* Accueil * Billets * Les chinoiseries de Boucher Les chinoiseries de Boucher Libellés : -- facette du talent du peintre et témoignent de la fascination exercée par la Chine sur le maître. Amateur d'objets d'Extrême-Orient, Boucher contribue à diffuser la mode des « chinoiseries », prémices de l'orientalisme qui tend à se développer dans toute l'Europe. Les arts décoratifs du XVIIIe siècle sont particulièrement marqués par cette -- à ses compositions une apparence de couleur locale, il ajoute des éléments connus du grand public : chapeaux pointus, objets de porcelaines, parasols, pagodes... Mais les chinoiseries de Boucher conservent les codes de son univers. Elles prouvent son incroyable capacité à assimiler les motifs exotiques pour les refondre dans -- Références bibliographiques * J. Patrice Marandel, « François Boucher et Les Chinoiseries », L'Oeil, n° 374, Septembre 1986 ; * Edmond et Jules de Goncourt, L'art du XVIIIe siècle. Série 1, -- http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k6526174g (consulté le 08/02/2017) ; * Madeleine Jarry, Chinoiseries : le rayonnement du goût chinois sur les arts décoratifs des XVIIe et XVIIIe siècles, Paris, Vilo, cop. 1981.