REFRESH(900 sec): telligence-artificielle-le-manifeste-de-mark-zuckerberg_5081314_4408996 Le Monde Télérama Le Monde diplomatique Le Huffington Post Courrier international La Vie L'Obs Services Le Monde Partenaires Le Monde Annonces auto Annonces emploi Annonces immo Codes promo Citations Cours d’anglais Formation professionnelle Jardinage Modèles de lettres Orthographe Paroles de chansons Prix de l’immobilier Ventes aux enchères Boutique Le Monde Accueil Hors-Séries Livres DVD CD Unes du Monde S'abonner au Monde à partir de 1 € Rechercher Emploi Newsletters Modération, politique, intelligence artificielle… le « manifeste » de Mark Zuckerberg Partager Tweeter En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez nos CGV et l’utilisation de cookies pour vous proposer des contenus et services adaptés à vos centres d’intérêts et vous permettre l'utilisation de boutons de partages sociaux. En savoir plus et gérer ces paramètres. Rubriques Monde Pixels Article sélectionné dans La Matinale du 17/02/2017 Découvrir l’application Modération, politique, intelligence artificielle… le « manifeste » de Mark Zuckerberg Le fondateur de Facebook a publié un très long texte, jeudi, dans lequel il détaille sa vision de l’avenir du réseau social. Le Monde | 17. -- Il considère que l’approche la plus efficace sera de « présenter un large panel de perspectives, et de laisser les utilisateurs voir où se situent leurs opinions dans ce spectre, et les laisser parvenir à leur propre conclusion sur ce qui est juste ». Développement d’intelligences artificielles Sur ces questions, comme sur le harcèlement en ligne, le fondateur de Facebook compte sur les progrès de l’intelligence artificielle pour être plus efficace : « Nous travaillons en ce moment sur des systèmes qui pourront analyser des photos et des vidéos pour déterminer automatiquement quels contenus nos équipes de modération devraient regarder. (…) Nous cherchons également à construire une intelligence artificielle qui sera capable de faire la différence entre un article de presse qui parle de terrorisme et un message de propagande terroriste. » Ces outils, particulièrement complexes à concevoir, ne seront pas pour tout de suite, concède M. Zuckerberg. Lire : Mark Zuckerberg, Iron Man et l’intelligence artificielle : la surprenante mise en scène du patron de Facebook Pour autant, il réaffirme à plusieurs reprises que Facebook ne se voit pas comme un censeur. « Voir du contenu désagréable est une aussi mauvaise expérience que de se voir dire qu’on n’a pas le droit de partager quelque chose qui nous tient à cœur », écrit-il.