Mariage homosexuel

Sommaire

  • Introduction
    • Le « mariage » homosexuel est une hérésie contre la loi naturelle
    • Le « mariage » homosexuel est une abomination
  • Présentation
  • 10 raisons pour lesquelles le «mariage» homosexuel est nuisible et doit être combattu
    • 1. Ce n’est pas le mariage
    • 2. Il viole la loi naturelle
    • 3. Il nie toujours qu’un enfant a un père ou une mère
    • 4. Il valide et favorise le mode de vie homosexuel
    • 5. Il tourne une faute morale en un droit civil
    • 6. Il ne crée pas une famille mais une union naturellement stérile
    • 7. Il défait la finalité du mariage dont fait bénéficier l’Eglise et l’Etat 
    • 8. Il impose son acceptation sur toute la société
    • 9. Il est la fine pointe de la révolution sexuelle
    • 10. C’est une offense à Dieu
  • Que dit la Bible à propos du « mariage » de même sexe ?

 

Introduction

Le « mariage » homosexuel est une hérésie contre la loi naturelle

Comme le « gender », le « mariage » homosexuel est une hérésie contre la loi naturelle, et ses partisans sont des hérétiques contre la loi naturelle.Une hérésie contre la loi naturelle est la négation d’une chose que tout le monde sait être vraie.

La loi naturelle est inscrite dans le cœur de tous les hommes, de sorte que tous les hommes savent que certaines choses sont contre la loi de Dieu, et que certaines choses sont conformes à la loi naturelle de la charité, etc.

Romains 2, 13-15 : Car ce ne sont pas ceux qui écoutent la loi [loi ancienne mosaïque] qui sont justes devant Dieu ; mais ce sont les observateurs de la loi qui seront justifiés [sauvés par la loi nouvelle]. En effet, lorsque les gentils [païens], qui n’ont pas la loi [ancienne et nouvelle], font naturellement [loi naturelle] ce qui est selon la loi ; n’ayant pas la loi, ils sont à eux-mêmes la loi : montrant ainsi l’œuvre de la loi écrite en leurs cœurs, leur conscience leur rendant témoignage, et leurs pensées s’accusant et se défendant l’une l’autre ».

Comme le commentaire (Bible Haydock) l’explique correctement sur Romains 2, 14-16 :

« Ces hommes sont une loi pour eux-mêmes, et l’ont écrite dans leurs cœurs, quant à l’existence d’un Dieu, et leur raison leur dit que beaucoup de péchés sont illicites : ils peuvent aussi faire des actions qui sont moralement bonnes, comme l’aumône pour soulager les pauvres, en honorant leurs parents, etc. Non pas que ces actions, moralement bonnes, suffiront d’elles-mêmes pour leur justification, ou leurs méritent une récompense surnaturelle dans le royaume des cieux, mais Dieu, dans sa miséricorde infinie, leur donnera des grâces surnaturelles qui, s’ils continuent de coopérer avec elles, leurs obtiendront plus de grâces et finalement ils seront exposés à la foi catholique, s’ils doivent être sauvés».

Pape Eugène IV, Concile de Florence, Athanase, Sess. 8, 22 novembre 1439, ex cathedra : «Quiconque veut être sauvé, doit avant tout tenir la foi catholique, à moins que chacun la conserve intègre et inviolée, il périra sans aucun doute dans l’éternité. Mais, la foi catholique est que nous adorons un seul Dieu dans la Trinité et la Trinité dans l’unité. Mais il est nécessaire pour le salut éternel qu’il croit fidèlement aussi à l’incarnation de notre Seigneur Jésus-Christ … le Fils de Dieu qui est Dieu et homme … Telle est la foi catholique, à moins que chacun la croit fidèlement et fermement, il ne peut pas être sauvé».

S’ils ne connaissent pas les autres dogmes catholiques (autres que la Trinité et l’Incarnation), alors ils ne sont pas hérétiques mais des catholiques [chrétiens], sauf s’ils tiennent une position incompatible avec la foi dans la Trinité et l’Incarnation, ou nient une vérité qu’ils savent être vraie sur Dieu et la loi naturelle ou nient quelque chose qu’ils savent être clairement enseigné dans les Ecritures. Par exemple, si la personne baptisée décrite ci-dessus prétend croire en la Trinité et l’Incarnation, mais considère que toutes les religions sont plus ou moins bonnes, alors c’est un hérétique et il n’a pas la foi catholique (avant même qu’il sache qu’une telle position est condamnée par l’Égliseparce que sa croyance est incompatible avec la vraie foi en la Trinité comme le seul vrai Dieu, croyance qui’il doit tenir selon la foi catholique dans ses composantes les plus simples.

Pape Pie XI, Mortalium Animos, n° 2, 6 janvier 1928 : «… cette fausse opinion qui considère que les religions sont toutes plus ou moins bonnes et louables …  Non seulement ceux qui soutiennent cette opinion sont dans l’erreur et trompés, mais aussi en pervertissant la notion de la vraie religion ils la rejettent…»

Un autre exemple serait si le baptisé qui croit en la Trinité et l’Incarnation (qui sont les composantes les plus simples de la foi catholique) et qui n’a jamais entendu parler d’autres dogmes catholiques, soutient que l’homme n’a pas le libre arbitre (ce que certains protestants enseignent). Cette personne serait également devenue hérétique avant même qu’elle ait vu sa situation condamnée par l’Eglise et avant qu’elle ait entendu parler d’autres dogmes catholiques (autres que la Trinité et l’Incarnation), car elle rejette une vérité qu’elle sait être vraie de la loi naturelle, à savoir que l’homme a une volonté libre. Ainsi, elle nie une vérité à savoir sur l’homme de la loi naturelle et est un hérétique.

Un autre exemple serait si le baptisé qui croit en la Trinité et l’Incarnation (la foi catholique dans ses composantes les plus simples) et qui n’a jamais entendu parler d’autres dogmes catholiques, refuse de croire que Dieu est le rémunérateur et vengeur. Cette personne est hérétique, même si elle n’a jamais vu que sa position est condamnée par l’Eglise et qu’elle n’a jamais entendu parler d’autres dogmes catholiques, parce qu’elle rejette une vérité qu’elle sait être vrai de la loi naturelle, selon laquelle Dieu est le rémunérateur et punisseur de nos actions (voir Héb. 11, 6).

Une grande majorité des protestants croient aujourd’hui dans les doctrines de «la foi seule» et la «sécurité éternelle». Ces doctrines sont contraires à là loi naturelle et à la raison qui expliquent que chaque homme doit être récompensé ou puni pour ses actes. Elles contredisent également, mot pour mot, l’enseignement de Jacques 2 dans l’Écriture, qui enseigne que la foi sans les œuvres est morte, et que l’homme n’est pas sauvé par la foi seule. Cette personne qui croit en la foi seule ou la sécurité éternelle est hérétique, même si elle n’a jamais vu que sa position est condamnée par l’Eglise et n’a jamais entendu parler d’autres dogmes catholiques, parce qu’elle rejette une vérité qu’elle sait être vraie de la loi naturelle, selon laquelle Dieu est le rémunérateur et punisseur de nos actions, et que la foi seule ne justifie pas un homme seulement, mais aussi ses actes.

D’autres hérésies communes contre la loi naturelle sont de considérer que le contrôle des naissances ou la planification familiale naturelle, aussi appelé PFN, que beaucoup de « catholiques » pratiquent pour éviter la conception, (ce qui les rend coupables du péché mortel de contraception) est acceptable, ou si une personne considère que l’avortement est acceptable, ou si une personne constate que la consommation de psychotropes où la conscience est entravée est acceptable. Ces exemples pourraient tous tomber dans la catégorie du péché mortel, car ils rejettent une vérité qu’ils savent être vraie de la loi naturelle, à savoir : 1) que l’avortement est un assassinat, 2) que la contraception ou PFN frustre délibérément le pouvoir naturel d’engendrer la vie, 3) et que les psychotropes tels que fumer de la marijuana est un péché mortel, tout comme se saouler.

Le « mariage » homosexuel est une abomination.

Le « mariage » homosexuel est une abomination pour Dieu. Une «abomination» est quelque chose qui est odieux aux yeux de Dieu, c’est une chose pour laquelle Il n’a pas d’estime et aucun respect, comme des souillures avec les démons ou la prostitution spirituelle ou comme l’hérésie contre la loi naturelle ou comme les sectes.

Joseph Gulino, nouveau Grand maître du Grand Orient de France (première obédience maçonnique de France), le lendemain de son élection, août 2012 : «… à titre personnel, je suis complètement favorable au mariage homosexuel. … On va y travailler. Si deux hommes ou deux femmes veulent faire un parcours ensemble, je ne vois pas en vertu de quelle morale on puisse leur interdire !».

Présentation

Le «mariage» homosexuel (plus communément connu sous le nom de « mariage » de même sexe) est un soi-disant mariage entre deux personnes du même sexe. Le «mariage» homosexuel est un projet de redéfinition ou variation du concept traditionnel du mariage, l’octroi d’unions de même sexe ayant le même statut juridique que le mariage hétérosexuel. Un autre système similaire d’unions civiles. Comme la polygamie, il remplace le modèle «un homme, une femme» considéré comme un mandat divin par la plupart des gens religieux contemporains. La proposition est outrageusement inacceptable pour les vrais chrétiens, et la plupart des membres du judaïsme et de l’islam, car il utilise la force de la loi laïque pour justifier ce que l’Ecriture de la plupart des religions contemporaines a clairement marqué comme étant un péché digne de mort : c’est à dire, l’homosexualité. Les règles de la parole et les lois sont déjà en place qui limitent la critique des unions de même sexe.

Depuis 2001, dix pays ont commencé à permettre aux couples de même sexe de se « marier » : l’Argentine, la Belgique, le Canada, l’Islande, les Pays-Bas, la Norvège, le Portugal, l’Espagne, l’Afrique du Sud et la Suède. Des « mariages » de même sexe sont également réalisés et comptabilisés dans la ville de Mexico et dans certaines parties des États-Unis. Certaines juridictions qui ne fonctionnent pas avec les «mariages» de même sexe les reconnaissent ailleurs : Israël, les pays des Caraïbes du Royaume des Pays-Bas, des parties des Etats-Unis, et tous les États du Mexique. L’Australie reconnaît les «mariages» de même sexe seulement avec un seul partenaire «changeant» de sexe après le «mariage». À partir de 2012, des propositions existent pour introduire le « mariage » de même sexe dans au moins dix autres pays.

En mai 2012, les électeurs de Caroline du Nord ont interdit à la fois le « mariage » de même sexe « et les syndicats ». La Caroline du Nord est ainsi devenue le 29ème État des États-Unis à adopter un amendement contre le « mariage » gay par une énorme majorité de 61-39%.

La législation actuelle des États-Unis définit le «mariage» comme «un homme, une femme» selon la loi de défense du gouvernement fédéral sur le mariage, qui interdit au gouvernement fédéral de reconnaître les relations homosexuelles comme des «mariages» pour n’importe quel but, même si cela est permis en vertu de l’état de droit, et permet à un état à ne pas tenir compte du « mariage » de même sexe conclu dans un autre Etat.

La Cour suprême à Washington a légalisé le mariage homosexuel « gay » partout aux Etats-Unis, le 26 juin 2015.

La France a légalisé le mariage homosexuel : la  loi du « mariage pour tous » a été définitivement adoptée (imposée) par l’Assemblée nationale (maçonnique) le 23 avril 2013. C’est le début de la fin.

 

10 raisons pour lesquelles le «mariage» homosexuel est nuisible et doit être combattu

  1. Ce n’est pas le mariage

Appeler quelque chose mariage ne permet pas que ce soit le mariage. Le mariage a toujours été une alliance entre un homme et une femme qui est par sa nature ordonné à la procréation et à l’éducation des enfants, l’unité et le bien-être des conjoints.

Les promoteurs du « mariage » de même sexe proposent quelque chose d’entièrement différent. Ils proposent l’union entre deux hommes ou deux femmes. Cela prive les différences biologiques, physiologiques et psychologiques évidentes entre les hommes et les femmes qui trouvent leur complémentarité dans le mariage. Cela nie également le principal objectif spécifique du mariage : la perpétuation de la race humaine et l’éducation des enfants.

Deux choses totalement différentes ne peuvent pas être considérées comme la même chose.

 

  1. Il viole la loi naturelle

Le mariage n’est pas une union quelconque entre les êtres humains. C’est une relation enracinée dans la nature humaine et donc régie par la loi naturelle.

Le précepte le plus élémentaire de la loi naturelle est que «le bien est à faire et à poursuivre, et le mal est à éviter». Par la raison naturelle, l’homme peut percevoir ce qui est moralement bon ou mauvais pour lui. Ainsi, il peut connaître la fin ou le but de chacun de ses actes et la façon dont il est moralement inacceptable de transformer les moyens qui l’aident à accomplir un acte dans sa finalité ou but.

Toute situation qui institutionnalise le contournement de l’objet de l’acte sexuel viole le droit naturel et la norme objective de la moralité.

Enracinée dans la nature humaine, la loi naturelle est universelle et immuable. Elle s’applique à tout le genre humain. Elle ordonne et interdit toujours, partout et toujours. Saint Paul a enseigné dans l’épître aux Romains que la loi naturelle est inscrite dans le cœur de chaque homme. (Romains 2, 14-15)

 

  1. Il nie toujours qu’un enfant a un père ou une mère

Il est dans l’intérêt supérieur de l’enfant d’être élevé sous l’influence de son père et sa mère naturels. Cette règle est confirmée par les difficultés évidentes rencontrées par les nombreux enfants qui sont orphelins ou qui sont élevés par un seul parent, un parent, ou un parent nourricier.

La situation malheureuse de ces enfants sera la norme pour tous les enfants d’un « mariage » de même sexe. Un enfant d’un « mariage » même sexe sera toujours privé soit de sa mère ou son père naturel. Il sera nécessairement élevé par un parti qui n’a pas de lien de sang avec lui. Il sera toujours privé de soit d’une mère ou d’un modèle de rôle de père.

Le « mariage » de même sexe ne tient pas compte de l’intérêt supérieur de l’enfant.

 

  1. Il valide et favorise le mode de vie homosexuel

Le nom de «famille» du « mariage » de même sexe sert à valider non seulement les syndicats, mais tout le mode de vie homosexuel dans toutes ses variantes bisexuelles et transgenres.

Les lois civiles sont des principes structurants de la vie de l’homme dans la société. En tant que tels, ils jouent un rôle très important et parfois déterminant dans la formation de la pensée et du comportement. Ils façonnent extérieurement la vie de la société, mais aussi modifient profondément la perception et l’évaluation de chacun des types de comportement.

La reconnaissance juridique du «mariage» de même sexe obscurçit nécessairement certaines valeurs morales fondamentales, dévalue le mariage traditionnel, et affaiblt la moralité publique.

 

  1. Il tourne une faute morale en un droit civil

Les activistes homosexuels affirment que le « mariage » de même sexe est un des droits civils de question semblable à la lutte pour l’égalité raciale dans les années 1960.

Ceci est faux.

Tout d’abord, le comportement sexuel et la race sont essentiellement des réalités différentes. Un homme et une femme voulant se marier peuvent être différents dans leurs caractéristiques : un peut être noir, l’autre blanc ; un riche, l’autre pauvre ; ou un grand, et l’autre petit. Aucune de ces différences ne sont des obstacles insurmontables au mariage. Les deux individus sont toujours l’homme et la femme, et donc les exigences de la nature sont respectées.

Le « mariage » de même sexe s’oppose à la nature. Deux personnes du même sexe, indépendamment de leur race, richesse, stature, érudition ou de leur renomée, ne seront jamais en mesure de se marier en raison d’une impossibilité biologique insurmontable.

Deuxièmement, les traits raciaux héréditaires et immuables ne peuvent pas être comparés avec le comportement non-génétique et changeant. Il n’y a tout simplement pas d’analogie entre le mariage interracial d’un homme et d’une femme et le «mariage» entre deux personnes du même sexe.

 

  1. Il ne crée pas une famille mais une union naturellement stérile

Le mariage traditionnel est généralement si fécond que ceux qui y feraient obstacle à l’extrémité doivent faire violence à la nature pour empêcher la naissance d’enfants en utilisant la contraception ou la Planification Familiale Naturelle. Il a naturellement tendance à créer des familles.

Au contraire, le « mariage » de même sexe est intrinsèquement stérile. Si les «conjoints» veulent un enfant, ils doivent contourner la nature par des moyens coûteux et artificiels ou employer des substituts. La tendance naturelle d’une telle union n’est pas de créer des familles, mais d’assouvir la passion, l’égoïsme et la convoitise.

Par conséquent, nous ne pouvons pas appeler un mariage l’union de même sexe, ni lui donner les avantages d’un vrai mariage.

 

  1. Il défait la finalité du mariage dont fait bénéficier l’Eglise et l’Etat 

L’une des principales raisons pour lesquelles l’Eglise et l’Etat confèrent de nombreux avantages sur le mariage, c’est que par sa nature même et la conception, le mariage offre les conditions normales d’une atmosphère stable, affectueuse et morale qui est bénéfique pour l’éducation des enfants – tous des fruits de l’affection mutuelle des parents. Cela contribue à la perpétuation de la nation et au renforcement de la société et dans l’éducation des enfants pour le ciel, un intérêt évident de l’Eglise et de l’Etat.

Le «mariage» homosexuel ne fournit pas ces conditions. Son but principal, objectivement parlant, est la satisfaction personnelle de deux personnes dont l’union est stérile par nature. Il n’a pas le droit, par conséquent, à la protection de l’Église et de l’État qui s’étend au vrai mariage.

Ce n’est que dans l’éternité que connaîtrons les âmes immortelles qui se voient refuser une chance de ciel à cause de ce comportement égoïste. La seule chose qui peut contrecarrer la volonté du Dieu tout-puissant est la volonté de ses créatures chétives ; car il ne forcera pas la progéniture pour personne, tout comme il ne violera pas la libre volonté de tout le monde.

 

  1. Il impose son acceptation sur toute la société

En légalisant le « mariage » de même sexe, l’État en devient le promoteur officiel et actif. L’Etat appelle les fonctionnaires à officier avec la nouvelle cérémonie civile, ordonne les écoles publiques d’enseigner son acceptabilité pour les enfants, et punit tout employé de l’État qui exprime de la désapprobation.

Dans la sphère privée, les parents qui s’opposent verront leurs enfants exposés plus que jamais à cette nouvelle «morale», les entreprises offrant des services d’organisation de mariages seront obligés de leur fournir des unions de même sexe, et les propriétaires d’immeubles locatifs devront s’engager à accepter des couples de même sexe en tant que locataires.

Dans toutes les situations où le mariage affecte la société, l’État incite les chrétiens et toutes les personnes opposées aux unions homosexuelles à trahir leur conscience en approuvant, par le silence ou un acte, une attaque contre la morale chrétienne et l’ordre naturel.

 

  1. Il est la fine pointe de la révolution sexuelle

Dans les années 1960, la société a subi des pressions pour accepter tous les types de relations sexuelles immorales entre hommes et femmes. Aujourd’hui, nous assistons à une nouvelle révolution sexuelle où la société est appelée à accepter la sodomie et le «mariage» de même sexe .

Si le «mariage» homosexuel est universellement accepté comme l’étape actuelle de la «liberté» sexuelle, quels sont les arguments logiques pouvant être utilisés pour arrêter les prochaines étapes de l’inceste, lde a pédophilie, de la bestialité, et d’autres formes de comportements condamnables contre nature ? En effet, les éléments radicaux de certaines sous-cultures «d’avant-garde» préconisent déjà de telles aberrations.

Le cheminement du « mariage » de même sexe sur le peuple américain rend plus clair ce qu’a écrit ce militant homosexuel Paul Varnell dans le Chicago Free Press :

 » Le mouvement gay, que nous le reconnaissions ou pas, n’est pas un mouvement pour les droits civiques, même pas un mouvement de libération sexuelle, mais une révolution morale qui vise à changer le point de vue des gens sur l’homosexualité. »

 

  1. C’est une offense à Dieu

Ceci est la raison la plus importante. Chaque fois qu’on viole l’ordre moral naturel établi par Dieu, on pèche et on offense Dieu. Le « mariage » de même sexe fait exactement cela. En conséquence, toute personne qui prétend aimer Dieu doit lui être opposée.

Le mariage n’est pas la créature de tout État. Au contraire, il a été établi par Dieu dans le Paradis pour nos premiers parents, Adam et Eve. Comme nous le lisons dans le Livre de la Genèse : «Dieu créa l’homme à son image, à l’image de Dieu il le créa, homme et femme il les créa. Dieu les bénit, en disant :« Soyez féconds, multipliez, remplissez la terre et soumettez-la» (Genèse 1, 28-29)

Le même a été enseignée par Notre Sauveur Jésus-Christ : «Depuis le début de la création, Dieu les fit mâle et femelle A cause de cela, l’homme quittera son père et sa mère, et s’attachera à sa femme.». (Marc 10, 6-7).

La Genèse enseigne aussi comment Dieu a puni Sodome et Gomorrhe pour le péché d’homosexualité : «Le Seigneur fit pleuvoir le feu sulfureux sur Sodome et Gomorrhe. Il détruisit ces villes et toute la plaine, ainsi que les habitants des villes et les produits de la terre. » (Genèse 19, 24-25)

 

Que dit la Bible à propos du « mariage » de même sexe ?

Bien que la Bible traite de l’homosexualité, elle ne mentionne pas explicitement le «mariage» de même sexe. Il est clair, cependant, que la Bible condamne l’homosexualité comme un péché immoral et contre nature. Lévitique 18, 22 identifie l’homosexualité comme une abomination, un péché détestable. Romains 1, 26-27 déclare que les désirs et les actions homosexuelles sont honteux, contre nature, lascifs, et indécents. 1 Corinthiens 6, 9 stipule que les homosexuels sont injustes et n’hériteront pas le royaume de Dieu. Comme les deux, désirs et actions homosexuels, sont condamnés dans la Bible, il est clair que le «mariage» d’homosexuels n’est pas la volonté de Dieu, et est, en fait, invalide et pécheur.

Chaque fois que la Bible parle de «mariage», c’est entre un homme et une femme. La première mention du mariage, de Genèse 2, 24, le décrit comme un homme qui quitte ses parents et est uni à sa femme. Dans les passages qui contiennent des instructions concernant le mariage, comme 1 Corinthiens 7, 2-16 et Ephésiens 5, 23-33, la Bible identifie clairement le mariage comme étant entre un homme et une femme. Bibliquement parlant, le mariage est la durée de vie de l’union d’un homme et d’une femme, principalement dans le but de fonder une famille pour le ciel et en fournissant un environnement stable pour cette famille.

La Bible seule, cependant, ne doit pas être utilisée pour démontrer cette compréhension du mariage. Le point de vue biblique du mariage a été la compréhension universelle du mariage dans toute civilisation humaine dans l’histoire du monde. L’histoire plaide contre le «mariage» de même sexe. La psychologie moderne et laïque reconnaît que les hommes et les femmes sont psychologiquement et émotionnellement conçus pour se compléter les uns les autres. En ce qui concerne la famille, les psychologues soutiennent que l’union entre un homme et une femme dont les deux conjoints sont de bons modèles de rôle entre les sexes est le meilleur environnement pour élever des enfants bien adaptés. La psychologie plaide contre le «mariage» de même sexe. Dans la nature / physique, clairement, les hommes et les femmes ont été conçus pour se completer ensemble sexuellement dans le but «naturel» que le rapport sexuel soit la procréation, pour qu’une relation sexuelle entre un homme et une femme puisse atteindre ce but. La nature va à l’encontre du «mariage» de même sexe.

Tout le monde sait par nature que l’homosexualité est immorale et contre nature, et le seul moyen de supprimer cette connaissance inhérente est de normaliser l’homosexualité et d’attaquer toute opposition. La meilleure façon de normaliser l’homosexualité est de placer le « mariage » de même sexe sur un plan d’égalité avec le mariage traditionnel de sexe opposé. Romains 1, 18-32 illustre cette situation. La vérité est connue parce que Dieu l’a mise en évidence. La vérité est rejetée et remplacée par un mensonge. Le mensonge est alors favorisé et la vérité supprimée et attaquée. La véhémence et la colère exprimée par beaucoup dans le mouvement des droits des homosexuels à tous ceux qui s’opposent à eux est, en fait, une indication qu’ils savent que leur position est indéfendable. Essayer de surmonter une position de faiblesse en élevant la voix est le plus vieux truc dans les annales de débat. Ce n’est peut-être pas la description la plus précise de l’ordre du jour des droits des homosexuels modernes de Romains 1, 31, « ils sont insensés, infidèles, sans cœur, sans pitié. »

Donner une approbation au «mariage» homosexuel serait donner son approbation au mode de vie homosexuel, que la Bible condamne clairement et uniformément comme un péché. Les chrétiens doivent s’opposer fermement à l’idée de «mariage» de même sexe. En outre, il existe des arguments forts et logiques contre le « mariage » de même sexe des contextes complètement séparés de la Bible. On n’a pas besoin d’être chrétien pour reconnaître que le mariage est entre un homme et une femme.

Selon la Bible, le mariage est ordonné par Dieu pour être entre un homme et une femme (Genèse 2, 21-24 ; Matthieu 19, 4-6). Le « mariage » de même sexe est une perversion de l’institution du mariage et une infraction au Dieu qui a créé le mariage. En tant que chrétiens, nous ne devons pas négliger ou ignorer le péché. Au contraire, nous devons partager l’amour de Dieu et le pardon des péchés qui est accessible à tous, y compris les homosexuels, s’ils souhaitent se détourner de leurs péchés, par Jésus-Christ et le baptême. Nous devons dire la vérité dans l’amour (Ephésiens 4, 15) et lutter pour la vérité avec «douceur et respect» (1 Pierre 3, 15). En tant que chrétiens, quand nous prenons position pour la vérité et que le résultat est des attaques personnelles, des insultes, et la persécution, nous devons nous rappeler les paroles de Jésus : « Si le monde vous hait, sachez qu’il m’a haï le premier. Si vous étiez du monde, le monde aimerait ce qui lui appartiendrait en propre. Mais parce que vous n’êtes pas du monde, et que je vous ai choisis du milieu du monde, à cause de cela, le monde vous hait.» (Jean 15, 18-19).