Voir la bourse sur Investir (BUTTON) (BUTTON) Recherche * En direct * Le Journal * Newsletters * Podcasts * Infographies * Vidéos * Thema (BUTTON) (BUTTON) Connexion S'abonner (BUTTON) (BUTTON) À la une Idées Présidentielle Économie Entreprises Finance - Marchés Bourse Monde Tech-Médias Start-up Politique Régions Patrimoine Le Mag W-E (BUTTON) Campagne (BUTTON) (BUTTON) Campagne Candidats Sondages Pratique Michel Barnier : « Ce ne sont pas les sondages qui vont choisir notre candidat » Invité du Grand Rendez-Vous Europe 1 - « Les Echos » - CNews, l'ex-commissaire européen, candidat à la présidentielle, se déclare confiant pour l'investiture LR au congrès de décembre. Il a fustigé la lecture « ethnicisante » du polémiste Eric Zemmour. * (BUTTON) * Présidentielle * (BUTTON) * (BUTTON) Michel Barnier, candidat à l'élection présidentielle. Michel Barnier, candidat à l'élection présidentielle. (Marie Etchegoyen/Capa Pictures pour Europe 1) Par Marion Kindermans Publié le 17 oct. 2021 à 15:50Mis à jour le 18 oct. 2021 à 10:14 Un président de la République doit « assumer l'histoire de son pays » et « cesser de s'excuser en permanence » a martelé Michel Barnier, invité dimanche du Grand Rendez-Vous Europe 1 - « Les Echos » - CNews, alors qu'Emmanuel Macron participait samedi aux commémorations du 17 octobre 1961, date de la sanglante répression contre les manifestants algériens. Le candidat LR à l'élection présidentielle a estimé nécessaire « le devoir de vérité après une tragédie de cette nature » en ajoutant « pour penser à l'avenir, il faut éviter des propos qui rendent plus difficiles le chemin commun », critiquant certains propos récents d'Emmanuel Macron sur l'Algérie. « Je me méfierais d'un excès de repentance et d'un excès d'arrogance », a-t-il conclu à l'encontre du chef de l'Etat. Questions migratoires Interrogé sur sa proposition d'un moratoire sur l'immigration de trois à cinq ans, s'il était élu, Michel Barnier a indiqué qu'il était « temps qu'on ait un dialogue avec l'Algérie et d'autres pays d'Afrique ou du Proche-Orient ». « Ces pays doivent réadmettre […] des citoyens qui sont les leurs et qui ne sont plus les bienvenus chez nous », a-t-il affirmé. Alors que l'ex-commissaire européen chargé du Brexit avait surpris en septembre en lançant un appel à restaurer la souveraineté nationale française sur les questions migratoires, il a nuancé son propos en indiquant que « chaque pays a sa souveraineté nationale, il ne s'agit pas d'y renoncer, il s'agit de les associer ». « On a besoin d'une nation pour combattre le nationalisme », a-t-il ajouté. « Quinquennat des occasions manquées » Face au coup de boutoir lancé par la Pologne contre les traités européens, faisant craindre un possible « Polexit », Michel Barnier a lancé : « Les Polonais ont accepté il y a dix-sept ans d'entrer dans l'Union européenne, ils l'ont voulu, personne ne les a obligés ». Rappelant l'importance du projet européen, il a déclaré « sur certains sujets, si on est seul, on est foutu […] je ne me suis pas engagé en politique […] pour que la France soit sous-traitante des Chinois et sous influence des Américains ». Lire aussi : Les trois courses du Congrès des Républicains INTERVIEW - Benjamin Morel (politologue) : « Cette présidentielle a tout pour se jouer à droite » Donné comme un des principaux favoris pour l'investiture LR au congrès de décembre, mais à la traîne dans les sondages pour la présidentielle, Michel Barnier a déclaré « ce ne sont pas les sondages qui vont choisir notre candidat mais les militants ». Interrogé sur sa ligne politique face à celle d'Eric Zemmour , il a rétorqué que le polémiste ne faisait pas partie de la « droite républicaine », fustigeant sa « lecture ''ethnicisante'' de la société », qui « est toujours en train d'exploiter les peurs et les angoisses des gens ». Par ailleurs, jugeant le bilan d'Emmanuel Macron, il a estimé que « ce quinquennat était le quinquennat des occasions manquées ». « Monsieur Macron a eu le nucléaire honteux pendant quatre ans », a-t-il notamment critiqué. Lire aussi : DOSSIER - Présidentielle 2022 : qui est candidat DOSSIER - Présidentielle 2022 : dernières infos et décryptages IFRAME: https://embed.acast.com/07b210dd-7af5-5b41-b04d-e4eb2a19e708/cae701d1-f c71-46a1-bc2c-32071916e63d Marion Kindermans Décoder le monde d’après Chaque jour, la rédaction des Echos vous apporte une information fiable en temps réel. Elle vous donne les clés pour décrypter l’actualité et anticiper les conséquences de la crise actuelle sur les entreprises et les marchés. Comment évolue la situation sanitaire ? Quelles nouvelles mesures prépare le gouvernement ? Le climat des affaires s’améliore-t-il en France et à l’étranger ? Vous pouvez compter sur nos 200 journalistes pour répondre à ces questions et sur les analyses de nos meilleures signatures et de contributeurs de renom pour éclairer vos réflexions. Je découvre les offres Les plus lus 1. Analyse Pourquoi Eric Zemmour réécrit son histoire 2. 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