Économie Izy, le nouveau TGV qui relie Paris et Bruxelles à… petite vitesse Afin d’enrayer la baisse de fréquentation, la SNCF et la SNCB font -- 2014 FRANCOIS LENOIR/REUTERS L’innovation marketing ne connaît pas de limite à la SNCF Après iDTGV, qui a redéfini l’offre TGV, après Ouigo, le TGV à bas coûts de la société nationale, c’est au tour de Thalys d’innover La filiale à 60 % du français – son homologue belge, la SNCB, en possède 40 % – lance, -- sur la ligne Paris-Bruxelles Lire aussi SNCF : pourquoi un TGV et une voie ferrée valent-ils moins aujourd’hui qu’hier ? -- fréquentation (– 6 % en 2015) et à élargir ses services aux clients loisirs, jeunes ou retraités, avec des offres très abordables Les deux rames de TGV en livrée verte et violette relieront deux ou trois fois par jour les deux villes Objectif : augmenter de 10 % le volume de passagers ferroviaires sur Paris-Bruxelles -- Le prix, serré au maximum, est compris entre 19 et 59 euros, voire 69 euros si le client prend l’option XL Le voyageur qui acceptera d’être assis sur l’un des 25 strapontins du TGV s’acquittera de 15 euros Et dix billets « sans place assise garantie » seront proposés à 10 euros « S’il y a des places libres, ils pourront s’asseoir », -- tr?id=122349388153507&ev=PageView&noscript=1 collect?v=1&t=pageview&tid=UA-15394037-2&dl=https%3A%2F%2Fwwwlemonde fr%2Feconomie%2Farticle%2F2016%2F04%2F02%2Fizy-le-nouveau-tgv-qui-relie -paris-et-bruxelles-a-petite-vitesse_4894478_3234html&dt=Le+Mondefr+- +Actualit%C3%A9s+et+Infos+en+France+et+dans+le+monde