#publisher alternate alternate Paris Match le Club Paris Match le ClubNewsletter Logo Paris Match * * * * * * Abonnez-vous (BUTTON) Toggle navigation Logo Paris Match Logo Paris Match (BUTTON) * ACTUALITéS + Politique + Faits divers + Société + Economie + International + Match Afrique + Sport + Santé + Environnement + Sciences + Insolite * PEOPLE + Les stars quand elles étaient jeunes + People Style + Les maisons des stars * ROYAL BLOG + Royaume-Uni + Monaco + Espagne + Belgique + Pays-Bas + Luxembourg + Danemark + Suède + Norvège + Monde + Histoires de France * CULTURE + Cinéma + Le Cirque de Paname + Critiques de film + TV & Séries + Musique + Spectacles + Livres + Polars + Art + Grand prix photoreportage 2019 * LIFESTYLE + Art de vivre + Mode + Voyage + Auto Moto + Gastronomie + Montres + High-Tech + Argent * Photos * Rétro * Videos * Le Carnet * Boutique Photos * * + + Le Poids des Mots + Grand Prix Photoreportage + Match+ + Anciens numéros + Abonnez-vous au magazine * Politique * Faits divers * Société * Economie * International * Match Afrique * Sport * Santé * Environnement * Sciences * Insolite * * * 1. Paris Match 2. Actu 3. Société En 2019 est-il toujours complexe d’aborder la masculinité ? Paris Match | Publié le 12/07/2019 à 15h54 |Mis à jour le 12/07/2019 Voir la bourse sur Investir (BUTTON) (BUTTON) Recherche * En direct * Le Journal * Newsletters * Podcasts * Infographies * Vidéos * Thema (BUTTON) (BUTTON) Connexion S'abonner (BUTTON) (BUTTON) À la une Idées Économie Politique Monde Tech-Médias Entreprises Bourse Finance - Marchés Régions Patrimoine (BUTTON) Blogs Idées (BUTTON) (BUTTON) (BUTTON) Le Cercle Blogs Livres Sciences & Prospectives Éditos & Analyses En Vue Le Crible Blog « Girl » : une ballerine dans un corps de garçon * (BUTTON) Lire plus tard * Blogs * + + + * (BUTTON) Commenter Par Annie Coppermann Publié le 11 oct. 2018 à 15h16 Lara a 15 ans, et n'a qu'un rêve : devenir danseuse étoile. Inscrite dans un cours exigeant et coté, elle se plie sans rechigner chaque jour à des exercices épuisants, heureuse quand ses professeurs la complimentent, angoissée mais courageuse devant les réprimandes. Lara a les cheveux blonds, les yeux très bleus, un teint diaphane, mais, au fil des jours, ses camarades de cours s'aperçoivent qu'elle n'est pas tout à fait comme elle. Le spectateur aussi, car la caméra suit au plus près, avec beaucoup d'habileté, mais aussi de tact, le calvaire de cette ado particulièrement endurante et... particulièrement méritante : Lara, en fait, est née garçon. Mais depuis toujours, elle se sait fille. Suivie par un médecin et un psychologue, elle se soumet à un lourd traitement hormonal et attend d'avoir l'âge pour subir l'opération qu'elle attend. Son père, avec qui elle vit, l'encourage et la protège. Il en est fier. Et attend, comme elle, le moment où, enfin, elle deviendra tout à fait fille. Mais ce moment, Lara n'en peut plus de l'attendre. Car, à 15 ans, le corps commence à avoir des désirs nouveaux… Cet étonnant premier film, signé par un réalisateur belge de 25 ans, Lukas Dhont, a été acclamé au dernier Festival de Cannes, où il a décroché la très convoitée Caméra d'Or, qui désigne le meilleur premier film de l'année, toutes sections confondues. C'est, en effet, une sorte d'Ovni, qui, pour la première fois avec autant de naturel, d'intelligence et de pudeur, aborde la question du transgenre. Sa réussite n'aurait sans doute pas été possible sans l'extraordinaire performance de l'interprète de Lara, Victor Polster, un jeune (16 ans) danseur élève de l'Ecole Royale de Ballet d'Anvers, d'ailleurs récompensé par le prix d'interprétation « Un certain Regard ». Il est sidérant, tant dans les nombreuses séquences où l'on voit Lara, au milieu de ses camarades, s'astreindre à une discipline de fer pour réussir à danser sur les pointes, que celle où, devant le médecin ou au vestiaire de son école, sa « différence » (dûment bandée chaque matin) redevient souffrance. MON AVIS « Permettre de penser autrement la masculinité et la féminité », c'était le but du très jeune et très talentueux réalisateur de ce premier film, acclamé et récompensé à Cannes. Objectif atteint : Voir la bourse sur Investir (BUTTON) (BUTTON) Recherche * En direct * Le Journal * Newsletters * Podcasts * Infographies * Vidéos * Thema (BUTTON) Connexion S'abonner (BUTTON) (BUTTON) À la une Idées Économie Politique Monde Tech-Médias Entreprises Bourse Finance - Marchés Régions Patrimoine Chronique le mercato des designers masculins. * (BUTTON) Lire plus tard * 04 * + + + * (BUTTON) Commenter ECWE00117023_1.jpg Par Gilles Denis Publié le 6 avr. 2018 à 1h01 Quand des ados commencent à sécher leurs pères en leur demandant ce qu'ils pensent de Kim Jones chez Dior Homme et de son successeur chez Vuitton, Virgil Abloh, on se dit que quelque chose a changé au rayon mode masculine. Depuis quelques saisons, on la sentait sinon en quête de sens du moins à la recherche des millenials, l'assurance-vie du luxe. En début d'année, on avait déjà annoncé du brutal comme on dit chez Audiard, entre Hedi Slimane chez Céline et Riccardo Tisci chez Burberry, l'un et l'autre gardant leurs premières prestations pour des shows mixtes lors des fashion weeks féminines alors que Kris Van Assche, passé chez Berluti, attendra janvier 2019. On sait désormais que les semaines masculines de juin seront marquées par l'hystérie collective anticipée pour les défilés de Virgil Abloh et Kim Jones. Deux designers adulés dans la fashion sphère et par les moins de 30 ans pour leur approche d'une masculinité à l'aise dans le produit. Elle se conjugue avec collaboration, qu'il s'agisse de celles initiées par Jones chez Vuitton - on se souvient des collections capsules avec Supreme ou Fragment - ou par Abloh et son label Off-White avec Nike. Elles riment avec rupture de stock et renouvellement de génération. Entre sneakers et accessoires, l'homme de demain est une femme comme les autres. Sans passage par la case androgynie. Un dynamitage en règle du secteur. Façon puzzle. À la Une * Renault joue très gros avec ses nouvelles citadines * Assurance-vie : les mutualistes appellent à l'aide le gouvernement * L'Europe spatiale réclame 14,3 milliards pour rester dans la course 04 Spécial impôts 2018 : la déclaration en 10 questions pratiques Spécial impôts 2018 : quel taux choisir pour le prélèvement à la source AccorHotels s'apprête à absorber Mövenpick Nos Vidéos Les Hongkongais infligent un large camouflet à Pékin Selon un décompte encore partiel, les candidats pro-démocratie ont obtenu une large majorité des 452 sièges en jeu dans les 18 conseils de district. Ce résultat sonne comme un camouflet pour Pékin et pour la cheffe de l'exécutif local, Carrie Lam, dont la position devient de plus en plus intenable. Tesla présente un pick-up 100 % électrique à l'allure futuriste Les Echos se sont rendus sur le campus assiégé de Hong Kong Les producteurs de Beaujolais nouveau inquiets des taxes de Trump On a testé l'appli du gouvernement pour choisir sa formation Video Smart Player invented by Digiteka * Les Echos * 2018 * 04 * le mercato des designers masculins. * * * (BUTTON) Pratique Service clientsFaire un retour sur le nouveau siteAbonnementPublicitéAbonnement presse numériqueCookiesCGU - CGVPolitique de confidentialitéCharte éthiqueArchivesPlan du site (BUTTON) Services En directLe JournalNewslettersPodcastsInfographiesVidéosThema (BUTTON) Le Groupe Les EchosInvestirLes Echos ExecutivesEntrepreneursLes Echos Week-EndSérie LimitéeLes Echos StartCapital FinanceThe InnovatorRadio ClassiqueConnaissance des ArtsAnnonces LégalesImaginE Tous droits réservés - Les Echos 2019 Voir la bourse sur Investir (BUTTON) (BUTTON) Recherche * En direct * Le Journal * Newsletters * Podcasts * Infographies * Vidéos * Thema (BUTTON) Connexion S'abonner (BUTTON) (BUTTON) À la une Idées Économie Politique Monde Tech-Médias Entreprises Bourse Finance - Marchés Régions Patrimoine  Tu seras un homme, mon fils ! Dans « Pelo Malo », la vénézuélienne Mariana Rondon met en scène un petit garçon de Caracas qui ne se reconnaît pas dans les codes de la masculinité, pour le plus grand désarroi de sa mère. Résultat : une merveille de sensibilité et d’intelligence. A découvrir ! * (BUTTON) Lire plus tard * 04 * + + + * (BUTTON) Commenter Par Olivier De Bruyn Publié le 3 avr. 2014 à 20h00 Il s’appelle Junior, habite dans un quartier défavorisé de Caracas avec sa mère, son petit frère, et semble obsédé par sa chevelure frisée, la même que celle de son père, depuis longtemps absent du paysage familial. Du haut de ses neuf ans, Junior ne vit qu’avec une obsession : se lisser les cheveux, encore et toujours, et ressembler tout à la fois à sa mère et à sa meilleure copine, celle avec laquelle il préfère jouer à la poupée plutôt que de cavaler après un ballon de foot comme le font tous les petits garçons de son âge. Marta, la mère de Junior, qui pointe au chômage, se désespère face à ce fils qui refuse la « normalité » et ne respecte en rien les codes du macho en graine. Les relations entre Marta et Junior se détériorent encore quand le gamin, sous l’influence de sa grand-mère, se met en tête de chanter et de danser en n’adoptant point les poses et rictus virils du Vénézuélien lambda. Marta avait un rêve : que son fils occupe symboliquement le rôle d’« homme de la famille » et corresponde en tout point aux clichés de la masculinité triomphante. C’est raté. Tomboy » au Vénézuéla Les mystères et les ambivalences de l’identité sexuelle ne passionnent pas que les cinéastes français… Trois ans après Cécile Sciamma et son remarquable « Tomboy », histoire d’une petite fille qui s’inventait et inventait aux yeux de ses pairs un destin de petit garçon, un film venu du Vénézuela, « Pelo Malo » (traduction littérale : « Mauvais cheveux »), évoque à son tour le trouble d’un jeune personnage confronté à la confusion identitaire et violemment soumis au regard des autres. Un héros juvénile qui ne se reconnaît pas (ou peu, ou mal) dans les archétypes masculins que lui imposent la société de son pays. Au plus près de ces personnages, Mariana Rondon (« Cartes postales de Leningrad ») filme avec une sensibilité et une pudeur de chaque instant les relations ambiguës entre la mère et son fils, la solitude et le courage de l’une (qui affronte chaque jour le machisme dans son parcours professionnel), les hésitations et la peur de l’autre, marginalisé parmi ses contemporains et qui pressent confusément que grandir #alternate * Le Point * Montres * Le Point Pop * Auto * Vin * Phébé * Services * Newsletters * * Couverture du Point N° 2469. Boutique le Point Expérience Le Point Numéro de la semaine Abonnements Hors-séries Anciens numéros Evenements Futurapolis Santé Futurapolis Neuroplanète Les Forums du Point Conférences Jeux concours Quiz Partenaires Programme TV Menu Le Point logo-lepoint.svg Couverture du Point N° 2469 * Politique * International * Économie * Tech & Net * Culture * Débats * Sciences * Santé * Sports * Lifestyle * Afrique * Podcasts * Abonnés 2296984.png Actualité Société Pour en finir avec la crise de la masculinité Dans un essai percutant, Francis Dupuis-Déri déconstruit le discours selon lequel les féministes « castreraient » les hommes. Décoiffant. Par Baudouin Eschapasse Publié le 28/02/2019 à 09:00 | Le Point.fr Francis Dupuis-Déri décrypte le discours de la « crise de la masculinité ». Il en retrace l'histoire et tente d'en cerner la signification politique... Francis Dupuis-Déri décrypte le discours de la « crise de la masculinité ». Il en retrace l'histoire et tente d'en cerner la signification politique... © Pxhere Profitez de votre abonnement à 1€ le 1er mois ! Les ouvrages consacrés à la « crise de la masculinité » occupent désormais un rayonnage entier dans les bibliothèques universitaires. Chaque année paraissent de nouveaux livres se désolant de la souffrance éprouvée par ce qu'il était encore commun de qualifier, il y a peu, le « sexe fort ». Ces essais établissent tous le même constat et décrivent tous les mêmes symptômes. À les en croire, la remise en question du modèle patriarcal conduirait fatalement à « l'efféminisation » et, par voie de conséquence, à « l'amollissement » de nos sociétés. Au bout du féminisme, il y aurait fatalement, selon eux..., l'impuissance des hommes. Ces livres rencontrent un écho important dans les médias. Le plus célèbre d'entre eux a été Le Premier Sexe d'Éric Zemmour. Publié en 2006 par Denoël, il s'en est écoulé plus de 150 000 exemplaires. « Mais beaucoup d'autres ont paru depuis. Au point que le thème de la crise des valeurs viriles semble être devenu une niche éditoriale et commerciale », constate Francis Dupuis-Déri, qui publie aujourd'hui une percutante analyse (1) du phénomène. Un discours déjà tenu... par Caton l'Ancien ! Mais de quoi parle-t-on vraiment quand on dit que les hommes vont mal ? « On englobe des sujets qui n'ont pas grand-chose à voir les uns avec les autres », répond Francis Dupuis-Déri. « On évoque tantôt les difficultés scolaires des garçons, tantôt les difficultés que rencontreraient les hommes à séduire les femmes, tantôt encore un malaise diffus qui pousserait les garçons, plus que les filles, au suicide », poursuit l'universitaire canadien qui a multiplié les ouvrages sur les questions de genre depuis dix ans. « Ce qui est sûr, c'est que depuis les années 60, une frange de la population masculine vit très mal la percée du discours féministe. Et elle s'organise pour répliquer afin de préserver ce qu'elle croit être sa parcelle de pouvoir », constate le chercheur, qui a abordé le sujet en politologue autant qu'en historien. « L'enjeu est perçu de manière simpliste : tous les droits consentis aux femmes se font forcément au détriment de ceux des hommes. Comme si c'était un jeu à somme nulle ! » grince Francis Dupuis-Déri. Lire aussi Pourquoi les hommes ont tout à gagner à devenir... féministes Ce discours qui impute aux féministes le mal-être des mâles ne date pas d'hier. « Déjà à Rome, en 195 av. J.-C., Caton l'Ancien réagissait sévèrement face à la mobilisation des Romaines contre une loi leur interdisant de conduire des chars et de porter des vêtements colorés. Il affirmait que les femmes sont devenues si puissantes que notre indépendance comprenez : celle des hommes est compromise #Slate.fr Culture Todd Phillips, le cinéaste de la masculinité malmenée et du chaos Temps de lecture : 10 min Michael Atlan — 16 octobre 2019 à 8h00 Des fraternités universitaires aux pick-up artists, le réalisateur de «Joker» n'a jamais cessé de filmer des hommes à la recherche de leur masculinité #Slate.fr Xavier Dolan, apprendre aux hommes à se remettre (enfin) en question Mansplaining Xavier Dolan, apprendre aux hommes à se remettre (enfin) en question Publié le 16 octobre 2019 à 7h00 — mis à jour le 29 octobre 2019 #Slate.fr Culture Bill Burr, l'homme blanc par lui-même Temps de lecture : 6 min Guillaume Méral — 13 octobre 2019 à 16h02 Dans «Paper Tiger», disponible sur Netflix, le comédien américain défend la nécessité de questionner tous les points de vue –et en premier lieu le sien. Bill Burr en représentation à Nashville, le 20 avril 2018. | Rick Diamond / Getty Images for Outback Concerts / AFP Bill Burr en représentation à Nashville, le 20 avril 2018. | Rick Diamond / Getty Images for Outback Concerts / AFP Partager sur Facebook Partager sur Facebook Messenger Partager sur Facebook Messenger Partager sur Twitter Partager sur LinkedIn Partager sur Whatsapp Temps de lecture: 6 min On ne peut plus rire de tout. C'est la conclusion qui semble s'imposer à mesure que les humoristes prennent la parole pour s'alarmer d'une époque asservie à un politiquement correct liberticide. En France comme aux États-Unis, l'heure ne semble plus au constat #Slate.fr Égalités / Culture La crise de la masculinité, un concept fumeux qui arrange bien les hommes Temps de lecture : 12 min Francis Dupuis-Déri — 7 février 2019 à 8h22 — mis à jour le 7 février 2019 à 10h17 Slate publie les bonnes feuilles du dernier ouvrage de Francis Dupuis-Déri, «La crise de la masculinité - Autopsie d’un mythe tenace». En crise ! | Mohamed_Hassan via Pixabay En crise ! | Mohamed_Hassan via Pixabay Partager sur Facebook Partager sur Facebook Messenger Partager sur Facebook Messenger Partager sur Twitter Partager sur LinkedIn Partager sur Whatsapp Temps de lecture: 12 min 9782890915961.jpg Francis Dupuis-Déri est professeur de science politique, affilié à l’Institut de recherches et d’études féministes #Slate.fr Égalités / Société #MeToo a déjà changé les perceptions et comportements des hommes Temps de lecture : 16 min Aude Lorriaux — 7 novembre 2018 à 7h35 — mis à jour le 9 novembre 2018 à 16h20 Plus d'un an après la vague de libération de la parole, bilan d'un mouvement sans précédent. 66% des hommes pensent que les hashtags «Balance ton porc» ou «Me too» ont été «une bonne chose»| Traveler via Unsplash CC License by 66% des hommes pensent que les hashtags «Balance ton porc» ou «Me too» ont été «une bonne chose»| Traveler via Unsplash CC License by Partager sur Facebook Partager sur Facebook Messenger Partager sur Facebook Messenger Partager sur Twitter Partager sur LinkedIn Partager sur Whatsapp Temps de lecture: 16 min On a parlé de «vague», de «mouvement», voire de «révolution». On a pronostiqué que rien de serait plus comme avant. Que les rapports de séduction allaient évoluer vers plus d’égalité. Que les femmes, débarrassées de la crainte d’être emmerdées ou agressées, allaient être plus fortes, plus belles, dans leur liberté assumée. Que les hommes, délestés du poids d’une virilité toxique, stéréotypée, obligée, pourraient enfin se livrer à leurs émotions, toutes leurs émotions, et leurs envies, sans crainte d’être jugés «efféminés» –entendre : faibles, inférieurs. Apprécier d’être séduits, à leur tour, dans un équilibre des personnalités plus que des genres. En sortant des faux dilemmes et des oppositions construites. Et sans mimer une violence qui enferme. Et puis, il y a eu la contre-révolution. Le «backlash», comme le nomment les féministes. Ce retour de bâton que sonnait la tribune des 100 femmes, en faveur de la «liberté d’importuner». On entend déj #Slate.fr Sciences / Société Les hommes baraqués préfèrent les sociétés inégalitaires Temps de lecture : 2 min Repéré par Peggy Sastre — 30 octobre 2018 à 17h45 Une énième preuve que nos opinions politiques sont loin d'être uniquement façonnées par la logique et la raison. La sécurité sociale ne passera pas par moi! | ccdoh1 via Flickr CC License by La sécurité sociale ne passera pas par moi! | ccdoh1 via Flickr CC License by Partager sur Facebook Partager sur Facebook Messenger Partager sur Facebook Messenger Partager sur Twitter Partager sur LinkedIn Partager sur Whatsapp Temps de lecture: 2 min — Repéré sur Political psychology, Université d'Aarhus Au sein du règne animal, on sait aujourd'hui que la force physique module l'attitude des individus lors d'un conflit. Si telle bestiole est plus grosse et plus forte que son adversaire, alors elle aura davantage tendance à vouloir s'imposer et monopoliser des ressources. À l'inverse, une faiblesse relative incitera plutôt à la fuite –ou à la recherche d'alliances pour dégommer le plus physiquement puissant. Une conséquente étude menée par deux chercheurs en sciences politiques affiliés à l'université d'Aarhus (Danemark) observe qu'une logique similaire s'applique chez les humains et, plus précisément, chez les mâles de notre espèce: plus les hommes sont musclés, moins ils sont dérangés par les inégalités. Chez les femmes, la force physique n'est pas associée à ce genre de préférences politiques. «Ces résultats remettent en question l'idée que nos opinions politiques seraient uniquement façonnées par la logique et la raison. Au contraire, elles semblent refléter des intuitions produites par un esprit préhistorique», explique Michael Bang Petersen, auteur principal de l'étude. À LIRE AUSSI Ne prenez pas un (nouvel) abonnement à la salle de sport Loi de la jungle Ce travail de synthèse rassemble en réalité douze études menées entre 2012 et 2017 sur un total de 6.349 personnes de diverses nationalités et vivant dans plusieurs pays –Danois, Biélorusses de Lituanie, Américains, Vénézuéliens, Ukrainiens et Polonais. Pour certains échantillons, les données sont de nature déclarative –elles ont été collectées à l'aide de questionnaires où les participants devaient par exemple évaluer leur propre force par rapport à leurs congénères. Mais pour d'autres, il s'agit de données objectives mesurées en laboratoire et concernant notamment la force des mains ou du haut du corps. Fait intéressant, c'est dans les échantillons objectifs que les corrélations entre musculature et goût pour l'inégalité sont les plus significatives. Ce qui laisse entendre que la force brute est effectivement le facteur décisif d'une inclination pour la loi de la jungle, un phénomène traduisant une psychologie adaptée à un monde disparu. «Cette logique était bénéfique dans le contexte de vie de nos ancêtres chasseurs-cueilleurs, quand les hommes les plus forts étaient capables de se procurer des ressources par eux-mêmes», commente Lasse Laustsen, co-auteur de l'étude. «Sauf qu'il s'agit d'une manière irrationnelle de pallier les conflits de ressources dans nos systèmes politiques contemporains. Aujourd'hui, il est très peu probable que votre force physique joue sur la quantité de ressources que vous serez à même d'acquérir. Mais nos données montrent que la force physique continue quand même d'influencer les opinions politiques des hommes en matière de redistribution». Selon les chercheurs, cette étude pourrait expliquer un apparent paradoxe: le fait que beaucoup d'hommes des classes populaires affectionnent des politiques économiques libérales, alors qu'ils bénéficieraient davantage d'un partage plus égalitaire des ressources. À leur insu, leur esprit paléolithique pourrait leur souffler qu'ils sont capables de gravir le baobab social à bout de bras et de maintenir leur position à coups de baffes une fois arrivés au sommet, qu'importe que la force et la violence physiques ne soient plus depuis longtemps des vecteurs de réussite dans notre monde moderne. En savoir plus: Sciences Société inégalités sociales redistribution psychologie évolutionnaire masculinité À lire aussi Méfiez-vous des jouets en bois Temps de lecture : 5 min Méfiez-vous des jouets en bois Pourquoi les crèches de Noël sont autorisées dans les lieux publics Temps de lecture : 5 min Pourquoi les crèches de Noël sont autorisées dans les lieux publics Après la réforme des retraites, un horizon politique favorable au RN Temps de lecture : 5 min Après la réforme des retraites, un horizon politique favorable au RN Newsletters La quotidienne de Slate Une sélection personnalisée des articles de Slate tous les matins dans votre boîte mail. ____________________ Votre e-mail (BUTTON) S’abonner ____________________ Slate x Titiou Tous les vendredis matin, l’humeur de Titiou Lecoq et sa sélection du meilleur des internets. ____________________ Votre e-mail (BUTTON) S’abonner ____________________ La kotiidienne de korii. 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Repéré par Julien Vaurillon — 19 décembre 2019 — Temps de lecture : 2 min Le fromage est né grâce à une mouche, un seau de lait et une reproduction particulière (BUTTON) Partager sur Facebook (BUTTON) Partager sur Twitter Le fromage est né grâce à une mouche, un seau de lait et une reproduction particulière Un bon sujet de conversation pour l'arrivée du plateau de fromages pendant les fêtes. Repéré par Robin Tutenges — 17 décembre 2019 — Temps de lecture : 2 min Slate.fr Slate.com Slate Afrique Contacts Qui sommes-nous Mentions légales Gestion des données personnelles Suivez-nous : (BUTTON) Magazine Podcasts Grands Formats Slate.fr Partager sur Facebook Partager sur Facebook Messenger Partager sur Facebook Messenger Partager sur Twitter Partager sur LinkedIn Partager sur Whatsapp Newsletters (BUTTON) (BUTTON) korii. 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Une exposition au Musée d'art contemporain du Val-de-Marne pose la question à travers les Å?uvres, parfois dérangeantes, d'une centaine d'artistes hommes qui "cherchent le garçon" en mettant en cause modèles établis et valeurs traditionnelles."Les hommes, on ne les entend jamais, on ne leur donne pas la parole ou ils ne la prennent pas", affirme à l'AFP Frank Lamy qui a conçu l'exposition "Chercher le garçon" (du 7 mars au 30 août). Le Mac Val, dont la collection compte quelque 2.000 oeuvres de plus de 130 artistes, fête en 2015 son dixième anniversaire. Le corps, souvent vieillissant ou morcelé, le travestissement, la fiction autour de soi, les icônes masculines - automobile, armes à feu, trophées sportifs -, autant de chemins empruntés par ces créateurs pour "déconstruire" l'image du mâle dans notre société. Michel Journiac ("Hommage à Freud") se transforme en sosie de ses propres parents et Emilio Lopez-Menchero se réincarne en "Balzac" de Rodin. Gilles Barbier sculpte un "Clone femelle", troublant mélange anatomique entre homme et femme, Philippe Ramette ("L'ombre de moi-même") présente une installation où un classique costume masculin projette l'ombre d'un homme nu. L'exposition s'affirme comme plurimédia, associant peinture, sculpture, installations, photographie et vidéo, mais ces dernières ont la part belle. Newsletter - L'essentiel de l'actu Chaque matin, l'actualité vue par Le Parisien ____________________ (BUTTON) Je M'inscris Votre adresse mail est collectée par Le Parisien pour vous permettre de recevoir nos actualités et offres commerciales. En savoir plus "Il y a trois axes, explicite Frank Lamy, un axe iconographique - comment travailler son image, comment se représenter -, un axe existentiel - faire de sa vie une oeuvre d'art à l'instar de l'univers romanesque du peintre Jacques Monory - et un axe sur des formes qui ont à voir avec le mineur, l'inutile ou au contraire l'excès, le grotesque". Jeremie Bennequin estompe tous les jours une page de "A la Recherche du temps perdu" et présente en parallèle un tas de pelures de la gomme utilisée. - Envie de forcer le trait - Le chef d'oeuvre de Proust, Sepand Danesh a décidé, lui, de le recopier ligne à ligne sur la page même du livre. Hubert Renard s'est inventé une carrière idéale d'artiste, imitant jusqu'au graphisme années 60 des (faux) cartons d'invitation pour les vernissages. "Je fais un parallèle entre la figure du mâle dominant et celle de l'artiste moderne" et "Hubert Renard met en crise toutes ces formes d'autorité", explique Frank Lamy. Selon lui, l'exposition présente "un certain nombre d'atteintes à la figure romantique, utopiste de l'artiste moderne". Pourquoi avoir exclu les artistes femmes de ce questionnement de la masculinité ? "C'est un point de départ, il y a certainement d'autres expositions à faire, j'avais un peu envie de forcer le trait et puis on ne peut pas poser toutes les questions en même temps", ajoute le commissaire de l'exposition. "Ils aiment parler des femmes, les hommes. Ca leur évite de parler d'eux. Comment expliquer qu'en trente ans aucun homme n'a produit le moindre texte novateur sur la masculinité ?", interroge Virginie Despentes, dans un extrait de son livre "King Kong Theory" placé en exergue de l'exposition. "De quelle autonomie les hommes ont-ils si peur qu'ils continuent de se taire", ajoute-t-elle. Archives Julian Alaphilippe porte le maillot jaune sur cette étape du 106 ème edition du Tour de France entre Mulhouse et La Planche des Belles Filles le 11 juillet. La remontada du look cycliste ! Autonome, connectée, écolo : bienvenue dans la maison du futur Autonome, connectée, écolo : bienvenue dans la maison du futur En partenariat avec ENEDIS Christine Tchamabi est activement recherchée par la police de Toulouse. Toulouse : appel à témoins après la disparition de la mère d’un bébé de 4 mois Interdire le portable à l'école ? Bon courage ! Interdire le portable à l'école ? Bon courage ! Guide Shopping Le Parisien * iPhone XS : 460 euros de réduction sur le smartphone Apple pour Noël * L’iPhone 11 à 1€ avec un forfait mobile chez Bouygues Telecom pour Noël * Cultura : 10 bons plans loisirs créatifs & jeux de société pour Noël 2019 * Sélection shopping Offres d'emploi * Standardiste H/F LIP - Solutions RH Argonay - 74 * Téléopérateur H/F LIP - Solutions RH Argonay - 74 * Charge d'Affaires PME H/F Adecco recrute pour Adecco Clermont-Ferrand - 63 * Chargé de Clientèle Particuliers H/F Caisse d'Epargne Loire - Centre La Chapelle-Saint-Mesmin - 45 * Consulter nos offres d'emploi Codes promo * Codes promo Cdiscount * Codes promo Amazon * Codes promo Sephora * Codes promo La Redoute * Codes promo Asos * Codes promo Sarenza * Codes promo Nike * Codes Promo Darty * Plus de 2000 marchands * Voir Services * Programme TV * Météo * Offres d'emploi * Annonces immobilières * Billetterie spectacles * Citations et proverbes * Blog de vin * Logiciels * Tous les services * Voir Profitez des avantages de l’offre numérique * L’intégralité des articles et vidéos * L’info locale qui vous concerne * Votre journal numérique dès 6h00 * Une navigation sans publicité * Des offres privilèges avec le Club Le Parisien Je M'abonne FacebookTwitterSnapchatInstagramYouTubeDailymotionPinterest Centre Français d’Exploitation du Droit de Copie Archives 2019201820172016 © Le Parisien Nous écrireQui sommes nous?EthiqueCGUEspace ProPolitique de confidentialitéEspace PressePolitique relative aux cookies #Slate.fr Égalités / Médias #MeToo: le retour de bâton médiatique… dans les pages de L’Obs Temps de lecture : 9 min Thomas Messias — 6 août 2018 à 11h09 — mis à jour le 6 août 2018 #Slate.fr Égalités / Santé Masculinité toxique: éduque-t-on nos fils à mourir par suicide? Temps de lecture : 9 min Gary Barker — Traduit par Bérengère Viennot — 12 juillet 2018 à 16h04 — mis à jour le 12 juillet 2018 à 17h27 De nouvelles recherches montrent que les injonctions à être un «vrai homme» portent préjudice à la santé mentale. Il n'est jamais trop tard pour appeler à l'aide. | Ian Espinosa via Unsplash License by Il n'est jamais trop tard pour appeler à l'aide. | Ian Espinosa via Unsplash License by Partager sur Facebook Partager sur Facebook Messenger Partager sur Facebook Messenger Partager sur Twitter Partager sur LinkedIn Partager sur Whatsapp Temps de lecture: 9 min Selon les dernières données sur le suicide fournies par les Centers for Disease Control and Prevention américains (CDC), 77% des 45.000 personnes qui se tuent chaque année aux États-Unis sont des hommes. De même, d'après l’Organisation mondiale de la santé (OMS), les hommes meurent davantage par suicide que les femmes partout dans le monde, avec un ratio compris entre 1,5 pour 1 et 3 pour 1—ce qui en fait une majorité des plus de 800.000 personnes qui se donnent la mort chaque année. D’un point de vue mondial, les suicides comptent pour la moitié des morts masculines violentes. Pour des raisons évidentes, les motifs qui poussent quelqu’un à se supprimer sont compliquées à réduire à un objet d’étude. Mais si nous voulons tenter de réduire le taux de suicide, il faut savoir pourquoi il touche majoritairement des hommes. Un registre émotionnel défaillant Dans une enquête organisée par mon association Promundo et conduite auprès de 1.500 jeunes hommes âgés de 18 à 30 ans, avec le soutien de la marque Axe, nous avons découvert que près d'un sondé sur cinq avait pensé au suicide au cours des deux semaines passées. Les plus sujets à ce genre de pensée sont ceux pour qui être un homme signifie montrer que l'on est fort, ne pas parler de ses problèmes et refouler ses émotions: ceux-là sont deux fois plus susceptibles d’avoir envisagé de mettre fin à leurs jours. Des études menées dans d’autres pays ont obtenu des résultats approchants: les hommes qui ont les idées les plus contraignantes de la masculinité présentent davantage de risques d’avoir des idées suicidaires que ceux qui ne sont pas aussi coincés dans une «virilité forcée». En tant qu’hommes, nous ne possédons souvent même pas les mots qui permettraient d’exprimer ou de comprendre nos émotions. Être un homme aux États-Unis, et dans le reste du monde, signifie trop régulièrement apprendre à réprimer ses expériences émotionnelles –au point qu’en tant qu’hommes, nous ne possédons souvent même pas les mots qui permettraient d’exprimer ou de comprendre nos émotions. Des psychologues appellent ce phénomène l’alexithymie, soit l’incapacité à reconnaître et à communiquer ses émotions, et ont remarqué qu’il était plus courant chez les hommes que chez les femmes. Pour le dire simplement, si les hommes ne sont pas capables d'identifier leurs émotions négatives ou dérangeantes et qu’ils ne peuvent ou ne veulent pas demander de l’aide ou en parler, nous n’avons pas les moyens de réagir lorsque nous nous retrouvons face à eux. La demande d'aide comme aveu de faiblesse Voici un exemple de la manière dont cela fonctionne. Dans le cadre des activités de Promundo auprès de jeunes hommes et de jeunes femmes, qui visent à interroger les idées toxiques sur la masculinité et à les remettre en question, nous proposons un atelier que nous appelons «Exprimer mes émotions». Nous demandons à de jeunes hommes à qui nous présentons cinq émotions quelle est celle qu’ils ont le plus de facilité à exprimer et celle pour laquelle c’est impossible. Invariablement, les jeunes hommes disent que la colère et la joie sont les émotions les plus faciles #Slate.fr Égalités / Monde Jordan Peterson et la revanche de la masculinité Temps de lecture : 7 min Claire Levenson — 11 juillet 2018 à 7h00 Ce psychologue canadien auteur d'un best-seller conteste la critique féministe du «patriarcat». Des dizaines de milliers d'hommes disent qu'il a changé leur vie. Jordan Peterson lors d'un sommet organisé par une association de jeunes conservateurs au Texas. | Gage Skidmore via Flickr CC License by Jordan Peterson lors d'un sommet organisé par une association de jeunes conservateurs au Texas. | Gage Skidmore via Flickr CC License by Partager sur Facebook Partager sur Facebook Messenger Partager sur Facebook Messenger Partager sur Twitter Partager sur LinkedIn Partager sur Whatsapp Temps de lecture: 7 min Plusieurs universités américaines ont récemment mis en place des groupes de parole réservés à leurs étudiants hommes dans lesquels ils sont censés apprendre à se débarrasser de leur «masculinité toxique», #Slate.fr Égalités / Société J'ai suivi un cours masculiniste à l'École Major de Julien Rochedy Temps de lecture : 12 min Thomas Messias — 22 juin 2018 à 14h00 — mis à jour le 22 juin 2018 #Slate.fr Égalités / Sports Ces hommes pour qui les étés des années paires sont toujours moins agréables que les autres Temps de lecture : 14 min Thomas Messias — 16 juin 2018 à 15h01 — mis à jour le 16 juin 2018 #Slate.fr Égalités / Santé Une définition plus ouverte de la masculinité permettrait aux hommes de gagner en longévité Temps de lecture : 2 min Repéré par Peggy Sastre — 11 mai 2018 à 17h58 Selon une enquête canadienne, les hommes de la jeune génération délaisseraient les valeurs masculines traditionnelles, ce qui pourrait avoir un impact bénéfique sur leur santé. Viens voir le docteur | Jeffeaton via Flickr CC via Flickr CC License by Viens voir le docteur | Jeffeaton via Flickr CC via Flickr CC License by Partager sur Facebook Partager sur Facebook Messenger Partager sur Facebook Messenger Partager sur Twitter Partager sur LinkedIn Partager sur Whatsapp Temps de lecture: 2 min — Repéré sur Psychology of Men & Masculinity, Université de la Colombie-Britannique Le 23 avril dernier, Alek Minassian, 25 ans, fonçait délibérément sur des piétons de Toronto et tuait dix personnes –dont huit femmes– pour soi-disant venger son «célibat involontaire». Quelques jours plus tôt, des chercheurs de l'université de la Colombie-Britannique, associés à l'institut de sondage Intensions Consulting, publiaient une étude montrant que les Canadiens âgés de 15 à 29 ans semblent délaisser les valeurs masculines traditionnelles –l'égoïsme, l'hédonisme, la compétition– pour leur préférer l'ouverture à autrui et le souci de son propre bien-être, physique comme psychique. Élargissement de la définition de la masculinité Un dernier élément susceptible d'atténuer le fossé sanitaire observé dans de nombreux pays occidentaux entre hommes et femmes qui, selon beaucoup de spécialistes, contribue à la moindre longévité masculine. «Les jeunes Canadiens semblent avoir des valeurs masculines nettement différentes de celles des générations précédentes», précise John Oliffe, auteur principal de l'étude et directeur du programme de recherche en santé des hommes au sein de l'université de la Colombie-Britannique. Selon Nick Black, directeur associé d'Intensions Consulting, de nombreux jeunes hommes canadiens élargiraient effectivement leur définition de la masculinité pour y inclure des valeurs comme l'altruisme et l'hygiène de vie. «En tant que millennial moi-même, commente-t-il, je peux voir comment ces valeurs s'incarnent dans la vie des hommes de mon entourage. Ils veulent être à la fois attentionnés et forts, à la fois ouverts aux autres et indépendants, et ils n'y voient aucune contradiction.» À LIRE AUSSI Le mythe de la virilité n'a pas disparu, il a muté Réduction de l'écart d'espérance de vie Menée sur 630 Canadiens recrutés dans l'ouest du pays, l'étude observe que 91% des participants estiment qu'un «vrai homme» se soit d'aider les autres et de participer, pour 80% d'entre eux, à la prospérité de sa communauté. Pour 88% des sondés, il faut qu'un homme soit ouvert #Slate.fr Égalités Qu’est-ce que les hommes ont à voir avec le genre? Temps de lecture : 7 min Serge Rabier — 12 février 2017 à 15h57 Le processus critique de déconstruction des relations de pouvoir entre les genres ne pourra faire l’économie de l’implication des hommes eux-mêmes. Faut-il questionner les rôles masculins ? Gratisography, CC BY-SA Faut-il questionner les rôles masculins ? Gratisography, CC BY-SA Partager sur Facebook Partager sur Facebook Messenger Partager sur Facebook Messenger Partager sur Twitter Partager sur LinkedIn Partager sur Whatsapp Temps de lecture: 7 min «Le point aveugle de l’anthropologie se situe dans le questionnement du statut du masculin… et plus précisément du masculin adulte… la virilité adulte dont on ne parle pas.» Françoise Héritier, Une pensée en mouvement Dès lors que sont mises en lumière les inégalités que subissent les femmes –assignations à des rôles, des fonctions et des statuts d’infériorité–, l’égalité de genre suscite des réactions de rejet violent ou de résistances récurrentes. Il en va de même quand ces mêmes inégalités sont évoquées au travers des hommes qui, de façon très majoritaire, les entretiennent et les justifient, consciemment ou non. Ces rejets et ces résistances ont, depuis quelques décennies déjà, fait l’objet d’analyses centrées sur les femmes tantôt considérées comme victimes d’un ordre patriarcal, tantôt comme actrices d’une remise en cause de cet ordre. À la légitimité de ces démarches critiques, il convient d’en ajouter une autre, jusque-là beaucoup moins mise en œuvre: le processus critique de déconstruction des relations de pouvoir entre les genres ne pourra faire l’économie de l’implication des hommes eux-mêmes. Or, en France comme ailleurs, peu d’hommes se manifestent sur les enjeux de l’égalité femmes-hommes, que ce soit à titre individuel ou ? 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Abonnés 19 décembre 2019 à 07:09 * Le journal du jour * Le direct * Libé Labo * Food * Photo * Le P'tit Libé * Politiques * Portrait * Sports * Voyages * Blogs * Sciences Abonnement 100% numérique 8€ par mois sans engagement Formule Intégrale Libération en version papier et numérique Èvénements La Boutique Unes en affiches Les unes cultes en tirage photo Relire Libé Commander des anciens numéros newsletter ____________________ (BUTTON) ok * FAQ * La rédaction * Contact * Publicité * Données personnelles * CGV * Charte éthique * Crédits * Dépêches * Archives * Elections * Villes info / Critique Jablonka, histoire d’hommes ? Par Cécile Daumas — 23 octobre 2019 à 20:01 Photo Léa Gouzy L’historien, qui a sorti à la rentrée un essai sur les nouvelles masculinités, a trouvé son public en librairie. Un livre qui comble avec justesse les silences et manques de l’après-Weinstein, mais suscite aussi interrogations et critiques chez des intellectuelles féministes. * Jablonka, histoire d’hommes ? La promesse de faire advenir Des hommes justes (Seuil) se vend bien en librairie. L’essai sur le patriarcat et les nouvelles masculinités, signé par l’historien Ivan Jablonka, s’est écoulé à plus de 25 000 exemplaires depuis fin août. Joli score pour un livre à visée féministe. Généralement ce type d’ouvrage est destiné à la confidentialité. Mais un livre sur l’égalité défendu par un homme suscite l’intérêt. Notamment des médias. L’homme est connu, auteur de Laëtitia ou la fin des hommes, essai sur la violence faite aux femmes ? 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Abonnés 19 décembre 2019 à 07:09 * Le journal du jour * Le direct * Libé Labo * Food * Photo * Le P'tit Libé * Politiques * Portrait * Sports * Voyages * Blogs * Sciences Abonnement 100% numérique 8€ par mois sans engagement Formule Intégrale Libération en version papier et numérique Èvénements La Boutique Unes en affiches Les unes cultes en tirage photo Relire Libé Commander des anciens numéros newsletter ____________________ (BUTTON) ok * FAQ * La rédaction * Contact * Publicité * Données personnelles * CGV * Charte éthique * Crédits * Dépêches * Archives * Elections * Villes info / Tribune Le nouveau venu qui se rêvait pionnier Par Camille Froidevaux-Metterie , professeure de science politique et chargée de mission égalité-diversité à l’université de Reims — 23 octobre 2019 à 20:01 Ivan Jablonka retrace une histoire du patriarcat et de l’émancipation féminine en faisant peu ou pas référence aux travaux des femmes qui ont pensé et analysé la domination masculine. Un refus étrange de l’apport essentiel des théoriciennes féministes. * Le nouveau venu qui se rêvait pionnier Tribune. Mettre un terme au «règne de l’homme» et «révolutionner le masculin», tel est le projet ambitieux porté par Ivan Jablonka dans Des hommes justes (Seuil). S’il n’est pas tout à fait le premier chercheur à se saisir de la question de la domination masculine, Pierre Bourdieu autrefois, Eric Fassin ou Raphaël Liogier aujourd’hui, sa démarche est sans doute la plus approfondie et la plus systématique. C’est donc avec enthousiasme que l’on se plonge dans l’imposant ouvrage, impatiente d’y trouver ce qui pourrait être une contribution décisive au féminisme de notre temps ; on le refermera finalement sceptique, mais aussi indignée. Avec toute l’érudition de l’historien, Jablonka entreprend d’abord de remonter aux sources du patriarcat pour en montrer l’universalité et en révéler les ressorts. Déroulant le fil du Paléolithique supérieur jusqu’à la modernité démocratique, il met au jour son fondement originel et perpétué, la «fonction-femme», soit une «interprétation des corps» qui «transforme leur biologie en destinée». S’abstenant de toute référence aux travaux ayant déjà et depuis bien longtemps étudié la hiérarchisation sexuée du monde, Jablonka propose de nouveaux concepts, le «cercle patriarcal» (nature maternelle fonction-femme relégation domestique aura de la femme nature maternelle…) et la «masculinité de domination» fondée sur «la capacité de s’imposer en tant qu’homme». Il aborde ensuite les conquêtes féministes et formule ce curieux constat que «le féminisme a donné une traduction concrète à la révolution des droits de 1789». Là, une première inquiétude nous saisit, comment peut-on ainsi affirmer que le féminisme ne serait que la mise en œuvre d’un programme qui, précisément, n’envisageait pas l’égalité entre les sexes ? La crainte se confirme dans le chapitre suivant qui parcourt en 16 pages (sur 410) l’histoire du féminisme dont Jablonka commence par dire que ses représentantes ne sont jamais d’accord entre elles, ce que l’on conçoit, ajoute-t-il, tant «il n’est pas évident de déterminer leur objectif suprême». Pour y voir plus clair, l’historien élabore la distinction (canonique) entre un «féminisme de l’égalité» et un «féminisme de la différence», puis se concentre sur le maternalisme féministe, qu’il présente comme «l’une des structures les plus stables du féminisme au niveau mondial» ! Sans craindre la contradiction, Jablonka nous apprend finalement qu’il y a «une unité des féministes : elles livrent un combat universel en faveur de l’égalité et de la justice» (pour les droits de l’homme, donc). On reste stupéfaite devant la superficialité de l’analyse et le mépris dans lequel sont tenues les autrices qui, depuis des décennies, ont pensé la domination patriarcale. Certes, on croise les noms de Beauvoir, Héritier, Delphy, Wittig, Dworkin, mais toujours comme en passant et très souvent sans citation. Surtout, ce sont à peu près les seules, pas un mot des philosophes politiques féministes (Pateman, Elshtain, Okin), très peu de choses sur le féminisme radical et matérialiste, rien ou presque ? (BUTTON) Menu Libération ____________________ (BUTTON) Connexion Abonnement Panayotis se découvre * France * Planète * Idées * Culture * Checknews France Télécom et ses ex-dirigeants condamnés pour «harcèlement moral» 20 décembre 2019 à 11:13 A l'AG de l'Unsa RATP : «Nous, on continue» 16 décembre 2019 à 18:23 Réforme des retraites, enquête ouverte sur Delevoye, policier condamné... l'essentiel de ce jeudi 19 décembre 2019 à 20:28 Ce vendredi, le tribunal rend son jugement dans le procès de France Télécom 20 décembre 2019 à 08:18 Moscou : une fusillade devant le siège des services spéciaux russes fait un mort et cinq blessés 20 décembre 2019 à 06:21 Fukushima : les sols décontaminés, pas la forêt 20 décembre 2019 à 06:06 Au Burkina Faso, le «pouvoir n’a pas confiance dans son armée» 19 décembre 2019 à 20:31 Au Mali, le refus du «néocolonialisme» 19 décembre 2019 à 20:31 Retraites amères pour les classes populaires 20 décembre 2019 à 11:36 Orna Donath : «On peut aimer ses enfants et regretter d’être mère» 20 décembre 2019 à 11:19 Retraites amères pour les classes populaires 19 décembre 2019 à 18:36 L’obsolescence programmée d’Uber à Paris 19 décembre 2019 à 08:29 Jonathan Pryce, Habemus papi Abonnés 19 décembre 2019 à 17:21 Personnes âgées et retraités, les oubliés des JT 19 décembre 2019 à 15:38 Profession de foi pour un foie 19 décembre 2019 à 14:33 Entre magnats israéliens et bars gays de Tel Aviv 19 décembre 2019 à 06:54 Y a-t-il plus d'accidents de vélo depuis le début des grèves à Paris ? 20 décembre 2019 à 12:32 Le CSA a-t-il rappelé à l'ordre LCI pour avoir dit que les profs étaient payés en moyenne 3 850 euros ? 20 décembre 2019 à 12:02 Pourquoi la SNCF a-t-elle supprimé les voitures pour enfants seuls pendant les fêtes ? 19 décembre 2019 à 17:11 Sarkozy avait-il acheté les mots-clés «racailles» ou «banlieues» sur Google lors des émeutes de 2005 ? 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Photo Emma Birski Même quand ses anecdotes finissent mal ou tournent court, les mots de Panayotis semblent sourire en même temps lui. Au Point Virgule, l’ex-chroniqueur en culotte courte de l’écurie Yann Barthès (21 ans désormais, «je ne suis pas un chiot !») élabore avec Presque un premier one-man-show prometteur, astucieusement noué autour du motif de «l’ CIM Internet ? 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De g. à dr.: Mina Farid, Zahia Dehar, Benoît Magimel et Nuno Lopes dans «Une fille facile» de Rebecca Zlotowski. De g. à dr.: Mina Farid, Zahia Dehar, Benoît Magimel et Nuno Lopes dans «Une fille facile» de Rebecca Zlotowski. Photo Julian Torres. Les Films du Velvet Difficile d’évoquer Une fille facile sans commencer par souligner, car c’est là le cœur du film, le rôle principal qu’y tient Zahia Dehar, autrefois devenue célèbre malgré elle comme la victime d’une bruyante affaire de mœurs sur laquelle le film de Rebecca Zlotowski ne nous incite pas à nous étendre plus. Car ce préambule est là pour préciser aussitôt que ce qui pouvait sembler être un choix douteux s’avère immédiatement un pari très réussi - on y reviendra. A lire aussiL'interview de Rebecca Zlotowski Zahia Dehar incarne Sofia, une jeune Parisienne qui, après la mort de sa mère, débarque à Cannes chez sa cousine Naïma (Mina Farid), 16 ans, en formation dans les cuisines d’un luxueux hôtel de la ville où sa mère est femme de chambre. Un soir, elles montent dans le yacht d’un milliardaire brésilien, Andres (Nuno Lopes), qui a accosté dans le port de la ville. A son bord, Philippe (Benoît Magimel), dont on découvrira que la présence a priori amicale n’est pas épargnée par la domination de classe. Sofia a très vite une liaison avec Andres, attisée notamment par les possibilités matérielles que lui offre cette rencontre. Naïma observe les agissements de sa cousine, partagée entre réticence et admiration. Réminiscences Le film est émaillé de nombreuses citations et références cinématographiques, aucunement anecdotiques. Au tout début, par exemple, Sofia-Zahia marche sur une plage tandis que des gros plans détaillent quelques parties de son corps, exactement comme l’ouverture de la Collectionneuse de Rohmer. Andres et Philippe ont quelque chose d’un peu anachronique, comme sortis d’un film des années 60, tels de lointains cousins des nantis oisifs et désabusés que sut si bien dépeindre le scénariste Paul Gégauff dans Plein Soleil de Clément ou les premiers Chabrol (A double tour, les Godelureaux). Ailleurs, un rêve sensuel avec des oursins convoque Dalí et Buñuel. Et puis surtout, il y a la nonchalance et la diction de Zahia Dehar, qui font irrésistiblement penser à Brigitte Bardot, en particulier dans deux films ensoleillés auxquels on songe beaucoup : Et Dieu créa la femme de Vadim et le Mépris de Godard. Loin d’être de nostalgiques clins d’œil aux cinéphiles, ces réminiscences, qu’il importe peu de reconnaître, permettent de jauger le présent - cinématographique autant que social - à l’aune d’une mythologie que le film ravive avec une grâce étonnante. Et pourquoi ça marche ? Avant tout parce que Zahia Dehar se révèle formidable. Non pas comme une simple imitatrice de Bardot, mais comme une incarnation contemporaine de ce mélange de naturel et de sophistication qui rendit en son temps l’actrice si moderne et déconcertante. Serge Daney écrivait que dans le film de Vadim, Bardot faisait sonner creux tous les hommes. Soixante ans plus tard, dans une autre Côte d’Azur, Zahia Dehar fait à son tour sonner creux une certaine idée de la masculinité : carafes de whisky et gros cigares, fatuité désabusée et luxe décomplexé, cynique domination sous un masque pseudo-libertaire… Revanche Parce que le film ne juge jamais son personnage, il fait aussi sonner creux tout le moralisme qu’une figure comme Zahia Dehar peut éveiller en ces temps parfois puritains. Avec panache et détachement, Sofia vit ce que certains assimileraient à de la prostitution comme une forme de souveraineté, presque comme un acte politique : répondre au mépris de classe et à la phallocratie en se servant chez les hommes riches. Sans illusions, elle sacrifie le romanesque sur l’autel de la lutte des classes. Et il faut qu’il se dégage d’elle beaucoup de candeur pour qu’elle ne paraisse pas le moins du monde cynique lorsqu’elle dit : «Pour moi, les sentiments, ça ne compte pas du tout. On doit jamais rien attendre, on doit toujours tout provoquer par nous-mêmes.» Bien sûr, ce qui nous touche ici, c’est aussi ce que Zahia Dehar paraît dire d’elle-même à travers Sofia (même s’il faudrait se garder de les confondre), qui relève d’une autre forme de revanche : celle d’une jeune fille lavée de la boue de la presse people pour révéler au cinéma une certaine grandeur. Mais le film est aussi très drôle, l’attitude déconcertante de Zahia Dehar n’étant pas dénuée de puissance comique. Et il est constamment doux, malgré la violence sous-jacente. Comme si les voix (basses) des acteurs et les musiques de Caetano Veloso, Debussy ou Chet Baker s’accordaient à ce mélange d’indolence et de mélancolie qui rend cette néoactrice si émouvante. Marcos Uzal Une fille facile de Rebecca Zlotowski avec Zahia Dehar, Mina Farid, Benoît Magimel… 1 h 32. partager tweeter Vous êtes abonné à Libération Le journal d'aujourd'hui * découvrir le sommaire * lire l'édito * feuilleter * s'abonner à partir de 8€ Offre 100% numérique: 8€ par mois sans engagement Le journal du jour en exclusivité et le journal de demain avant tout le monde Voir les offres d’abonnement partager tweeter #next Vous êtes abonné à Libération Le journal d'aujourd'hui * découvrir le sommaire * lire l'édito * feuilleter * s'abonner à partir de 8€ Un mot à ajouter ? xiti tr?id=342040669704613&ev=PageView&noscript=1 Quantcast img?mt_id=1202018&mt_adid=192531&mt_exem=&mt_excl=&v1=&v2=&v3=&s1=&s2= &s3= ? 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IP3 Quatre jeunes femmes, dont la créatrice de #PasTaPotiche, racontent leurs mauvaises expériences en tant qu’hôtesses, allant des remarques déplacées aux attouchements. * Hôtesses : «J’ai eu l’impression d’être transformée en poupée du client» Pas encore un déferlement, mais une petite vague. La polémique autour des hôtesses sur le Tour de France a permis à de nombreuses femmes, actuellement hôtesses d’accueil ou ayant exercé cette profession auparavant, de raconter leur quotidien. Derrière le sourire de façade se dessinent les humiliations (souvent), le sexisme (quasi systématique), le harcèlement (parfois), jusqu’aux agressions… Témoignages. A lire aussi Hôtesses, ni potiches ni soumises Alice, 22 ans créatrice de #PasTaPotiche, hôtesse depuis six ans «J’ai effectué pas mal de missions en entreprise et en événementiel. Là, comme on intervient dans un contexte festif, c’est à croire que les hommes se croient tout permis. Souvent, ce sont des hommes "puissants" (médecins, élus, avocats), pour qui nous ne sommes que "des petites hôtesses". Le sexisme se double de mépris social. Et puis il y a parfois un contexte qui semble conduire à cela : quand votre fonction est uniquement "décorative", que vous ne faites strictement rien d’autre que sourire en "position de danseuse", on fait de vous une femme-objet. Dès lors, comment être considérée ? D’autant que les critères des agences perpétuent les stéréotypes sur les femmes, avec parfois des demandes douteuses, du style "hôtesses de type nordique". Qu’importe la météo, on peut se retrouver debout dehors pendant des heures, en talons, avec des fringues pas plus épaisses que du papier ? (BUTTON) Menu Libération ____________________ (BUTTON) Connexion Abonnement «Fast&Furious : Hobbs & Shaw», en voiture surhommes ! * France * Planète * Idées * Culture * Checknews France Télécom et ses ex-dirigeants condamnés pour «harcèlement moral» 20 décembre 2019 à 11:13 A l'AG de l'Unsa RATP : «Nous, on continue» 16 décembre 2019 à 18:23 Réforme des retraites, enquête ouverte sur Delevoye, policier condamné... l'essentiel de ce jeudi 19 décembre 2019 à 20:28 Ce vendredi, le tribunal rend son jugement dans le procès de France Télécom 20 décembre 2019 à 08:18 Moscou : une fusillade devant le siège des services spéciaux russes fait un mort et cinq blessés 20 décembre 2019 à 06:21 Fukushima : les sols décontaminés, pas la forêt 20 décembre 2019 à 06:06 Au Burkina Faso, le «pouvoir n’a pas confiance dans son armée» 19 décembre 2019 à 20:31 Au Mali, le refus du «néocolonialisme» 19 décembre 2019 à 20:31 Retraites amères pour les classes populaires 20 décembre 2019 à 11:36 Orna Donath : «On peut aimer ses enfants et regretter d’être mère» 20 décembre 2019 à 11:19 Retraites amères pour les classes populaires 19 décembre 2019 à 18:36 L’obsolescence programmée d’Uber à Paris 19 décembre 2019 à 08:29 Jonathan Pryce, Habemus papi Abonnés 19 décembre 2019 à 17:21 Personnes âgées et retraités, les oubliés des JT 19 décembre 2019 à 15:38 Profession de foi pour un foie 19 décembre 2019 à 14:33 Entre magnats israéliens et bars gays de Tel Aviv 19 décembre 2019 à 06:54 Y a-t-il plus d'accidents de vélo depuis le début des grèves à Paris ? 20 décembre 2019 à 12:32 Le CSA a-t-il rappelé à l'ordre LCI pour avoir dit que les profs étaient payés en moyenne 3 850 euros ? 20 décembre 2019 à 12:02 Pourquoi la SNCF a-t-elle supprimé les voitures pour enfants seuls pendant les fêtes ? 19 décembre 2019 à 17:11 Sarkozy avait-il acheté les mots-clés «racailles» ou «banlieues» sur Google lors des émeutes de 2005 ? 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Jason Statham et Dwayne Johnson, deux «gentils» arrosés dans «Fast&Furious : Hobbs& Shaw». Jason Statham et Dwayne Johnson, deux «gentils» arrosés dans «Fast&Furious : Hobbs& Shaw». Photo Universal Pictures International La franchise Fast & Furious démarra doucement en 2001 avec une petite ode aux courses de voitures clandestines californiennes, où Vin Diesel se contentait de voler des lecteurs de DVD. En 2019, elle a muté en série increvable - un neuvième volet est d’ailleurs en tournage pour une sortie en 2020. L’original et ses suites ont rapporté plus de 5 milliards de dollars de recettes dans le monde, envoyé Diesel et son gang défier sur roues la pesanteur, les ont fait batailler avec des terroristes internationaux et échapper à des sous-marins nucléaires. De quoi créer un monde assez embouteillé en personnages pour justifier un spin-off. Respectivement parachutés dans les Fast & Furious 5 et 7, les personnages d’Hobbs (agent fédéral ennemi-puis-allié de Diesel) et Shaw (ex-barbouze, ex-méchant, nouveau gentil) ont droit à leur sympathique propre film, reconnaissance explicite de l’apport rafraîchissant de leurs interprètes Dwayne Johnson et Jason Statham à une série souvent limitée par la masculinité monolithique de Diesel. Queue leu leu Hobbs et Shaw se jetaient des noms d’oiseau non-stop à leur dernière rencontre : les voilà naturellement dans un buddy movie où, après frictions, la paire fait équipe contre un terroriste cybernétiquement modifié (Idris Elba, fonctionnel), qui convoite un super-virus planqué par une agent secret (Vanessa Kirby, action woman convaincante, loin de sa royale princesse Margaret dans la série The Crown), elle-même petite sœur de Shaw. Johnson saute d’un immeuble avec un bad guy comme matelas. Des voitures accrochées à la queue leu leu à un hélico en vol : la description des scènes d’action fait à peine lever le sourcil du spectateur tant les FF ont laissé filer toute crédibilité. Car il faut se raccrocher aux exigences du blockbuster contemporain : les véhicules tunés sont à leur pilote super-héros ce que son armure est à Iron Man tandis que les prouesses se doivent d’être aussi éprouvantes que celles des Mission : Impossible, cités ici jusque dans le casting de Kirby, actrice dans Mission : Impossible-Fallout, et qui s’essaie aux jeux de jambes strangulatoires de sa consœur Rebecca Ferguson avec la même classe. Le réalisateur David Leitch, cascadeur vétéran passé derrière la caméra, maintient une action à peu près lisible et féroce, comme dans ses John Wick et Atomic Blonde. Hobbs & Shaw n’a certes pas la même élégante ligne claire que les films de Christopher McQuarrie, carburant à l’excès du cartoon où les ralentis dans les bagarres auraient la double vertu de décomposer l’effort et rendre les coups comiquement abstraits. C’est le double mouvement contradictoire du blockbuster d’action que de savoir se célébrer et s’autocritiquer. Les Fast & Furious avec Diesel vantent à la fois ses rebelles vroum-vroum et les vertus de la famille (mot prononcé dix fois dans le sixième volet). Hobbs & Shaw jouit de la technologie (Elba se vendant comme le «Superman noir» et prochain stade de l’évolution ; les effets spéciaux pour sublimer les passages les plus éhontés de bolide volant) pour se retrancher dans un finale luddite bienvenu où les héros débranchent les machines, rangent les flingues et se la jouent Conan le barbare. Übermensch S’il ne révolutionne rien côté action, le film, comme tout blockbuster, donne aussi des nouvelles du sujet favori du genre : le surhomme. Et bien sûr, Johnson/Hobbs y potasse Nietzsche à l’écran. Les deux modèles, l’ultrasouple Statham et le massif Johnson, se complètent bien dans la vanne et le style, équilibrant la testostérone avec un clin d’œil permanent sans l’assécher. Si leur match est nul sur le papier, c’est pourtant l’ancien catcheur Dwayne «The Rock» Johnson qui gagne dans le cœur des spectateurs mondiaux (ses films rapportent plus de 9 milliards de dollars depuis ses débuts dans le Roi Scorpion), face ? 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Abonnés 19 décembre 2019 à 07:09 * Le journal du jour * Le direct * Libé Labo * Food * Photo * Le P'tit Libé * Politiques * Portrait * Sports * Voyages * Blogs * Sciences Abonnement 100% numérique 8€ par mois sans engagement Formule Intégrale Libération en version papier et numérique Èvénements La Boutique Unes en affiches Les unes cultes en tirage photo Relire Libé Commander des anciens numéros newsletter ____________________ (BUTTON) ok * FAQ * La rédaction * Contact * Publicité * Données personnelles * CGV * Charte éthique * Crédits * Dépêches * Archives * Elections * Villes info / Chronique «Hébreu dis donc» Israël : les «héros» douteux d'une sordide affaire de viol à Chypre Par Guillaume Gendron, correspondant à Tel-Aviv — 31 juillet 2019 ? 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Abonnés 19 décembre 2019 à 07:09 * Le journal du jour * Le direct * Libé Labo * Food * Photo * Le P'tit Libé * Politiques * Portrait * Sports * Voyages * Blogs * Sciences Abonnement 100% numérique 8€ par mois sans engagement Formule Intégrale Libération en version papier et numérique Èvénements La Boutique Unes en affiches Les unes cultes en tirage photo Relire Libé Commander des anciens numéros newsletter ____________________ (BUTTON) ok * FAQ * La rédaction * Contact * Publicité * Données personnelles * CGV * Charte éthique * Crédits * Dépêches * Archives * Elections * Villes * Cinéma * Musique * Livres * Scènes * Arts * Images * Lifestyle * Mode * Beauté * Food info / Charts «Old Town Road» du rappeur Lil Nas X bat le record de longévité américaine en tête des ventes Par LIBERATION (avec AFP) — 30 juillet 2019 à 12:07 Le single est en tête des ventes de disques aux Etats-Unis depuis 17 semaines. Il détrône ainsi Mariah Carey et «Despacito». NEW YORK, NEW YORK - JULY 25: Lil Nas X performs on stage during Internet Live By BuzzFeed at Webster Hall on July 25, 2019 in New York City. Noam Galai/Getty Images for BuzzFeed/AFP NEW YORK, NEW YORK - JULY 25: Lil Nas X performs on stage during Internet Live By BuzzFeed at Webster Hall on July 25, 2019 in New York City. Noam Galai/Getty Images for BuzzFeed/AFP AFP Le morceau «Old Town Road» du rappeur Lil Nas X a officiellement battu le record de longévité en tête des ventes de disques aux Etats-Unis, avec 17 semaines d’affilée en numéro un, a annoncé lundi le magazine Billboard, qui publie ce classement. IFRAME: https://www.youtube.com/embed/w2Ov5jzm3j8 Le tube de Lil Nas X, avec une apparition du chanteur Billy Ray Cyrus, a détrôné «One Sweet Day» de Mariah Carey (1995) et «Despacito» de Luis Fonsi et Daddy Yankee, avec Justin Bieber (2017), chacun premier durant 16 semaines. A lire aussi: «Despacito», les ingrédients du tube aux 4 milliards d’écoutes C’est la suite d’une histoire hors norme pour Montero Hill, le vrai nom de Lil Nas X, qui il y a moins d’un an, vivait chez sa sœur, était sans emploi et venait d’abandonner ses études. Il est aujourd’hui millionnaire, à 20 ans. Il a composé «Old Town Road» sur la base d’un rythme acheté 30 dollars à un musicien basé aux Pays-Bas. «Ma sœur m’avait dit qu’il ne me restait plus beaucoup de temps avant de devoir quitter sa maison», a-t-il expliqué lundi dans un message publié sur son compte Instagram. «J’étais tellement bouleversé que je m’en suis servi de motivation pour la chanson.» Le résultat, qui mêle un air de banjo et de lourdes basses, se présentait comme un titre rap aux accents country. Mais Billboard a refusé de l’intégrer au classement de la catégorie, car il «ne réunissait pas suffisamment d’éléments de la country d’aujourd’hui». Quelques jours après la décision de Billboard, Lil Nas X a sorti un remix de ce qui était déjà un tube, avec, comme invité, la star de la country Billy Ray Cyrus, accessoirement père de la popstar Miley Cyrus. Mais malgré la légitimité de Billy Cyrus, deux fois nommé aux Grammys dans des catégories country, le remix a eu droit au même traitement que l’original, laissé sur le seuil du classement country. Le morceau a contourné la catégorie pour s’imposer en tête des ventes de disques tous styles confondus, qu’il occupe sans discontinuer depuis la semaine du 4 avril. Simple, drôle et ouvertement gay Lil Nas X a publié plusieurs remixes de son tube, dont les ventes sont comptabilisées en un seul total, ce qui a contribué à la longévité du titre. Billboard intègre les écoutes en ligne, le streaming, pour établir son classement. Une méthode de comptabilisation qui favorise énormément le rap, un genre musical particulièrement apprécié des jeunes. L’ensemble des versions officielles de «Old Town Road» compte près d’un milliard d’écoutes sur Spotify. Lors de la semaine du 11 avril, Lil Nas X a pulvérisé le record d’écoutes en ligne sur sept jours, avec 143 millions de «streams», soit près de 27 millions de plus que l’ancien lauréat, Drake (116,2 avec «In My Feelings»). «17, mon nouveau nombre préféré!» a tweeté lundi Billy Ray Cyrus, qui connaît son premier numéro un à 57 ans, après plus de trente ans de carrière. «Mon but a toujours été de faire de la musique qui pourrait toucher les gens partout dans le monde.» 17 my new favorite number! 17 weeks No 1 Single #OTR 17 weeks No 1 Album #SomeGaveAll My goal was always to make music that would touch people’s lives around the world. pic.twitter.com/joIEdBhyzq — Billy Ray Cyrus (@billyraycyrus) July 29, 2019 Lil Nas X a aussi séduit par sa personnalité simple, pleine d’humour, n’hésitant pas à adopter les vêtements traditionnels de la country et de l’univers des cow-boys, veste à frange, bottes et chapeau à larges bords, notamment dans le clip officiel. Après avoir réussi un mariage très rare entre rap et country -déjà popularisé par le rappeur de Saint-Louis au début des années 2 000- le jeune artiste a bousculé encore un peu plus le monde du hip-hop en révélant, début juillet, son homosexualité. Si certaines figures féminines du rap ont déjà rendu publique leur homosexualité, notamment Young M.A., aucun rappeur masculin de premier plan n’en avait jamais fait de même, dans un milieu qui, s’il est moins macho que par le passé, reste souvent attaché aux codes traditionnels de la masculinité. «En un an, ce morceau a changé ma vie et ma façon de voir le monde», a écrit Lil Nas X sur Instagram. «Merci à tous ceux qui ont participé à cette aventure et comme je l’ai déjà dit, ce n’est que le début!» LIBERATION (avec AFP) partager tweeter Vous êtes abonné à Libération Le journal d'aujourd'hui * découvrir le sommaire * lire l'édito * feuilleter * s'abonner à partir de 8€ Offre 100% numérique: 8€ par mois sans engagement Le journal du jour en exclusivité et le journal de demain avant tout le monde Voir les offres d’abonnement partager tweeter #next Vous êtes abonné à Libération Le journal d'aujourd'hui * découvrir le sommaire * lire l'édito * feuilleter * s'abonner à partir de 8€ Un mot à ajouter ? xiti tr?id=342040669704613&ev=PageView&noscript=1 Quantcast img?mt_id=1202018&mt_adid=192531&mt_exem=&mt_excl=&v1=&v2=&v3=&s1=&s2= &s3= ? 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Abonnés 19 décembre 2019 à 07:09 * Le journal du jour * Le direct * Libé Labo * Food * Photo * Le P'tit Libé * Politiques * Portrait * Sports * Voyages * Blogs * Sciences Abonnement 100% numérique 8€ par mois sans engagement Formule Intégrale Libération en version papier et numérique Èvénements La Boutique Unes en affiches Les unes cultes en tirage photo Relire Libé Commander des anciens numéros newsletter ____________________ (BUTTON) ok * FAQ * La rédaction * Contact * Publicité * Données personnelles * CGV * Charte éthique * Crédits * Dépêches * Archives * Elections * Villes info / Merci de l'avoir posée Non, il n'y a pas eu de fœticide massif dans le nord de l'Inde Par Léa Masseguin — 23 juillet 2019 à 18:27 Non, il n'y a pas eu de fœticide massif dans le nord de l'Inde Non, il n'y a pas eu de fœticide massif dans le nord de l'Inde Photo Didier Pallages. AFP L'information selon laquelle seuls des garçons seraient nés en trois mois dans 132 villages d’Uttarakhand est «statistiquement impossible», d'après le démographe Christophe Guilmoto. * Non, il n'y a pas eu de fœticide massif dans le nord de l'Inde Pas une seule fille sur les 216 nouveau-nés au cours des trois derniers mois dans 132 villages d’un Etat du nord de l’Inde. Cette révélation choc avait été faite jeudi 18 juillet par un magistrat du district d’Uttarkashi, lors d’une conférence de presse. Reprise par l’agence de presse indienne Asian News International (ANI), l’information a été relayée par de nombreux médias anglo-saxons ? 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(BUTTON) Menu Libération ____________________ (BUTTON) Connexion Abonnement A Hongkong, Vincy Chan veut tout faire bouger * France * Planète * Idées * Culture * Checknews France Télécom et ses ex-dirigeants condamnés pour «harcèlement moral» 20 décembre 2019 à 11:13 A l'AG de l'Unsa RATP : «Nous, on continue» 16 décembre 2019 à 18:23 Réforme des retraites, enquête ouverte sur Delevoye, policier condamné... l'essentiel de ce jeudi 19 décembre 2019 à 20:28 Ce vendredi, le tribunal rend son jugement dans le procès de France Télécom 20 décembre 2019 à 08:18 Moscou : une fusillade devant le siège des services spéciaux russes fait un mort et cinq blessés 20 décembre 2019 à 06:21 Fukushima : les sols décontaminés, pas la forêt 20 décembre 2019 à 06:06 Au Burkina Faso, le «pouvoir n’a pas confiance dans son armée» 19 décembre 2019 à 20:31 Au Mali, le refus du «néocolonialisme» 19 décembre 2019 à 20:31 Retraites amères pour les classes populaires 20 décembre 2019 à 11:36 Orna Donath : «On peut aimer ses enfants et regretter d’être mère» 20 décembre 2019 à 11:19 Retraites amères pour les classes populaires 19 décembre 2019 à 18:36 L’obsolescence programmée d’Uber à Paris 19 décembre 2019 à 08:29 Jonathan Pryce, Habemus papi Abonnés 19 décembre 2019 à 17:21 Personnes âgées et retraités, les oubliés des JT 19 décembre 2019 à 15:38 Profession de foi pour un foie 19 décembre 2019 à 14:33 Entre magnats israéliens et bars gays de Tel Aviv 19 décembre 2019 à 06:54 Y a-t-il plus d'accidents de vélo depuis le début des grèves à Paris ? 20 décembre 2019 à 12:32 Le CSA a-t-il rappelé à l'ordre LCI pour avoir dit que les profs étaient payés en moyenne 3 850 euros ? 20 décembre 2019 à 12:02 Pourquoi la SNCF a-t-elle supprimé les voitures pour enfants seuls pendant les fêtes ? 19 décembre 2019 à 17:11 Sarkozy avait-il acheté les mots-clés «racailles» ou «banlieues» sur Google lors des émeutes de 2005 ? 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Lèvres maquillées de bleu, yeux en amandes, kimono crème. Vincy Chan est fascinant·e dans la touffeur de la nuit. Ni «il» ni «elle», «iel» (1) est né·e à Hongkong en 1992. Il est minuit, et devant un whisky, iel raconte sa mère infirmière, son père travailleur dans le bâtiment. «Ils ont eu peur des conséquences de la répression des manifestations de Tiananmen en 1989 à Pékin, ndlr. On est partis en Australie.» La famille revient au bout de trois ans avec la double nationalité. Vincy est alors une petite fille qui chante, joue du piano, du violoncelle. Elle va à l’école et au lycée catholique non mixte, même si ses parents sont athées. Fleurs. «Je voyais bien qu’il y avait des garçons manqués, mais on n’en parlait pas. A la télé, les lesbiennes étaient montrées de manière négative. Je ne me sentais pas à ma place, mais je n’avais pas d’espace pour m’exprimer ou y penser.» A 23 ans, Vincy Chan part étudier la musique aux Etats-Unis, sort avec un garçon qui aurait aimé qu’elle mette des robes à fleurs. «Il m’a demandé de m’interroger sur mon identité. J’ai décidé d’être trans non-binaire, un mix entre la masculinité et la féminité.» De retour à Hongkong, iel attend 2017 pour en parler à ses parents. Ce n’est pas une bonne nouvelle, mais ils l’acceptent. Un mois après, iel participe à une émission LGBT à la radio, la nuit, pensant que personne n’écoutera. Raté. «Ils n’ont pas aimé que je m’affiche publiquement. Il y a tant de stigmatisation ici sur les trans, et je ne suis pas sûr·e qu’ils aient les mots pour comprendre. Mais je ne suis pas à plaindre, j’ai des amis qui ont été chassés de chez eux.» Iel n’est pas tendre avec Hongkong : «Une société de classe, conservatrice, normative et très capitaliste. Il y a beaucoup de préjugés envers les handicapés, les minorités ethniques et sexuelles. Et le gouvernement a une grande responsabilité dans cette situation.» Alors que Taiwan a déjà adopté le mariage pour tous, les choses bougent trop doucement selon Vincy. Un tribunal a autorisé le mariage d’une femme transgenre avec son ami - techniquement un mariage gay pour les autorités. Trois jeunes hommes trans sont en train de batailler juridiquement pour changer d’identité sans passer par la chirurgie. «Les trans font face à beaucoup d’incompréhension, y compris dans la communauté LGBT, dominée par les binaires. Le monde des lesbiennes est très différent du nôtre. Et il y a beaucoup de conflits internes.» Une avancée importante serait que le territoire semi-autonome se dote de lois antidiscrimination. «Le taux de chômage des trans est de 9,6 %, contre 2,8 % dans la population générale. Personne ne va vous dire que c’est pour cela que vous n’êtes pas embauché. Mais les chiffres sont parlants.» «Triste». Dans la vie, Vincy chante du jazz, dessine, écrit. Le reste du temps, iel anime des campagnes de sensibilisation auprès des jeunes. «Il y a un vrai manque d’assistance psychologique, de reconnaissance, d’entourage amical.» Vincy Chan souffre de solitude sur sa planète non-binaire. «Ce n’est pas facile de rencontrer quelqu’un qui me comprenne. Je dois toujours répondre à des questions intrusives. Je me sens seul·e, mais je suis plus frustré·e que triste.» Comme de nombreux jeunes hongkongais, Vincy Chan soutient le mouvement prodémocratique qui réclame le retrait d’un projet de loi d’extradition vers la Chine continentale, loi qui mettrait les Hongkongais à la merci d’une justice arbitraire aux ordres du pouvoir politique. «En Chine, il y a des festivals, des célébrations LGBT. Mais le Parti communiste est terrifié par toute population qui se regroupe et s’organise. Mon identité n’est pas une menace pour le régime. Ce n’est pas en tant que trans, mais en tant qu’artiste que je suis inquièt·e.» Iel ira manifester lundi 1er juillet, jour anniversaire de la rétrocession de Hongkong à la Chine. Si l’emprise de Pékin se fait plus forte, iel quittera le pays. (1) Pronom non genré le plus courant, contraction de «il» et «elle». Laurence Defranoux Envoyée spéciale à Hongkong. Photo RAUL ARIANO partager tweeter Vous êtes abonné à Libération Le journal d'aujourd'hui * découvrir le sommaire * lire l'édito * feuilleter * s'abonner à partir de 8€ Offre 100% numérique: 8€ par mois sans engagement Le journal du jour en exclusivité et le journal de demain avant tout le monde Voir les offres d’abonnement Après cet article 1231670-000_1h87fi.jpg?modified_at=0&ratio_x=03&ratio_y=02&width=300 LGBT+ Stonewall, «un événement très symbolique, qui séduit et même fascine» partager tweeter Dans le dossier «LGBT +» * A Paris en 2015, lors de la manifestation Existrans. Que sait-on de l'agression d'une femme transgenre à Bordeaux ? * Extrait du documentaire «Homothérapies, conversion forcée». Thérapies de conversion : le prêchi-prêcha des groupes religieux * Photo illustrative sur la thérapie de conversion. Homosexualité : des «thérapies» à rendre malade * Photo illustrative sur la thérapie de conversion Homosexualité : des «thérapies» à rendre malade * 28.06.19 1231670-000_1h87fi.jpg?modified_at=0ratio_x=03&ratio_y=02&width=22 5 LGBT+ Stonewall, «un événement très symbolique, qui séduit et même fascine» Le sociologue australien Dennis Altman, l’historienne des féminismes Christine Bard et la sociologue Karine Espiñeira interrogent pour «Libération» l’importance symbolique et l’héritage des émeutes new-yorkaises de 1969 pour les luttes LGBT+ contemporaines. * 28.06.19 1231848-christopher-street-liberation-day-1970.jpg?modified_at=0ra tio_x=03&ratio_y=02&width=225 Reportage Luttes LGBT: 50 ans de fiertés Il y a cinquante ans, dans la nuit du 28 au 29 juin 1969, une descente de police au Stonewall, un bar gay de New York, provoquait des émeutes aussi inédites qu’improvisées. Un événement aujourd’hui considéré comme la genèse du mouvement LGBT+. * 28.06.19 1231841-societe-homosexualite-gay-pride.jpg?modified_at=0ratio_x=0 3&ratio_y=02&width=225 Analyse Faire la révolution ou se marier, un demi-siècle de luttes LGBT+ A partir de la vague protestataire des années 60, les mouvements homos et trans ont tantôt opté pour la contestation, tantôt joué la carte réformiste. * 28.06.19 1231856-gettyimages-515384918.jpg?modified_at=0ratio_x=03&ratio_y= 02&width=225 David Paternotte : «Il est faux de penser qu’il n’y a rien eu avant les émeutes de Christopher Street» Le sociologue David Paternotte remet en perspective la place de Stonewall dans l’histoire des luttes LGBT+ à l’aune des enjeux contemporains. * 01.07.19 1232488-prodlibe-2019-0871-hongkong-1er-juillet.jpg?modified_at=0r atio_x=03&ratio_y=02&width=225 Reportage Sans horizon, la jeunesse hongkongaise étouffe dans la jungle urbaine Dans l’ancienne colonie britannique, le taux de suicide des 15-24 ans a bondi de 76 % entre 2012 et 2016. Et les tensions actuelles ne font qu’accroître le malaise des jeunes, dont les perspectives sont obstruées par le poids des inégalités et le coût du logement. * 28.06.19 1231824-prodlibe-2019-0855-dima.jpg?modified_at=0ratio_x=03&ratio_ y=02&width=225 Fiertés Au Liban, Dima Mikhayel Matta conte pour panser Témoignage de Dima Mikhayel Matta recueilli au Liban à l'occasion des 50 ans des émeutes de Stonewall. Retrouvez également les témoignages de Vincy Chan à... * 28.06.19 1231963-marchefiertemccouat.jpg?modified_at=0ratio_x=03&ratio_y=02 &width=225 LGBT+ Marche des fiertés : à Paris, la PMA sur les pavés Ce samedi, à l’occasion de la 41e édition de la manifestation dans la capitale, l’Inter-LGBT met en avant les questions de procréation et filiation. * 02.07.19 1233177-corps.jpg?modified_at=0ratio_x=03&ratio_y=02&width=225 Chronique «La cité des livres» Au firmament des abstractions Avec son livre clairement hostile à la PMA-GPA, la philosophe Sylviane Agacinski aligne les principes sans rapport avec la réalité. * 27.06.19 1231218-000_j70w8.jpg?modified_at=0ratio_x=03&ratio_y=02&width=225 Décryptage Bioéthique : ce que prévoit le projet de loi «Libération» s'est procuré le projet de loi qui veut étendre l'accès à la PMA à toutes les femmes. Le texte est en cours d'examen au Conseil d'Etat et devrait être présenté en Conseil des ministres fin juillet. * 28.06.19 1231825-prodlibe-2019-0856-giovanna-rincon.jpg?modified_at=0ratio_ x=03&ratio_y=02&width=225 Fiertés En France, Giovanna Rincon en résistrans Témoignage de Giovanna Rincon recueilli en France à l’occasion des 50 ans des émeutes de Stonewall. Retrouvez également les témoignages de Vincy Chan à... Vous êtes abonné à Libération Le journal d'aujourd'hui * découvrir le sommaire * lire l'édito * feuilleter * s'abonner à partir de 8€ Offre 100% numérique: 8€ par mois sans engagement Consultation illimitée sur tous les supports Voir les offres d’abonnement Un mot à ajouter ? xiti tr?id=342040669704613&ev=PageView&noscript=1 Quantcast img?mt_id=1202018&mt_adid=192531&mt_exem=&mt_excl=&v1=&v2=&v3=&s1=&s2= &s3= ? 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Chez Vuitton, un flâneur aux tons pastels. Chez Vuitton, un flâneur aux tons pastels. Photo Nolwenn Brod. VU pour Libération C’est clair depuis quelque temps : le vestiaire masculin est le terrain des jeux de mode les plus intéressants du moment. Les défilés parisiens printemps-été 2020 l’ont confirmé avec un déferlement de finesse, de décontraction sophistiquée. Il en ressort un sentiment d’équilibre assez réjouissant : la masculinité est bien présente mais fluide, pas pesante ni contrainte et globalement enjouée. Il s’agit d’exprimer sa personnalité, sa sensibilité, plutôt que de se conformer à des archétypes clivants - hétéro ou homo, businessman ou working class hero, sportif ou intello, etc. L’outdoor, j’adore Le costume bouge encore, ici et là, notamment chez Dior où Kim Jones trousse une symphonie gris perle sur sable rose. Mais l’académisme du «tayloring» est torpillé par la souplesse, ces pantalons qui tombent suavement sur le coup de pied, et on est clairement en 2019 avec les bouffées de rose bubblegum, les aplats de fleurs orange ou bleu Klein sur de troublantes chemises transparentes. On est aussi complètement dans l’époque avec Hermès où Véronique Nichanian se glisse dans le streetwear avec une aisance bluffante. L’étiquette «chic BCBG» accolée à la marque peut aller se rhabiller, ces jeunes gens ravissants en amples pantalons de toile, vestes à carreaux, chemises rayées d’étudiants américains, gilets ultra-souples, pull camionneur gaufré, sont tout simplement cools malgré la munificence des matières, le raffinement des couleurs. Globalement, c’est surtout l’outdoor qui triomphe, se généralise. Les vêtements de plein air, leur confortabilité et leur technicité infusent la panoplie de l’homme de tous les jours. Chez Off-White, Virgil Abloh les décline dans un hommage à la culture graffiti en collaboration avec le pionnier du street art Futura 2000. Grandes capes de pluie, godillots de rando, pantalons multipoches, parka bleu glacier, bob, short, sandales à l’allemande (portées avec des chaussettes), banane, poncho : ce sont des marcheurs, trekkeurs ou grimpeurs qui passent #À la Une de 20minutes.fr Retour à l’accueil * * Newsletter * Alerte Info * Recherche ____________________ (BUTTON) Ok * Actualité * Locales * Sport * Entertainment * Economie * Planète * T'as vu ? * Fake Off * By the Web * High-Tech * Podcast * Vidéos * En Images * Voyage * Guide d'achat * Le direct * Services * Jeux * PDF Menu complet Retour à l’accueil Podcast PODCAST. Masculinité et « Couilles sur la table » dans «Minute Papillon!» * Partager sur Messenger * Partager sur Facebook * Partager sur Twitter * Partager sur Flipboard * Partager sur Linkedin * Partager sur Whats'App Menu complet (BUTTON) Fermer * Juste un droit * L'été de 20 Minutes * Minute Papillon * Paroles paroles * Sixième science * Terrain glissant (BUTTON) Voir les sous-sections précedentes (BUTTON) Voir les sous-sections suivantes Dans l’actu * Grève contre la réforme des retraites * Alerte météo * Star Wars * Procès Balkany (BUTTON) Voir les tags précedents (BUTTON) Voir les tags suivants 1. Accueil 2. Podcast PODCAST. « Minute Papillon ! » : On parle masculinité et féminisme avec Victoire Tuaillon, des « Couilles sur la table » ALLUMEZ LE SON Dans « Minute Papillon », le podcast original de «20 Minutes», la journaliste Victoire Tuaillon revient sur la masculinité, sujet de son podcast «Les Couilles sur la table» Anne-Laëtitia Béraud * Twitter Publié le 28/10/19 à 12h20 — Mis à jour le 28/10/19 à 13h12 15 commentaires 3 partages * Partager sur Messenger * Partager sur Facebook * Partager sur Twitter * Partager sur Flipboard * Partager sur Pinterest * Partager sur Linkedin * Imprimer * Envoyer par Mail Illustration d'un couple, homme et femme Illustration d'un couple, homme et femme — Matheus Ferrero/Unsplash Dans « Minute Papillon » ce lundi, on parle de masculinité. Quel est l’ensemble des caractères spécifiques − ou considérés comme tels − de l'homme par rapport à la femme ? Comment cette masculinité est-elle comprise généralement et se traduit-elle au quotidien ? C’est le sujet abordé avec une vision féministe par Victoire Tuaillon dans son podcast « Les couilles sur la table » (Binge audio). IFRAME: https://player.pippa.io/5ab28781627e02027cf860fe/episodes/minute-papill on-info-28-octobre-2019?theme=white&cover=1&latest=1 La journaliste publie un livre adapté éponyme mercredi. Il reprend les thèmes du podcast, et l’on y parle notamment de la manière dont la domination masculine infuse tous les pans de notre quotidien, de la répartition des tâches ménagères à la recherche médicale, en passant par l’inégalité salariale. 20 Minutes a rencontré Victoire Tuaillon. Interview de Victoire Tuaillon, créatrice du podcast Interview de Victoire Tuaillon, créatrice du podcast - Olivier Juszczak / 20 Minutes Elle nous a expliqué que « le féminisme n’est pas une guerre contre les hommes, mais contre la domination masculine ». Pour l’écouter, un simple clic dans le lecteur ci-dessus. Et pour la lire, c'est par ici,​ dans l’interview menée par Anissa Boumediene. IFRAME: //www.ultimedia.com/deliver/generic/iframe/mdtk/01357940/src/prrusx/zon e/1/showtitle/1/ Crédits sons : Longing – Joakim Karud/Musique libre de droits/Bisquit soul de Noodgroove – Fugue Icons8.com/Bruitage, loop : universal-soundbank.com Médias Pub Gillette: Mais pourquoi le féminisme dans les médias énerve-t-il autant certains hommes? Podcast PODCAST. «Dans ma bagnole»: Ce que vous avez écouté, dans la voiture, sur la route des vacances Le podcast « Minute Papillon ! », 20 secondes de contexte « Minute Papillon ! » est le podcast d'actu original signé « 20 Minutes » avec nos interviews, nos articles d'infos, nos coups de cœur... Abonnez-vous gratuitement sur votre application de podcast ITunes Apple Podcast, Google Podcast et Podcast Addict, Spotify, Deezer, Soundclound, Pippa, YouTube, Dailymotion, Podm ust, Overcast, Castbox ... 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Terminator, une « icône populaire » déshabillée «Minute Papillon!» Plus d’actu (BUTTON) Précédent 1 sur 2 (BUTTON) Suivant Retourner en haut de la page 20 Minutes * Recrutement * Plan du site * Notre charte * Journal PDF * Archives * La 21^e Minute * Publicité * 20 Minutes Média * Panel des lecteurs * 20 Minutes Livres * Charte des commentaires * Mentions légales * CGU * Protection des données personnelles * Gestion des cookies Services * Distribution * Horoscope * Horoscope chinois * Conjugaison * Recette de cuisine * Codes promo * Code promo Nike * Code promo Boohoo * Jeux gratuits * Mots fléchés * Solitaire * Puzzle * Mots croisés * Sudoku * Facebook 2.8M * Twitter 2.3M * Instagram 179K * Youtube 15K * Dailymotion 9,4K * Flipboard 108K Bot 20 Minutes Nous contacter La fréquentation de 20 Minutes est certifiée par l’ACPM © Copyright 20 Minutes Choix de consentement Mentions légales (BUTTON) (BUTTON) (BUTTON) (BUTTON) ? 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Photo Bruno Amsellem pour Libération Le mouvement des Sœurs de la perpétuelle indulgence fête ses 40 ans. «Libération» a rencontré la fondatrice de la branche française, sœur Rita du Calvaire-de-Marie-Madeleine-Car-Elle-Aussi-A-Beaucoup-Souffert. * Sœurs de la perpétuelle indulgence : «On garde notre raison d’être des folles radicales» Une cornette à pointes, un teint de porcelaine rehaussé de faux cils vertigineux et d’improbables noms de baptême : quand elles arrivent en ville, les Sœurs de la perpétuelle indulgence passent rarement inaperçues. Tant mieux, puisque «faire le trottoir», s’inviter dans les bars et les boîtes de nuit, dans les manifs aux côtés des gays, des trans, des prostituées, et récemment des banlieusards (pour la Pride de banlieue, en Seine-Saint-Denis), c’est le sacerdoce de ces nonnes déjantées. Depuis sa naissance à San Francisco en 1979, ce mouvement militant radical revendique sa «follie», lutte contre les injustices ? 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Par Luc Chessel — 11 juin 2019 à 18:36 Un havre de paix nous administre des doses expérimentales de violence pure et nous laisse nous en débrouiller, pour voir : le spectateur sert ici de cobaye à la fiction, ou l’autofiction, de quelqu’un qu’il n’a pas envie de connaître, et se retrouve pris malgré lui dans la dispute d’une famille dont les secrets sont mis sur la table, forcé d’éprouver, à l’unisson des personnages, le syndrome post-traumatique généralisé d’une société ultraviolente. Les trois frères, de retour dans le kibboutz familial pour l’enterrement de leur père, se déchirent en raison de leurs rapports respectifs et divergents à l’armée, et le film ne se rend que plus désagréable en faisant semblant d’être une réflexion dérangeante sur la masculinité toxique dans le contexte du militarisme israélien, au lieu d’assumer son évident narcissisme, un amour sans distance, viril et fraternel à l’endroit de ses propres démons. Luc Chessel partager tweeter Vous êtes abonné à Libération Le journal d'aujourd'hui * découvrir le sommaire * lire l'édito * feuilleter * s'abonner à partir de 8€ Offre 100% numérique: 8€ par mois sans engagement Le journal du jour en exclusivité et le journal de demain avant tout le monde Voir les offres d’abonnement partager tweeter #next Vous êtes abonné à Libération Le journal d'aujourd'hui * découvrir le sommaire * lire l'édito * feuilleter * s'abonner à partir de 8€ Un mot à ajouter ? xiti tr?id=342040669704613&ev=PageView&noscript=1 Quantcast img?mt_id=1202018&mt_adid=192531&mt_exem=&mt_excl=&v1=&v2=&v3=&s1=&s2= &s3= ? 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Ce sont des corps pluriels qui changent avec l’âge, sujets et objets à la fois et trop souvent normés, avant même d’être subjectivés. * L’étrange singulier du corps féminin Etrange singulier que «le corps féminin». Car il est loin d’être unique. Même lorsque je pense à mon propre corps, c’est un corps en perpétuelle transformation, un corps d’enfant, un corps d’adolescente, un corps découvrant le plaisir, connaissant la fatigue, un corps qui s’entraîne, tombe malade, vieillit, un corps dont les contours se précisent, un corps qui s’amenuise, se ride, mon corps féminin à moi est plusieurs corps à la fois, et même ce qu’il a de féminin est indéfini ou surdéterminé, c’est en tout cas un corps qui connaît le plaisir et le désir, chez quelqu’un comme moi, chez un être queer, qui désire comme je désire, le corps féminin est à la fois sujet et objet, ce sont des corps féminins, avec leurs lèvres, leurs seins, leur peau, leur sexe, leurs gestes, que je veux. Etrange singulier que le corps féminin, corps si différents que ces corps-là, corporéités si multiples, et qui ne doivent pas forcément correspondre à ce qui a été déclaré «féminin», qui ne sont pas toujours circonscrits par la norme ou les images de la norme, mais s’étendent au-delà ou en dehors, formes ludiques de la féminité ou de la masculinité, ou justement formes ludiques des codes du sexe et de la sexualité, formes qui m’obsèdent, m’exaltent, m’excitent, formes auxquelles je succombe, formes qui me touchent et qui me comblent. Etrange singulier que le corps féminin. Il existe aussi et surtout par la certitude de son existence, la certitude que ce corps est montrable, utilisable, recouvrable, caressable, corvéable. C’est peut-être l ? 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Dans la forêt lointaine… «Ça se passe dans un champ, au milieu de la forêt» : on a connu des accroches moins avenantes que celle de Biches, à prononcer à la française puisque l’événement fait la part belle à la jeune programmation hexagonale et qu’il entraîne son petit monde dans l’outback normand, loin des barnums qui ne manqueront pas de suivre durant l’été. Créé il y a quatre ans, Biches incarne en réalité cette tendance consistant à promouvoir des rendez-vous à taille humaine où l’on vient (tendance diaspora citadine) au moins autant pour l’ambiance et pour le cadre, que pour l’affiche. Réplique campagnarde du presque voisin mais plus maritime et non moins hipster, Pete the Monkey, Biches annonce donc la couleur, familiale, avec ateliers, jeux, expos, espace détente, pétanque, ping-pong, etc., dans une clairière où recréer le temps d’un week-end un petit eden arty entre amis. Créé par une association qui ne manque pas de rappeler son ancrage régional, et de vanter comme il se doit une éthique écolo parfaitement dans l’air du temps, Biches a accueilli par le passé Thérapie Taxi et Fishbach. Cette année, ses atouts pop ont pour noms Aloïse Sauvage, Ysé Sauvage, Voyou, ainsi que les non moins civilisés Léonie Pernet ou Pi Ja Ma. Reste à prier pour que le ciel normand soit le plus clément possible… Biches, le Clos des biches, Cisai-Saint-Aubin (61), du 14 au 16 juin. Huîtres et demis Quiconque souhaitera quitter l’autoroute filera en direction de l’Ostreoid Festival, «deuxième édition d’une messe pop en forme d’huître qui voit sa mission initiale s’élargir en proposant une programmation plus internationale, toujours définie par un dévouement ? 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A l’instar de Garrett White, instigateur aux Etats-Unis de la «Warrior Week», des groupes d’hommes s’organisent en France, pour s'apprendre à être de «vrais mâles». * Avec les masculinistes : «Un véritable hétéro doit être capable de bander sur des filles moyennes» Cet article a été réalisé par Dahlia Girgis, Arthur Leblanc et Lou Mamalet, étudiants de La School (ex-Street School), un programme de formation en journalisme de l’association Media Maker. Face à la vague féministe provoquée par des mouvements comme #MeToo ou #Balancetonporc, de nombreux groupes et associations ont émergé ces dernières années. Des penseurs qui s’érigent contre une «féminisation» du monde dont nous serions tous menacés à long terme. Mais pourquoi le combat pour la justice entre hommes et femmes suscite-t-il autant de peur chez certains hommes, et que signifie réellement de réapprendre ? (BUTTON) Menu Libération ____________________ (BUTTON) Connexion Abonnement Embouteillage sur l'Everest : quels sont les ressorts de la quête des sommets ? * France * Planète * Idées * Culture * Checknews France Télécom et ses ex-dirigeants condamnés pour «harcèlement moral» 20 décembre 2019 à 11:13 A l'AG de l'Unsa RATP : «Nous, on continue» 16 décembre 2019 à 18:23 Réforme des retraites, enquête ouverte sur Delevoye, policier condamné... l'essentiel de ce jeudi 19 décembre 2019 à 20:28 Ce vendredi, le tribunal rend son jugement dans le procès de France Télécom 20 décembre 2019 à 08:18 Moscou : une fusillade devant le siège des services spéciaux russes fait un mort et cinq blessés 20 décembre 2019 à 06:21 Fukushima : les sols décontaminés, pas la forêt 20 décembre 2019 à 06:06 Au Burkina Faso, le «pouvoir n’a pas confiance dans son armée» 19 décembre 2019 à 20:31 Au Mali, le refus du «néocolonialisme» 19 décembre 2019 à 20:31 Retraites amères pour les classes populaires 20 décembre 2019 à 11:36 Orna Donath : «On peut aimer ses enfants et regretter d’être mère» 20 décembre 2019 à 11:19 Retraites amères pour les classes populaires 19 décembre 2019 à 18:36 L’obsolescence programmée d’Uber à Paris 19 décembre 2019 à 08:29 Jonathan Pryce, Habemus papi Abonnés 19 décembre 2019 à 17:21 Personnes âgées et retraités, les oubliés des JT 19 décembre 2019 à 15:38 Profession de foi pour un foie 19 décembre 2019 à 14:33 Entre magnats israéliens et bars gays de Tel Aviv 19 décembre 2019 à 06:54 Y a-t-il plus d'accidents de vélo depuis le début des grèves à Paris ? 20 décembre 2019 à 12:32 Le CSA a-t-il rappelé à l'ordre LCI pour avoir dit que les profs étaient payés en moyenne 3 850 euros ? 20 décembre 2019 à 12:02 Pourquoi la SNCF a-t-elle supprimé les voitures pour enfants seuls pendant les fêtes ? 19 décembre 2019 à 17:11 Sarkozy avait-il acheté les mots-clés «racailles» ou «banlieues» sur Google lors des émeutes de 2005 ? Abonnés 19 décembre 2019 à 07:09 * Le journal du jour * Le direct * Libé Labo * Food * Photo * Le P'tit Libé * Politiques * Portrait * Sports * Voyages * Blogs * Sciences Abonnement 100% numérique 8€ par mois sans engagement Formule Intégrale Libération en version papier et numérique Èvénements La Boutique Unes en affiches Les unes cultes en tirage photo Relire Libé Commander des anciens numéros newsletter ____________________ (BUTTON) ok * FAQ * La rédaction * Contact * Publicité * Données personnelles * CGV * Charte éthique * Crédits * Dépêches * Archives * Elections * Villes info / Chronique Sociosports Embouteillage sur l'Everest : quels sont les ressorts de la quête des sommets ? Par Seghir Lazri — 29 mai 2019 à 13:38 Photographie prise et diffusée par l'alpiniste népalais Nirmal Purja le 22 mai 2019, montrant un embouteillage de montagnards près du sommet de l'Everest Photographie prise et diffusée par l'alpiniste népalais Nirmal Purja le 22 mai 2019, montrant un embouteillage de montagnards près du sommet de l'Everest Photo Handout. AFP Alors que la fréquentation du plus haut des pics atteint des sommets, avec des conséquences parfois dramatiques, le chercheur Seghir Lazri revient sur l'imaginaire et les passions liées à la conquête de l'Himalaya. * Embouteillage sur l'Everest : quels sont les ressorts de la quête des sommets ? Seghir Lazri travaille sur le thème de la vulnérabilité sociale des athlètes. Dans cette chronique, il passe quelques clichés du sport au crible des sciences sociales, ou comment le social explique le sport, et inversement. Le week-end dernier, une photo a fait le tour des réseaux sociaux. Elle fut d’autant plus commentée qu’elle accompagnait une triste nouvelle, les décès d’une dizaine d’alpinistes au sommet de l’Everest. Sur cette photo prise par Nirmal Purja Magar, ancien militaire et grimpeur chevronné, on voit une longue file d’attente au sommet de l’Everest, soit à plus de 8 000 mètres d’altitude, illustrant une forte densité d’individus à un endroit où l’oxygène est raréfié et où les conditions de survie sont des plus délicates. #ProjectPossible update. I summited Everest at 0530 and Lhotse at 1545 despite heavy traffic. I am now at Makalu base camp. Will be going directly for summit push from base camp. I will update once Makalu is complete. Thank you for my support especially my sponsors. pic.twitter.com/mAiLTryEln — Nimsdai (@nimsdai) 23 mai 2019 Au premier abord, les raisons sont à la fois politiques et physiques. On a assisté à une augmentation significative des permis délivrés par le gouvernement népalais afin d’arpenter le sommet, notamment pour la période d’avril-mai, où les conditions climatiques sont les moins rudes, facilitant par conséquent l’ascension. Néanmoins, se cantonner ? (BUTTON) Menu Libération ____________________ (BUTTON) Connexion Abonnement Delon, l’éléphant blanc au cimetière de la virilité * France * Planète * Idées * Culture * Checknews France Télécom et ses ex-dirigeants condamnés pour «harcèlement moral» 20 décembre 2019 à 11:13 A l'AG de l'Unsa RATP : «Nous, on continue» 16 décembre 2019 à 18:23 Réforme des retraites, enquête ouverte sur Delevoye, policier condamné... l'essentiel de ce jeudi 19 décembre 2019 à 20:28 Ce vendredi, le tribunal rend son jugement dans le procès de France Télécom 20 décembre 2019 à 08:18 Moscou : une fusillade devant le siège des services spéciaux russes fait un mort et cinq blessés 20 décembre 2019 à 06:21 Fukushima : les sols décontaminés, pas la forêt 20 décembre 2019 à 06:06 Au Burkina Faso, le «pouvoir n’a pas confiance dans son armée» 19 décembre 2019 à 20:31 Au Mali, le refus du «néocolonialisme» 19 décembre 2019 à 20:31 Retraites amères pour les classes populaires 20 décembre 2019 à 11:36 Orna Donath : «On peut aimer ses enfants et regretter d’être mère» 20 décembre 2019 à 11:19 Retraites amères pour les classes populaires 19 décembre 2019 à 18:36 L’obsolescence programmée d’Uber à Paris 19 décembre 2019 à 08:29 Jonathan Pryce, Habemus papi Abonnés 19 décembre 2019 à 17:21 Personnes âgées et retraités, les oubliés des JT 19 décembre 2019 à 15:38 Profession de foi pour un foie 19 décembre 2019 à 14:33 Entre magnats israéliens et bars gays de Tel Aviv 19 décembre 2019 à 06:54 Y a-t-il plus d'accidents de vélo depuis le début des grèves à Paris ? 20 décembre 2019 à 12:32 Le CSA a-t-il rappelé à l'ordre LCI pour avoir dit que les profs étaient payés en moyenne 3 850 euros ? 20 décembre 2019 à 12:02 Pourquoi la SNCF a-t-elle supprimé les voitures pour enfants seuls pendant les fêtes ? 19 décembre 2019 à 17:11 Sarkozy avait-il acheté les mots-clés «racailles» ou «banlieues» sur Google lors des émeutes de 2005 ? 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Si l’on m’avait dit qu’un jour, je viendrais en soutien d’Alain Delon, j’aurais hurlé au loup et crié au fou. Et pourtant… Quelques vigilantes féministes viennent de croquer absurdement dans les bas morceaux du patriarche indigne. Elles se sont offusquées des dérapages droitiers et du machisme surjoué de l’acteur finissant de 83 ans, hommagé à Cannes. Lui refusant cette reconnaissance tardive, ces dénonciatrices se révèlent toujours aussi incapables de faire la part des choses entre l’homme et l’artiste, entre les opinions réactionnaires du citoyen bavard et la terrible attractivité du comédien des débuts. Surtout, elles font montre de leur habituelle volonté d’interdire et de proscrire ceux qui ne cotisent pas à la ligue du Bien et adorent dire n’importe quoi. Ce que Delon fait allégrement, entre conservatisme claironné, inconséquences irrépressibles et fidélité amicale. Je ne vais pas épiloguer une nouvelle fois sur le fait que le talent n’a aucun gage d’exemplarité ? (BUTTON) Menu Libération ____________________ (BUTTON) Connexion Abonnement L'homophobie dans le sport, un héritage historique * France * Planète * Idées * Culture * Checknews France Télécom et ses ex-dirigeants condamnés pour «harcèlement moral» 20 décembre 2019 à 11:13 A l'AG de l'Unsa RATP : «Nous, on continue» 16 décembre 2019 à 18:23 Réforme des retraites, enquête ouverte sur Delevoye, policier condamné... l'essentiel de ce jeudi 19 décembre 2019 à 20:28 Ce vendredi, le tribunal rend son jugement dans le procès de France Télécom 20 décembre 2019 à 08:18 Moscou : une fusillade devant le siège des services spéciaux russes fait un mort et cinq blessés 20 décembre 2019 à 06:21 Fukushima : les sols décontaminés, pas la forêt 20 décembre 2019 à 06:06 Au Burkina Faso, le «pouvoir n’a pas confiance dans son armée» 19 décembre 2019 à 20:31 Au Mali, le refus du «néocolonialisme» 19 décembre 2019 à 20:31 Retraites amères pour les classes populaires 20 décembre 2019 à 11:36 Orna Donath : «On peut aimer ses enfants et regretter d’être mère» 20 décembre 2019 à 11:19 Retraites amères pour les classes populaires 19 décembre 2019 à 18:36 L’obsolescence programmée d’Uber à Paris 19 décembre 2019 à 08:29 Jonathan Pryce, Habemus papi Abonnés 19 décembre 2019 à 17:21 Personnes âgées et retraités, les oubliés des JT 19 décembre 2019 à 15:38 Profession de foi pour un foie 19 décembre 2019 à 14:33 Entre magnats israéliens et bars gays de Tel Aviv 19 décembre 2019 à 06:54 Y a-t-il plus d'accidents de vélo depuis le début des grèves à Paris ? 20 décembre 2019 à 12:32 Le CSA a-t-il rappelé à l'ordre LCI pour avoir dit que les profs étaient payés en moyenne 3 850 euros ? 20 décembre 2019 à 12:02 Pourquoi la SNCF a-t-elle supprimé les voitures pour enfants seuls pendant les fêtes ? 19 décembre 2019 à 17:11 Sarkozy avait-il acheté les mots-clés «racailles» ou «banlieues» sur Google lors des émeutes de 2005 ? 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(BUTTON) Menu Libération ____________________ (BUTTON) Connexion Abonnement «Les Crevettes pailletées», bouquet finaud * France * Planète * Idées * Culture * Checknews France Télécom et ses ex-dirigeants condamnés pour «harcèlement moral» 20 décembre 2019 à 11:13 A l'AG de l'Unsa RATP : «Nous, on continue» 16 décembre 2019 à 18:23 Réforme des retraites, enquête ouverte sur Delevoye, policier condamné... l'essentiel de ce jeudi 19 décembre 2019 à 20:28 Ce vendredi, le tribunal rend son jugement dans le procès de France Télécom 20 décembre 2019 à 08:18 Moscou : une fusillade devant le siège des services spéciaux russes fait un mort et cinq blessés 20 décembre 2019 à 06:21 Fukushima : les sols décontaminés, pas la forêt 20 décembre 2019 à 06:06 Au Burkina Faso, le «pouvoir n’a pas confiance dans son armée» 19 décembre 2019 à 20:31 Au Mali, le refus du «néocolonialisme» 19 décembre 2019 à 20:31 Retraites amères pour les classes populaires 20 décembre 2019 à 11:36 Orna Donath : «On peut aimer ses enfants et regretter d’être mère» 20 décembre 2019 à 11:19 Retraites amères pour les classes populaires 19 décembre 2019 à 18:36 L’obsolescence programmée d’Uber à Paris 19 décembre 2019 à 08:29 Jonathan Pryce, Habemus papi Abonnés 19 décembre 2019 à 17:21 Personnes âgées et retraités, les oubliés des JT 19 décembre 2019 à 15:38 Profession de foi pour un foie 19 décembre 2019 à 14:33 Entre magnats israéliens et bars gays de Tel Aviv 19 décembre 2019 à 06:54 Y a-t-il plus d'accidents de vélo depuis le début des grèves à Paris ? 20 décembre 2019 à 12:32 Le CSA a-t-il rappelé à l'ordre LCI pour avoir dit que les profs étaient payés en moyenne 3 850 euros ? 20 décembre 2019 à 12:02 Pourquoi la SNCF a-t-elle supprimé les voitures pour enfants seuls pendant les fêtes ? 19 décembre 2019 à 17:11 Sarkozy avait-il acheté les mots-clés «racailles» ou «banlieues» sur Google lors des émeutes de 2005 ? 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Photo Universal Pictures International France Bien qu’en plein droit d’être examiné à un autre prisme que celui de la comparaison avec le Grand Bain, les Crevettes pailletées ne nous facilite pas la tâche. Il y est bien question, comme dans la comédie dépressive signée Gilles Lellouche, de célébrer la camaraderie d’une équipe de gaillards en slips de bain, a priori inaptes aux podiums. Exit toutefois la crise existentielle de mâles hétéros flapis et place à un pétulant groupe de water-polo gay. Terrain glissant ? Les cinéastes Maxime Govare et Cédric Le Gallo naviguent plutôt habilement dans les eaux d’une époque «conscientisée», et taquinent sans trop y toucher la phobie contemporaine de l’humour borderline, toujours manié par les Crevettes («privilège de minorités opprimées !») ou tempéré par une rebuffade explicite. L’intrigue laissait pourtant craindre les pires indélicatesses - un champion de natation sanctionné pour injure homophobe est contraint de se racheter une image en entraînant les fameuses Crevettes. Seulement, l’homophobie du bougre se révèle particulièrement théorique et civile, tout comme son rôle de protagoniste, plutôt faire-valoir de l’escouade. Rien d’étonnant, donc, à ce que le récit se fiche de savoir si son cheminement vers la tolérance doit lui permettre la rédemption professionnelle : l’absolution et la sympathie des Crevettes (donc du spectateur) lui sont déjà acquises. Le refus du contraste outrancier entre ces lurons désinhibés et ce qui aurait pu être montré comme une masculinité spartiate n’est pas le seul choix avisé du film, plus séant qu’il n’en a l’air. Un autre est la manière dont il évince l’athlète chaque fois que son regard d’outsider risquerait d’enfermer les Crevettes dans l’altérité, et prend garde #À la Une de 20minutes.fr Retour à l’accueil * * Newsletter * Alerte Info * Recherche ____________________ (BUTTON) Ok * Actualité * Locales * Sport * Entertainment * Economie * Planète * T'as vu ? * Fake Off * By the Web * High-Tech * Podcast * Vidéos * En Images * Voyage * Guide d'achat * Le direct * Services * Jeux * PDF Menu complet Retour à l’accueil Société Comment notre monde est construit au « masculin neutre » * Partager sur Messenger * Partager sur Facebook * Partager sur Twitter * Partager sur Flipboard * Partager sur Linkedin * Partager sur Whats'App Menu complet (BUTTON) Fermer * Société * Faits divers * Politique * Monde * Justice * Santé * Municipales 2020 * Résultats Municipales (BUTTON) Voir les sous-sections précedentes (BUTTON) Voir les sous-sections suivantes Dans l’actu * Grève contre la réforme des retraites * Alerte météo * Star Wars * Procès Balkany (BUTTON) Voir les tags précedents (BUTTON) Voir les tags suivants 1. Accueil 2. Société « Le féminisme n’est pas une guerre contre les hommes, mais contre la domination masculine », selon Victoire Tuaillon «20 MINUTES» AVEC Dans son livre « Les couilles sur la table », la journaliste Victoire Tuaillon revisite les thématiques abordées dans son podcast, qui interroge les masculinités avec un point de vue féministe Propos recueillis par Anissa Boumediene * Twitter Publié le 25/10/19 à 09h43 — Mis à jour le 26/11/19 à 15h11 183 commentaires 284 partages * Partager sur Messenger * Partager sur Facebook * Partager sur Twitter * Partager sur Flipboard * Partager sur Pinterest * Partager sur Linkedin * Imprimer * Envoyer par Mail La journaliste Victoire Tuaillon, créatrice du blog La journaliste Victoire Tuaillon, créatrice du blog — Olivier Juszczak / 20 Minutes * Tous les vendredis, 20 Minutes propose à une personnalité de commenter un phénomène de société, dans notre rendez-vous « 20 Minutes avec… ». * Dans son livre Les couilles sur la table, à paraître le 30 octobre, la journaliste Victoire Tuaillon, créatrice du podcast du même nom, s’intéresse aux masculinités. * Elle illustre la manière dont la domination masculine infuse tous les pans de notre quotidien, de la répartition des tâches ménagères à la recherche médicale, en passant par l’inégalité salariale. Son podcast Les couilles sur la table vient de souffler sa deuxième bougie. Et il cartonne, avec plus de 500.000 écoutes mensuelles. Deux fois par mois, Victoire Tuaillon, sa créatrice, s’interroge sur les masculinités, mais avec un regard féministe. Pas question pour la journaliste d’offrir une tribune aux commentateurs ou un recueil d’opinions. C’est avec l’éclairage de chercheuses et chercheurs, de philosophes, sociologues et autres têtes bien remplies que la journaliste décrypte nombre de phénomènes liés à la domination masculine et ses conséquences. « Pour penser le genre et aborder ces questions de façon dépassionnée, l’expertise d’universitaires, qui présentent des travaux étayés, est précieuse », explique-t-elle à 20 Minutes. Grâce à ce succès, Les couilles sur la table sont désormais aussi un livre, à paraître le 30 octobre prochain. Dans votre ouvrage, vous reprenez la théorie selon laquelle la virilité est un privilège, mais aussi un piège. En quoi est-elle un piège ? D’abord, il ne faudrait pas penser que les hommes souffrent autant de la domination masculine que les femmes. Selon Pierre Bourdieu, la virilité est un piège pour les hommes parce que cela leur impose de l’affirmer en toutes circonstances. Incompatible avec les sentiments et la vulnérabilité, elle fait croire aux hommes qu’ils sont forts, n’ont besoin de personne ni de s’investir dans des relations sentimentales. C’est le terreau d’une société dans laquelle il ne fait pas bon vivre. Une société profondément imprégnée de misogynie et de sexisme, que l’on justifie avec des croyances erronées sur ce qui serait de l’ordre du naturel, du biologique. Vous dites que l’éducation des petits garçons se fait dans une certaine forme de « violence ». Quelles en sont les conséquences ? C’est l’une de mes interrogations : pourquoi la majorité des auteurs de violences sont-ils de genre masculin ? C’est au cœur même de ce qu’est la masculinité, comme le souligne le philosophe Paul B. Preciado : « La masculinité, c’est l’usage légitime de la violence ». En pratique, la société tolère beaucoup de violences masculines. C’est le cas du viol, qui est une violence à la fois atroce et banale. Selon les chiffres dont on dispose, 15 % des femmes en France ont déjà été violées. Il y a donc beaucoup de violeurs, et pourtant, très peu sont condamnés. IFRAME: //www.ultimedia.com/deliver/generic/iframe/mdtk/01357940/src/prlrpx/zon e/1/showtitle/1?tagparamdecoded=actu%2Fvideo_actu/ Mais la violence n’a rien de naturel, il faut s’interroger sur son sens et son origine. Infliger une violence à quelqu’un, c’est considérer qu’on a le droit de le faire. Des hommes harcèlent et agressent des femmes parce que dans les faits, il ne leur arrive souvent rien. Il y a un climat de tolérance aux violences sexuelles et sexistes, donc une impunité de leurs auteurs. Pourquoi ? Parce que la masculinité est construite comme étant supérieure au féminin. La virilité est-elle différente de la masculinité ? La virilité est un attribut qui correspond à des archétypes de puissance, notamment sexuelle, et d’autorité. Les archétypes de la virilité peuvent être le guerrier, le cow-boy ou encore l’athlète. Et il n’y a pas une, mais plusieurs formes de masculinités, hiérarchisées entre elles. La masculinité hégémonique, notion forgée par la sociologue australienne Raewyn Connell, se construit en dévalorisant d’autres formes de masculinités, lorsqu’on n’obéit pas aux codes de la masculinité dominante, que l’on ne correspond pas aux stéréotypes de genre. On le voit avec les discriminations et les injures dont sont notamment victimes les personnes LGBT. Pourquoi le mot « enculé » est-il encore aujourd’hui considéré comme une insulte ? Parce qu’il ne correspond pas à la norme de l'homme viril qui pénètre. Il y a aussi un lien avec la classe sociale : ce n’est pas le plus viril qui est en position hégémonique. Les masculinités populaires sont elles aussi dévalorisées. Ainsi, un homme noir, gay, issu d’un quartier populaire sera plus sujet aux discriminations qu’un homme blanc issu d’un milieu privilégié. Beaucoup d’aspects de notre vie quotidienne résultent d’une société construite par et pour les hommes. Pouvez-vous donner quelques exemples ? L’une des questions majeures qui est régulièrement posée dans Les couilles sur la table est de montrer à quel point notre société est androcentrée : notre modèle de pensée est masculin. Notre monde est construit au « masculin neutre », ce qui implique que la femme est toujours considérée comme une particularité, une déviation de l’être humain standard. On le voit jusque dans le domaine de la santé. Il y a par exemple cinq fois plus de recherches médicales portant sur les troubles sexuels masculins que sur ceux qui touchent les femmes. Comment expliquer que l’on n’ait toujours pas trouvé de remède à l’endométriose, alors que c’est une maladie qui touche plus d’une femme sur dix ? On ne connaît l’anatomie exacte du clitoris que depuis 1998, et il n’est pas encore correctement représenté dans la totalité des manuels scolaires ! Cette méconnaissance influe sur la façon dont les femmes ignorent le fonctionnement de leur propre corps. La masculinité peut-elle exister en égalité avec la féminité ? Dans cet état d’esprit de masculinité dominante, être un homme, c’est non seulement ne rien avoir de féminin, mais aussi être mieux qu’une femme, ne pas aimer des choses et activités étant codées comme féminines. La masculinité est un apprentissage, du corps et de l’esprit. C’est, encore trop souvent, considérer qu’on est responsable de certains domaines et pas d’autres. Pourquoi, aujourd’hui en France, les femmes prennent en charge les deux tiers du travail domestique, sans parler de la charge mentale ? Ce sont des constructions : rien ne dit que les femmes sont prédestinées à s’occuper de la maison, du ménage et des enfants. Pourtant, l’économie et la société reposent sur le care, un travail indispensable – domestique et d’éducation des enfants – assuré gratuitement par les femmes. Il faut changer cela. A l’ère post-MeToo, beaucoup d’hommes se posent des questions à la fois sur leur masculinité et sur leur rapport aux femmes. Y a-t-il une crise de la masculinité ? Et que conseiller aux hommes qui souhaitent favoriser les droits des femmes ? Il y a toujours eu des discours sur la crise de la masculinité, bien avant MeToo Chaque fois que les femmes ont revendiqué ou obtenu plus de droits, des voix masculines se sont élevées, parce que cela remet en cause leur domination. Ceux qui veulent évoluer peuvent déjà être des alliés. En se remettant en question, en écoutant ce que les voix féministes ont ? (BUTTON) Menu Libération ____________________ (BUTTON) Connexion Abonnement Dix rôles marquants de la carrière de Jean-Pierre Marielle * France * Planète * Idées * Culture * Checknews France Télécom et ses ex-dirigeants condamnés pour «harcèlement moral» 20 décembre 2019 à 11:13 A l'AG de l'Unsa RATP : «Nous, on continue» 16 décembre 2019 à 18:23 Réforme des retraites, enquête ouverte sur Delevoye, policier condamné... l'essentiel de ce jeudi 19 décembre 2019 à 20:28 Ce vendredi, le tribunal rend son jugement dans le procès de France Télécom 20 décembre 2019 à 08:18 Moscou : une fusillade devant le siège des services spéciaux russes fait un mort et cinq blessés 20 décembre 2019 à 06:21 Fukushima : les sols décontaminés, pas la forêt 20 décembre 2019 à 06:06 Au Burkina Faso, le «pouvoir n’a pas confiance dans son armée» 19 décembre 2019 à 20:31 Au Mali, le refus du «néocolonialisme» 19 décembre 2019 à 20:31 Retraites amères pour les classes populaires 20 décembre 2019 à 11:36 Orna Donath : «On peut aimer ses enfants et regretter d’être mère» 20 décembre 2019 à 11:19 Retraites amères pour les classes populaires 19 décembre 2019 à 18:36 L’obsolescence programmée d’Uber à Paris 19 décembre 2019 à 08:29 Jonathan Pryce, Habemus papi Abonnés 19 décembre 2019 à 17:21 Personnes âgées et retraités, les oubliés des JT 19 décembre 2019 à 15:38 Profession de foi pour un foie 19 décembre 2019 à 14:33 Entre magnats israéliens et bars gays de Tel Aviv 19 décembre 2019 à 06:54 Y a-t-il plus d'accidents de vélo depuis le début des grèves à Paris ? 20 décembre 2019 à 12:32 Le CSA a-t-il rappelé à l'ordre LCI pour avoir dit que les profs étaient payés en moyenne 3 850 euros ? 20 décembre 2019 à 12:02 Pourquoi la SNCF a-t-elle supprimé les voitures pour enfants seuls pendant les fêtes ? 19 décembre 2019 à 17:11 Sarkozy avait-il acheté les mots-clés «racailles» ou «banlieues» sur Google lors des émeutes de 2005 ? Abonnés 19 décembre 2019 à 07:09 * Le journal du jour * Le direct * Libé Labo * Food * Photo * Le P'tit Libé * Politiques * Portrait * Sports * Voyages * Blogs * Sciences Abonnement 100% numérique 8€ par mois sans engagement Formule Intégrale Libération en version papier et numérique Èvénements La Boutique Unes en affiches Les unes cultes en tirage photo Relire Libé Commander des anciens numéros newsletter ____________________ (BUTTON) ok * FAQ * La rédaction * Contact * Publicité * Données personnelles * CGV * Charte éthique * Crédits * Dépêches * Archives * Elections * Villes * Cinéma * Musique * Livres * Scènes * Arts * Images * Lifestyle * Mode * Beauté * Food info / Best of Dix rôles marquants de la carrière de Jean-Pierre Marielle Par Bastien Blandin avec AFP — 25 avril 2019 à 13:18 Le comédien, mort mercredi à l'âge de 87 ans, a joué dans une centaine de films. «Uranus» (1990), film de Claude Berri avec Michel Blanc, Gérard Depardieu, Jean-Pierre Marielle. «Uranus» (1990), film de Claude Berri avec Michel Blanc, Gérard Depardieu, Jean-Pierre Marielle. Photo Collection Christophel. DD Productions. Films A2 Jean-Pierre Marielle est mort mercredi à l’âge de 87 ans. Marielle, c’était une démarche de seigneur, une moustache puis une barbe épaisse, et surtout une voix caverneuse. Le comédien s’était imposé autant dans la comédie chez Lautner et Séria que dans le drame devant la caméra de Tavernier ou Corneau. Démonstration à travers dix rôles marquants de sa filmographie. «Le Diable par la queue» (1969) A 37 ans, Marielle n’est pas novice : voilà plus de dix ans qu’il enchaîne les seconds rôles chez Max Ophuls (Peau de banane), Jean Girault (Faites sauter la banque), Henri Verneuil (Week-end ? (BUTTON) Menu Libération ____________________ (BUTTON) Connexion Abonnement Loyle Carner, rap poivre et soul * France * Planète * Idées * Culture * Checknews France Télécom et ses ex-dirigeants condamnés pour «harcèlement moral» 20 décembre 2019 à 11:13 A l'AG de l'Unsa RATP : «Nous, on continue» 16 décembre 2019 à 18:23 Réforme des retraites, enquête ouverte sur Delevoye, policier condamné... l'essentiel de ce jeudi 19 décembre 2019 à 20:28 Ce vendredi, le tribunal rend son jugement dans le procès de France Télécom 20 décembre 2019 à 08:18 Moscou : une fusillade devant le siège des services spéciaux russes fait un mort et cinq blessés 20 décembre 2019 à 06:21 Fukushima : les sols décontaminés, pas la forêt 20 décembre 2019 à 06:06 Au Burkina Faso, le «pouvoir n’a pas confiance dans son armée» 19 décembre 2019 à 20:31 Au Mali, le refus du «néocolonialisme» 19 décembre 2019 à 20:31 Retraites amères pour les classes populaires 20 décembre 2019 à 11:36 Orna Donath : «On peut aimer ses enfants et regretter d’être mère» 20 décembre 2019 à 11:19 Retraites amères pour les classes populaires 19 décembre 2019 à 18:36 L’obsolescence programmée d’Uber à Paris 19 décembre 2019 à 08:29 Jonathan Pryce, Habemus papi Abonnés 19 décembre 2019 à 17:21 Personnes âgées et retraités, les oubliés des JT 19 décembre 2019 à 15:38 Profession de foi pour un foie 19 décembre 2019 à 14:33 Entre magnats israéliens et bars gays de Tel Aviv 19 décembre 2019 à 06:54 Y a-t-il plus d'accidents de vélo depuis le début des grèves à Paris ? 20 décembre 2019 à 12:32 Le CSA a-t-il rappelé à l'ordre LCI pour avoir dit que les profs étaient payés en moyenne 3 850 euros ? 20 décembre 2019 à 12:02 Pourquoi la SNCF a-t-elle supprimé les voitures pour enfants seuls pendant les fêtes ? 19 décembre 2019 à 17:11 Sarkozy avait-il acheté les mots-clés «racailles» ou «banlieues» sur Google lors des émeutes de 2005 ? 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Photo Helen Kennedy Si le flow imperturbable de vérités énoncées par Loyle Carner peut ennuyer ferme un détecteur de mensonges, les amateurs d’un rap ouvrant des portes à une masculinité libérée de ses obligations de poses viriles seront plus rassasiés. Malgré son côté bonne pâte et sa décontraction proche de celle de Mike Skinner (The Streets), la voix grave de ce Britannique n’est jamais monotone et chacune de ses productions trouve sa propre vibration, qu’elle soit déviante comme la poésie contemporaine et asphaltée de Kate Tempest, qu’elle barbote dans le renouveau jazz anglais ou tende la main à une soul allégée par l’électronique digne de The XX à leurs débuts. Not Waving, But Drowning, son deuxième album, est un entonnoir émotionnel dédié à sa mère, dans lequel le Londonien de 26 ans dresse en quinze étapes un intense portrait de famille comme on «sirote un thé chaï, parlant très poliment». Le monde a découvert son flow posé et son système d’introspection sur son premier album, Yesterday’s Gone, en 2017, nommé aux Brit Awards mais détrôné par Sampha. Si Ice Water, avec ses beats nineties, le vieillit prématurément, le potentiellement tubesque et plus enjoué Sail Away est plein de fougue et de fraîcheur. Loyle Carner invite deux pointures de la nouvelle génération soul - Jorja Smith, sur un Loose Ends aux airs de classique, et Jordan Rakei sur Ottolenghi, sorti en single l’an dernier. Foodie notoire, Loyle Carner y rend hommage au chef anglo-israélien, dont il est ami. Alors que ses premiers textes rapportaient des récits d’une enfance à vivre avec un trouble de déficit de l’attention, celui-ci évoque ce qui a été son remède : des livres de cuisine, honorés aussi sur le titre Carluccio, en référence au chef italien. L’insolente humilité de Carner n’exclut pas non plus une certaine solennité - sa manière de se cuisiner lui-même. Ses compositions sont variées et riches d’une grande amplitude, que ce soit dans ses beats très espacés et laissant volontiers de la place au silence, ses raps dialoguant avec un piano ou des bribes de conversations avec ses proches, souvent très explicites. On y soulève par exemple le mystère du titre de l’album Not Waving, But Drowning, emprunté à la poétesse Stevie Smith qui, dans un interlude, raconte comment un homme qui faisait des signes dans l’eau s’est noyé car on a cru, par habitude, qu’il saluait. Rien ne sert de noyer le malaise, nous glisse Loyle Carner, pour feindre la réussite. Charline Lecarpentier Loyle Carner Not Waving, But Drowning (Caroline). Le 14 mai au Point éphémère, 75010. partager tweeter Vous êtes abonné à Libération Le journal d'aujourd'hui * découvrir le sommaire * lire l'édito * feuilleter * s'abonner à partir de 8€ Offre 100% numérique: 8€ par mois sans engagement Le journal du jour en exclusivité et le journal de demain avant tout le monde Voir les offres d’abonnement partager tweeter #next Vous êtes abonné à Libération Le journal d'aujourd'hui * découvrir le sommaire * lire l'édito * feuilleter * s'abonner à partir de 8€ Un mot à ajouter ? xiti tr?id=342040669704613&ev=PageView&noscript=1 Quantcast img?mt_id=1202018&mt_adid=192531&mt_exem=&mt_excl=&v1=&v2=&v3=&s1=&s2= &s3= #À la Une de 20minutes.fr Retour à l’accueil * * Newsletter * Alerte Info * Recherche ____________________ (BUTTON) Ok * Actualité * Locales * Sport * Entertainment * Economie * Planète * T'as vu ? * Fake Off * By the Web * High-Tech * Podcast * Vidéos * En Images * Voyage * Guide d'achat * Le direct * Services * Jeux * PDF Menu complet Retour à l’accueil Société Virilité, discriminations… Les masculinistes défendent leurs droits * Partager sur Messenger * Partager sur Facebook * Partager sur Twitter * Partager sur Flipboard * Partager sur Linkedin * Partager sur Whats'App Menu complet (BUTTON) Fermer * Société * Faits divers * Politique * Monde * Justice * Santé * Municipales 2020 * Résultats Municipales (BUTTON) Voir les sous-sections précedentes (BUTTON) Voir les sous-sections suivantes Dans l’actu * Grève contre la réforme des retraites * Alerte météo * Star Wars * Procès Balkany (BUTTON) Voir les tags précedents (BUTTON) Voir les tags suivants 1. Accueil 2. Société Virilité, discriminations… Les masculinistes défendent leurs droits IDEOLOGIE Attachez vos ceintures, le voyage dans l'idéologie masculiniste, ça décoiffe... L.Br. * Twitter Publié le 31/03/17 à 18h57 — Mis à jour le 31/03/17 à 21h24 0 commentaire 988 partages * Partager sur Messenger * Partager sur Facebook * Partager sur Twitter * Partager sur Flipboard * Partager sur Pinterest * Partager sur Linkedin * Imprimer * Envoyer par Mail Eddie Hall, le troisième homme le plus fort de la Terre. Eddie Hall, le troisième homme le plus fort de la Terre. — Rick Findler/Shuttersto/SIPA Où est passée la « masculinité » des hommes ? France 2 a assisté à une retraite catholique entre hommes, venus retrouver un peu de virilité dissoute dans leur vie quotidienne. Haka, poussée de voitures et conférence sur les relations homme-femme… Tous les moyens sont bons pour retrouver leur part d'« homme ». Des idées qui rejoignent l’idéologie masculiniste, peu connue en France. ,p ,p - Franceinfo Qui sont les masculinistes en France ? Là, il y a débat. Masculiniste ou hoministe ? Les hommes adeptes de la théorie réfutent cette appellation, « néologisme créé à des fins de diabolisation » par leurs adversaires. Entre eux, ils préfèrent s’appeler hoministes ou menninistes. En France, les mouvements de défense des droits des hommes restent marginaux : à part quelques associations comme Sos Papa ou des groupes Facebook comme Men going their own way, qui sont quelquefois évoqués dans les médias, leurs idées ont peu de résonance. Quelles sont les idées prônées par les masculinistes ? Il y a plusieurs manières d’être masculiniste. Faisons un point sur ce qu’ils rejettent : le féminisme, tout simplement. Pour eux, la notion de patriarcat n’existe pas. Non, les femmes ne sont pas en difficulté pour trouver du travail, lutter contre le harcèlement… Au contraire ! « Ils assurent que ce siècle est éminemment féminin, que les femmes sont partout, et qu’elles ont gagné », explique le docteur Virginie Martin, professeure à l’école Kedge Business School. Dans les années 80, en Europe, des groupes de défense des droits des hommes s’agrègent autour des questions du divorce et de la garde des enfants car ce sont les femmes qui obtiennent presque toujours les droits de garde. D’autres vont même plus loin et trouvent une explication au terrorisme islamique. « Ce sont des hommes qui veulent prouver qu’ils sont virils, des hommes des vrais », souligne Virginie Martin. Le terrorisme islamique serait aussi la faute des femmes ? A lire aussi : Sexe-positif, égalitaire, queer… Que signifient ces courants féministes? Pourquoi ce mouvement a émergé au Canada ? Le Canada est l’origine de plusieurs penseurs masculinistes. Pourquoi ? « Ma théorie, c’est que dans les pays anglo-saxons, le féminisme et les études de genre sont très forts », explique le docteur Virginie Martin. L’idéologie masculiniste est toutefois diffusée par des leaders d’opinion en France, comme Eric Zemmour. Le manifeste des masculinistes a d’ailleurs été écrit en 2006 par un Canadien, Yvon Dallaire, un psychologue québécois. Le masculinisme, un féminisme pour hommes ? Pourquoi pas, après tout ? S’il y a un féminisme, il pourrait y avoir un masculinisme. Ces hommes se plaignent de subir eux aussi des discriminations, et de souffrir de certaines violences. Mais si les discriminations faites aux femmes sont chiffrées, quantifiées, prouvées par des études, féministes ou non, celles des hommes restent encore #À la Une de 20minutes.fr Retour à l’accueil * * Newsletter * Alerte Info * Recherche ____________________ (BUTTON) Ok * Actualité * Locales * Sport * Entertainment * Economie * Planète * T'as vu ? * Fake Off * By the Web * High-Tech * Podcast * Vidéos * En Images * Voyage * Guide d'achat * Le direct * Services * Jeux * PDF Menu complet Retour à l’accueil Médias «Elle Man», petit nouveau de la presse masculine * Partager sur Messenger * Partager sur Facebook * Partager sur Twitter * Partager sur Flipboard * Partager sur Linkedin * Partager sur Whats'App Menu complet (BUTTON) Fermer * Cinéma * Films au cinéma * Culture * Livres * Médias * Musique * People * Série * Sortir * Style * Télévision * Web (BUTTON) Voir les sous-sections précedentes (BUTTON) Voir les sous-sections suivantes Dans l’actu * Grève contre la réforme des retraites * Alerte météo * Star Wars * Procès Balkany (BUTTON) Voir les tags précedents (BUTTON) Voir les tags suivants 1. Accueil 2. Entertainment 3. Médias «Elle Man», petit nouveau de la presse masculine PRESSE Le groupe Lagardère Active lance ce jeudi en kiosque «Elle Man», un magazine masculin bimestriel conçu pour les hommes à style... Joël Métreau Publié le 03/10/13 à 00h00 — Mis à jour le 29/01/14 à 15h11 0 commentaire 1 partage * Partager sur Messenger * Partager sur Facebook * Partager sur Twitter * Partager sur Flipboard * Partager sur Pinterest * Partager sur Linkedin * Imprimer * Envoyer par Mail Le premier numéro du magazine masculin Elle Man. Le premier numéro du magazine masculin Elle Man. — DR Un super-héros débarque jeudi dans les kiosques. Son nom? Elle Man. Sa mission? Accompagner sans tabou les hommes dans leur masculinité. Pas comme les magazines qui exhibent carrosseries et abdominaux ou ceux qui voient en l’homme une fashion victim. «Ce n’est pas un magazine élitiste ou de mode, mais un magazine de style, nuance Edouard Dutour, rédacteur en chef du bimestriel. Aujourd’hui, les garçons sont prêts. Car la masculinité a beaucoup évolué. C’est presque un droit #À la Une de 20minutes.fr Retour à l’accueil * * Newsletter * Alerte Info * Recherche ____________________ (BUTTON) Ok * Actualité * Locales * Sport * Entertainment * Economie * Planète * T'as vu ? * Fake Off * By the Web * High-Tech * Podcast * Vidéos * En Images * Voyage * Guide d'achat * Le direct * Services * Jeux * PDF Menu complet Retour à l’accueil Société Les hommes modernes sont moins machos et plus sensibles que leurs aînés, selon une étude * Partager sur Messenger * Partager sur Facebook * Partager sur Twitter * Partager sur Flipboard * Partager sur Linkedin * Partager sur Whats'App Menu complet (BUTTON) Fermer * Société * Faits divers * Politique * Monde * Justice * Santé * Municipales 2020 * Résultats Municipales (BUTTON) Voir les sous-sections précedentes (BUTTON) Voir les sous-sections suivantes Dans l’actu * Grève contre la réforme des retraites * Alerte météo * Star Wars * Procès Balkany (BUTTON) Voir les tags précedents (BUTTON) Voir les tags suivants 1. Accueil 2. Société Les hommes modernes sont moins machos et plus sensibles que leurs aînés, selon une étude SOCIÉTÉ ors que leurs aînés sont jugés plus «machos» (43%) et plus «patriarches» (85%), les hommes d'aujourd'hui sont loués pour leurs qualités d'attention et de dialogue... Bérénice Dubuc Publié le 16/05/12 à 00h00 — Mis à jour le 29/01/14 à 13h08 0 commentaire 1 partage * Partager sur Messenger * Partager sur Facebook * Partager sur Twitter * Partager sur Flipboard * Partager sur Pinterest * Partager sur Linkedin * Imprimer * Envoyer par Mail Image d'illustration d'un père portant son enfant. Image d'illustration d'un père portant son enfant. — SIPA Des hommes plus tendres, plus sensibles et plus attentionnés, mais aussi moins bons vivants et moins forts que leurs aînés. C’est ce qui ressort de la quatrième enquête Ifop-Lilly, «Regards croisés sur la masculinité», réalisée en ligne les 3 et 4 avril dernier sur un échantillon de 1.003 personnes représentatif de la population française âgée de plus de 18 ans. Cette étude, menée dans le cadre de la nouvelle campagne d’information sur les troubles de l’érection du laboratoire Lilly, indique que les caractéristiques masculines en société et dans l’intimité se sont adaptées face au changement et à l’évolution de la position de la femme dans cette même société. Pour les personnes interrogées, les hommes d’aujourd’hui paraissent en effet davantage dans l’échange: selon 47% des interviewés, partager un moment d’intimité avec leur partenaire est la première priorité des hommes quand ils font l’amour, alors que leurs aînés sont jugés plus «machos» (43%) et plus «patriarches» (85%). De plus, l’homme moderne serait plus séducteur qu'avant, mais aussi meilleur père de famille (pour 45% des femmes interrogées), dans la mesure où il se montre sensible, à l'écoute, disposé au dialogue et avec un sens aigu des responsabilités. Les personnes sondées estiment ainsi en grande majorité que les hommes sont plus nombreux à participer aux tâches domestiques et à l'éducation des enfants, même si de fortes inégalités persistent entre hommes et femmes en la matière. Et vous, trouvez-vous que les hommes d’aujourd’hui sont moins machos et plus attentionnés? Dites-le-nous dans les commentaires ci-dessous. * Sondage * Femme * Homme * Machisme (BUTTON) Une faute ? 0 commentaire 1 partage * Partager sur Messenger * Partager sur Facebook * Partager sur Twitter * Partager sur Flipboard * Partager sur Linkedin Retourner en haut de la page 20 Minutes * Recrutement * Plan du site * Notre charte * Journal PDF * Archives * La 21^e Minute * Publicité * 20 Minutes Média * Panel des lecteurs * 20 Minutes Livres * Charte des commentaires * Mentions légales * CGU * Protection des données personnelles * Gestion des cookies Services * Distribution * Horoscope * Horoscope chinois * Conjugaison * Recette de cuisine * Codes promo * Code promo Nike * Code promo Boohoo * Jeux gratuits * Mots fléchés * Solitaire * Puzzle * Mots croisés * Sudoku * Facebook 2.8M * Twitter 2.3M * Instagram 179K * Youtube 15K * Dailymotion 9,4K * Flipboard 108K Bot 20 Minutes Nous contacter La fréquentation de 20 Minutes est certifiée par l’ACPM © Copyright 20 Minutes Choix de consentement Mentions légales (BUTTON) (BUTTON) (BUTTON) (BUTTON) Voir la bourse sur Investir (BUTTON) (BUTTON) Recherche * En direct * Le Journal * Newsletters * Podcasts * Infographies * Vidéos * Thema (BUTTON) Connexion S'abonner (BUTTON) (BUTTON) À la une Idées Économie Politique Monde Tech-Médias Entreprises Bourse Finance - Marchés Régions Patrimoine Le make-up est-il l'avenir de l'homme? Le maquillage pour ces messieurs n'est plus l'apanage de griffes ultrapointues, il devient un marché à part entière. Une (ré)volution de la beauté au masculin. * (BUTTON) Lire plus tard * 12 * + + + * (BUTTON) Commenter ECWE00150026_1.jpg Par Johanne Courbatère de Gaudric Publié le 21 déc. 2018 à 1h01 Cosmétique Le sujet est tabou, les usages rares mais la stratégie d'offre bien en place. C'est ce qu'illustre la ligne Boy de Chanel qui comprend un baume lèvres mat, un fond de teint fluide et un stylo sourcil. Une première de la part d'une grande marque. Des initiatives avaient déjà été lancées mais pas d'une telle ampleur. Guerlain et Jean Paul Gaultier avaient tenté l'aventure dans les années 90 et 2000. En 2010, Givenchy démarrait sa ligne Mister mais axait son discours sur un maquillage universel. Quant à Tom Ford, sa gamme For Men née en 2013 s'adossait à du soin visage. Cette fois, le curseur est déplacé d'un cran avec des produits essentiellement make-up et une cible mâle clairement définie. C'est que la notion de beauté évolue vite, moins testéronée, plus subtile et décomplexée mais toujours virile. Et si le marché des cosmétiques masculins est encore une micro-niche, il progresse 1,5 fois plus vite que celui des femmes, notamment grâce