REFRESH(1799 sec): file://localhost/mnt/c/Users/yingy/Desktop/1PROJET-MOT-SUR-LE-WEB/PAGES -ASPIREES/3-33.html #alternate alternate franceinfo * vidéos * * radio * * jt * * magazines ____________________ Direct TV Direct Radio * Accueil * politique * faits-divers * société + o Débats o Drogue o Education o Egalité femmes-hommes o Fin de vie o Guerre de 14-18 o Harcèlement et agressions sexuels o Justice o Mariage o Nucléaire + o PMA o Prostitution o Laïcité o Résultats Bac o Résultats Bep o Résultats Brevet o Résultats Bts o Résultats Cap o Sécurité routière Les sujets du moment + o #NousToutes o Féminicides o Gestation pour autrui o Immigration o Loi sur la famille + o Pornographie o Prisons o Religion o SDF o Violences faites aux femmes * éco/conso * monde * culture * sports * santé * sciences * tech/web * environnement * météo * vrai ou fake * Le live * Actualités * Société * Egalité femmes-hommes Equateur : le Parlement vote contre la dépénalisation de l'avortement Les femmes victimes de viol, y compris incestueux, encourent toujours jusqu'à deux ans de prison si elles décident d'avorter. Une jeune femme venue militer pour la dépénalisation partielle de l\'avortement, à Quito (Equateur), à l\'annonce du votre contre le projet de loi, le 17 septembre 2019.  Une jeune femme venue militer pour la dépénalisation partielle de l'avortement, à Quito (Equateur), à l'annonce du votre contre le projet de loi, le 17 septembre 2019. (RODRIGO BUENDIA / AFP) avatar franceinfo avec AFPFrance Télévisions Mis à jour le 18/09/2019 | 11:39 publié le 18/09/2019 | 07:33 Ni les viols, ni les malformations du fœtus ne justifient l'avortement, selon le Parlement équatorien. L'Assemblée nationale s'est prononcée contre la dépénalisation de l'avortement, mardi 17 septembre, pour les cas de viol, y compris incestueux, ainsi qu'en cas de malformation du foœtus. Le vote a été serré, avec soixante-cinq élus en faveur du projet de loi sur la dépénalisation de l'avortement en cas de viol et soixante-dix élus contre. Des activistes pro-avortement ont manifesté leur colère devant le Parlement, à Quito, rappellant que chaque année, quelque 2 500 adolescentes donnent naissance à un enfant de viol. Le Code pénal, en vigueur depuis 2014, dispose qu'une femme qui provoque un avortement ou permet à une autre personne de le faire encourt une peine allant de six mois à deux ans de prison. Si, au cours de la procédure, la mère décède, la personne qui a pratiqué l'avortement risque une peine pouvant aller jusqu'à seize ans de prison. L'Equateur, pays conservateur dont 80% de la population est catholique, n'autorise l'avortement que lorsque la vie ou la santé de la mère est en danger. Une exception est faite si la grossesse est le résultat du viol d'une femme souffrant d'un handicap mental. A lire aussi * VIDEO. Égalité salariale, parité en politique... La situation des femmes en Suède * Violences conjugales : une formation pour policiers et gendarmes * franceinfo junior. C'est quoi les droits de l'Homme ? * Réforme des retraites : quels avantages pour les mères de famille ? * La Finlandaise Sanna Marin, plus jeune cheffe de gouvernement de la planète Sujets associés * Egalité femmes-hommes * IVG * Violences faites aux femmes * Société