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Pour se sentir davantage en paix, plus calme, plus en sécurité, s’offrir plus de douceur, de sérénité, avoir une meilleure estime d’eux-mêmes et la liste pourrait s’allonger longtemps. Et bien, c’est en favorisant ces états d’être souhaités, ces sentiments, que l’argent, le bonheur et l’abondance peuvent converger vers soi. Quand je parle en termes d'abondance, je pense autant à l'amour, la santé, l'argent, la joie, la paix, au sentiment de sécurité, à la sensation de bien-être qui doivent émaner de l’intérieur et non être espérés ou être artificiellement créés par des éléments extérieurs majoritairement. Ce qui fait, en contre partie que bien des gens vont avoir de l’argent, mais en perdent leur santé, leur calme, soit en travaillant trop ou en focalisant trop intensément sur le matériel, etc. Il y a aussi le phénomène qui fait que souvent certains travaillent très fort et de longues heures pour inconsciemment, ne pas ressentir ce qui se passe en dedans d’eux véritablement. Ce fut mon cas avant un jour avant de tomber en dépression sévère et de voir ma vie se transformer suite à de pénibles moments. J’avais mal en dedans, mais je n’étais pas prête à y faire face. La vie, mon corps s’en sont chargés. Une pause santé forcée est arrivée. Alors, oui c’est important d’avoir le matériel nécessaire, mais le réel état de bien-être intérieur ne peut s’acheter au magasin. Rien ne sert d’avoir des millions, si on se sent seul ou malade ou épuisé. Les valeurs de vie basées sur les choses du coeur sont pour moi à la base des plus grandes richesses porteuses de bonheur intense. On a possiblement tous connu des gens bien aisés financièrement et qui, sur leur lit de mort auraient tout donné pour retrouver la santé. À ce stade, les choses éphémères perdent de leur importance. Les gens de l’entourage s’attendrissent tout autant que la personne en fin de vie et les valeurs se modifient. Malheureusement, la routine reprend rapidement sa place par la suite et l’hypnose collective aura souvent, à nouveau raison de bien des gens qui continueront de s’engouffrer dans un rythme de vie qui donne parfois un goût amer. L’expression « perdre sa vie à la gagner » peut y prendre tout son sens. Consommer pour oublier l’insatisfaction Imaginez que si l’emploi qui doit permettre tout ça est insatisfaisant, la personne devient de plus en plus désabusée et peut sentir notamment le besoin de consommer (en tous sens) pour combler cette insatisfaction et le cercle vicieux se reproduit. Parlant de consommer, je pense au matériel principalement, mais j’ai vu des milieux dans ma pratique où un grand nombre de gens travaillaient sous médication (antidépresseurs…) Pas évident ! Masquer les symptômes, ça va pour un certain temps, mais le problème demeure sous-jacent et les gens n’ont plus le temps ou ne prennent plus assez le temps de s’en occuper, de prendre soin d’eux. Prendre le vrai contrôle de sa vie, c’est s’ouvrir les bras à soi d’abord. Je ne juge personne dans ça, car chacun fait du mieux qu’il peut avec les ressources qu’il a, mais il est permis de s’ouvrir à plus de belles choses, d’oser renaître à soi comme on pourrait dire. Alors, plus on travaille, moins on a le temps de profiter de toutes ces acquisitions matérielles. Les quantités illimitées de publicités qui polluent notre mental tous les jours n’ont-elles pas comme objectifs de jouer sur les émotions, les faux besoins, l’impulsivité, pour ensuite vous faire croire qu’un tel autre gadget est bien meilleur que le dernier acheté et le cercle sans fin est présent. Vigilance s’impose et c’est à travers tout ça qu’on peut avoir la chance de préserver notre vrai pouvoir intérieur par exemple, tel que je le mentionnais dans une chronique précédente. Se regarder aller, se sentir vivre, se ressentir dans nos émotions, être à l’écoute de nos pensées, de notre ego, ce n’est pas des affaires de bonnes femmes tout ça, dirait-on, mais bien selon moi, les bases de la vie bien savourée et un gage de santé. Enfin fermer la télé ou l’ordinateur plus souvent pour prendre le temps de lire des lectures nourrissantes, prendre l’air, pourquoi pas ? Allez hop ! Il importe de choisir de se sentir sincèrement comblé par ce qu’on a opté de vivre. Agir et penser en fonction de ce qui crée profondément de l’aisance, de la joie, de la légèreté en soi et non pas, parce que la société ou le rythme actuel ou les autres ont dit que ça devrait être comme si ou comme ça. Osez s’accorder du temps seul, du temps pour faire le point, ressentir le calme, rire et pleurer même, réfléchir, se reposer, se détendre, dénouer les tensions mentales, émotionnelles et physiques est aussi important que dormir, boire et bien manger. Notre santé et notre qualité de vie en profitent en tous points, tout comme notre esprit décisionnel. Que pouvez-vous faire de beau, de bien et de bon pour vous aujourd’hui ? Sommes-nous trop matérialistes ? Je crois que nous avons parfois à nous détacher à un certain point de l’hyper matérialisme, de ces énergies qui alourdissent notre environnement inutilement, de trop d’objets superflus dans les greniers, dans le garage, les garde-robes et autres, des mauvaises nouvelles, de gens ou situations à vibrations négatives et qui nous siphonnent. Oui nous devons aider les autres, s’aider entre nous, c’est même un plaisir, mais nous avons à rester dissociés de la négativité et protéger nos énergies, notre vitalité si précieuse, notre gage de santé mentale et physique. En passant, est-ce que ça va changer quelque chose dans notre vie de s’en faire par exemple pour quelqu’un vu dans une nouvelle à la télé et qui a eu une importante mésaventure ? Oui à la compassion humaine,