«Il a mis un coup d’arrêt fatal à la prolifération en rendant les essais tabous», analyse Jean-Marie Collin, porte-parole de l’ICAN France, une branche de la Campagne internationale pour l’abolition des armes nucléaires.

En effet, il lui faut le feu vert de huit pays dotés de l’arme nucléaire qui ne l’ont pas ratifié.

«Depuis quelques années, les États non nucléarisés interpellent plus fermement ceux qui ne sont pas signataires: on l’a vu en janvier avec l’entrée en vigueur du Traité interdisant les armes nucléaires (TIAN)».