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La France a enregistré une hausse de 23 % des demandes d’asile l’an dernier, avec notamment des dossiers albanais et géorgiens que les pouvoirs publics estiment largement non fondés. « En prétendant être humaniste, on est parfois trop laxiste », a estimé M. Macron. À 15 jours d’un débat parlementaire sur l’immigration prévue les 30 septembre et 2 octobre, le président français a estimé: « nous n’avons pas le droit de ne pas regarder ce sujet (de l’immigration) en face ». « Je crois en notre droit d’asile, mais il est détourné de sa finalité par des réseaux, des gens qui manipulent. Si nous ne le regardons pas en face, nous le subirons », a-t-il averti. À quelques mois des élections municipales, en mars prochain, les premières du tout nouveau parti présidentiel LREM, le président a appelé sa formation à éviter d’être « un parti bourgeois » qui ignore l’opinion des classes populaires, plus directement confrontées aux effets de l’immigration et séduites par l’extrême droite. Le ressentiment face à une immigration « trop forte » est nettement plus marqué parmi les classes dites populaires. Ainsi, 88 % des ouvriers et 64 % des employés estiment qu’il y a « trop d’étrangers en France », contre seulement 41 % des cadres, selon le dernier baromètre annuel Ipsos/Sopra Steria pour Le Monde, La Fondation Jean-Jaurès et l’Institut Montaigne publié lundi. Globalement, 64 % des Français ont l’impression « qu’on ne sent plus chez soi comme avant » en France. « Afin de séduire les milieux populaires, le président souhaite s’emparer de la politique migratoire », écrit le quotidien de gauche Libération. Un jeu « dangereux » ? « En envoyant un signal sur l’immigration, le président essaie de rassurer cette partie importante de son électorat », celle formée de sympathisants de droite proches de l’extrême droite, analyse pour l’AFP Jérôme Saint-Marie, président de l’institut Pollingvox. Lors de la campagne de 2017, Emmanuel Macron avait déjà affirmé à l’AFP vouloir s’attaquer à « l’insécurité culturelle » ressentie selon lui par les classes moyennes « tentées » par l’extrême droite. « La question est de savoir si nous voulons être un parti bourgeois ou pas. Les bourgeois n’ont pas de problème avec cela: ils ne la croisent pas (l’immigration, ndlr). Les classes populaires vivent avec. La gauche n’a pas voulu regarder ce problème pendant des décennies. Les classes populaires ont donc migré vers l’extrême droite », a-t-il souligné lundi soir. Faisant de l’immigration son cheval de bataille, l’extrême droite française est arrivée en tête aux élections européennes de mai dernier. Sa cheffe de file, Marine Le Pen, s’était une nouvelle fois qualifiée au second tour de la présidentielle face à M. Macron, en 2017. L’actuel président l’avait largement battue, mais il a rappelé, lundi soir, que « plusieurs catégories de la population restent nerveuses » dans le sillage du mouvement des « gilets jaunes », marqué par de nombreuses et parfois violentes manifestations. Le président fait des « clins d’œil à la droite ou à la droite de la droite », a estimé Bruno Retailleau, chef de file des sénateurs LR (droite). Son attitude « électoraliste » démontre qu’il est « en campagne présidentielle » pour 2022, a jugé Marine Le Pen. « Se prétendre rempart à l’extrême droite, mais reprendre ses thèses sur l’immigration? Macron joue les illusionnistes... Dangereux », a tweeté Clémentine Autain, députée LFI (gauche radicale). Jérôme Sainte-Marie met ainsi en garde: « une fois qu’on a parlé de l’immigration, les gens attendent des actes. Sinon, il connaîtra les mêmes déboires dans l’opinion que ceux qu’avait connus (l’ancien président de droite) Nicolas Sarkozy après 2010 ». 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