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Véritables étendards de la lutte pour l’égalité des sexes ou simples contenus sériels rafraîchissants, cap sur 15 séries féministes à voir sans plus tarder. Serait-ce désormais dans les séries que les révolutions féministes se jouent ? Patriarcat, female gaze (manière de filmer qui met en valeur l’expérience et le point de vue féminins), culture du viol, héroïnes d’un tout nouveau type… c’est un féminisme dans tous ses états qu’embrasse le petit écran. Et si elle n’est pas le sujet initial, la cause est présente de manière latente. Parce qu’absolument actuelle. De « Buffy contre les vampires », en passant par « Fleabag », qu’est-ce qu’évoquent toutes ces représentations féminines ? Réponses en images. À lire également >> Ces citations féministes vont changer votre vie « The Handmaid’s Tale » : la dystopie glaçante qui met à mal le patriarcat « The Handmaid’s Tale » : la dystopie glaçante qui met à mal le patriarcat © Presse Vous avez dit série féministe ? Elle est désormais une référence en la matière. Adaptée du roman d’anticipation « La servante écarlate » de Margaret Atwood, « The Handmaid’s Tale » suit les pérégrinations de June, une jeune femme qui évolue – survie plutôt – dans un régime totalitaire où les femmes sont dépossédées de tous leurs droits. Deux desseins leur sont possibles : soit elles deviennent mères porteuses – pour les rares que l’état écologique de la planète n’a pas rendues stériles –, soit elles collaborent avec un gouvernement infamant. Un scénario fort et percutant qui éclaire ses spectatrices (même son public masculin), quant à la place de la femme, aux représentations de sa sexualité et à ses droits souvent bafoués en société. Lire également >> Livres féministes à (re)lire d'urgence ? « Crazy Ex-Girlfriends » : la série musicale qui questionne les injonctions de genre « Crazy Ex-Girlfriends » : la série musicale qui questionne les injonctions de genre © Presse Aussi déjantée que tordante, « Crazy Ex-Girlfriends » nous plonge dans l’existence parfois grotesque de Rebecca Bunch, que les chants et chorégraphies pop viennent rythmer. En plein burn out, l’avocate diplômée d’Harvard décide d’envoyer valser sa vie new-yorkaise pour s’installer à l’autre bout du pays à la (re)conquête de son premier grand amour adolescent, Josh. Mais gare à ceux qui se feraient avoir par ses dehors de comédie légère. « Crazy Ex-Girlfriends » se moque et détricote habilement les stéréotypes de genre et nos paradoxes sociétaux. Comment ? Avec un sourire rageur qui ose tout scruter : du sexisme à la religion, en passant par la maternité et à l’obsession de l’image à l’ère d’Instagram. Savoureux. « Betty » : le bol d’air frais qui allie skate et sororité « Betty » : le bol d’air frais qui allie skate et sororité © Presse Betty n’est pas le nom de l’un de ses personnages ; c’est un mot d’argot américain désignant ces filles qui font semblant de faire du skate pour paraître cool. Et c’est justement contre cette image stigmatisante que se battent Camille, Kirt, Honeybear et Janay. Quatre jeunes skateboardeuses qui, durant six épisodes, errent dans les rues de New-York pour démocratiser une pratique dont les hommes s’apparent allégrement. Le skate alors, mine de rien, cristallise les atteintes qu’une femme peut subir dans l’espace public. Discriminations raciales, harcèlement de rue, violences sexuelles… Mais à travers tout ça perce tout même le point crucial de la série : une sororité contagieuse et à toute épreuve. Qu’attendez-vous pour glisser ? « Big Little Lies » : la version sombre de « Desperate Housewives » « Big Little Lies » : la version sombre de « Desperate Housewives » © Presse Dans l’univers feutré de la petite ville de Monterey, un homme se fait assassiner. L’occasion alors de démonter ce décor si idyllique de la banlieue résidentielle à la « Desperate Housewives ». Et surtout de mettre en lumière la part d’ombre de ses habitantes, dont les flashbacks vont construire la série. « Big Little Lies » esquisse le parcours de cinq mères de familles, des personnalités complexes que l’enquête policière va lier. Bien qu’incarnées par des stars américaines (Shailene Woodley, Nicole Kidman et Reese Witherspoon), les héroïnes reflètent tous les déboires de la vie quotidienne : famille monoparentale, relations toxiques, vie professionnelle chaotique… Chaque secret dissimule un questionnement féministe. Brillant. « Fleabag » : la série atypique qui glorifie la femme seule « Fleabag » : la série atypique qui glorifie la femme seule © Presse « Fleabag » (soit littéralement « sac à mouche ») donne son nom à son héroïne, une Londonienne trentenaire et célibataire, interprétée par Phœbe Weller-Bridge qui est l’autrice même de la série. Un female gaze alors parfaitement maîtrisé. Fleabag noie son désespoir – depuis la mort de sa meilleure amie – avec du sexe à outrance et un humour acerbe qui débecte tout le monde. À ce stade, le tableau dressé est parfaitement décourageant. Sauf que ! La protagoniste, en brisant le quatrième mur, montre sa conscience exacerbée d’elle-même et de ce qui l’entoure. Une conscience qui est féministe, intrinsèque à Fleabag, et qui n’a nullement besoin d’explication pour être ressentie. Elle jure à chaque phrase, parle de pénis, de seins, comme de flatulences, se réjouit de s’être défaite du regard masculin. Un bel exemple d’émancipation. « Girl » : l’ode aux corps vrais et au regard féminin « Girl » : l’ode aux corps vrais et au regard féminin © Presse Dresser le portrait d’une génération toute entière et ce, en plaçant le spectateur du point de vue d’un personnage féminin ? C’est le pari – réussi – de Lena Dunham. Dans « Girl », on explore la vie de quatre vingtenaires new-yorkaises, de manière brute, sans les paillettes et les faux-semblants à la « Sex And The City ». Quant aux thèmes profondément féministes, la série ne les prend pas avec des pincettes. Consentement, questions de genre, culture du viol… rien n’est laissé au hasard. La réalisatrice fait entendre un langage cru, donne à voir des corps naturels et des désirs assumés. Les standards et les codes sont brisés et ça, ça fait un bien fou. « Orange is The New Black » : le récit carcéral des femmes pluriels « Orange is The New Black » : le récit carcéral des femmes pluriels © Presse En 2013, elle est sortie sur petit écran à la manière d’une bombe qui détonne, faisant exploser dans son sillage la nouvelle plateforme Netflix en France. « Orange is The New Black » donne vie au personnage de Piper Chapman, dont l’apparence candide ne présage en rien les péripéties qui vont suivre. En effet, elle se retrouve au cœur de Lichfield, une prison américaine réservée aux femmes. Et ce séjour, qu’elle se figurait comme un cauchemar de 15 mois, va s’avérer particulièrement riche. Piper découvre des détenues aux parcours et aux personnalités multiples, fait des choix que la changeront à jamais. En représentant le milieu carcéral non-mixte, la réalisatrice Jenji Kohan ne pouvait pas mieux embrasser toutes les expériences féminines. Des origines, des morphologies et des âges différents, pour un courage unanime. Une série d’empowerment que même sept saisons ne parviennent pas à essouffler. « Pose » : l’opéra underground inspirant « Pose » : l’opéra underground inspirant © Dans le registre totale inclusivité, il y a bien sûr la série « Pose » de Ryan Murphy. Dans l’Amérique de Reagan, quand les rues sont malfamées, que la drogue sévit (et le sida aussi), drag queens et transgenres font la fête clandestinement. Des « maisons », dirigées par des « mères » charismatiques, s’opposent dans des duels de danse underground. Le fameux « straight the pose » à la Madonna. Le jeune Damon, à peine initié, fait la rencontre de figures féminines qui gagnent en force et en audace d’épisode en épisode. Telle que Blanca qui a fondé sa propre maison et aide sans relâche les jeunes queer rejetés. Des personnages touchants, un casting LGBTQ+ des plus conséquents… en clair : une série de laquelle s’inspirer. « Le Jeu de la dame » : la série en damier pour s’émanciper « Le Jeu de la dame » : la série en damier pour s’émanciper © Presse La série en a converti plus d’un aux échecs. Dans « The Queen’s Gambit », nom de la mini-série en anglais, on y voit d’abord une fille orpheline, Beth Harmon, qui découvre les échecs dans le sous-sol de son orphelinat et continue ses parties, seule, par projection mentale. Un génie né, comme de ceux qui étaient seulement masculins au cinéma (notamment Matt Damon dans « Will Hunting »). Battre des hommes à plate-couture et (presque) sans interruption : c’est là l’essentiel de l’intrigue. Et c’est plutôt jouissif. On l’observe évoluer avec fulgurance et se faire une place assurée dans un milieu typiquement masculin. Et si le sexisme est bizarrement absent de la série, on ne se lasse pas du personnage badass aux tenues sixties à tomber… « Libre ! » : un graphisme qui déconstruit les tabous « Libre ! » : un graphisme qui déconstruit les tabous © Presse Être une femme libre, c’est quoi ? Épineuse question à laquelle tentent de répondre la documentariste féministe Ovidie et la journaliste Sophie-Marie Larrouy, dans cette mini-série d’Arte. Grossophobie, dickpics non-sollicitées, âgisme, tabou des règles… aucun cliché sexiste ne passe au travers de leurs regards aiguisés. L’objectif : démanteler tous ces complexes qui n’ont pas lieu d’être. Les personnages dessinés sont placés en situation réelle et, avec une bonne dose d’humour, traduisent ce ras-le-bol généralisé. Un régal. « Mrs America » : les prémisses du combat féministe « Mrs America » : les prémisses du combat féministe © Presse À défaut de Captain America… on a « Mrs America » qui, là, évoque frontalement des luttes féministes, en retraçant celles qui ont débuté dans les années 1970, aux États-Unis. Alors que parallèlement progressait un courant de pensée conservateur et antiféministe créé par Phyllis Schlafly, jouée par l’épatante Cate Blanchett. Quand sonne le glas de l’époque hippie, un affrontement sans égal a lieu entre celles qui se battent pour le Equal Rights Amendment et les autres qui prônent le rôle de mère au foyer. Mais les choses ne sont pas si lisses et binaires. Les personnages – dont Bella Abzug interprétée par Margo Martindale – sont tout en nuances. « I May Destroy You » : la série cathartique « I May Destroy You » : la série cathartique © Presse La claque de l’année porte un nom : Micheala Coel. À la fois l’autrice, la productrice, l’actrice principale et coproductrice qui s’est inspirée de son propre trauma pour créer « I May Destroy You ». Rien que ça. Elle incarne Arabella, une influence et écrivaine qui, un soir, se fait droguer et violer dans un bar londonien. On suit avec elle toutes les étapes, de l’incompréhension ambiante à la difficile reconstruction. Micheala Coel aborde avec une grande justesse les effets dévastateurs de la culture du viol, du consentement bafoué aux violences banalisées. Peu de doute, après le 12^e épisode, les choses sont bien plus limpides. « Buffy contre les vampires » : l’œuvre fondamentale « Buffy contre les vampires » : l’œuvre fondamentale © Presse Un bref voyage dans le temps s’impose. Et ce, pour retrouver l’œuvre cultissime de Joss Whedon, la pionnière sérielle en matière de féminisme. « Buffy the Vampire Slayer », de ce vrai nom, où s’entremêlent tous les genres de la pop culture : du show de vampires, au rock, en passant par les drames de lycée. Issue d’une longue lignée d’Élues luttant contre les forces obscures, Buffy Summers massacre des démons. Aussi simple que ça. Et pourtant : elle transgresse l’ordre des choses, en passant de la lycéenne socialement déclassée à la redoutable tueuse de vampires. Buffy n’est effectivement pas celles qui meurt au bout des huit premières minutes. C’est une héroïne. Dans la dernière saison, elle prend son destin – et même celui de la série – à pleine main. Ce qui fait de Buffy un modèle parfaitement actuel, quoi qu’intemporel. « Killing Eve » : le thriller qui renverse les codes « Killing Eve » : le thriller qui renverse les codes © Presse En voilà une autre signée Phœbe Weller-Bridge. Comme s’il s’agissait dorénavant de LA valeur sûre pour discuter de séries féministes. Les caméras de « Killing Eve » suivent la traque insatiable, le jeu – sans fin – du chat et de la souris entre une enquêtrice des services secrets britanniques (Sandra Oh) et une psychopathe-meurtrière russe (Jodie Comer) aux méthodes insondables. Et outre le nombre de femmes au générique (qui donne le tournis), « Killing Eve » est en substance féministe. Du genre du thriller qu’elle dépoussière entièrement, jusqu’à la dynamique qu’elle installe entre les deux femmes. Ce qui était un lien de fascination entre deux personnages masculins (agent et assassin), se transforme en une tension sexuelle jamais vue. Fini le cliché de la femme fatale : le personnage, tout en gardant sa veine féminine, peut tuer sans le moindre ressentiment et affirmer sans réserve son libertinage. « The Bold Type » : l’éloge de la solidarité féminine « The Bold Type » : l’éloge de la solidarité féminine © Presse Bébé du mouvement #MeToo, la série « The Bold Type », c’est d’abord une rédaction et trois amies-collègues. Une intrigue peu palpitante, voire creuse, pensez-vous ? C’est tout autre. Kat, Jane et Sutton sont aussi complexes qu’authentiques, travaillent dur pour obtenir ce qu’elles veulent. Le cercle féminin qu’elle forme n’est pas fait de crêpages de chignons comme à l’accoutumée : elles s’entraident et se tirent vers le haut. Une sororité dans laquelle toutes se reconnaîtront. « The Bold Type » n’hésite pas à passer au peigne fin des sujets forts. Du cyberharcèlement, à la masturbation féminisme, en passant par le racisme ordinaire et la famille homoparentale… c’est un vent de fraîcheur qui secoue la plateforme Prime vidéo qui diffuse la série, en France. Par Jade Vigreux Jade Vigreux À lire également Les films féministes à voir absolument Les films féministes à voir absolument 10 affiches qui racontent le féminisme 10 affiches qui racontent le féminisme « Le féminisme qu’on nous vend n’est plus révolté » : cinq questions à Léa Lejeune sur le féminisme washing « Le féminisme qu’on nous vend n’est plus révolté » : cinq... « La Déferlante », un trimestriel à la croisée des révolutions féministes « La Déferlante », un trimestriel à la croisée des révolutions... . + de diaporamas Culture Peaky Blinders saison 6 : le tournage se dévoile en photos Peaky Blinders saison 6 : le tournage se dévoile en photos Élite saison 4 : on connaît enfin la date de sortie sur Netflix Élite saison 4 : on connaît enfin la date de sortie sur Netflix les + populaires Culture * 1« J’ai cru m’évanouir » : Virginie Efira se confie sur sa gêne lors d’une scène de nudité * 260 films à voir absolument une fois dans sa vie * 3Outlander : Caitriona Balfe dénonce le manque de diversité sur le tournage * 4Kitz sur Netflix : cette nouvelle série entre « Gossip Girl » et « Pretty Little Liars » à voir absolument * 5En attendant Bojangles : Virginie Efira et Romain Duris s'aiment à la folie * 6Desperate Housewives : la série culte prépare-t-elle son grand retour ? * 7Licorice Pizza : Oscars à l'horizon * 8Joël Dicker : voici l’histoire de son nouveau roman, « L’Affaire Alaska Sanders » Toute l'actu Culture * Que sont-ils devenus… Les acteurs de « La Fête à la maison » Que sont-ils devenus… Les acteurs de « La Fête à la maison » * Emily in Paris : une saison 3 et une saison 4 confirmées pour la série Netflix Emily in Paris : une saison 3 et une saison 4 confirmées pour la série… * 15 photos rétros et cool pour se rappeler David Bowie ! 15 photos rétros et cool pour se rappeler David Bowie ! * « Twilight », « Spencer »… Kristen Stewart évoque ses rôles emblématiques « Twilight », « Spencer »… Kristen Stewart évoque ses rôles emblématiques * Mort de Bob Saget : le touchant message de Mary-Kate et Ashley Olsen Mort de Bob Saget : le touchant message de Mary-Kate et Ashley Olsen Toutes les infos Culture Teaser promo Haut de page Horoscope 2022 Lien abonnement Logo générique ELLE Suivez-nous * * * * * * Newsletter Culture Je m'inscris Contacts AnnonceursAbonnez-vousLa Rédaction * Nos RSS * Mentions légales et CGU * Données personnelles et cookies * Gérer mes cookies * Conditions Générales de Vente * Foire aux Questions * Le groupe CMI France * CMI Media * ELLE International (BUTTON) rechercher sur elle ____________________ (BUTTON) (BUTTON) × (BUTTON) Partager * Partagez * Partagez * Partagez * Partagez * Partagez * Partagez