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Anasse Kazib est interrogé sur la dette de la SNCF par les Grandes Gueules de RMC Pas intimidé, le cheminot reprend Alain Marschall de volée : «Cette histoire de dette, c’est juste une plaisanterie !» Avant de lancer, comme s’il était en assemblée générale dans sa gare : «On va payer la dette d’une direction SNCF et de gouvernements qui ont choisi leurs lignes de TGV, à l’image d’Alain Juppé qui s’est fait Paris-Bordeaux» Chœur outré des chroniqueurs en plateau : «Tu ne peux pas dire ça !» Mais Anasse Kazib a le cuir solide pour un syndicaliste de 31 ans La mobilisation contre la réforme de la SNCF a fait passer ce militant du statut de délégué du personnel SUD rail à Paris Nord à celui de duelliste à la télé «On critique souvent le discours médiatique, alors je saisis l’opportunité de donner un contrepoint On ne peut pas critiquer et ne rien dire quand on est invité Alors j’y vais et je diffuse mes idées», explique-t-il en les qualifiant volontiers de «révolutionnaires» Mais si sa médiatisation a fait d’Anasse Kazib un cas à part, il est aussi le symbole de cette nouvelle génération de jeunes leaders syndicaux, prêts à en découdre, qui a émergé de ces deux mois de grève Paris, le 3 mai 2018 Assemblée générale intersyndicale, à Gare du Nord Portrait de Anasse Kazib, syndicaliste SUD rail COMMANDE N° 2018-0553 Anasse Kazib, le 3 mai à Paris A Paris Nord, ils sont trois délégués du personnel SUD rail dans leur gare, avec un profil quasi similaire : Farid Errouihi, Karim Dabaj et Anasse Kazib Tous trentenaires et cheminots depuis quelques années, ils ont grandi en banlieue parisienne dans des familles ouvrières arrivées du Maroc dans les années 60-70 En assemblée générale, ils sont de ceux que l’on remarque pour leur sens de la formule Comme ce jour d’avril où, critiquant le calendrier intermittent de la CGT, Kazib a estimé devant 200 cheminots en AG que «faire la grève deux jours sur cinq, c’est comme faire un régime pendant deux jours et manger McDo les autres jours» Une punchline citée depuis en référence par les militants du dépôt lorsqu’ils doivent critiquer les modalités du calendrier de la mobilisation Résultat, à chaque manifestation, les caméras ayant flairé le bon client le sollicitent pour une réaction Et lui de revenir en héros parmi les siens : «Je t’ai vu au JT d’M6 hier, t’y es allé fort !» Karim Dabaj, lui, est plutôt connu pour sa gouaille et son franc-parler Souvent en retrait, il est capable de soulever plusieurs centaines de cheminots en quelques dizaines de secondes, perché sur une chaise en plastique Ce qui pousse souvent la personne prenant la parole après lui à s’excuser par avance d’un «ça ne va pas être facile de passer après ça» «Il fait mouche, tu sens qu’il ne s’exprime pas comme les autres, qu’il a un truc qui touche tout le monde», dit un autre employé Un graal Quant à Farid Errouihi, le plus discret des trois, les grévistes lui reconnaissent une grande capacité d’organisation «Je ne m’exprime que quand j’ai des choses à ajouter, je ne suis pas trop attiré par la médiatisation», concède le trentenaire «Il a convaincu pas mal de monde de se mobiliser dans son dépôt, ce qui n’est vraiment pas facile là-bas», dit l’un d’eux, admiratif Leur choix de faire carrière à la SNCF s’est presque fait par défaut, mais il leur a permis de devenir militants Dabaj parle du secteur public et de la «garantie de l’emploi» comme d’un graal, lui qui ne supporte pas de vivre «au jour le jour» Jeune adulte, après une expérience à PSA, il fait les démarches pour «entrer dans la fonction publique» : «A l’époque, on savait que ça ne tiendrait pas la route à PSA, qu’il y aurait des fermetures Je voulais avoir un poste fiable toute ma carrière J’ai eu le choix entre la RATP et la SNCF, j’ai choisi la SNCF», raconte-t-il Kazib se destinait à l’architecture, mais devient finalement cheminot par culture familiale «Je venais d’une famille ouvrière, j’avais envie de profiter, d’acheter une voiture Je me suis marié jeune aussi Plusieurs membres de ma famille y travaillaient, j’y avais déjà fait des boulots saisonniers, alors j’ai arrêté les études et je suis entré dans l’entreprise» Et décide de se syndiquer peu après «Je me suis fait réprimander par la direction parce que j’avais ouvert ma gueule Ils m’ont fait la misère en voulant me muter, en me disant que je n’avais pas le choix J’en ai parlé à des collègues, qui m’ont dit d’appeler les syndicats Je l’ai fait et immédiatement, la direction a changé d’avis Alors je me suis dit "on va se syndiquer"», se souvient ce père de famille Le récit est similaire du côté de Errouihi : «J’avais fait quatorze mois de CDD à la SNCF J’ai décidé de passer les tests pour y entrer Auparavant j’avais été un peu écœuré par la politique de certains chefs, je me suis toujours dit que le jour où je rentrerais dans une boîte, je m’inscrirais dans un syndicat Ce que j’ai fait à la SNCF» Ce combat syndical exprime une colère sourde, qui s’est libérée au moment de défendre leurs collègues Ils revendiquent avec pudeur l’importance de leur parcours familial dans cet engagement Leurs pères sont venus du Maroc pour travailler en tant qu’ouvriers à tout faire en France Aujourd’hui chibanis («cheveux blancs» ou «retraités» en arabe), ils ont mené les premiers des combats pour se défendre face à un patronat dur Que leurs fils racontent avec fierté «J’ai toujours vu mon père se battre pour ses conditions de travail chez Dunlop, dit Karim Dabaj Il faisait les trois-huit, parfois le samedi et le dimanche Quand j’étais petit, mes parents ont fait des concessions pour m’acheter des pompes de marque sans jamais se plaindre Je n’ai manqué de rien, mais après tu grandis, tu vois leur fiche de paye Tu te dis "c’est pas possible" Tu penses à eux, à tes gosses, tu veux les sortir de là» Celui de Farid Errouihi a été délégué syndical à Aéroports de Paris, à Roissy «Disons que ça m’a un petit peu donné des idées», reconnaît-il Quant au père d’Anasse Kazib, il s’est battu à l’époque pour obtenir, sans succès, le statut de cheminot que la réforme s’apprête à supprimer Il fait aussi partie des 848 travailleurs marocains qui ont poursuivi la SNCF pour discrimination «Mon père est né au Maroc, alors il a été discriminé sur sa carrière et sa retraite Il n’avait pas le statut alors qu’il était cheminot comme moi», raconte Kazib avec un fort sentiment d’injustice Une histoire familiale qui a compté au moment de s’engager dans une grève de deux mois : «Quand t’es fils de cheminot, ça te met la pression, mais tu connais les trois-huit, tu sais comment ça se passe avant même de mettre les pieds dans l’entreprise Tu sais que c’est un choix et que tu ne fais pas ça pour l’argent» «Tradition familiale» Dominique Baillet, sociologue et auteur de travaux sur les jeunes militants de banlieue, reconnaît chez les enfants d’immigrés la recherche d’une «certaine intégration, voire d’une ascension sociale» par le militantisme Et constate le rôle particulier de l’héritage laissé par les pères ouvriers immigrés «Dans les années 70, les travailleurs arrivés du Maghreb ont vite compris que c’était grâce au syndicalisme qu’ils allaient être défendus Pas par les partis car ils ne votaient pas Ni par les associations, car il y en a très peu à l’époque Ils s’engagent donc dans les syndicats qui sont présents sur leur lieu de travail Plus tard, leurs enfants se tournent naturellement vers le militantisme parce qu’il y a une tradition dans la famille» Paris, le 7 juin 2018 vÄ la Gare du Nord, pendant une assemblv©e gv©nv©rale de cheminots SNCF qui reconduisent leur grv®ve Portrait de Karim, syndicaliste COMMANDE N° 2018-0735 Karim Dabaj, cheminot à la gare du Nord S’ils sont des éléments précieux de la mobilisation, la cheminote SUD rail qui mène les débats des assemblées générales de la gare du Nord, Monique Dabat, rappelle que la SNCF a dû embaucher des jeunes issus des banlieues nord de Paris dans un souci de diversité Et que ces derniers ont amené avec eux une histoire de discriminations A l’école, où «la conseillère d’orientation te dit en troisième de faire un BEP alors que tu tournes à 14 ou 15 de moyenne», se souvient Karim Dabaj En tant que cheminot, lorsqu’un chef d’établissement a assuré à Farid Errouihi qu’on l’avait embauché «à l’image de sa clientèle» «Il sous-entendait que sur la ligne B, où je travaille, il n’y a que des Noirs et des Arabes et que personne ne veut travailler là Sauf moi, parce que je suis arabe», indique-t-il Puis en tant que délégué syndical, où «on ne te donne jamais de prime et on ne te propose jamais un déroulement de carrière», selon Anasse Kazib «Certains chefs nous disent qu’ils regrettent nos parents, les anciens On m’a dit un jour : "Au moins, eux, quand on leur demandait quelque chose, ils le faisaient sans rien dire, et en plus on avait le thé après"», s’insurge Errouihi Des discriminations que Monique Dabat a constatées au sein même des organisations syndicales «Ils sont tellement présents qu’on nous a parfois reproché de faire des "listes d’Arabes"», reconnaît-elle «Si on regarde l’organigramme de tous les syndicats, il y a rarement des gars comme eux tout en haut des organisations Ce n’est pas un hasard», constate un autre militant Alors au moment où la mobilisation contre la réforme est fragilisée par son adoption au Sénat, les trois militants SUD rail disent leur détermination : quelle que soit l’issue de la grève, ils continueront le combat pour les cheminots Et en mémoire de leur histoire __________________________________________________________________ L’Unsa et la Cfdt disent lutte ! C’est une petite musique que l’on entend depuis le début de la grève le 3 avril Mais quand donc les syndicats réformistes se décideront-ils à sortir du mouvement ? De fait, la CFDT et l’Unsa ont donné des signes de faiblesse Leurs représentants ont accepté de rencontrer la ministre fin mai pour déposer leurs amendements à la réforme de la SNCF avant le passage du texte au Sénat Au ministère des Transports, on espérait donc une sortie de grève des deux syndicats après l’adoption de la loi par les sénateurs Le texte a bien été voté cette semaine… mais la CFDT et l’Unsa demeurent dans l’unité Ils l’ont redit à la sortie de l’intersyndicale, jeudi après-midi : «Il a été décidé de poursuivre le mouvement», explique à Libération Roger Dillenseger, secrétaire fédéral d’Unsa ferroviaire Avec notamment au programme, une journée de mobilisation importante le 12 juin, au lendemain de la commission mixte paritaire du 11 Objectif : peser sur les négociations, particulièrement sur les conventions collectives «C’est la fin d’une étape, mais pas celle du mouvement Ce qu’on a obtenu n’est pas en mesure de nous faire sortir du mouvement parce qu’on risque de vivre une régression de la situation sociale des cheminots sans précédent depuis quatre-vingts ans», assure le représentant de l’Unsa Photos Denis Allard et Martin Colombet Hans Lucas Gurvan Kristanadjaja partager tweeter Laurent Joffrin La lettre politique de Laurent Joffrin Recevez tous les jours le billet politique de Laurent Joffrin ____________________ BUTTON Input (not implemented)__________ Vous êtes abonné à Libération Le journal d'aujourd'hui découvrir le sommaire lire l'édito feuilleter s'abonner à partir de 8€ Offre 100% numérique: 8€ par mois sans engagement Le journal du jour en exclusivité et le journal de demain avant tout le monde Voir les offres d’abonnement Après cet article 1127241-000_14x2evjpg?modified_at=0&ratio_x=03&ratio_y=02&width=300 Crise du rail SNCF : le Sénat entrouvre la porte d'une fin de conflit partager tweeter La Une Laurent Berger, de la CFDT, à Matignon pour un entretien avec Edouard Philippe le 19 décembre Retraites : le «oui mais» de Philippe à Berger Spain's interim Prime Minister Pedro Sanchez prepares to leave the Spanish Parliament in Madrid, Spain, Sunday, Jan 5, 2020 Sanchez has failed on his first two chances to win the endorsement of the Parliament to form a coalition left-wing government but will have a second chance Tuesday (AP Photo/Manu Fernandez) En Espagne, le duo Sanchez-Iglesias horrifie le trio des droites Anne Marie Muñoz, en 2013 Mort d'Anne-Marie Muñoz, femme clé du clan Saint Laurent Evacuation de la plage de Mallacoota, dans le sud-est du pays, jeudi Incendies : en Australie, un vent de solidarité Commémoration à la mémoire des victimes de l'attentat contre Charlie-Hebdo, près des anciens locaux, le 7 janvier 2019 Cinq ans après, sourires et fantômes dans les locaux de «Charlie» Articles populaires Nous, cadres sup, aux côtés des grévistes Australie, l'avant-garde de la fin du monde Un koala blessé et déshydraté après des incendies, en novembre 2019 Australie : «Les animaux déjà menacés, comme le koala, disparaîtront localement» A Paris, le 5 décembre Rentrée scolaire : les profs vont-ils durcir le front ? Cette image de l'Australie en feu est-elle vraiment une photo satellite prise par la Nasa ? Dans le direct Récap' Réforme des retraites, Ghosn, Etats-Unis-Iran : le point sur l'actu à la mi-journée 12:48 ​Retraites Les partenaires sociaux à Matignon vendredi pour discuter de la conférence de financement 12:31 Livres Gallimard ne vendra plus le journal de l'écrivain Gabriel Matzneff 12:16 Catastrophe Australie : des chercheurs estiment à un milliard le nombre d’animaux tués dans les incendies 12:03 #ON Merci Adrien et bonjour tout le monde Nouvelle année, mais nos rituels sont éternels Transition en chanson On s'écoute le titre «Bintou Were Were» issu de Jah Glory, le premier album (1982) de l'ivoirien Alpha Blondy Figure tutélaire du reggae africain A suivre notre point sur l'actu 010618 1127241-000_14x2evjpg?modified_at=0ratio_x=03&ratio_y=02&width=22 5 Crise du rail SNCF : le Sénat entrouvre la porte d'une fin de conflit Une série d'amendements adoptés en accord avec les recommandations de l'Unsa et la CFDT pourraient conduire d'ici à une quinzaine de jours à un appel à la fin de la grève par ces deux syndicats 080618 1129264-paris-la-chapelle-inauguration-hotel-logistique-avec-anne- hidalgo-et-elisabeth-bornejpg?modified_at=0ratio_x=03&ratio_y=02&w idth=225 Transports Ceux qui me livrent prendront le train Comment faire en sorte que l'explosion du e-commerce n'induise pas une invasion de camions? En mettant les colis sur les rails Avec l'hôtel logistique Chapelle International inauguré ce vendredi, Paris veut démontrer que c'est possible 020618 1127537-l-avocate-clelie-de-lesquen-jonas-a-la-cour-d-appel-de-par is-le-31-janvier-2018jpg?modified_at=0ratio_x=03&ratio_y=02&width= 225 Justice SNCF : des chibanis portent plainte contre leur avocate, qui riposte Vingt-deux «chibanis», des retraités d’origine nord-africaine qui ont fait condamner la SNCF pour discrimination, ont porté plainte contre leur ancienne avocate, lui reprochant de retenir les indemnités qui leur reviennent, des accusations qualifiées de «fake news» par la mise en cause 130618 1130602-prodlibejpg?modified_at=0ratio_x=03&ratio_y=02&width=225 Désunion SNCF : le torchon brûle entre la CFDT et l'Unsa Les deux syndicats réformistes sur lesquels la direction compte pour l'arrêt de la grève sont paradoxalement à couteaux tirés Le front uni CGT, Unsa, Sud rail et la CFDT qui a porté la grève, semble plus plus précaire que jamais 130618 1130755-prodlibejpg?modified_at=0ratio_x=03&ratio_y=02&width=225 A chaud Grève à la SNCF : drôle d’ambiance entre les syndicats L’histoire retiendra que la date du bac, cuvée 2018, a semé la discorde au sein des quatre syndicats qui portent la grève intermittente de la SNCF depuis 030618 Edito Dogmatisme Macron 2, Mélenchon 0 ? A l’automne, avec une certaine honnêteté, le leader de La France insoumise, devant l’échec de la mobilisation contre la loi Pénicaud, 030618 1127734-maree-populairejpg?modified_at=0ratio_x=03&ratio_y=02&wid th=225 Opposition «Ça finira par prendre…» Pour l’opposition de gauche, la «marée humaine» du 26 mai n’était qu’une étape contre Macron Et a, malgré la mobilisation en demi-teinte, permis de premières convergences 040618 1127966-nyssenjpg?modified_at=0ratio_x=03&ratio_y=02&width=225 Médias Réforme de l'audiovisuel public : un plan cohérent, une équation financière impossible La ministre de la Culture a présenté ce lundi ses objectifs : elle veut notamment accroître l'investissement de France Télés, de Radio France et des autres chaînes et station du groupe dans le numérique, maintenir leur effort dans la création et renforcer leur attrait auprès des jeunes publics… tout en leur demandant d'importantes économies 310518 1116522-000_1457o7jpg?modified_at=0ratio_x=03&ratio_y=02&width=22 5 Tribune Il faut défendre la SNCF ! Il ne s’agit pas de préserver un «statut privilégié», mais plutôt la réalisation concrète d’un espoir de justice et d’égalité née il y a plus d’un siècle 080618 1129027-greve-de-la-faim-rouenjpg?modified_at=0ratio_x=03&ratio_y =02&width=225 DROIT DE SUITE Hôpital psychiatrique du Rouvray : fin de la mobilisation après la création de 30 postes Après dix-sept jours de grève de la faim et une grève «illimitée» de presque trois mois, le personnel médical du centre hospitalier normand vient d'obtenir la création de postes supplémentaires et d’une unité qui accueillera les détenus Vous êtes abonné à Libération Le journal d'aujourd'hui découvrir le sommaire lire l'édito feuilleter s'abonner à partir de 8€ Offre 100% numérique: 8€ par mois sans engagement Consultation illimitée sur tous les supports Voir les offres d’abonnement Un mot à ajouter ? xiti tr?id=342040669704613&ev=PageView&noscript=1 Quantcast img?mt_id=1202018&mt_adid=192531&mt_exem=&mt_excl=&v1=&v2=&v3=&s1=&s2= &s3=