/07/2014
à 20h02
Je cultive des tomates, de l’okra et des zucchinis, en plus beaucoup de fleurs sauvages. D’ailleurs, est-ce que cela se dit en français, fleurs sauvages ? Wildflowers. Encore d’ailleurs, avec les fleurs sauvages ça prend un peu tout seul, ya pas beaucoup de cultivation nécessaire...
Bon, à qui une critique d’Azay-le-Rideau sinon notre spécialiste en matière rideaux, tu ne penses pas, gerard ?
102. file_au_logis
le 11/07/2014
à 21h47
J’en connais qui ajouteraient: "suffit d’me regarder!"
En Suède, il y a même "Les Fraises Sauvages".
103. saamwa
le 11/07/2014
à 22h57
était-ce Coluche ou Woody Allien?
Un des deux, j’en suis presque sûr. Ils auraient pu le dire tous les deux, d’ailleurs...
Si un(e) autre expressionaute pouvait venir à notre aide, cela serait - soyons modestes - simplement génial!
Rien de génial à l’heure de WIKI«Leaks» !
La citation est de Gustave Parking, alias Pierre Le Bras.
http://fr.wikiquote.org/wiki/Gustave_Parking
@ 30 mirlou : Bien "trouvé", les deux se rejoignant au moins dans cette autre citation de Parking :
"Le couple, c’est essayer de régler à deux, des problèmes qu’on aurait jamais eu tout seul."
Pendant que j’y suis;
Si un(e) autre expressionaute pouvait venir à (mon) aide -
je cherche depuis belle lurette l’auteur de la citation :
"J’aime bien les gens du peuple - ils ne sont pas assez instruits pour raisonner de travers"
Merci au "génie" qui trouve !
104. SyntaxTerror
le 11/07/2014
à 23h12
105. SyntaxTerror
le 11/07/2014
à 23h25
J’ai trouvé une ressemblance entre Victor Sjöström et John Cleese au même âge !
106. SyntaxTerror
le 11/07/2014
à 23h31
Maintenant, les jeunes filles ne laissent plus abuser par le loup. Déjà que des crétins ont rajouté des chasseurs, ce qui fait que le conte n’a plus aucun sens.
107. louisann
le 12/07/2014
à 20h44