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Le diplôme est-il toujours aussi important pendant un recrutement ?
« Nulle part ailleurs dans le monde [qu’en France], la question de
savoir où vous avez fait vos études ne détermine si profondément votre
carrière. » – Peter Gumbel, Elite Academy
Selon certains, cette phrase de Peter Gumbel ne fait cependant plus
office de vérité incrustée dans le marbre, au point de se demander : le
diplôme est-il toujours aussi important pendant un recrutement ?
En entendant cette question, certains doivent se réjouir et d’autres se
dire « Toutes ces études étaient-elles vraiment nécessaires ? »
Commençons par mettre les choses au clair : non l’importance du diplôme
n’est pas désuète mais le diplôme n’est plus aussi déterminant lors de
recrutements qu’il ne pouvait l’être par le passé.
L’importance du diplôme est concomitante à plusieurs critères et varie
indéniablement selon le métier recherché
Il est nécessaire de considérer le diplôme comme un critère parmi
d’autres dans l’obtention d’un emploi. Ces critères sont pluriels comme
l’explique une étude de Pôle Emploi publiée en Mars 2018. On y
distingue notamment comme critères prioritaires l’expérience
professionnelle dans un métier, les compétences comportementales, la
variété des expériences professionnelles … Désormais, le diplôme ne se
situe plus qu’en 6^ème position des informations regardées de façon
prioritaire dans un CV, selon les employeurs interrogés par Pôle
Emploi. Seuls 40% d’entre eux regardent le diplôme en priorité contre
74% pour l’expérience professionnelle.
Dans ce cas pourquoi faire des études ? Car la valeur accordée au
diplôme dépend du parcours du candidat et du poste recherché. En effet,
l’importance du diplôme varie selon 3 critères : le secteur d’activité,
le niveau de séniorité et la taille de l’entreprise visée.
Pour 77% des établissements recruteurs du secteur de l’action sociale,
le diplôme est une information regardée de façon prioritaire dans un
CV. C’est 59% pour les activités spécialisées, scientifiques et
techniques et 31% pour la construction.
Un candidat plus expérimenté pourra justifier son potentiel grâce à ses
années d’expérience à la différence d’un jeune candidat qui possède peu
d’expérience et compte sur son diplôme pour faire une différence.
Enfin, une petite entreprise sera moins focalisée sur le diplôme et
jugera davantage la capacité d’adaptation du candidat car l’exigence de
polyvalence se révèle plus forte que dans une grande entreprise.
Par conséquent le diplôme n’est plus le critère décisif pour un
candidat mais bien un critère parmi d’autres.
Les mutations du monde du travail et les changements de mentalité des
recruteurs influencent fortement la valeur autrefois donnée au diplôme
Selon une étude réalisée par un think tank californien, il est estimé
que 85% des emplois de 2030 n’existent pas encore. La nature du travail
change si vite que le diplôme ne détermine plus exclusivement le
devenir du travailleur qui doit compter également sur sa capacité à
apprendre et à transférer ses compétences d’un métier à un autre.
Les changements s’opèrent également dans la manière des recruteurs
d’appréhender les entretiens où l’adage « le diplôme ne fait pas tout »
se vérifie de plus en plus.
Comme cela a été abordé plus haut, 2 critères aujourd’hui sont
déterminants lors de recrutements :
Que retenir du critère de l’expérience dans un métier (savoir-faire) ?
Selon Geoffroy de Lestrange, Directeur Associé marketing d’une
entreprise fournisseur de solutions d’apprentissage et de gestion des
talents, « les entreprises n’ont pas besoin de diplômes mais de
compétences ». Cette phrase s’inscrit dans une volonté politique du
gouvernement Macron qui souhaite un « Big Bang de la formation », où la
réalité terrain et métier prendrait le pas sur les connaissances
purement théoriques. Il apparaît désormais nécessaire de développer
l’apprentissage directement en entreprise. L’expérience par la pratique
se développe notamment dans l’industrie et dans les entreprises de la
Tech telles que l’Ecole 42 fondée par Xavier Niel, lui-même
entrepreneur à succès et sans détention du Bac.
Qu’en est-il des compétences comportementales (savoir-être) ?
Autrefois relégué au second plan, le savoir être dit « soft skills »
est désormais un critère d’importance majeur lors d’entretiens
d’embauche, en lien avec l’évolution rapide des métiers qui requiert
une capacité accrue à apprendre à s’adapter et à s’organiser. Toujours
selon l’étude Pôle Emploi, pour 60% des employeurs, ces « compétences
comportementales » sont jugées « plus importantes que les compétences
techniques ». Il ne s’agit plus seulement de savoir si le candidat est
au niveau sur le plan technique mais de se rendre compte si son
comportement et sa manière de considérer son travail sont en adéquation
avec l’esprit de l’entreprise.
En synthèse, l’importance accordée au diplôme n’est pas morte mais ce
dernier ne doit plus être vu comme le saint graal qui nous ouvre toutes
les portes. D’autres critères de sélection ont émergé comme
l’importance accordée à l’expérience professionnelle et celle dédiée
aux compétences comportementales. S’il reste des postes à forte
responsabilité pour lesquels le diplôme est rédhibitoire, la grande
majorité des candidats aujourd’hui doit prendre en considération leur
savoir-faire technique et leur savoir-être. La tendance serait
l’orientation vers des parcours hybrides, musclés par de
l’apprentissage ou de l’alternance couplés à des formations en cours de
carrière et à des valeurs telles que l’intelligence émotionnelle,
l’empathie, la capacité à apprendre et à s’adapter. Le diplôme sort de
son piédestal, moins de théorie, au profit de plus de pratique et de
capital humain.
Sources :
Enquête Pôle Emploi Mars 2018
Welcome to the jungle : la fin du diplôme en France, et si c’était vrai
?
Cadre emploi : Les recruteurs attachent de moins en moins d’importance
au diplôme
Le Figaro : Pour recruter, les grandes entreprises internationales
délaissent les diplômes
Les rédacteurs :
Julian FERRASSON – Analyst
Latifa BOURON – Manager
Pour en savoir plus, vous pouvez la contacter à :
latifa.bouron@wavestone.com
compétencesdiplômeRecrutement
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Sujet pas eu mon diplôme, je broie du noir...
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Paroxysm
Paroxysm
172 posts au compteur
Posteur AFfiné
Premier post
1 Posté le 09/07/2020 à 17:28:27
Bonjour.
Ce topic n'a pas pour but de vous demander des renseignements, ou quoi.
Je veux juste me confier, j'ai besoin de sortir ma colère et ma
tristesse, en toute sincérité, je souhaite qu'on me plaigne.
Ca fait deux ans que je fais un BTS dans les techniques du son.
Aujourd'hui je découvre les résultats, je suis quelqu'un qui a du mal a
me concentrer et je lâche rapidement, quand j'arrive a tenir déjà. J'ai
donc eu de mauvais résultats en Physique et en matière de spécialité
(Son).
Je découvre cette après-midi qu'absolument toute ma promo a eu son
diplôme, certains sont très bons, d'autres juste normaux, d'autres sont
passionnés et connaissent leur domaine mais rament en cours (j'en fait
partie), d'autres ont l'air passionnés vite fait, mais sont
complètement hors des cours, ne prennent pas de notes, n'apprennent, ne
font pas les devoirs etc... tout ce beau monde a eu son BTS, moi, non.
Je n'ai pas reçu d'encouragement ou de réconfort, juste un "tu l'as
pas" après avoir demandé "je trouve pas mon nom dans la liste..., c'est
que ceux qui l'ont qui sont sur la liste ?"
Ca fait des mois que je cherche du travail pour me payer une école de
musique (rien à voir), je ne trouve rien, aucune réponse. J'ai presque
20 ans, pas vraiment d'amis proches qui me conviennent a qui parler,
une soeur qui semble me détester parce qu'on est psychologiquement pas
compatibles, une famille prolétaire qui vit en cité avec que de la
misère/racaille.
Les deux personnes les plus mauvaises de mon option (Son) ont eu leur
diplôme, je ressens de l'injustice parce que ce sont deux filles qui ne
connaissent absolument pas la théorie, et qui en pratique sont
limitées, elles doivent être en train de fêter leur victoire lâchement,
et j'aimerais faire de même, j'aurai dû être à leur place,
clairement...
En plus de ça j'suis pas vraiment attirant physiquement, pas forcément
la tchatche (jsuis pas asocial autiste non plus hein !), un peu
grassouillet, elles sont belles et sociables, plein d'amis ,de la
famille réactive a elles etc ...
Je sais pas quoi faire de ma vie j'ai beaucoup de haine, je suis
fatigué de vivre en fait (ça fait cliché de dire ça, mais c'est
vraiment ça !)
J'ai fini. Vous pouvez ignorez ce topic, j'avais juste besoin d'écrire
ça
0
"La musique, c'est du bruit qui pense."
_V. Hugo
BBmiX
BBmiX
3704 posts au compteur
Squatteur d'AF
2 Posté le 09/07/2020 à 17:59:15
20 ans et toute la vie devant toi ... Quand on est au creux de la vague
, on a tendance à tout noircir . Du creux tu ne peut que remonter ...
Change de voie ( ils cherche pleins de monde dans l'agriculture ,
entretiens des machines etc ... ) ce n'est qu'un exemple .
parle à tes amis , ta famille , assistance sociale ...
Et dis toi que ça pourrait être pire . :bravo:
0
Un jour j'irai vivre en Théorie, car en Théorie tout se passe bien ...
sublime gate
sublime gate
3983 posts au compteur
Squatteur d'AF
3 Posté le 09/07/2020 à 18:26:48
hello,
Citation :
je suis quelqu'un qui a du mal a me concentrer et je lâche
rapidement
tu connais tes points faibles, tu sais donc sur quoi travailler. essaie
de mener un projet (musical ou autre) à bien ! l'endurance est question
de pratique. essaie de faire de la musique à plusieurs, c'est le
meilleur moyen de rencontrer du monde...
je note que tu sais t'exprimer clairement et sans dire de bêtises, ce
n'est pas donné tout le monde.
bon courage !
4
mes astuces pour SE : ici
PACOCLEBS
PACOCLEBS
123 posts au compteur
Posteur AFfiné
4 Posté le 09/07/2020 à 18:46:21
Tout pareil... à 20 ans, j'étais tellement dans les chiottes...
du temps, de la persévérance, du travail sur soi...
Je ne sais pas trop quoi dire pour t'encourager... juste que la roue
tourne quand on s'en donne les moyens, j'ai également subit énormément
d'échecs dans ma vie sentimentale et artistique.
Mais rien ne dure quand on se bat, il faut modeler la réalité telle
qu'on la désire...
Bon courage à toi et deux options pour les vacances : travailler comme
un damné ( ce que j'ai fait après l'un de mes premiers échecs en
conservatoire ) ou au contraire se donner un max de bon temps et ne
penser à rien d'autre qu'au présent. ( ce que j'ai appris à faire bien
plus tard dans ma vie )
Bonne chance l'ami.
3
call me Paco.
BBmiX
BBmiX
3704 posts au compteur
Squatteur d'AF
5 Posté le 09/07/2020 à 19:31:05
Citation :
je note que tu sais t'exprimer clairement et sans dire de bêtises
Je voulais dire trouve une autre voie pour " bouffer " et tu pourras
reprendre plus tard ton métier passion , li n'est jamais trop tard .
1
Un jour j'irai vivre en Théorie, car en Théorie tout se passe bien ...
rica2synthé
rica2synthé
4176 posts au compteur
Squatteur d'AF
6 Posté le 09/07/2020 à 19:51:08
Vois-tu à 26 ans artisan j'ai fait banqueroute, re à 35 ans quand j'ai
repris un commerce, et a 50 piges je vis un licenciement abusif ! mais
j'ai la niaque je me bats ! j'ai eu d’innombrables soucie de santé, je
devrais déjà être mort ! mais non je me bats j'ai la niaque ! il faut
croire en toi et taper dans la vie ! prend un autre chemin , la musique
le son Ce n'est peut-être pas maintenant que la vie veut te le donner
mais un peu plus tard, fait autre chose il y en a plein des occasions !
il suffit de les chopés ! n'attends pas que ca tombe du ciel , du ciel
il n'y a que la pluie la neige et l'orage qui tombe ! et les avions
quand le sort s'acharne ! vas y fonce man !
2
Je suis naze en ortho et grammaire, je fais au mieux !
ont ne se quitte jamais vraiment, nous sommes ailleurs momentanément,
pas aux mêmes endroits , puis un jour nous nous retrouvons
Paroxysm
Paroxysm
172 posts au compteur
Posteur AFfiné
7 Posté le 10/07/2020 à 11:14:35
Merci pour vos messages qui redonne un peu de poil de la bête, c'es
très sympa de votre part.
1
"La musique, c'est du bruit qui pense."
_V. Hugo
sublime gate
sublime gate
3983 posts au compteur
Squatteur d'AF
8 Posté le 10/07/2020 à 16:58:16
AF est aussi fait pour ceux qui débutent et qui cherchent de l'aide
qu'ils n'ont pas forcément autour d'eux !
2
mes astuces pour SE : ici
Shreddator
Shreddator
2335 posts au compteur
AFicionado
9 Posté le 13/07/2020 à 12:59:54
Dis-toi que tu loupes pas tant de choses que ça, le diplôme c'est juste
un bout de papier. Plein de gens l'ont et ne trouvent pas de boulot
pour autant car le monde artistique est surpeuplé (si ça peut te
consoler, les gens qui ont eu leur BTS et qui sont nuls n'iront pas
très loin).
Quand j'étais au lycée, et quasiment dès l'école primaire mon but était
de devenir ingé-son, j'imaginais pas faire autre chose. En gros c'était
ça ou rien. Au lycée je foutais pas grand chose (en fait je travaillais
absolument pas, j'y arrivais pas), ce qui fait qu'en terminale mon
dossier était trop mauvais pour obtenir n'importe quelle formation
sélective, je me suis donc retrouvé à la fac et ma prof principale de
terminale me prédisait un échec fracassant. En tous cas j'ai dû faire
une croix sur le BTS audiovisuel.
Bon, finalement en fac de sciences j'ai vraiment trouvé un milieu qui
me convenait et je me suis dit que finalement je pouvais très bien
étudier l'acoustique ou l'électronique et faire un métier dans le son
(finalement j'ai fini ingénieur en mécanique, comme quoi...), donc
finalement rien n'était perdu. Enfin c'est pas là que je veux en venir.
À ce moment-là je faisais partie d'une association qui organisait des
concerts où je me suis occupé de la partie sonorisation, ce qui m'a
permis de bien me faire la main. Cette asso n'a pas duré longtemps mais
ça m'a permis de connaître du monde dans le milieu et je me suis mis à
travailler pour des groupes en parallèle de mes études.
Donc voilà, au moment où j'avais abandonné le projet de devenir
technicien son, je suis de fait devenu technicien son, ce qui m'a
permis de gagner de l'argent pendant mes études (et sans diplôme
particulier, juste la réputation et les rencontres).
J'ai fait ça pendant 5-6 ans (j'ai continué un peu avec un groupe quand
j'ai commencer à travailler comme ingénieur) et au bout d'un moment
j'ai fini par réaliser que finalement, j'étais bien content de pas
avoir fait d'études là-dedans puisque :
- ça ne m'avait pas empêché de bosser dans le son
- j'avais fait d'autres études qui m'ont permis d'avoir des boulots
bien plus rémunérateurs que technicien son et d'apprendre plein de
choses dont je soupçonnais pas l'existence avant
- après 5 ans à faire technicien son je ne me voyais vraiment pas
bosser sur des spectacles toute ma vie.
En effet, le boulot est loin de l'image qu'on s'en fait. Si on veut le
faire bien on n'est pas là pour boire des bières avec les musiciens
mais pour gérer quantité de problèmes et d'imprévus (et on est payé
pour ça, souvent on est même le seul à être payé décemment), comme les
pannes de matos, les organisateurs qui quasi-systématiquement oublient
de signaler des choses importantes, les gens bourrés du public qui te
parlent pendant tout le concert, le fait qu'un concert de 2h c'est une
journée entière de logistique, le fait d'être exposé continuellement à
des niveaux sonores excessifs, le fait d'entendre le même set 2 fois
par semaine toute l'année...
Évidemment il y a des points positifs, je ne regrette pas du tout
d'avoir fait ça, surtout que ça permet de travailler avec des gens qui
dans leur grande majorité sont très sympas. Mais je suis content de pas
être obligé de continuer à faire ça toute ma vie car c'est usant.
Aujourd'hui j'ai encore changé de voie, j'essaye de monter une boîte
qui est liée à la musique mais d'une autre façon (avec rien en poche à
part le RSA :mrg: ).
Ne te laisse pas gagner par l'amertume ou la haine de gens qui ont rien
à voir là-dedans. Évidemment ça serait un mensonge que de dire que tout
le monde part avec les mêmes chances dans la vie, que «quand on veut on
peut» ou ce genre de connerie. En revanche, si t'es en fin de BTS à 20
ans ça veut dire que tu n'as jamais pris de retard. C'est rare, perso à
20 ans j'étais encore en première année de fac :mrg: , autour de moi
j'ai des ami⋅e⋅s qui ont 30 ans et sont toujours précaires ou
étudiant⋅e⋅s, plusieurs potes de la fac qui ont bossé comme ingénieur
avant de tout plaquer pour faire autre chose (et oui, on fait des
études passionnantes et en général on se retrouve à cliquer sur des
boutons dans un bureau d'étude grisâtre). En fait je ne connais
quasiment personne qui à 20 ans a le diplôme + le métier qu'il voulait.
La plupart de mes potes sont plus ou moins précaires ; certains parce
que leurs études ne leur a pas donné de boulot (métiers littéraires ou
artistiques) ou un travail très en dessous de leurs attentes, la
plupart parce qu'ils n'ont pas eu de diplôme du tout. Les seuls qui
s'en sont «sorti» sont ceux qui comme moi ont choisi des études dans
des secteurs qui donnent du travail. En gros ce sont ceux qui
maintenant sont ingénieurs ou font des métiers manuels, qui gagnent
bien leur vie malgré un boulot chiant.
La totalité de mes potes et moi, on attend plus rien du monde du
travail. C'est juste un moyen de gagner de l'argent pour vivre et dès
qu'on peut y échapper on le fait. D'où ceux qui à 30 ans sont toujours
à la fac ou bien enchaînent contrats précaires, RSA et reprise d'étude
ou bien ceux qui sont ingénieurs en attendant d'avoir assez de thune
pour se barrer et devenir indépendant.
Donc, je disais, t'as 20 ans, t'as le bac et une expérience du son,
donc que tu veuilles t'orienter vers un métier-passion ou bien un
métier pour simplement gagner ta vie, t'es pas en retard du tout. J'ai
une pote à 20 ans elle commençait son BTS dans un domaine artistique,
aujourd'hui avec un bac+4, elle alterne des boulots de vendeuse, bosse
occasionnellement sur des tournages et surtout espère se reconvertir
dans autre chose. Même les métiers-passion sont souvent aliénants.
Enfin tout ça pour dire que même si t'as l'impression d'être au bout de
ta vie, c'est pas le cas du tout. Tous les rêves de «se réaliser dans
le travail» ne sont qu'une arnaque pour nous exploiter et tous les bons
côtés de la vie sont ailleurs.
5
Billybilly
Billybilly
317 posts au compteur
Posteur AFfamé
10 Posté le 13/07/2020 à 13:49:29
Concernant le BTS audiovisuel ; le problème de cette formation est
qu'il y a une grosse partie en contrôle continu et que le jury qui
t'examine pour la technique est en contact direct avec tes profs. Donc
les biais d'influence sont énormes. Et ça c'était mon époque, il me
semble que maintenant il y a encore plus de contrôle continu. Je
comprends bien ce que tu ressens Paroxysm, ce sentiment d'injustice.
Pour ma part j'ai eu le BTS, pas de soucis mais l'une des personnes de
ma promo les plus incompétentes techniquement l'a eu haut la main parce
qu'elle avait réussi à créer un climat d'admiration autour de sa
personne de la part de l'équipe enseignante. Et ça, tu n'y peux rien.
Je peux juste te dire que les personnes qui arrivent à duper leur
entourage professionnel sur leurs compétences réelles finissent très
souvent par se faire griller (même si ça peut prendre beaucoup de temps
parfois pour démasquer un imposteur).
Ensuite, le son et l'audiovisuel de manière générale c'est bien un
secteur professionnel où le diplôme ne sert quasiment à rien.
20 ans, c'est encore très jeune, encore tout le temps de commencer une
autre formation.
Comme Shreddator, je constate énormément de reconversions
professionnelles parmi les gens qui bossent ou qui ont étudié dans la
culture. Et souvent, le boulot est beaucoup moins gratifiant que ce
qu'on s'imaginait. Sans oublier le fait que c'est un secteur ultra
concurrentiel où l'ambiance peut parfois être assez toxique.
2
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#Canden » Flux Canden » Flux des commentaires Canden » Quelle
différence entre un diplôme et une certification ? Flux des
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Quelle différence entre un diplôme et une certification ?
Quelle différence entre un diplôme et une certification ?
différence entre un diplôme et une certification
Au terme de la formation suivie, avez-vous obtenu un diplôme ou une
certification ? Qu’il s’agisse d’une formation initiale ou continue,
est-ce une formation diplômante ou certifiante ?
Difficile de s’y retrouver depuis quelques années avec la
multiplication des offres de formation et l’utilisation du
mot « Certification » pour désigner aussi bien un diplôme d’Etat qu’une
certification de qualification professionnelle (CQP) inscrite ou non au
Répertoire Nationale des Certifications Professionnelles (RNCP).
Dans cette période de choix d’orientation et de salons pour les lycéens
et les étudiants, il nous est apparu utile de repréciser certains
points.
.
Du diplôme à la certification de qualification professionnelle
Les « diplômes » sont délivrés par l’Etat notamment à travers les
différents ministères (Ministère de l’Education National, de
l’Agriculture, de l’Industrie, etc.).
Le diplôme d’Etat atteste d’une formation initiale ou professionnelle
selon un processus structuré de validation. La validité du diplôme est
permanente.
Chaque diplôme supérieur d’Etat délivré par une université s’accompagne
automatiquement d’un grade : licence, master, doctorat.
Le grade est une autre notion qui correspond à un niveau de diplôme
dans le cadre de l’harmonisation européenne LMD souhaitée depuis les
accords de Bologne afin de faciliter la mobilité dans la formation
(i.e. réaliser une licence en France et un master en Allemagne) et la
mobilité professionnelle. Un diplôme peut ne pas avoir de grade (i.e.
BTS ou DUT).
Tous les diplômes d’Etat sont inscrits de droit au RNCP.
Les établissements de formation supérieure comme les écoles peuvent
créer des programmes pour lesquels ils peuvent demander une
habilitation à l’Etat. Ils délivrent alors un « diplôme »
d’établissement reconnu par l’Etat qui confèrent un grade L,M ou D.
.
La certification de qualification professionnelle (CQP) atteste comme
le diplôme d’une formation.
Lorsqu’une formation est inscrite au RNCP, c’est qu’elle a été évaluée,
reconnue et donc certifiée par la Commission Nationale de la
Certification Professionnelle (CNCP) composée des représentants des
employeurs et des salariés. Les certifications de qualification
professionnelle sont classées dans le RNCP par domaine d’activité et
par niveau.
La certification d’une formation et son inscription au RNCP
s’accompagne de la mention d’un niveau qui n’est pas un grade au sens
LMD. Par exemple, une certification de niveau 1 du RNCP n’est pas un
diplôme Master, ni un grade Master. Pour qu’elle le soit, il faudrait
que l’établissement obtienne une habilitation de l’Etat à conférer le
grade Master pour cette formation.
Il est important de noter que l’inscription au RNCP d’une certification
de qualification professionnelle n’est jamais définitive. La
reconnaissance d’une certification est obtenue pour une durée
déterminée et doit être renouvelée, sans garantie qu’elle le soit.
.
Il est donc nécessaire avant toute inscription dans une formation d’un
établissement de vérifier son statut dans le RNCP.
De vérifier également la valeur du diplôme ou de la CQP en termes
d’emploi, valeur qui peut relever de la reconnaissance de la formation
par les entreprises à travers leur politique de recrutement ou de
formation professionnelle continue, valeur qui peut aussi relever de la
notoriété de l’établissement de formation qui délivre la certification.
Une vigilance s’impose compte tenu de la multiplication des offres et
de la marchandisation croissante de la formation initiale ou continue…
Dans notre prochain billet nous reviendrons sur la valeur d’une
certification en matière d’emploi.
.
.
t .
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PrécédentPenser son évolution professionnelle autrement…
SuivantQuelle est la valeur d’un diplôme ou d’une certification ?
7 commentaires
1.
Guillaume Bronsart
Guillaume Bronsart sur 25 juillet 2014 à 0 h 56 min
Bonjour,
Après deux Masters et une certification internationalement
reconnue, les différences entre Master et Certification sont
conséquentes. Cela ne veut pas dire qu’un Master vaut plus qu’une
certification ou vice-versa. Bien souvent, le contenu des
certifications et des masters, est crucial et, il n’est, bien
souvent, pas assez approfondi pour déterminer la valeur d’un
candidat.
Je suis en recherche d’emploi, et je considère que certaines
certifications permettent de développer autant de compétences et
connaissances qu’un master.
A des niveaux techniques aussi, peu de recruteurs considèrent les
certifications internationales, comme équivalentes d’un Master.
C’est un tort surtout en termes pratiques. La pratique est utile en
entreprise n’est-ce pas ?
A contrario, une certification validée en QCM, nécessite « bien
souvent » moins de travail personnel.
En clair, il y a différent Masters, différentes certifications, de
différents niveaux. A vous de bien distinguer les formations les
plus utiles pour le besoin du moment.
Je suis en recherche d’emploi, et même si ce que les recruteurs
mettent en avant (mes Masters), je sais à l’évidence, que mon
niveau est déjà bien plus élevé, grâce à la certification passée.
C’est toute la logique du candidat à évaluer, ce sur quoi il s’est
intéressé pour vous fournir un travail de qualité par la suite et
son potentiel.
Les tests ne traduisent jamais cette dimension, au combien
profitable pour l’entreprise client.
Cordialement,
GB
2.
Marie-Pierre FLEURY
Marie-Pierre FLEURY sur 10 juillet 2014 à 15 h 52 min
Oui effectivement il y a deux choses à distinguer : le diplôme puis
le grade tel que défini par les accords de Bologne en Europe soit
Licence Master Doctorat (LMD)
3.
Marie-Pierre FLEURY
Marie-Pierre FLEURY sur 10 juillet 2014 à 15 h 47 min
Merci !
4.
Buhagar Chantal
Buhagar Chantal sur 10 juillet 2014 à 15 h 29 min
Merci Marie Pierre
J’ai donné le lien de votre billet sur le groupe
consultants-formateurs indépendants de Linkedin :
Bienvenue ds ce groupe, si ce n’est déjà fait
5.
F. VAN GAVER
F. VAN GAVER sur 16 mai 2013 à 21 h 48 min
Une précision.
Les établissements technique privés reconnus peuvent être habilités
par l’état à délivrer un diplôme visé (c’est l’expression exacte).
En revanche, contrairement à ce qui est écrit, ce diplôme visé ce
confère pas automatiquement un « grade » (L, M ou D).
Merci de corriger.
6.
Marie-Pierre FLEURY
Marie-Pierre FLEURY sur 12 février 2012 à 10 h 57 min
Bonjour,
Merci beaucoup pour l’intérêt porté à notre billet, un sujet qui
nous semble important pour les étudiants (et les parents) qui sont
actuellement en phase d’orientation.
Nous suivons aussi régulièrement vos publications
7.
Msebastien
Msebastien sur 11 février 2012 à 13 h 48 min
Bonjour
Nous avons sélectionné votre billet pour l’édition Replay #emploi
et #Formation, notre sélection de 20 billets remarquables
Nous avons hâte de lire des billets aussi intéressants.
Bravo !
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6h
Pas faux ! "Le problème est qu’en matière de #télétravail et de travail
hybride, salariés et entreprises s’ils semblent s’entendre sur le
principe ne veulent pas changer les choses pour les mêmes raisons"
as/?utm_source=rss&utm_medium=rss&utm_campaign=desole-le-travail-hybrid
e-nexiste-pas
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mp_fleury Mp_Fleury@mp_fleury·
6h
Une désintégration de la vérité, de la connaissance, des faits communs
liée à la dynamique, que nous pouvons voir jusqu’à un certain point,
dans la façon dont les #réseaux sont configurés, ce que nous faisons et
comment nous partageons l’information"
ions/our-insights/the-data-driven-future-of-storytelling-mits-deb-roy-o
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Faux diplôme : Les dangers de se procurer un faux diplôme
Les faux diplômes d’études secondaires existent bel et bien. Que vous
envisagiez d’en acheter un ou que vous fassiez tout votre possible pour
éviter de vous retrouver avec un document bidon, arrêtez-vous un
instant et lisez cet article. Nous vous expliquerons pourquoi une
personne peut obtenir un faux diplôme, s’il est légal d’en obtenir un
et comment vous assurer que le document que vous obtenez est un vrai
diplôme et non un faux.
Pourquoi les gens obtiennent-ils de faux diplômes d’études secondaires ?
Raisons malhonnêtes
Parmi les raisons malhonnêtes, citons la présentation d’un faux diplôme
d’études secondaires pour convaincre une école ou un employeur
potentiel que vous avez des titres de compétences que vous n’avez
jamais obtenus. C’est la principale raison pour laquelle il vous faut
une version aussi convaincante (attention au licenciement pour faute
grave ) du diplôme. Il est difficile d’imaginer pourquoi vous devriez
duper les gens à ce point, à moins que vous ne vouliez honnêtement
qu’ils croient que le document est officiel.
Raisons pratiques
De nombreux sites proposant de faux diplômes soulignent que les
diplômes d’études secondaires sont relativement susceptibles de se
perdre et relativement difficiles à remplacer. L’idée est donc qu’un
substitut pourrait être une bonne chose à avoir et à transmettre aux
générations futures.
Que pouvez-vous faire avec un faux diplôme d’études secondaires ?
Les diplômes d’études (découvrez l’aide nommée CDA ) secondaires
servent à prouver au monde entier que vous avez terminé vos études
secondaires avec des notes de passage.
Parchemin, Contrat, Papier, Document, Vieux, Manuscrit Parchemin,
Contrat, Papier, Document, Vieux, Manuscrit La plupart du temps, vous
essayez de convaincre un collège ou un employeur de votre niveau
d’études ; les écoles et les entreprises veulent savoir que vous avez
le niveau d’études qu’elles exigent de leurs étudiants ou de leurs
employés.
C’est ici que nous revenons sur les raisons malhonnêtes d’obtenir un
faux diplôme énumérées ci-dessus ; avec un faux document, une personne
peut être en mesure d’obtenir une acceptation dans un collège ou une
entreprise qui ne lui aurait pas été proposée autrement. Mais
l’histoire ne se termine généralement pas par une fin heureuse, comme
nous le verrons dans la section suivante.
Que peut-il se passer si vous obtenez un faux diplôme ?
D’une part, il est extrêmement probable que vous serez découvert. Dans
la plupart des cas, un simple coup de fil de l’université ou de
l’entreprise à l’école dont vous êtes censé avoir obtenu le diplôme
suffit à miner vos projets. De plus, des organisations comme les écoles
et les entreprises de vérification des antécédents surveillent les
opérations illégitimes liées aux diplômes, en mettant fréquemment à
jour leurs bases de données.
La découverte signifie la perte de tout poste que vous auriez pu
obtenir à l’aide de votre faux diplôme – au mieux. Au pire, cela peut
signifier des poursuites et des condamnations.
Comment obtenir un diplôme de fin d’études secondaires ?
Avant tout, l’obtention d’un diplôme d’études secondaires exige du
temps et du travail. Il est impossible d’obtenir un diplôme valide sans
remplir un certain nombre de conditions.
Rue, Personnes, Enfants, L'École, Garçon, L'Éducation Rue, Personnes,
Enfants, L'École, Garçon, L'Éducation Il existe plusieurs options pour
les étudiants qui souhaitent travailler pour obtenir un diplôme
d’études secondaires. Vous pouvez, bien sûr, fréquenter un lycée
traditionnel. Votre district scolaire local est toujours un bon endroit
pour commencer à explorer cette option.
Il existe également des cours du soir, qui s’adressent généralement aux
étudiants qui doivent rattraper quelques crédits, et non à ceux qui
souhaitent y commencer et terminer leurs études secondaires. Il existe
également des lycées alternatifs, dont la structure est similaire à
celle d’un lycée moyen, mais dont les méthodes sont totalement non
traditionnelles.
Il y a aussi l’option en ligne. Les lycées en ligne sont de plus en
plus populaires de nos jours ; il s’agit essentiellement d’obtenir le
programme d’études à partir d’une source en ligne et de rendre les
devoirs à distance. Généralement, il y a des conférences ou des
discussions auxquelles on peut assister par chat ou vidéoconférence.
La majorité des candidats à l’université sont des lycéens et la plupart
des conseils en matière de candidature à l’université leur sont
destinés. Mais que faire si vous n’entrez pas dans cette catégorie ?
Vous pourrez toujours vous inscrire à l’université, ne vous inquiéter
pas.
Comment s’assurer que le diplôme que vous allez obtenir est bien réel ?
Si vous envisagez d’acheter un diplôme en ligne, vous êtes probablement
plus intéressé par le mode de scolarité en ligne. Ces conseils
porteront donc principalement sur l’identification des institutions en
ligne légitimes.
Remise Des Diplômes, Teen, Lycée, Étudiant, Diplômé Remise Des
Diplômes, Teen, Lycée, Étudiant, Diplômé
Un lycée en ligne légitime
Les lycées en ligne doivent être accrédités, sauf s’ils sont gérés par
un district scolaire spécifique ou par l’État. C’est une qualité
extrêmement importante à vérifier ; l’accréditation est absolument
essentielle. Vous pouvez vérifier auprès du ministère de l’éducation ou
du procureur général de votre État pour savoir si un programme en ligne
est accrédité ou approuvé d’une autre manière. Consultez également
notre propre article expliquant les programmes en ligne accrédités.
Appelez un établissement d’enseignement supérieur respecté et voyez
s’il accepterait un diplôme du programme que vous envisagez. S’ils le
font, c’est bon signe que vous êtes sur la bonne voie ; s’ils ne le
font pas, continuez à chercher.
Les signes d’un faux lycée en ligne
un programme de diplôme, plutôt que de facturer par classe ou par
crédit.
en plus ou à la place des cours.
cours et promettent peu ou pas d’interaction avec les enseignants.
Certaines promettent des diplômes basés uniquement sur l’expérience
de la vie, sans cours requis.
un délai très court – des mois, des semaines ou seulement quelques
jours.
de l’école) peut être indiquée comme une boîte postale plutôt qu’un
lieu physique.
En outre, certaines écoles ont un site web peu coûteux et plein de
fautes de frappe, ainsi qu’un site web professionnel et soigné, de
sorte que vous supposez que le site web soigné doit être légitime.
Conclusion
La morale de l’histoire est que les faux diplômes d’études secondaires
ne sont pas de bonnes choses. Ils peuvent être techniquement légaux
dans certains cas, et certaines personnes les utilisent pour des
raisons innocentes, mais la plupart du temps, ils sont frauduleux et
utilisés de manière frauduleuse.
Il existe des moyens de s’assurer que tout programme auquel vous vous
inscrivez est bien réel, alors assurez-vous de bien faire vos devoirs.
Ne vous retrouvez pas avec un faux diplôme de fin d’études secondaires
: cela n’en vaut pas la peine.
Dans le même thème, découvrez comment sont utilisés les 7 peches
capitaux dans la vente.
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Vendeur auto sans diplomes ?
Invité §alw120kb
Par Invité §alw120kb,
le 15 septembre 2006 dans Avis / Questions
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Invité §alw120kb
Invité §alw120kb
Posté(e) le 15 septembre 2006
Invité §alw120kb
Posté(e) le 15 septembre 2006
Est-ce possible d'exercer le métier de vendeur auto sans avoir de
diplomes ? Est-ce que la passion pour l'automobile une bonne
présentation et un très bon sens du contact peut suffire pour être
former à ce métier ? Ce sont les questions que je me pose car
j'aimerais fortement pouvoir intégrer une concession pour pouvoir
exercer cette profession. Si vous avez des conseils ou même une
expérience similaire je serais intéressé par vos commentaire. Merci ;)
:jap:
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Invité §djn512Wm
Invité §djn512Wm
Posté(e) le 15 septembre 2006
Invité §djn512Wm
Posté(e) le 15 septembre 2006
A mon avis, le meilleur moyen serait quand même de trouver un poste de
commercial junior dans une concession, avec formation en prime.
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Invité §Pin015Mq
Invité §Pin015Mq
Posté(e) le 15 septembre 2006
Invité §Pin015Mq
Posté(e) le 15 septembre 2006
A moins d'avoir effectué un stage dans la concession en question et
d'avoir tapé dans l'oeil du directeur, difficile selon moi d'accéder à
ce poste sans diplôme.
Les personnes passsionnées et présentant bien ne manquent pas, alors
pourquoi privilégier quelqu'un sans formation/diplôme au détriment de
quelqu'un qui vient de finir ses études ?
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Invité §bav836Xa
Invité §bav836Xa
Posté(e) le 15 septembre 2006
Invité §bav836Xa
Posté(e) le 15 septembre 2006
Soit j'ai pas de chance, soit c'est une réalité, mais certains vendeurs
manquent sérieusement de "passion" envers les produits qu'ils vendent ,
certes il ne faut peut etre pas privilégier les sans diplomes, mais j'
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vialletv Pilote semi-pro
vialletv
Posté(e) le 15 septembre 2006
vialletv
Posté(e) le 15 septembre 2006
Soit j'ai pas de chance, soit c'est une réalité, mais certains vendeurs
manquent sérieusement de "passion" envers les produits qu'ils vendent ,
certes il ne faut peut etre pas privilégier les sans diplomes, mais j'
En même temps, vendre du monocube diesel gris métal à longueur de
journée pour se taper une vente d'un coupé V6 par an, c'est pas
forcément top passion.
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Invité §La 024jA
Invité §La 024jA
Posté(e) le 15 septembre 2006
Invité §La 024jA
Posté(e) le 15 septembre 2006
Un diplôme, ça sert à rien pour ton métier (dans la majorité des cas...
je taf dans l'auto, j'ai jamais rien ressorti des mes années
d'etudes...bref), mais le problème est que c'est une "porte" au marché
de l'emploi. Commercial sans diplôme, ça parait (très) difficile.
A ta place, si tu n'es pas timide, j'irai directement chez plusieurs
concessionnaires me renseigner. Si tu es (très) motivé, près à tout
retourner pour arriver à tes fins, fonce. Qu'as-tu à perde?
ziggy1.gif.00799c6899cf72855f8456bf4a9792a8.gif
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Invité §bav836Xa
Invité §bav836Xa
Posté(e) le 15 septembre 2006
Invité §bav836Xa
Posté(e) le 15 septembre 2006
j'ai la certitude que certains vendeurs sans diplomes seraient plus
efficaces que les diplomés, en effet, j'ai pas mal de bourdes a
raconter, pour n'en citer que quelques unes, a 8 ans j'ai appris au
commercial de chez Renault, lorsque l'on a acheté notre R19 que la
version Storia était équipée des projecteurs antibrouillards, sinon
vous ne saviez pas que sur la Peugeot 206 avait été équipée pendant un
moment du 2.0 HDI 110 ch ???? La BMW 324td est un 4 cylindres .... La
BMW 320d n'a pas de turbo ..... alors je pense que les vendeurs
passionnés, ça commence à manquer. Je visite assez fréquemment les
concessions, et je ne trouve aucun vendeur qui soit passionné lorsque
je discuté avec, je parle de la sonorité du moteur, ou encore de
l'allure, lui n'a qu'une seule idée, m'emmener dans son bureau pour
signer un contrat de vente, et je trouve ça très désagréable, parce
qu'une concession automobile, c'est avant tout de l'automobile, et ça
beaucoup ont tendance à l'oublier !!
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Invité §swa777jG
Invité §swa777jG
Posté(e) le 15 septembre 2006
Invité §swa777jG
Posté(e) le 15 septembre 2006
salut a tous, moi j'ai une experience dans le poste de commercial. Tout
a commencé a la sortie de 3 eme. j'étais passionnais par
l'automobile...avec 8.5 de moyenne generale on ne savait pas quoi faire
de moi. donc tu ames l'automobile tu vas en mécanique. donc j'ai appris
la méca en alternance puis au bout d'un moment je me suis dit : avoir
les paluches sale toute la journée et gagner a peine le smic toute ta
vie...sachant que le bisness me plait enormement, je me suis dit
pourquoi pas essayer le poste de commercial. donc j'ai demarché la
chambre de commerce et etant motivé a 300 % j'ai obtenu mon bac et bts
force de vente.
pour résumer, je dis simplement que la motivation est le fruit de la
réussite. cepandant une formation est quand meme plus judicieuse.
aujourd'hui, je suis commercial chez citroen ( depuis 5 ans formation
comprise ) je m'eclate et je gagne un bon salaire avec voiture de
fonction .
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Invité §ulk086Ax
Invité §ulk086Ax
Posté(e) le 15 septembre 2006
Invité §ulk086Ax
Posté(e) le 15 septembre 2006
En même temps, vendre du monocube diesel gris métal à longueur de
journée pour se taper une vente d'un coupé V6 par an, c'est pas
forcément top passion.
Ca reste quand meme une voiture...
De plus si tu es passionne a toi ( vendeur ) de savoir montrer autre
chose que ce que tu decrits.
Y a plein de vendeurs qui deconseil l'essence et les couleurs moins
vues.... c'est une realite!!!
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vialletv Pilote semi-pro
vialletv
Posté(e) le 15 septembre 2006
vialletv
Posté(e) le 15 septembre 2006
Ca reste quand meme une voiture...
De plus si tu es passionne a toi ( vendeur ) de savoir montrer autre
chose que ce que tu decrits.
Y a plein de vendeurs qui deconseil l'essence et les couleurs moins
vues.... c'est une realite!!!
A mon avis, n'importe quel passionner devient comme ça aprés 5 ans de
ce traitement.
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Invité §ulk086Ax
Invité §ulk086Ax
Posté(e) le 15 septembre 2006
Invité §ulk086Ax
Posté(e) le 15 septembre 2006
Ca reste quand meme une voiture...
De plus si tu es passionne, a toi ( vendeur ) de savoir montrer autre
chose que ce que tu decrits.
Y a plein de vendeurs qui deconseillent l'essence et les couleurs moins
vues.... c'est une realite!!!
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Invité §ulk086Ax
Invité §ulk086Ax
Posté(e) le 15 septembre 2006
Invité §ulk086Ax
Posté(e) le 15 septembre 2006
..
Bon desole, je fait n'imp avec mes posts...
Bref, je crois qu'il faut se donnerles moyens d'etre remarquable dans
son job, pour pouvoir evoluer et ne pas etre aigris en 5 ANS.
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Invité §La 024jA
Invité §La 024jA
Posté(e) le 15 septembre 2006
Invité §La 024jA
Posté(e) le 15 septembre 2006
A mon avis, n'importe quel passionner devient comme ça aprés 5 ans de
ce traitement.
Je dirai pas ça à ta place. Hier chez Alfa, pour la commande d'une
titine, je suis resté jusqu'à 20h30 (ça fermait à 19h........), et je
me suis donc retrouver seul avec un vendeur. Je suis resté 2h. Sans
mentir, on a du parler 1/2h de ma commande... Le reste du temps,
voiture, voiture, voiture en tout genre. Et je peux te dire qu'il avait
l'air d'en connaitre un rayon...
Et comme il a pas loin de la quarantaine et exerce ce métier depuis bon
nombre d'années, je me sens obligé de te reprendre :jap:
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vialletv Pilote semi-pro
vialletv
Posté(e) le 15 septembre 2006
vialletv
Posté(e) le 15 septembre 2006
Je dirai pas ça à ta place. Hier chez Alfa, pour la commande d'une
titine, je suis resté jusqu'à 20h30 (ça fermait à 19h........), et je
me suis donc retrouver seul avec un vendeur. Je suis resté 2h. Sans
mentir, on a du parler 1/2h de ma commande... Le reste du temps,
voiture, voiture, voiture en tout genre. Et je peux te dire qu'il avait
l'air d'en connaitre un rayon...
Et comme il a pas loin de la quarantaine et exerce ce métier depuis bon
nombre d'années, je me sens obligé de te reprendre :jap:
Il y en a combien de dizaine pour un comme ça :bah:
Je ne nie pas qu'il existe des passionnés pur et dur (et il est pas
chez alfa pour rien à mon avis) mais il ne sont vraiment pas légion.
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Invité §La 024jA
Invité §La 024jA
Posté(e) le 15 septembre 2006
Invité §La 024jA
Posté(e) le 15 septembre 2006
Il y en a combien de dizaine pour un comme ça :bah:
Je ne nie pas qu'il existe des passionnés pur et dur (et il est pas
chez alfa pour rien à mon avis) mais il ne sont vraiment pas légion.
C'est pas la question. Tu as dit "n'importe quel"... Je te réponds
"faux". Au moins un semble ne pas avoir succombé à la tentation de la
productivité !
Mais je suis d'accord avec toi sur un point : combien? je doute qu'on
trouve chez certains constructeurs autant de passionnés que chez alfa.
Mais on se trompe peut etre ;) :p
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Invité §alw120kb
Invité §alw120kb
Posté(e) le 15 septembre 2006
Invité §alw120kb
Posté(e) le 15 septembre 2006
j'ai la certitude que certains vendeurs sans diplomes seraient plus
efficaces que les diplomés, en effet, j'ai pas mal de bourdes a
raconter, pour n'en citer que quelques unes, a 8 ans j'ai appris au
commercial de chez Renault, lorsque l'on a acheté notre R19 que la
version Storia était équipée des projecteurs antibrouillards, sinon
vous ne saviez pas que sur la Peugeot 206 avait été équipée pendant un
moment du 2.0 HDI 110 ch ???? La BMW 324td est un 4 cylindres .... La
BMW 320d n'a pas de turbo ..... alors je pense que les vendeurs
passionnés, ça commence à manquer. Je visite assez fréquemment les
concessions, et je ne trouve aucun vendeur qui soit passionné lorsque
je discuté avec, je parle de la sonorité du moteur, ou encore de
l'allure, lui n'a qu'une seule idée, m'emmener dans son bureau pour
signer un contrat de vente, et je trouve ça très désagréable, parce
qu'une concession automobile, c'est avant tout de l'automobile, et ça
beaucoup ont tendance à l'oublier !!
J'ai eu le même cas de figure où je me retrouvais plus dans le rôle du
renseigneur que du renseigné. Une fois au salon de l'auto de Paris j'ai
même tellement démoralisé un pseudo vendeur avec mes questions dont je
connaissais les réponses a l'avance :D qu'il m'a envoyé voir un de ses
collègues. J'ai créé ce topic parce que j'ai lu l'histoire d'une dame
qui, en étant simple cliente dans une concession citroën, a réussi a
vendre un modèle a une autre personne en argumentant grace a ses
connaissances.
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Invité §alw120kb
Invité §alw120kb
Posté(e) le 15 septembre 2006
Invité §alw120kb
Posté(e) le 15 septembre 2006
salut a tous, moi j'ai une experience dans le poste de commercial. Tout
a commencé a la sortie de 3 eme. j'étais passionnais par
l'automobile...avec 8.5 de moyenne generale on ne savait pas quoi faire
de moi. donc tu ames l'automobile tu vas en mécanique. donc j'ai appris
la méca en alternance puis au bout d'un moment je me suis dit : avoir
les paluches sale toute la journée et gagner a peine le smic toute ta
vie...sachant que le bisness me plait enormement, je me suis dit
pourquoi pas essayer le poste de commercial. donc j'ai demarché la
chambre de commerce et etant motivé a 300 % j'ai obtenu mon bac et bts
force de vente.
pour résumer, je dis simplement que la motivation est le fruit de la
réussite. cepandant une formation est quand meme plus judicieuse.
aujourd'hui, je suis commercial chez citroen ( depuis 5 ans formation
comprise ) je m'eclate et je gagne un bon salaire avec voiture de
fonction .
Alors dis nous combien y a t'il de passionné dans ta concession ?
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biomec78 Routard confirmé
biomec78
Posté(e) le 15 septembre 2006
biomec78
Posté(e) le 15 septembre 2006
Il ne faut pas oublier que vendre des voitures neuves, permet aussi de
placer des financements ou des services. A mon avis sans diplomes, on
doit être cantonné aux ventes de voiture d'occasion. Avec les préjugés
que cela comporte. La plupart des marques auto ont leur propre centre
de formation de vendeur. Peugeot par exemple. De plus les marges
vendeur diminuent de plus en plus (suffit de voir la marge vendeur sur
une logan pour comprendre que pour en vendre il faut vraiment être
passionné).
Edit: il vaut savoir que les banques se basent sur le fixe pour prêter
des sous, le fixe étant fréquement le smic, je crois savoir que
certaines banques se basent sur un revenu 'moyen' avec les coms des
ventes. Un commercial en parlera mieux que moi.
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Invité §alw120kb
Invité §alw120kb
Posté(e) le 15 septembre 2006
Invité §alw120kb
Posté(e) le 15 septembre 2006
Il ne faut pas oublier que vendre des voitures neuves, permet aussi de
placer des financements ou des services. A mon avis sans diplomes, on
doit être cantonné aux ventes de voiture d'occasion. Avec les préjugés
que cela comporte. La plupart des marques auto ont leur propre centre
de formation de vendeur. Peugeot par exemple. De plus les marges
vendeur diminuent de plus en plus (suffit de voir la marge vendeur sur
une logan pour comprendre que pour en vendre il faut vraiment être
passionné).
Edit: il vaut savoir que les banques se basent sur le fixe pour prêter
des sous, le fixe étant fréquement le smic, je crois savoir que
certaines banques se basent sur un revenu 'moyen' avec les coms des
ventes. Un commercial en parlera mieux que moi.
Moi ça me suffit et les préjugés
absolute.gif.a944d764f35dd1f25be2e503b74dafce.gif
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Invité §toc623Re
Invité §toc623Re
Posté(e) le 15 septembre 2006
Invité §toc623Re
Posté(e) le 15 septembre 2006
salut a tous, moi j'ai une experience dans le poste de commercial. Tout
a commencé a la sortie de 3 eme. j'étais passionnais par
l'automobile...avec 8.5 de moyenne generale on ne savait pas quoi faire
de moi. donc tu ames l'automobile tu vas en mécanique. donc j'ai appris
la méca en alternance puis au bout d'un moment je me suis dit : avoir
les paluches sale toute la journée et gagner a peine le smic toute ta
vie...sachant que le bisness me plait enormement, je me suis dit
pourquoi pas essayer le poste de commercial. donc j'ai demarché la
chambre de commerce et etant motivé a 300 % j'ai obtenu mon bac et bts
force de vente.
pour résumer, je dis simplement que la motivation est le fruit de la
réussite. cepandant une formation est quand meme plus judicieuse.
aujourd'hui, je suis commercial chez citroen ( depuis 5 ans formation
comprise ) je m'eclate et je gagne un bon salaire avec voiture de
fonction .
Voila un bon exemple :bien:
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spip2012 Membre confirmé
spip2012
Posté(e) le 15 septembre 2006
spip2012
Posté(e) le 15 septembre 2006
Si c'est pour vendre des Picasso HDi gris toute la journée non merci
:jap:
Si tu bosses dans un garage assez sportif, genre Ferrari , Porsche etc
... a mon avis un diplôme est conseillé :jap:
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Invité §Pin015Mq
Invité §Pin015Mq
Posté(e) le 15 septembre 2006
Invité §Pin015Mq
Posté(e) le 15 septembre 2006
Si c'est pour vendre des Picasso HDi gris toute la journée non merci
:jap:
Si tu bosses dans un garage assez sportif, genre Ferrari , Porsche etc
... a mon avis un diplôme est conseillé :jap:
Non seulement un diplôme est conseillé mais surtout une très grande
expérience, notamment pour appréhender le relationnel dans le mileu du
luxe.
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Invité §pla848LB
Invité §pla848LB
Posté(e) le 15 septembre 2006
Invité §pla848LB
Posté(e) le 15 septembre 2006
Est-ce possible d'exercer le métier de vendeur auto sans avoir de
diplomes ? Est-ce que la passion pour l'automobile une bonne
présentation et un très bon sens du contact peut suffire pour être
former à ce métier ? Ce sont les questions que je me pose car
j'aimerais fortement pouvoir intégrer une concession pour pouvoir
exercer cette profession. Si vous avez des conseils ou même une
expérience similaire je serais intéressé par vos commentaire. Merci ;)
:jap:
Tu prends L'argus d'hier, petites annonces tu as au moins une annonce
avec "experience auto souhaité" donc, pas obligatoire.
Ca existe : tu présente bien, tu bafouilles pas, ça peut le faire.
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Invité §Pin015Mq
Invité §Pin015Mq
Posté(e) le 15 septembre 2006
Invité §Pin015Mq
Posté(e) le 15 septembre 2006
Tu prends L'argus d'hier, petites annonces tu as au moins une annonce
avec "experience auto souhaité" donc, pas obligatoire.
Ca existe : tu présente bien, tu bafouilles pas, ça peut le faire.
Ouais enfin si c'est pour se retrouver chez Hyundaï ou Citroën... :cyp:
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Invité §toc623Re
Invité §toc623Re
Posté(e) le 15 septembre 2006
Invité §toc623Re
Posté(e) le 15 septembre 2006
Ouais enfin si c'est pour se retrouver chez Hyundaï ou Citroën... :cyp:
:bah: faut bien commencer un jour...
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Invité §Pin015Mq
Invité §Pin015Mq
Posté(e) le 15 septembre 2006
Invité §Pin015Mq
Posté(e) le 15 septembre 2006
:bah: faut bien commencer un jour...
Tout à fait :jap:
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vialletv Pilote semi-pro
vialletv
Posté(e) le 15 septembre 2006
vialletv
Posté(e) le 15 septembre 2006
Ouais enfin si c'est pour se retrouver chez Hyundaï ou Citroën... :cyp:
En même temps, tu ne te retrouveras pas chez aston sans diplome ni
expérience :bah:
Faut bien commencer un jour et commencer au niveau ou on peu prétendre
à quelque chose.
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Invité §Pin015Mq
Invité §Pin015Mq
Posté(e) le 15 septembre 2006
Invité §Pin015Mq
Posté(e) le 15 septembre 2006
En même temps, tu ne te retrouveras pas chez aston sans diplome ni
expérience :bah:
Faut bien commencer un jour et commencer au niveau ou on peu prétendre
à quelque chose.
Y a un juste milieu hein :cyp:
Voilà pourquoi depuis le début j'insiste sur la nécessité d'un
diplôme... :o
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bmw5et7 Vétéran
bmw5et7
Posté(e) le 15 septembre 2006
bmw5et7
Posté(e) le 15 septembre 2006
Perso, j'ai essayé pendant 2 ans, rien à faire, on me répondait qu'il
n'avait pas le temps de former au métier. Sinon j'ai faillit être pris
chez volvo mais je suis arrivé une semaine trop tard, donc il te faut
trouver le chef de vente qui te fera confiance et laissera ta chance.
:jap:
Sinon on m'a proposé magasinier chez renault, j'ai dit "non merci". :D
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Invité §alw120kb
Invité §alw120kb
Posté(e) le 15 septembre 2006
Invité §alw120kb
Posté(e) le 15 septembre 2006
Ouais enfin si c'est pour se retrouver chez Hyundaï ou Citroën... :cyp:
Y a pas de soucis du moment que ce n'est pas chez lada parce que
question argumentation faut être fort :D Franchement je pense la même
chose, il faut bien commencer par quelque part, et entre nous hyundaï
commence par monter fortement en puissance en proposant des produits de
plus en plus compétitif et Citroën n'a vraiment qu'une seule grosse
lacune c'est l'image de voiture a papy quelle traine. C'est justement
là que l'on voit un bon vendeur, savoir transformer l'image d'un
produit dont l'image est peu flatteur en un produit attirant, avec une
argumentation réaliste et non mensongère, bien sûr :sol:
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Dr_troy68 Pilote d'essai
Dr_troy68
Posté(e) le 15 septembre 2006
Dr_troy68
Posté(e) le 15 septembre 2006
Essai de rentrer au GNFA , ils ont un site sur internet.
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CAPITENNE T Pilote semi-pro
CAPITENNE T
Posté(e) le 15 septembre 2006
CAPITENNE T
Posté(e) le 15 septembre 2006
Y'en a des jolies des commerciaux ... Le week end ou la Vel Satis etait
en presentation pour la premiere fois chez Renault dans la concession
pres de chez moi , on est allez la voir avec mon pere et on leur a
demander des renseignements . Et là surprise , le 3.0l DCi etait un 6
cylindres athmospherique ( pas de turbo donc ) . On c'est un peu
chamaillé avec la commercial qui voulais en plus à tous prix nous
lacher son diesel avec un credit chez Renault... Enfin bref , fin du HS
, si tu veux par la suite bosser chez des marques un peu plus " classe"
, je ferai une ecole specialisé ! Parce que bosser 40 ans chez Lada ,
ca dois pas etre top quand tu es passioné .
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Invité §alw120kb
Invité §alw120kb
Posté(e) le 15 septembre 2006
Invité §alw120kb
Posté(e) le 15 septembre 2006
Essai de rentrer au GNFA , ils ont un site sur internet.
:jap:
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Invité §ket505lJ
Invité §ket505lJ
Posté(e) le 15 septembre 2006
Invité §ket505lJ
Posté(e) le 15 septembre 2006
Bon sujet, je voudrais savoir si avec un BTS technico commercial on
pouvait travailer dans une consession ??
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Invité §chr457LP
Invité §chr457LP
Posté(e) le 15 septembre 2006
Invité §chr457LP
Posté(e) le 15 septembre 2006
Salut
Je vais te raconter ma petite expérience.
Fin de 3eme et passionné d'automobile je fais un BEP mécanique mais
durant les stages en entreprise je m'aperçois que j'ai un bon
relationnel avec la clientèle.
Fin du BEP que j'ai eu je veux faire un BAC PRO commerce. Là les ennuis
commencent:
aucun établissement ne veut de moi.
A force de perssuasion j'intégre un établissement et a la fin du
semestre je me retrouve 1er de la classe.
Fin du BAC PRO que j'ai eu je me décide à rentrer dans la vie active et
cherche un poste de vendeur automobile(vu mes 2 diplomes et ma
motivation je pensais cela facile)et bien aucun garage ne m'accepte;
tous unanime: vous n'avez pas assez d'expérience ou alors il vous
faudrez un BTS.
A pres 1an à galérer de petit boulot en petit boulot je décide de
réintégrer le système scolaire et de faire un BTS management des unités
commerciales en alternance.
Le rêve s'ouvre en fin a moi: je vais intégrer un garage.
Après 2 mois passé dans mon premier garage, le patron m'annonce que
suite a une santé financière médiocre il ne peut me garder(il fermera
dans les mois suivant)et je me retrouve sans entreprise.
Toujours aussi motivé je me met en quete d'un nouveau garage pour
continuer mon BTS.
Je trouve très vite un autre garage et continue ainsi mon parcours.
Or très vite les choses se dégradent. Suite a un retard justifié le
patron me prend en grippe et me reproche de trop conseiller les clients
et de ne pas vendre assez.
Pour garder ma place je met les bouchés doubles et fait tout mon
possible pour vendre un maximum de véhicules ce que j'arriva a faire
mais le patron mit fin à mon contrat 2 mois après.
Depuis aucun garage ne veut de moi ni aucune concession alors que j'ai
des diplomes et un peu d'expérience.
Excusez moi c'est long mais c'était pour bien faire comprendre la
difficulté pour entrer dans ce métier.
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Faut-Il Avoir Un Diplôme Pour Réussir ?
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Josselin Leydier 25 septembre 2019
Entrepreneur et consultant SEO depuis 2014, j'accompagne mes clients
dans leur stratégie de visibilité en ligne.
25 septembre 2019
Faut-il avoir des diplômes pour réussir dans la vie ?
« Passe ton bac d’abord ! » Un diplôme d’enseignement supérieur
serait-il l’unique sésame permettant d’ouvrir les portes de la réussite
?
Il semblerait qu’obtenir un diplôme ne soit pas l’unique sésame
permettant de réussir, comme le prouvent les exemples de milliardaires
américains et entrepreneurs à succès en France et à travers le monde. À
bien y regarder, Ralph Lauren, Richard Branson, Steve Jobs et Bill
Gates n’ont pas décroché de diplôme, alors qu’ils sont à la tête des
plus grandes entreprises. En France, Xavier Niel et Alain Afflelou
confirment la règle, les deux entrepreneurs ayant quitté leurs études
afin de se consacrer pleinement à leur projet et à leurs ambitions. La
question que l’on peut se poser de manière tout à fait légitime est la
suivante : faut-il avoir un diplôme pour réussir ?
Les faits et les chiffres parlent d’eux-mêmes
Si l’on s’en tient aux chiffres, et notamment aux statistiques de
l’INSEE, 8,6 % des femmes et 13 % des hommes ont créé leur entreprise
alors qu’ils n’avaient aucun diplôme en poche. Du côté des diplômés, 51
% des femmes et 39,9 % des hommes sont d’abord passés par des études
supérieures, puis obtenu le sésame avant de créer leur entreprise. Il
est donc tout à fait compréhensible que l’obtention d’un diplôme, pour
beaucoup, soit mise en parallèle avec la réussite professionnelle. Une
équation simple et logique qui tient debout, si l’on considère
simplement les chiffres et les faits.
Dans la réalité, sur le marché du travail, les entreprises sont avides
de talents hautement qualifiés. Une réalité qui veut également qu’un
jeune homme ou une jeune femme sans diplôme aura bien plus de mal à
franchir les barrières des étapes du recrutement qu’un jeune diplômé,
tout droit sorti d’une école d’enseignement supérieur.
À l’école, les élèves acquièrent des compétences et des connaissances
variées, à travers un enseignement qui se veut à la fois généraliste et
holistique. Après obtention du bac, les jeunes se dirigent vers des
voies qui correspondent à leurs ambitions, à leurs compétences et à
leurs préférences personnelles. Médecine, sciences, commerce,
informatique… la liste des possibilités est infinie, mais l’objectif de
tous ces jeunes est le même : obtenir un diplôme en vue de s’assurer un
avenir meilleur et … « réussir ».
Cette réalité ne correspond pas nécessairement à tout le monde. En
effet, certains élèves ont tendance à décrocher, parfois dès le
collège. Cela veut-il dire pour autant qu’ils ne sont pas capables de
s’assurer un avenir brillant ? Qu’ils sont condamnés à effectuer des
tâches ingrates et à être soumis aux ordres d’un patron durant toute
leur carrière ? Qu’ils n’évolueront pas ou très peu jusqu’à l’âge de la
retraite ? Heureusement, les nombreux exemples prouvant que les
autodidactes peuvent se forger une place de choix dans ce monde sont
nombreux. On ne compte plus les jeunes entrepreneurs dont le parcours
scolaire chaotique n’a pas empêché de créer leur start-up, même sans
diplôme ! En outre, si le digital ouvre des portes à bon nombre
d’autodidactes, ce secteur n’est pas le seul dans lequel il est
possible de se faire un nom, même sans diplôme. En effet, la
restauration et la grande distribution sont d’autres exemples de
secteurs dans lesquels les François Pinault, Jean-Jacques Decaux et
autres Xavier Niel de ce monde ont réussi leur carrière.
Réussir sans diplôme, cela est également possible lorsque l’on commence
au bas de l’échelle en entreprise et que l’on gravit les échelons,
comme le prouve le parcours de Philippe Algranti, PDG du groupe Système
U.
Les ingrédients nécessaires pour réussir sans diplôme
Naît-on autodidacte ou le devient-on ? À cette question, il n’existe
pas véritablement de réponse figée. Il est certain, néanmoins, que
certains ingrédients inhérents aux connaissances, aux compétences et au
caractère de l’individu participent à sa réussite professionnelle,
qu’il ait un diplôme en poche ou non. Ainsi, les personnes qui
envisagent la vie comme une suite d’expériences et une formation de
longue traîne sont certainement celles qui auront le plus de chances de
réussir. Des personnes qui savent identifier leur talent et qui
saisissent les opportunités à bras-le-corps lorsqu’elles se présentent.
Parler anglais ? Comprendre les rouages du marché des changes ?
Apprendre les bases du codage ? Comprendre les mécanismes financiers et
la comptabilité nationale ? Développer son langage corporel ? Avec de
l’ambition, de la motivation et du bon sens, les compétences
s’acquièrent aisément, même lorsqu’il n’est nullement question
d’obtenir un diplôme.
On ne réussit pas sans diplôme par hasard. Les exemples de chefs
d’entreprise outre Atlantique et d’entrepreneurs à succès en France
montrent que la motivation et la passion ont largement contribué au
succès d’individus de talent, au même titre que leur capacité à
apprendre, à écouter et à comprendre, de manière à anticiper l’avenir
et à réussir… même sans diplôme ! À bon entendeur …
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ACCUEIL / ENSEIGNEMENT SECONDAIRE / Formations en ligne : qu’en est-il
de la reconnaissance des diplômes ?
Formations en ligne : qu’en est-il de la reconnaissance des diplômes ?
Formations en ligne et diplômes de l’enseignement supérieur
A ce jour, aucune formation en ligne ou à distance ne propose des
bacheliers ou des masters officiellement reconnus par la Fédération
Wallonie-Bruxelles (FWB). L’obtention de diplômes reconnus se fait donc
exclusivement dans l’enseignement supérieur de plein exercice et de
promotion sociale. Des cours à distance sont bien proposés dans
certaines universités belges mais ils sont actuellement peu nombreux et
plutôt utilisés comme outil pédagogique.
Formations en ligne et diplômes de l’enseignement secondaire
L’enseignement à distance de la FWB propose des formations en ligne qui
préparent aux examens du Jury Central pour l’obtention du CEB
(primaire), CE1D (1er degré secondaire), CE2D (2ème degré secondaire),
CESS (secondaire), DAES, Jury paramédical A1, Jury paramédical A2 et la
7ème qualification. Le système de formation de l’enseignement à
distance est ouvert à tous à n’importe quel moment de l’année via une
plateforme d’e-learning derrière laquelle se trouvent des professeurs
chargés de corriger et commenter les travaux des apprenants.
L’enseignement à distance de la FWB ne s’occupe donc que de la
préparation au Jury Central. C’est la réussite des épreuves du Jury
Central de la FWB qui permet l’obtention de diplômes reconnus.
Formations en ligne et certifications pour l’accès à un métier
Professions réglementées ou protégées
Avant d’entamer une formation en ligne pour l’accès à une profession,
il faut d’abord vérifier si celle-ci n’est pas réglementée ou protégée
(ex : agent immobilier, architecte, psychologue).
> Liste des professions réglementées
Aucune formation en ligne ne permet donc l’accès à des diplômes
reconnus pour exercer ces professions.
La FWB et la Région wallonne ont également imposé des règles pour
l’exercice de certaines professions libérales au sein du secteur de la
construction (entrepreneur, plombier, électricien), des soins aux
personnes (esthéticien, opticien), de l’alimentation (restaurateur,
boulanger), etc.
> Détails concernant ces professions
Toute personne ne pouvant pas prouver une des capacités
entrepreneuriales reprises ci-dessus, peut toutefois présenter un
examen devant le Jury Central. En cas de réussite, une attestation est
délivrée en vue d’une inscription dans la Banque-Carrefour des
Entreprises, via un guichet d’entreprises agréé. Pour chaque
profession, il est possible d’obtenir la liste des matières à étudier
mais aucun cours ni formation ne sont fournis, il faut donc se
débrouiller soi-même pour trouver les cours et se former. C’est la
raison pour laquelle certains acteurs privés proposent des formations
en ligne qui préparent au Jury Central. Ces formations payantes
proposent des cours en ligne en rapport avec les métiers visés mais ne
garantissent en rien l’exhaustivité du contenu des formations ni la
réussite de l’épreuve du Jury Central.
Professions non réglementées
Certaines professions ne requièrent aucune condition d’accès et peuvent
être exercées sans diplôme particulier. C’est notamment le cas pour le
métier d’assistant vétérinaire, d’assistant administratif, responsable
des ressources humaines, etc. Cependant, il est généralement conseillé
de suivre des formations pour se former à l’exercice de la profession.
A ce niveau, il existe toutes sortes de formations. Certaines sont
reconnues (formation dans l’enseignement secondaire ou supérieur de
plein exercice, de promotion sociale, d’alternance ou encore réservées
aux chercheurs d’emploi) et d’autres non reconnues (formations privées
ou en formation en ligne).
Enfin, pour exercer une profession à titre indépendant, une attestation
de connaissances en gestion de base peut être requise.
Article lié : Comment obtenir le certificat de connaissances en gestion
de base ?
Interview informateur-conseil siep
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professionnel avec un(e) expert(e) dans le domaine ? N’hésite pas à
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commentaires
87 réponses “Formations en ligne : qu’en est-il de la reconnaissance des
diplômes ?”
1.
Kaoma 30 juillet, 2017 at 4 h 31 min
Bonjour,
Je souhaite suivre une formation à distance en tant conseiller
conjugal. Pouvez -vous me dire si avec ce diplôme je peux
travailler comme indépendant ?
Merci pour votre réponse.
Christine
Reply ↓
août, 2017 at 3 h 47 min
Bonjour Kaoma,
La profession de conseiller conjugal est non réglementée, elle
ne requiert donc pas de condition d’accès particulière et peut
être exercée de manière libre sans diplôme spécifique.
Cependant, il existe une formation supérieure reconnue à ce
niveau dans l’enseignement de promotion sociale (bachelier de
conseiller conjugal et familial). La formation à distance en
tant conseiller conjugal permet l’obtention d’un diplôme
certifié par un organisme privé spécialisé dans les formations
à distance. Cette formation à distance est beaucoup moins
approfondie que la formation en promotion sociale mais peut
suffire pour travailler en tant qu’indépendant. Toutefois,
pour travailler comme employé dans ce domaine, une formation
reconnue dans l’enseignement de promotion sociale ou de plein
exercice sera généralement requise.
Reply ↓
2.
carroy 24 août, 2017 at 7 h 53 min
Bonjour,
je souhaite suivre une formation à distance en tant qu’assistant
vétérinaire. Pouvez vous me dire si ce diplôme est reconnu ?
Merci pour votre réponse.
Annick.
Reply ↓
août, 2017 at 4 h 58 min
Bonjour Carroy,
Comme expliqué dans l’article, la profession d’assistant
vétérinaire est non réglementée, elle ne requiert donc aucune
condition d’accès et peut être exercée sans diplôme
particulier. Le diplôme dont vous parlez est un diplôme qui
certifiera le fait que vous avez suivi une formation privée
dans le domaine, rien de plus > cf dernier paragraphe de
l’article
Reply ↓
3.
Amandine 3 septembre, 2017 at 13 h 33 min
Bonjour,
Désirant changer d’orientation professionnelle, j’aimerais
reprendre une formation de secrétaire médicale. J’aimerais savoir
si avec l’attestation obtenue au à distance me permettra de pouvoir
postuler aisément dans ce domaine ou, au contraire, serait il mieux
de suivre cette formation en plein exercice dans une école?
Merci d’avance pour vos réponses,
Amandine.
Reply ↓
septembre, 2017 at 5 h 34 min
Bonjour Amandine,
La majorité des employeurs à la recherche de secrétaires
médicales, recherchent des profils ayant des bacheliers de
hautes écoles (assistant de direction > option médicale) ou
des certificats de qualification obtenus en promotion sociale.
Le fait de faire une formation privée à distance dans ce
domaine fermera donc de nombreuses portes.
Reply ↓
4.
Ariane 6 septembre, 2017 at 4 h 57 min
Bonjour je souhaiterais suivre une formation a distance sur la
dietetique et la nutrition. Le diplôme est-il reconnu? Pourrais je
exercée comme conseillère en dietetique et nutrition? Merci
d’avance. ..Ariane
Reply ↓
septembre, 2017 at 5 h 46 min
Bonjour Ariane,
En Belgique, le métier de nutritionniste n’est pas un titre
protégé et ne répond à aucune exigence légale. C’est
d’ailleurs la raison pour laquelle cette formation privée à
distance existe.
La profession de diététicien(ne) est quant à elle protégée
(condition requise ici). Suite à cette formation privée, le
titre de conseillère en nutrition (pas diététique) ne devrait
donc pas poser problème.
Reply ↓
5.
El tejjyny 7 septembre, 2017 at 15 h 04 min
Bonjour
Je suis employée dans une société de telecomunication eu service
technique et j’aimerais changer d’orientation. ..comme je travaille
en plein temps c’est assez difficile d’entamer un bachelier même
en.cours de soir c’est assez pesant j’aimerais suivre une formation
en.gestion des ressources humaines à distance. ..pourriez vous me
dire si avec ce diplôme je pourrais facilement intégrer le
département Rh ou devenir un consultant indépendant …quells sont
les possibilités a la fin de cette formation dans mon cas . Si le
diplôme est bien reconnu..jattends vos conseils …merci bien à vous.
Reply ↓
septembre, 2017 at 6 h 09 min
Bonjour El tejjyny,
– En tant qu’employé : tout dépend des conditions requises des
offres d’emploi dans le domaine. La majorité des employeurs
qui recherchent des profils RH recrutent des personnes ayant
un niveau d’études supérieures de bachelier ou master. Un
diplôme obtenu via des cours à distance risque sans doute de
ne pas être suffisant.
En tant qu’indépendant : la profession n’étant pas protégée,
vous pouvez donc devenir consultant RH à titre privé. Dans ce
cas, c’est avant tout vos futurs clients qu’il faudra
convaincre de vos compétences.
Reply ↓
6.
Alisson 12 septembre, 2017 at 7 h 46 min
Bonjour ayant fait le jury central à Bruxelles pour obtenir le
certificat de coiffeuse ,celui ci est reconnu ? Je peux faire un
complément cess ?
Reply ↓
septembre, 2017 at 6 h 48 min
Bonjour Alisson,
Normalement, l’accès à la formation complément CESS ne devrait
alors pas poser problème. Dans tous les cas, ce sont les
écoles qui organisent la formation qui sont les plus
compétentes pour te donner une réponse. Je t’invite donc à les
contacter. Tu trouveras la liste des écoles dans l’article
suivant > Comment obtenir le CESS.
Reply ↓
7.
Mouns Tamy 25 septembre, 2017 at 11 h 03 min
Bonjour,
j’ai une équivalence à mon « bac » obtenu à l’étranger et je désire
reprendre mes études en horaire décalé, vu le nombre limité des
options diponibles le soir et vu les limitations de mon équivalent
CESS, je pense me tourner vers les universités et hautes écoles
européenne pour un bachelier/une licence en ligne. est-ce que ce
sera reconnu par l’Etat Belge afin d’entamer un master ou pour le
travail après?? car ils parlent de « licences Européenne ».
D’avance merci pour votre réponse.
Reply ↓
octobre, 2017 at 5 h 30 min
Bonjour Tamy,
Comme mentionné dans l’article > « A ce jour, aucune formation
en ligne ou à distance ne propose des bacheliers ou des
masters officiellement reconnus par la Fédération
Wallonie-Bruxelles (FWB). » Le bachelier/la licence en ligne
dont vous parlez ne sera pas reconnue par l’Etat Belge. Par
contre, il existe de nombreuses formations supérieures
reconnues en cours du soir, notamment dans les écoles de
promotion sociale. N’hésitez pas à venir au SIEP pour plus
d’informations à ce sujet.
Reply ↓
ARYS 27 octobre, 2017 at 5 h 16 min
Depuis la mise en place du processus de Bologne, tout diplôme
validé obtenu dans une université européenne peut être
reconnue.
Une fois le diplôme obtenu (par exemple en France), il faudra
juste faire une demande d’équivalence (et encore, pour
travailler directement après dans le privé, c’est rarement
demandé. Ce sera nécessaire si vous voulez travailler à
l’Etat).
Reply ↓
ARYS 27 octobre, 2017 at 5 h 23 min
Il faut savoir également que la « licence » en France équivaut
au « bachelier » chez nous.
Mon compagnon a contacté les universités belges pour savoir si
sa licence française poserait un problème pour poursuivre en
master chez eux. La réponse a été qu’il n’y a aucun problème
tant qu’il a un diplôme universitaire équivalent à un
bachelier, seulement, comme pour tout processus de changement
d’université, le dossier devra être étudié et le programme
adapté en fonctions des acquis reçus lors des études
précédentes.
Donc pas de stress pour poursuivre un master en Belgique
par-après.
(Attention, tout ceci concerne bien des diplômes
universitaires reconnus, intégrés dans le système BMD (LMD
pour la France) et suivis dans des universités européennes. Il
est donc capital de bien se renseigner avant. Mais plusieurs
pays d’Euorpe proposent un très beau catalogue d’études
supérieures à distance. La Belgique est terriblement en retard
à ce niveau-là)
Reply ↓
8.
FAUQUET Séline 16 octobre, 2017 at 13 h 57 min
Bonjour, je désire suivre une formation à distance en criminologie.
Est-ce que le diplôme est reconnu ? Et peut-on faire le métier tel
qu’un diplômé ? J’aimerai m’orienter dans la police ou encore comme
je suis actuellement dans le carcéral pouvoir progresser et évoluer
dedans grâce à ce diplôme. Merci d’avance
Reply ↓
octobre, 2017 at 3 h 26 min
Bonjour Séline,
Comme mentionné dans l’article > « A ce jour, aucune formation
en ligne ou à distance ne propose des bacheliers ou des
masters officiellement reconnus par la Fédération
Wallonie-Bruxelles (FWB) ». A la police, un diplôme à distance
de ce genre ne sera pas reconnu.
Reply ↓
9.
Val 28 novembre, 2017 at 6 h 27 min
Bonjour, je suis institutrice primaire et j’aimerais me réorienter
pour pouvoir travailler en bibliothèque. Comme il m’est impossible
de reprendre des cours de plein exercice et difficile de concilier
vie de famille et cours du soir (4x/semaine), j’envisage de suivre
une formation à distance afin d’obtenir le diplôme d’assistant
bibliothécaire. Je me demande toutefois si ce diplôme est vraiment
reconnu par les employeurs et s’il suffit pour être engagé.
Equivaut-il à un brevet de promotion sociale ?
D’avance merci pour vos éclaircissements à ce sujet.
Reply ↓
décembre, 2017 at 7 h 01 min
Bonjour Val,
Il y a une différence au niveau des conditions d’études pour
les assistants bibliothécaires et les bibliothécaires. Un
bachelier ou un brevet de bibliothécaire est généralement
exigé pour les candidats qui postulent aux offres d’emploi de
bibliothécaires. Pour les offres d’emploi d’assistant
bibliothécaire, les conditions d’études sont plus souples et
aucun diplôme particulier n’est parfois requis. Une formation
à distance peut donc éventuellement être un plus par rapport à
quelqu’un qui n’aurait aucune formation dans le domaine mais
cela ne garantit rien pour autant…
Reply ↓
10.
Crutzen 2 janvier, 2018 at 9 h 34 min
Bonjour,
Je souhaite savoir si les diplômes du centre de qualification
professionnelle sont reconnus ou pas. Je souhaite faire une
formation dans le domaine du secrétariat médical. Je suis un peu
sceptique d autant plus qu’il y a peu de cours (12x3h).
Merci pour votre réponse
Aline
Reply ↓
janvier, 2018 at 8 h 33 min
Bonjour Crutzen,
La profession de secrétaire médicale est non réglementée.
C’est pourquoi, il existe des formations privées comme celle
que vous évoquez. Cependant, en faisant des recherches sur des
sites d’annonces d’emploi, vous constaterez que la majorité
des employeurs recherche de secrétaires médicales ayant des
bacheliers de hautes écoles (assistant de direction > option
médicale) ou des certificats de qualification obtenus en
promotion sociale. Le fait de faire une formation privée à
distance dans ce domaine fermera donc de nombreuses portes.
Reply ↓
11.
Nicole 4 janvier, 2018 at 11 h 43 min
Bonjour, je suis licenciée en psychologie clinique. Je souhaiterais
cependant me réorienter vers un métier qui n’a plus rien à voir
avec le psychosocial. J’ai actuellement un travail à temps plein et
une vie de famille à gérer le soir. Il m’est donc difficile de
suivre des cours à horaires décalés. J’ai lu votre article. Il
n’existe vraiment aucune formation en e-learning qui est diplômante
ou du moins certifiante? J’ai pourtant vu un master en sciences
politiques donné à l’UCL à distance, ainsi que deux formations
continues ? Et je voulais savoir ce que vous pensiez du site
formationadistance .be, ils parlent de « diplômes reconnus »,
j’imagine que ce n’est pas le cas en réalité?
Merci d’avance pour votre réponse.
Nicole
Reply ↓
janvier, 2018 at 6 h 29 min
Bonjour Nicole,
Tu peux toujours contacter le service d’information des
universités et demander si de nouvelles formations en ligne
ont vu le jour cette année. A l’heure actuelle, il n’y a
vraiment pas grand chose dans le domaine. En effet, l’UCL
propose un master en sciences politiques majoritairement en
ligne (mais pas exclusivement). Quant au site
formationadistance .be, il propose des formations pour des
métiers non réglementés et réglementés. Pour les métiers non
réglementés c’est-à-dire des métiers pour lesquels aucun
diplôme spécifique n’est requis, l’organisme délivre à la fin
des formations des diplômes qui font office de preuve qu’une
formation en ligne a été suivie dans le domaine, rien de plus.
Pour les métiers réglementés, le site propose des formations
en ligne qui préparent au Jury Central de la Région wallonne
ou de la Fédération Wallonie-Bruxelles (qui délivre des
diplômes reconnus). Ces formations ne sont donc pas
diplômantes, elles préparent juste aux examens de la Région
wallonne ou FWB.
Reply ↓
o
Laetitia 31 juillet, 2018 at 14 h 51 min
Bonsoir, pas diplomante veut donc dire non reconnu en
France? C’est bien ça?
Reply ↓
#
author1 août, 2018 at 4 h 24 min
Bonjour Laetitia,
Oui, non reconnu en Belgique et à l’étranger.
Reply ↓
12.
Porrini 6 février, 2018 at 10 h 38 min
Bonjour, j’aimerais changer totalement de métier et ainsi reprendre
la formation à distance d’assistant administrative, j’ai
actuellement la possibilité d’effectuer un stage dans se milieu, se
qui me pousse fortement à commencer celle-ci, cependant, je me
demandais si avec un diplôme reconnue comme il le stipule bien je
n’aurais pas du mal à trouver un emploi par la suite, je me demande
si le fait que ça soit une formation à distance, bien qu’elle soit
vraiment complète peut repousser les employeurs?
Merci d’avance pour votre réponse.
Reply ↓
février, 2018 at 8 h 45 min
Bonjour Porrini,
La profession d’assistant administrative est non réglementée,
elle ne requiert donc aucune condition d’accès et peut être
exercée sans diplôme particulier. A la fin d’une formation à
distance on reçoit un diplôme certifié par un organisme privé
spécialisé dans les formations à distance. A la fin d’une
formation dans une école publique, on reçoit un diplôme
certifié par un organisme public reconnu. Sur papier, les
employeurs sont certainement plus intéressés par les
formations publiques reconnues. Cependant, dans le cadre d’un
entretien d’embauche, les facteurs qui entrent en ligne de
compte sont nombreux et peuvent à tout moment faire pencher la
balance en votre faveur ou non (ex : compétences en langues et
bureautique, autres compétences particulières, personnalité…).
Reply ↓
13.
Diaz 14 février, 2018 at 5 h 38 min
Bonjour,
Je suis intéressée par un formation en design d’intérieur.
Pourriez-vous me renseigner sur l’Institut de Design d’Intérieur ?
Ils proposent un cours en ligne.
Je travailler durant la semaine, j’ai un bébé, ce serait pratique
de suivre un cours à distance cependant je me méfie, pourriez-vous
me conseiller à ce sujet là ?
Est-ce négatif de suivre un cours à distance, peut on pratiquer le
métier après une formation à distance ? Le diplôme est il reconnu ?
D’avance merci
Bien à vous,
Mélina
Reply ↓
février, 2018 at 5 h 03 min
Bonjour Diaz,
La profession de designer d’intérieur est non réglementée,
elle ne requiert donc aucune condition d’accès et peut être
exercée sans diplôme particulier. A la fin d’une formation à
distance on reçoit un diplôme certifié par un organisme privé
spécialisé dans les formations à distance. A la fin d’une
formation dans une école publique, on reçoit un diplôme
certifié par un organisme public reconnu. Sur papier, les
employeurs sont certainement plus intéressés par les
formations publiques reconnues.
Reply ↓
14.
Jean Eric Kouame 15 février, 2018 at 23 h 58 min
Bonjour! Je voudrais savoir si avec le diplôme en journalisme
obtenu à distance , je peux devenir un vrai journaliste de
profession dans une chaine radio ou télé. Merci par avance
Reply ↓
février, 2018 at 5 h 13 min
Bonjour Jean-Eric,
La profession de journaliste est non réglementée, elle ne
requiert donc aucune condition d’accès et peut être exercée
sans diplôme particulier. Cependant dans le domaine du
journalisme, les employeurs belges engagent avant tout des
diplômés de hautes écoles (bachelier ou master en
communication/journalisme) ou universités (master en
communication/journalisme). Pour information, à la fin d’une
formation à distance on reçoit un diplôme certifié par un
organisme privé spécialisé dans les formations à distance. A
la fin d’une formation dans une école publique, on reçoit un
diplôme certifié par un organisme public reconnu.
Reply ↓
15.
Stéphanie Robert 28 mars, 2018 at 15 h 26 min
Bonjour,
Les formations (dans mon cas je souhaiterais coach… dans différents
domaines) proposées par le site formation à distance.be sont elles
valables? certaines peuvent être faites en groupe, ou à distance.
La formation réussie, il est indiqué que nous obtenons un diplôme.
Sera t il valable pour m’installer?
D’avance merci
Stéphanie
Reply ↓
avril, 2018 at 6 h 12 min
Bonjour Stéphanie,
La profession de coach est non réglementée, elle ne requiert
donc aucune condition d’accès et peut être exercée sans
diplôme particulier. A la fin d’une formation à distance comme
celle mentionnée, on reçoit un diplôme certifié par un
organisme privé spécialisé dans les formations à distance.
Pour se lancer comme coach, la formation suffira donc mais il
faudra également prouver des connaissances de gestion de base.
Voir l’article suivant >
onnaissances-en-gestion-de-base
Reply ↓
o
Lea 24 janvier, 2021 at 11 h 15 min
Bonjour, je voudrais suivre une formation d herboriste /
diététicienne à distance, est ce que ces 2 professions
sont reglementés ou non en belgique?
Puis je exercer après la fin des formations?
Merci.
Reply ↓
#
author27 janvier, 2021 at 5 h 26 min
Bonjour Léa,
L’accès à la profession d’herboriste n’est pas
réglementé. Néanmoins, la délivrance des plantes
médicinales est soumise à des lois restrictives.
Néanmoins, la délivrance des plantes médicinales est
soumise à des lois restrictives. Aider à guérir ou
soigner un problème de santé est réservé
exclusivement aux professions encadrées par la Loi
relative à l’exercice des professions de santé (Loi
LEPS) qui précise que tout ce qui n’est pas
explicitement autorisé est interdit et donc passible
de poursuites pénales. Pour pratiquer comme
herboriste en Belgique, mieux vaut se tourner vers
les formations en alternance de l’EFP ou de l’IFAPME
qui délivrent un diplôme de chef d’entreprise
homologué par la Fédération Wallonie-Bruxelles.
Le titre de diététicien est quant à lui protégé et
fixé par l’Arrêté Royal du 19 février 1997. Pour
avoir accès à la profession, un bachelier en haute
école est requis.
Reply ↓
16.
Noel 29 mars, 2018 at 15 h 56 min
Bonjour, je suis infirmière et aimerais passer l’examen au jury
central d’esthétique. Est ce que ce certificat de réussite est
reconnu? Et si je souhaite faire une activité complémentaire, avec
mon diplôme d’infirmière et la réussite au jury central, puis je le
faire sans diplôme de gestion? Car en tant qu’infirmière, je peux
déjà travailler comme indépendante, mais comme c’est un autre
domaine… merci.
Reply ↓
avril, 2018 at 6 h 20 min
Bonjour Noel,
Le certificat obtenu via le jury central est bien reconnu
es/Regionalisation/Starter/jury.html). Pour savoir si le
certificat de connaissances en gestion de base te sera
demandé, tu peux consulter l’article suivant :
onnaissances-en-gestion-de-base.
Reply ↓
17.
Jessica 8 juin, 2018 at 6 h 18 min
Bonjour,
J’aimerais suivre une formation à distance de secrétariat médical
sur le site formationadistance.be .
Il y est précisé qu’après réussite, l’obtention d’un diplôme
qualifiant est assuré et qu’il permet de travailler en hôpital, en
cabinet privé, en maison de repos,…
Toutes ces informations sont-elles correctes ?
Mon diplôme sera-t-il reconnu et le site est-il lui-même fiable ?
Merci d’avance pour vos réponses.
Reply ↓
juin, 2018 at 3 h 24 min
Bonjour Jessica,
La profession de secrétaire médicale est non réglementée.
C’est pourquoi, il existe des formations privées comme celle
que vous évoquez. Cependant, en faisant des recherches sur des
sites d’annonces d’emploi, vous constaterez que la majorité
des employeurs recherche de secrétaires médicales ayant des
bacheliers de hautes écoles (assistant de direction > option
médicale) ou des certificats de qualification obtenus en
promotion sociale. Le fait de faire une formation privée à
distance dans ce domaine fermera donc de nombreuses portes.
Reply ↓
18.
AMIRA 19 août, 2018 at 4 h 16 min
Bonjour,
Je suis la recherche d’une formation en administratif qualifiante
et qui ne nécessite pas de CESS. Actuellement je travaille a temps
pleins et j’aimerai demandée un crédit temps formation a mon
employeur mais pour cela je cherche des formations en cours du soir
ou cours de jours mais temps partiel ou mi temps auriez-vous des
pistes svp?
Merci d’avance
Reply ↓
août, 2018 at 4 h 23 min
Bonjour Amira,
Pour obtenir une réponse rapide à ta question. Je t’invite à
contacter le SIEP par email ou téléphone durant nos heures
d’ouverture ou à venir sur place pour un entretien gratuit et
sans rendez-vous >
nformation-ou-dorientation-comment-faire-comment-choisir/
Reply ↓
19.
Delbushaye 6 septembre, 2018 at 23 h 11 min
Bonjour je désire suivre les cours de secrétaire médicale via les
cours par correspondance.
Pourriez vous me dire si le diplôme là sera reconnu ou pas?
D avance merci
Reply ↓
septembre, 2018 at 6 h 27 min
Bonjour Delbushaye,
La majorité des employeurs à la recherche de secrétaires
médicales, recherchent des profils ayant des bacheliers de
hautes écoles (assistant de direction > option médicale) ou
des certificats de qualification obtenus en promotion sociale.
Le fait de faire une formation privée à distance dans ce
domaine fermera donc de nombreuses portes.
Reply ↓
20.
marie therese onana 10 octobre, 2018 at 3 h 57 min
Bonjour
J’ai le diplome d’infirmière et je nai travaillé qu’un an sur 5
parceque je le trouve assez stressant!!! J’aimerais me reconvertir
en aide familiale ou assistante dentaire. La formation de 12 jours
en cours du soir au Centre de qualification professionnel suffit
elle pour assistant dentaire? et ai je besoin de refaire la
formation d’aide familiale qui diffère de celle d’aide soignante ?
Merci bien
Reply ↓
octobre, 2018 at 10 h 55 min
Bonjour,
Le Centre de qualification professionnel est un organisme
privé. Les diplômes délivrés par organisme privé ne sont pas
équivalents aux diplômes délivrés par les organismes publics.
Ils ne sont pas reconnus par l’état.
En particulier pour le métier d’aide familial, cette formation
ne suffit pas : L’accès à la profession d’aide familial est
réglementé par le Décret du 6 décembre 2007 (M.B. 21.01.2008)
et l’Arrêté du Gouvernement wallon du 30 avril 2009 (M.B.
22.07.2009). L’exercice de la profession requiert d’être en
possession d’un certificat d’immatriculation d’aide familiale
délivré par le Ministre de la Région wallonne qui a la
formation professionnelle dans ses attributions. Pour obtenir
ce certificat d’immatriculation, il faut posséder un de ces
certificats : aspirant en nursing, puéricultrice, aide
soignant, aide familial.
Concernant la formation d’assistant dentaire : Il existe une
formation d’assistant·e en dentisterie organisée par le EODEC,
European Oral & Dental Education Center : eodec.eu ou cpsi.be.
Cette formation permet d’obtenir une attestation de réussite.
L’asbl Dentisterie sociale propose également un plan de
formation : dentisteriesociale.be. Il arrive également que les
cabinets dentaires dispensent eux-mêmes la formation. Il est
généralement demandé, alors, d’être en possession du CESS
(Certificat d’Enseignement Secondaire Supérieur).
Des organismes privés comme le Centre de qualification
professionnel donnent également des formations car il s’agit
d’un métier non-réglementé.
Reply ↓
21.
bamushinda 17 octobre, 2018 at 5 h 01 min
Bonjour,
je souhaite suivre une formation en ligne en gestion des ressources
humaines le dipôme ou certificat est il reconnu , cela ma permettra
de postuler en tant GRH ,,,??? dans les entreprises privées ??
merci
Reply ↓
octobre, 2018 at 7 h 26 min
Bonjour,
Comme dit dans l’article, aucune formation en ligne ou à
distance ne propose des bacheliers ou des masters
officiellement reconnus par la Fédération Wallonie-Bruxelles
(FWB). L’obtention de diplômes reconnus se fait donc
exclusivement dans l’enseignement supérieur de plein exercice
et de promotion sociale. Cependant, le métier de GRH n’est pas
protégé par un accès à la profession. Vous pourrez donc
postuler et citer la formation dans votre CV (vous n’aurez
juste pas de diplôme reconnu -et de niveau d’étude reconnu –
par l’état dans ce domaine).
A savoir que les écoles de promotion sociales organisent (pour
certaines, en cours du soir) un bachelier en ressources
humaines dont le diplôme est reconnu par la FWB. Si vous
voulez plus d’informations sur les écoles qui l’organisent,
n’hésitez pas à nous contacter.
Reply ↓
22.
laura Viaene 31 octobre, 2018 at 5 h 42 min
Bonjour, voilà j’aimerais commencé une formation à distance en
ligne « coaching immobilier ». Pouvez-vous me dire si avec ce
diplôme je vais pouvoir me mettre à mon propre compte ?
D’avance merci
Reply ↓
octobre, 2018 at 11 h 11 min
Bonjour Laura,
Ca ne posera pas problème si tu désires travailler à ton
compte dans le domaine du coaching immobilier vu que cette
profession n’est pas réglementée. Précisons tout de même que
cette formation n’a rien à voir avec la formation d’agent
immobilier qui elle est réglementée par l’IPI (Institut
professionnel des Agents Immobilier).
Reply ↓
23.
Merve 9 décembre, 2018 at 10 h 43 min
Bonjour,
Je suis diplômée de la Haute Ecole Lucia de Brouckère (HELdB) et
actuellement de fais ma paserrelle à l’ULB.
L’année prochaine je devrais déménager à Luxembourg et je voudrais
savoir si je pourrais terminer mon master d’une quelconque
université mais à distance (je voudrais travailler une fois à
Luxembourg).
Je vous remercie d’avance pour votre réponse et vous souhaite une
excellente journée.
Reply ↓
décembre, 2018 at 11 h 20 min
Bonjour Merve,
Comme mentionné dans l’article > « A ce jour, aucune formation
en ligne ou à distance ne propose des bacheliers ou des
masters officiellement reconnus par la Fédération
Wallonie-Bruxelles (FWB) ». Certaines universités proposent
des cours à distance dans le cadre de certains cours
spécifiques mais ceux-ci ne concernent qu’une petite partie du
programme.
Reply ↓
24.
Nariman 8 mars, 2019 at 10 h 15 min
Bonjour j aimerai savoir si j ai un bachelier universitaire et qu
apred je fais un master 60 en sciences de gestion ca sera reconnu
et est ce que je peux travailler avec. Merci
Reply ↓
mars, 2019 at 6 h 00 min
Bonjour Nariman,
Si tu réalises tes études dans un établissement d’enseignement
supérieur reconnu en FWB, ton diplôme sera reconnu.
Reply ↓
25.
Lizoen Catherine 19 mars, 2019 at 8 h 07 min
Bonjour, je suis actuellement en réorientation professionnelle mais
ne pouvant pas me permettre de reprendre des cours du jours, j ai
trouvé une formation à distance Française d’architecte d’intérieur
à l’école nationale française du bâtiment. J aimerais savoir si ces
formations ont la même valeur ici qu’ en France et comment
sont-elles perçues en Belgique? Est-ce suffisant comme formation ?
Connaissez vous une formation similaire en Belgique? Merci pour vos
conseils!
Reply ↓
mars, 2019 at 7 h 39 min
Bonjour Catherine,
A ce jour, aucune formation en ligne ou à distance en
Fédération Wallonie-Bruxelles (FWB) ne propose des bacheliers
ou des masters officiellement reconnus (ex : master en
architecture d’intérieur) . L’obtention de diplômes reconnus
se fait donc exclusivement dans l’enseignement supérieur de
plein exercice (ou de promotion sociale). Pour savoir si la
formation à distance Française d’architecte d’intérieur peut
être reconnue en Belgique, il faut contacter le service des
équivalences de la FWB >
ementee00
Enfin, pour répondre à ta dernière question, il n’existe pas
de formation similaire en Belgique.
Reply ↓
26.
Adeline 21 mars, 2019 at 12 h 31 min
Bonjour j aimerai suivre une formation à distance afin d être
nutritionniste/diététicienne pour les sportif,les enfants et en
général auriez-vous un site qui délivre un diplôme reconnu en
Belgique et avec lequel (en plus de ma gestion de base ) je
pourrais me lancer en tant qu indépendante ? Merci
Reply ↓
mars, 2019 at 8 h 01 min
Bonjour Adeline,
Premièrement, le titre de diététicien est protégé et nécessite
l’obtention d’un diplôme d’enseignement supérieur reconnu pour
exercer le métier. Seules les formations dispensées dans les
hautes écoles de plein exercice reconnue par la FWB permettent
l’obtention de ce diplôme. Aucune formation à distance ne
propose cette formation en Belgique ou à l’étranger.
Le/la diététicien-ne est le seul spécialiste de l’alimentation
reconnu et est à différencier d’autres appellations telles que
nutritionniste, nutrithérapeute, diétologue… non reconnues et
ne pouvant pas poser les mêmes actes que les diététiciens.
Le métier de nutritionniste n’est pas un titre protégé et ne
répond à aucune exigence légale. Des personnes ayant suivi un
cours de nutrition en ligne ou pas pourraient utiliser le
titre de nutritionniste.
Pour répondre à ta question, dans ce cas, la formation en
ligne pourrait donc convenir.
Reply ↓
27.
Mouk 5 avril, 2019 at 4 h 06 min
Bonjour,
Je souhaiterais reprendre un bachelier à distance – à savoir que ce
dernier est à réaliser par une organisation suisse et conforme au
décret de Bologne – Le bachelier obtenu en cours à distance sera
t’il reconnu par la Belgique?
Merci
Reply ↓
avril, 2019 at 4 h 59 min
Bonjour Mouk,
Pour savoir si ce bachelier à distance peut être reconnu en
Belgique, tu peux contacter le service des équivalences de la
FWB et suivre la procédure qui répond à ta demande >
Reply ↓
Freire 27 août, 2021 at 11 h 16 min
Bonjour, j’aimerais faire un bachelier à distance, en Belgique
ce n’est pas
possible. Avez-vous commencé le votre en Suisse? Sera t il
reconnu en Belgique ?
Merci
Reply ↓
28.
gigot emilie 8 avril, 2019 at 9 h 58 min
Bonjour, via le site formation en groupe.be j’aimerais débuter une
formation à distance de secrétaire juridique. Pouvez vous me dire
si le diplôme reçu me permettra bien d’exercer dans le domaine svp?
Merci à vous
Reply ↓
avril, 2019 at 4 h 58 min
La profession de secrétaire juridique est non réglementée.
C’est pourquoi, il existe des formations privées comme celle
que vous évoquez. Cependant, la majorité des employeurs à la
recherche de secrétaire juridique, recherchent des profils
ayant un bachelier en droit obtenu en haute école ou dans
l’enseignement de promotion sociale. Le fait de faire une
formation privée dans ce domaine fermera donc de nombreuses
portes. Avant de vous inscrire à cette formation, je vous
invite à rechercher en ligne des offres d’emploi de secrétaire
juridique et ensuite à vérifier les conditions d’études
définies par les employeurs pour avoir accès à cet emploi.
Reply ↓
29.
Sara 12 mai, 2019 at 16 h 34 min
Bonjour, j’aimerais débuter une formation de secretaire médicale à
distance. Le diplôme obtenu me permettra t’il reellement d’exercer
dans le domaine? c’est une formation privé. Un grand merci à vous
pour votre réponse.
Reply ↓
mai, 2019 at 5 h 48 min
Bonjour Sara,
La profession de secrétaire médicale est non réglementée.
C’est pourquoi, il existe des formations privées comme celle
que vous évoquez. Cependant, en faisant des recherches sur des
sites d’annonces d’emploi, vous constaterez que la majorité
des employeurs recherche de secrétaires médicales ayant des
bacheliers de hautes écoles (assistant de direction > option
médicale) ou des certificats de qualification obtenus en
promotion sociale. Le fait de faire une formation privée à
distance dans ce domaine fermera donc de nombreuses portes.
Reply ↓
30.
Mou 15 juillet, 2019 at 6 h 56 min
Bonjour,
Si je réalise un bachelier par le billet d’un organisme de
formation à distance (enaco.fr par exemple) qui délivre des bac +3
reconnu par l’union européenne. Mon diplôme sera-t-il reconnu en
Wallonie?
merci pour votre réponse à venir.
Reply ↓
juillet, 2019 at 4 h 09 min
Bonjour,
Si vous voulez faire reconnaître ce diplôme en Belgique
francophone, il faudra faire une demande d’équivalences au
service des équivalences de la Fédération Wallonie-Bruxelles :
Si vous désirez travailler en Belgique dans le domaine privé,
l’employeur ne demandera pas automatiquement que ce diplôme
soit reconnu en Belgique, s’il ne s’agit pas d’une profession
réglementée. Si vous voulez postuler dans le secteur public ou
pour des postes subventionnés par l’état belge, l’équivalence
sera cependant nécessaire.
Pour savoir si les bacheliers de formation à distance comme
ceux proposés par enaco en France sont reconnus en Belgique,
il faut directement vous adresser au service des équivalences.
Reply ↓
31.
Taleb 1 janvier, 2020 at 18 h 06 min
Bonjour ! Je voudrais suivre une formation à distance de
naturopathie reconnue en Belgique (eu) .laquelle
(école)choisir?pouvez vous m orienter.merci
Reply ↓
janvier, 2020 at 8 h 53 min
Bonjour,
La profession de naturopathe n’est pas réglementée et les
formations qui mènent à ce métier sont toutes des formations
privées (et donc non reconnues par l’état). Pour en savoir
plus sur le métier de naturopathe + les conditions pour
l’exercer, vous pouvez consulter cette fiche :
Le SIEP informe majoritairement sur les formations reconnues
par l’état (ce qui n’est pas le cas concernant la
naturopathie), nous n’avons donc pas d’informations sur les
meilleures formations de ce domaine. Cependant, ces
institutions organisent des formations continuent de
naturopathie : Institut Européen de Médecine Naturelle (La
Hulpe), Institut Supérieur de Naturopathie Traditionnelle
(Baisy-Thy), Ecole de Santé Holistique (Bruxelles). Il en
existe probablement d’autres. Pour avoir plus d’informations,
vous pouvez contacter directement l’Union des Naturopathes de
Bien à vous
Reply ↓
32.
pantot 31 janvier, 2020 at 9 h 49 min
bonjour je souhaite savoir si le diplôme de assistante veterinaire
par cours en ligne est valable en Belgique
merci a vous davance de votre reponse
Reply ↓
février, 2020 at 4 h 42 min
Bonjour Pantot,
Comme expliqué dans l’article, la profession d’assistant
vétérinaire est non réglementée, elle ne requiert donc aucune
condition d’accès et peut être exercée sans diplôme
particulier. Le diplôme dont vous parlez est un diplôme qui
certifiera le fait que vous avez suivi une formation privée
dans le domaine, rien de plus > cf dernier paragraphe de
l’article.
Reply ↓
33.
Romacho 28 juillet, 2020 at 5 h 20 min
Bonjour,
Je souhaire faire une formation à distance pour le métier de
reparateur de cycles, vélos.
Est-ce que le certificat obtenu à la fin de cette formation à
distance est valable pour l’ouverture de mon registre de commerce ?
Merci pour votre réponse.
Reply ↓
juillet, 2020 at 5 h 05 min
Bonjour Romacho,
Il semblerait que la profession de réparateur de cycle soit
une profession réglementée. Cela signifie qu’il faut avoir
suivi l’une des formations requises renseignée sur cette page
:
e-reparatrice-bicyclettes/
Comme expliqué dans l’article, aucune formation à distance
n’est actuellement reconnue en Belgique. Le fait que ces
formations à distance ne soient pas reconnues peut poser un
problème si la personne veut exercer un métier réglementé.
Pour plus d’infos, je vous invite à contacter un guichet
d’entreprise agréé ou auprès de 1819
lites/y-t-il-des-conditions-supplementaires-pour-certaines
Reply ↓
34.
De Vrieze 19 août, 2020 at 17 h 36 min
Bonjour,
Je me suis lancé depuis peu dans la recherche d’un cours en ligne
ou en groupe en psychologie. Je suis tombé sur des sites tels que
IN/ » qui proposent des formations qui m’ont semblé extrêmement
courtes (de 3 à 6 mois pour une formation de psychologie clinique
par exemple), et qui semblent promettre l’obtention d’un
« diplôme » après avoir passé un examen (je ne sais même pas de
quel examen il s’agit)… Je dois bien avouer ne pas bien comprendre
en quoi consistent ces diplômes. Quelles valeurs ont-ils?
Donnent-ils accès à des métiers? Et si oui, lesquels? Je suppose
bien évidemment qu’ils ne donnent pas accès à des métiers de
psychologues étant donné qu’il s’agit d’un métier protégé…
Merci d’avance.
Reply ↓
novembre, 2020 at 9 h 05 min
Bonjour,
En Belgique, le seul diplôme valable pour avoir le titre de
psychologue (et exercer la psychologie clinique) est le master
en psychologie qu’on obtient à l’université. Il n’y a pas
d’autres alternatives (le métier de psychologue étant un
métier réglementé).
Dès lors, les formations dont vous parlez peuvent être
intéressantes comme formations complémentaires, pour acquérir
quelques compétences/connaissances en psychologie, mais ne
sont pas reconnues par l’état -elles ne donnent donc pas accès
au métier.
Reply ↓
35.
Provoost Eric 26 novembre, 2020 at 5 h 39 min
Bonjour Madame, Monsieur,
Je me permets de vous contacter concernant une demande d’avis par
rapport à la légitimité et à la crédibilité données aux certificats
donnés par « Le Centre de Formation à Distance.be »
Les formations dispensées sont-elles reconnues par les employeurs?
D’avance merci
Bien à vous
Provoost Eric
Reply ↓
novembre, 2020 at 10 h 40 min
Bonjour,
Le site formationadistance.be propose des formations pour des
métiers non réglementés et réglementés.
Pour les métiers non réglementés c’est-à-dire des métiers pour
lesquels aucun diplôme spécifique n’est requis, l’organisme
délivre à la fin des formations des diplômes qui font office
de preuve qu’une formation en ligne a été suivie dans le
domaine, rien de plus. Il ne s’agit donc pas de certificat de
qualification reconnu par l’état ! Cependant, dans certains
domaines, des formations privées peuvent plaire aux employeurs
(en fonction de la profession que vous voulez exercer, nous
vous conseillons donc de regarder les offres d’emplois et
d’identifier les diplômes ou titres habituellement demandés).
Concernant les formations pour des métiers réglementés : il
faut être prudent car aucune formation à distance (par cet
organisme ou un autre) ne permettra d’obtenir un accès à la
profession.
Reply ↓
36.
Mlle. Sarah B 10 décembre, 2020 at 7 h 46 min
Madame, Monsieur bonjour, j’aimerais commencer une formation à
distance via le site formationadistance.be dans le domaine de
l’infographie. Pourriez-vous m’indiquer si le diplôme obtenu au
terme des examens sera reconnu ?
D’avance je vous en remercie .
Reply ↓
décembre, 2020 at 10 h 26 min
Bonjour Mlle. Sarah B,
Le site formationadistance. be vend des formations réalisées
par des indépendants qui disposent d’une expérience de 5 ans
dans des domaines spécifiques. Ces formations privées et
payantes peuvent convenir si vous désirez apprendre et
développer des compétences liées à un métier faisant partie de
leur catalogue. Le « sérieux » de la formation dépend surtout
de l’indépendant qui a créé la formation et qui effectuera le
suivi. Dans tous les cas, le diplôme délivré par l’organisme
privé, n’est pas reconnu par l’Etat Belge, puisqu’il s’agit
d’une formation privée.
Reply ↓
37.
Auriane 19 janvier, 2021 at 15 h 26 min
Bonjour,
Je vis temporairement en Espagne et je souhaite reprendre des
études pour préparer mon retour en Belgique.
Question 1 :
J’ai actuellement un AESI en éducation physique. Etant donné le peu
d’opportunité dans cette branche, je souhaiterai me reconvertir
dans une autre matière (mathématiques, sciences, institutrice
primaire). Est-il possible de se former en ligne pour ce genre
d’étude ?
Question 2 :
Connaissez-vous les formations proposées par INEAD ? Sont-elles bel
et bien reconnues et valables en Europe, et donc en Belgique ?
Merci pour vos réponses
Reply ↓
janvier, 2021 at 4 h 48 min
Bonjour Auriane,
Il n’est pas possible de suivre une formation 100% en ligne
pour des études supérieures en FWB (AESI ou autre). Certains
cours se donnent parfois en ligne, mais cette pratique
concerne un nombre de cours très restreint.
Par rapport à ta question sur la reconnaissance des formations
proposées par INEAD, mieux vaut te renseigner auprès du
service des équivalence de la FWB.
Reply ↓
38.
Mounia 16 mars, 2021 at 9 h 34 min
Bonjour ,
Je voudrais faire une reconversion professionnell, e j’ai trouvé
une formation à distance en coach immobilier, est ce que c’est une
formation reconnue en Belgique?
Reply ↓
mars, 2021 at 5 h 12 min
Bonjour Mounia,
La profession de coach en immobilier n’est pas pas
réglementée, raison pour laquelle il existe un grand nombre de
formations privées pour cette profession. Précisons tout de
même que cette formation n’a rien à voir avec la formation
d’agent immobilier qui elle est réglementée par l’IPI
(Institut professionnel des Agents Immobilier).
Reply ↓
39.
Gianluca Petterlini 12 avril, 2021 at 18 h 09 min
Bonjour. J’ai un bachelier en tant qu’instituteur préscolaire et je
travaille comme maître de psychomotricité dans les écoles
maternelles. Je souhaiterais me mettre en activité complémentaire
pour travailler la psychomotricité relationnelle avec les enfants
ayant des difficultés. Dans le centre à distance, ils proposent 2
sortes de psychomotricité… la psychomotricité et la psychomotricité
pour les enfants. Laquelle devrais je choisir pour travailler la
psychomotricité relationnelle? Étant donné que j’ai déjà une
attestation comme maître de psychomotricité dans les écoles. Merci.
Reply ↓
mai, 2021 at 10 h 25 min
Bonjour,
Le mieux est de directement poser la question au centre de
formation. Le SIEP n’a pas beaucoup d’infos sur les formations
privées (car elles ne sont pas reconnues par la Fédération
Wallonie-Bruxelles)
Vous pouvez également poser vos questions à l’Union
professionnelle des psychomotriciens de Belgique francophone
Reply ↓
40.
fekhr 23 juillet, 2021 at 15 h 19 min
Bonjour, je demande si certificat d’organisateur de voyage de CNFDI
est reconnue pour exercer ou travailler dans une agence en France
et en Europe .Merci.
Reply ↓
juillet, 2021 at 12 h 26 min
Bonjour,
Etant donné qu’il s’agit d’un organisme privé, c’est les
agences de voyage qui décideront directement de valoriser ou
non ce certificat.
Reply ↓
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Faux diplômes
Le mardi 27 Juillet 2004 à 09:06
Charley
Bonjour,
Je cherche une adresse Internet pour trouver des faux diplômes
universitaires français.
Cordialement
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Humerus
Le 27/07/2004 à 11:54 #640917
Salut,
"Charley" a écrit
Bonjour,
Je cherche une adresse Internet pour trouver des faux diplômes
universitaires français.
Cordialement
Un diplôme de faussaire ferait ton affaire ?... ;-))
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salademan
Le 28/07/2004 à 00:23 #640915
"Humerus" news:HDpNc.26698$
Salut,
"Charley" a écrit
Bonjour,
Je cherche une adresse Internet pour trouver des faux diplômes
universitaires français.
Cordialement
Un diplôme de faussaire ferait ton affaire ?... ;-))
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Le_pucier
Le 28/07/2004 à 19:35 #640910
bonjour !
le plus simple est de demander à un pote de te passer le sien le temps
de le
scanner ! Mais si ton employeur s'aperçoit du subterfuge, t'es bon pour
l'amende et +
"Charley" ce4usp$bfb$
Bonjour,
Je cherche une adresse Internet pour trouver des faux diplômes
universitaires français.
Cordialement
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News
Le 28/07/2004 à 20:23 #640667
In news: Le_pucier Nous tapotais:
bonjour !
le plus simple est de demander à un pote de te passer le sien le
temps de le scanner ! Mais si ton employeur s'aperçoit du
subterfuge,
t'es bon pour l'amende et +
Bah ca doit pas meriter le bail ce genre de deli.
Pq pas apres tout s'il ne trouve pas de job tout
les moyens sont bons et ce serai de bonne guerre
puisque de nos jours on demande un bac pour
des poste tout en bas de l'echelle.
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News
Le 28/07/2004 à 20:24 #640665
In news: Le_pucier Nous tapotais:
bonjour !
le plus simple est de demander à un pote de te passer le sien le
temps de le scanner ! Mais si ton employeur s'aperçoit du
subterfuge,
t'es bon pour l'amende et +
Bah ca doit pas meriter le bagne ce genre de deli.
Pq pas apres tout s'il ne trouve pas de job tout
les moyens sont bons et ce serai de bonne guerre
puisque de nos jours on demande un bac pour
des poste tout en bas de l'echelle.
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micromou.com
Le 29/07/2004 à 09:24 #640659
Charley wrote:
Bonjour,
Je cherche une adresse Internet pour trouver des faux diplômes
universitaires français.
Un faux diplome de koi ? un Doctorat ?
Je peux te refiler le mien " diplomé major de promo Gladiateur"
ça t'interesse ? o:)))
--
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Complaints-To:
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Dc
Le 07/08/2004 à 09:59 #642042
Le 28/07/04, News a chuchoté :
Bah ca doit pas meriter le bagne ce genre de deli.
Detrompe-toi, c'est tres severement sanctionné en France.
Peine de prison, c'est (considéré) plus grave que des faux-papier
d'identité.
--
-------------------------------------------------------------
www.ctc-soft.com
Comptabilité shareware
Logiciels de Gestion de saisie terrain
Spécialisé Tournées de boulangers
Gestion Documentaire/Bibliographique/Courrier entreprise
-------------------------------------------------------------
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PeK6TrOn
Le 08/08/2004 à 11:10 #641793
"Dc" news:
Le 28/07/04, News a chuchoté :
Bah ca doit pas meriter le bagne ce genre de deli.
Detrompe-toi, c'est tres severement sanctionné en France.
Peine de prison, c'est (considéré) plus grave que des faux-papier
d'identité.
alors que les prisons sont surchargées ?
allez arrête !
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Dc
Le 08/08/2004 à 13:34 #641790
Le 08/08/04, PeK6TrOn a chuchoté :
alors que les prisons sont surchargées ?
allez arrête !
Renseigne toi sur qui peuple les prisons francaises et tu verras que la
surpopulation carcerale n'est pas vraiment le souci des juges.
--
-------------------------------------------------------------
www.ctc-soft.com
Comptabilité shareware
Logiciels de Gestion de saisie terrain
Spécialisé Tournées de boulangers
Gestion Documentaire/Bibliographique/Courrier entreprise
-------------------------------------------------------------
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Sébastien MARTY
Le 09/08/2004 à 02:44 #641789
News wrote:
Pq pas apres tout s'il ne trouve pas de job tout
les moyens sont bons et ce serai de bonne guerre
puisque de nos jours on demande un bac pour
des poste tout en bas de l'echelle.
Dernièrement, au boulot de mon père, ils cherchaient à recruter des
bac+5 en commerce pour faire... de la saisie de factures sous Excel!
Sans commentaires!
--
Sebastien MARTY - Palmiste macintoshien et traducteur...
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#Blog Jobenstock » Flux Blog Jobenstock » Flux des commentaires Blog
Jobenstock » 8 métiers de la fonction publique accessibles sans
logo
8 métiers de la fonction publique accessibles sans concours ni diplôme !
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Il est tout à fait possible de devenir fonctionnaire sans avoir de
diplôme en poche. Mais la sélection se fait souvent sur concours. En
revanche, pour certains métiers, le concours n’est pas un passage
obligatoire, on parle de recrutement direct. Voici 8 métiers de la
fonction publique accessibles sans concours ni diplôme !
1. Adjoint administratif de l’Éducation nationale
Adjoint administratif de l’Éducation nationale est l’un des métiers de
la fonction publique accessibles sans concours ni diplôme. Un concours
est requis uniquement pour les adjoints administratifs de 1ère classe.
Pour la 2ème classe, l’Éducation nationale organise des recrutements
directs sans concours. Il n’existe donc aucune condition d’âge, de
diplôme et vous ne devez pas justifier d’une expérience professionnelle
pour être admis.
Un adjoint administratif de l’Éducation nationale a pour missions :
Le salaire d’un adjoint administratif de l’Éducation nationale est
entre 1 486€ et 2 139€/mois. Il peut ensuite suivre des formations pour
évoluer dans sa profession.
Adjointe de l'éducation nationale (Istock)
Adjointe de l’éducation nationale, un des métiers de la fonction
publique accessibles sans concours ni diplôme (Istock)
2. Adjoint territorial d’animation
Sous la responsabilité d’un animateur, l’adjoint territorial
d’animation intervient dans :
Le recrutement se fait sans concours pour les adjoints territoriaux
d’animation de 1er grade. Vous devez donc envoyer un CV et une lettre
de motivation afin que votre candidature soit examinée.
Un adjoint territorial d’animation touche entre 1 523€ en début de
carrière et 2 184€/mois en fin de carrière.
3. Adjoint du patrimoine
Les adjoints territoriaux du patrimoine exercent leur fonction dans des
bibliothèques, des parcs, des musées, etc. Le recrutement est sans
concours au grade le moins élevé mais impose un concours pour les
grades supérieurs.
L’adjoint du patrimoine s’occupe de la sécurité et de la protection de
personnes, de biens, d’immeubles et de locaux. Il peut être :
Son salaire s’élève à 1 520 € en début de carrière, et à 2 184 € en fin
de carrière. Il peut également toucher des primes et des indemnités.
Adjoint du patrimoine (Istock)
Adjoint du patrimoine, un des métiers de la fonction publique
accessibles sans concours ni diplôme (Istock)
4. Agent social
L’agent social de 2ème classe fait partie des métiers de la fonction
publique accessibles sans concours ni diplôme. En revanche, l’agent
social de 1ère classe doit passer un concours.
Les agents sociaux agissent auprès des familles, des personnes âgées ou
des personnes handicapées. Ils assurent les tâches courantes
d’entretien et les accompagnent au quotidien pour qu’elles puissent
rester à domicile.
Un agent social de 2ème classe touche entre 1 350 € en début de
carrière et 1 630 € en fin de carrière.
5. Agent d’entretien d’espaces
L’agent d’entretien d’espaces fait partie des adjoints techniques de
2ème classe. Il s’occupe de tout ce qui a trait à l’entretien et à
l’aménagement des espaces verts (parcs, jardins, etc.) :
l’hygiène et la santé.
Le salaire d’un agent d’entretien d’espaces en France est de 1 570 €
brut par mois.
6. Éboueur
Éboueur est l’un des métiers de la fonction publique accessibles sans
concours ni diplôme. Il faut se former directement “sur le tas”.
Toutefois, avec un CAP en poche (CAP propreté de l’environnement urbain
– collecte et recyclage ou CAP agent d’assainissement et de collecte
des déchets liquides spéciaux), votre candidature sera plus appréciée.
Son rôle est de collecter les ordures ménagères et de les jeter en
benne grâce à un camion spécialisé. C’est lui qui se tient debout sur
un marchepied à l’arrière du véhicule et qui ramasse les poubelles. Une
fois la collecte finie, il met en marche un système de broyage des
ordures.
L’éboueur touche le S.M.I.C, mais aussi des primes ou indemnités liées
à ses conditions de travail (horaire décalées, tôt le matin à partir de
5 h ou tard la nuit, jusqu’à 4 h du matin).
Eboueur au dos d'un camion dans une banlieue (Istock)
Eboueur, un des métiers de la fonction publique accessibles sans
concours ni diplôme (Istock)
7. Égoutier
L’égoutier est aussi appelé agent d’assainissement, agent de curage,
agent de l’environnement ou encore agent de salubrité :
les voies publiques et dans les stations de relèvement et de
pompage.
d’obstructions ou de débordements.
effectue les réparations nécessaires.
évacuations des eaux usées.
Il arrive que le recrutement se fasse par concours mais ce n’est pas un
passage obligatoire, tout comme le CAP qu’il n’est pas nécessaire de
posséder. C’est toutefois un plus lors de votre embauche.
L’égoutier gagne un salaire d’environ 1 660 € net par mois.
8. Fossoyeur
Le fossoyeur est la personne qui creuse les tombes où seront placés les
cercueils des défunts. C’est lui qui s’occupe des exhumations et des
inhumations, il accompagne notamment les familles (accueil, placement
vers le cortège, etc.) lors de leur deuil.
Le fossoyeur doit suivre une formation de 15 à 20 heures par le biais
des pompes funèbres ou de la mairie et perçoit un salaire d’environ 1
900 € net par mois.
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une reconversion dans la
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Commentaires
Très intéressée par ces métiers notamment celui d’agent
administratif de l’éducation nationale. Où peut on se renseigner
pour postuler.
Bien cordialement
Mme l’homme corine
Répondre
Bonjour Corine,
Il vous faut vous inscrire sur la plateforme de Job en stock
pour accéder aux offres :
eb
En espérant que vous trouverez l’emploi qui vous convient,
Bien cordialement,
Répondre
Bonjour, pour postulé à cette offre d’emploi on fait comment.
Cordialement,
Répondre
Bonjour Dounia,
Tout comme Corine, il vous faut vous inscrire sur la
plateforme de Job en stock pour accéder aux offres d’emploi :
eb
Passez une bonne journée,
Bien cordialement,
Répondre
Bonjour
Je serai intéressé par le metier d adjoin au patrimoine comment
fait t on pou s’inscrire
Répondre
Bonjour Vincent,
Il vous faut consulter les offres d’emploi en ligne, elles
sont également triées par région. Voici le lien :
eb
Bonne continuation à vous,
Bien cordialement,
Répondre
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o Enquête « Ecoles doctorales » (en français)
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o Encuesta « Escuelas doctorales » (en español)
o Programme
o Conférences
Bergadaà, 2015
o 2022 Thème 1 : Professionnalisation de la recherche… et
de la délinquance
o 2022 Thème 2 : La fabrique de doctorants et le risque de
thèses de complaisance
o 2022 Thème 3 : Mensonge et tolérance, négligence et
complaisance puis diplomatie
o 2022 Thème 4 : Les nouvelles frontières du plagiat
o 2022 Thème 5 : Le conflit d’intérêts dans les relations
avec les mondes économiques et médiatiques
o 2022 Thème 6 : Open Access, Science Ouverte et intégrité
o 2022 Thème 7 : Le rôle des comités d’éthique de la
recherche : une voie possible pour renforcer l’intégrité
scientifique ?
o Présentation de l’École d’été 2022
o Les concepteurs de l’École d’été 2022
o Fiche descriptive de l’École d’été 2022
o Programme de l’École d’été 2022
o Accès et hébergement École d’été 2022
o Conditions d’inscription École d’été – formulaire 2022
o Différents angles d’approche
o Suisse
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o Forums et faux diplômes
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o Émission de l’été 2021
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Bergadaà, 2015
Forums et faux diplômes
Publication 1.10.2015
Morceaux choisis sur des forums de discussion. Ce type de discussion
est très fréquent. Ici, nous avons choisi 3 communautés en ligne aux
intérêts très distincts : santé, éducation et jeux vidéo.
Lu sur un Forum Santé
• Mina 2000 :
« Bonjour,
J’ai copié le diplôme d’un ami en changeant son nom au mien.La copie
est réussie et j’aimerai l’utiliser dans mes CV.
Est-ce que les boîte vérifient les diplômes?(C’est un diplôme d’Etat)
et quels seront les risques si je me fais choper?
Il me semble qu’en général ils ne demandent que la copie(dans ce cas,
la falcification que j’ai faite ne se remarquera pas).Pourront-ils
vérifier les diplômes dans ce cas?
Merci de vos réponses! »
• Soleil 2003 :
« Avec la jolie faute daurtaucraf que tu as laissée dans ton post
j’espère que tu n’as pas eu le toupet de faire un faux de Bac ou de BTS
….
:D :D :D
• Mina 2000 :
« Vous savez, chacun a sa manière de vivre sa vie, et je ne vous ai pas
obligés à me répondre! C’est minable d’avoir une mentalité pareille!
J’ai posé ma question aux gens ouvertes d’esprit et qui pourront
m’apporter les réponses que j’attendais! »
• Cosmos :
« Tu veux nous faire rire j’espère ? en tout cas c’est réussi ! tu
viens ici poser une question on te répond et tu nous pries de ne pas te
répondre … Le forum soins intensifs n’est pas ouvert mais tu n’es de
toute façon pas au bon endroit :D Enfin, je te signale que même pour
le CAP il faut maîtriser le français et l’orthographe, à bon entendeur,
ne s’improvise pas fraudeur qui veut ;) «
• Mina 2000 :
« Oh! Qu’est-ce que vous me faites pitié!Vous avez mal dans vos peaux
et vous vous défoulez sur le premier qui passe?
Je vous redis et vous signale que j’ai posé ma question à des personnes
intelligents et ouvertes d’esprit, je voulais avoir des avis sur ce que
je pensais et non me faire juger par des minables tels que vous!Rien à
voir avec le fait de rechercher des gens qui vont dans le même sens que
moi ou avoir à me justifier parce que j’ai fait des fautes
d’orthographe! Bon courage et allez voir des psy!Ca vous fera du
bien!!!
• Lilie 76 :
« Je vais te dire ce que je pense de ce que tu fais… tu ne risques
probablement rien et c’est bien dommage !!
Il y a des gens qui galèrent pour obtenir des diplomes et toi tu fais
des montages avec une photocopieuse ???? C’est profondément injuste par
rapport aux « vrais » titulaires de ce diplôme !!!!
Bien mal acquis ne profite jamais… même si un employeur t’embauche
parce qu’il te pense titulaire de ce diplôme, il remarquera par ton
incompétence que tu ne le possèdes pas… bon courage à toi par la suite
pour te sortir de la situation et pour retrouver du boulot. «
• Imagination :
« Pourquoi cet acharnement! C’est plutôt vs tous qui manquez
d’intelligence! vs êtes méchants, vs n’entamez même pas de discussion
avec elle pr lui expliquer qu’elle commet une grave erreur en créant un
faux. vs êtes peut-être diplômés donc ça vs donne à vos yeux le droit
de juger et par là-même de condamner! le fait d’avoir des diplômes ne
vs donne pas l’intelligence de l’âme hélas! Bande d’élitistes à deux
balles »
• Mina 2000 :
« Merci beaucoup pour ta réponse!
Je trouve qu’il y a beaucoup de préjugés ici par rapport au fait que
j’ai fait ce diplôme; mais croyez moi je n’ en suis pas fière!Ce n’est
pas de ma faute si j’ai pas eu la chance de pouvoir poursuivre mes
études comme la plupart de ces personnes qui me jugent sans connaître
mon histoire!
Merci en tout cas pour vos réponses
Lu sur un Forum Educatif
• Nico_n :
« Bonjour
Existe -t-il un logiciel pour faire des diplomes ?
jai recherché dans google sans rien trouver.
Merci »
• Sh4rk:
« Gimp, photoshop, paint.net, word, publisher…
Apres c’est ta créativité qui te permettra d’obtenir ce que tu
souhaite.
Il existe surement des logiciels qui font ca pour toi mais le résultat
est souvent médiocre »
• Nico_n :
« Et sinon vous ne connaissez pas de logiciel qui font cela où on a
plus qu’a mettre ce que lon désirt et puis on imprime? »
• Cartouche :
« Scanne un vrai et modifie le à ta guise, j’avais fais un brevet
d’équitation comme ça: ça prend 30 secondes à tout péter :)
• Champion 13 :
« mais où trouver un vrai diplome afin de le scanner ???
• Jiyong :
« a l’école »
• Oli :
« Waahh ça sert l’école, t’as vu ?! :p
Mais grâce à internet c’est devenu obsolète:
Lu sur un Forum de jeux vidéo
• John_stewart :
» Voilà jme suis fais un faux diplome de Master Droit Social (alors
que je suis en licence droit), et jme suis inscrit en intérim. Ils
m’ont demandé mon master, alors j’ai fourni mon diplome. Ils l’ont pris
et j’attends du taff là.
Sauf que jme demandais s’ils vérifiaient l’authenticité du diplome?
Quels sont les risques s’ils me choppent? C’est un peu tard pour
demander mais bon – »
• Kazel :
« rappelle-les et dit leurs: veuillez m’excuser mais je vous ai donné
un faux diplôme :hap:
• John_stewart :
« Nan mais si jles appelle c’est mort aussi. Alors que si jdis rien et
que ça passe :bave: . A moi les taff bien payé! :bave: »
• born-2-lose :
« lol tu penses vraiment qu’avec un master en droit social t’as plus de
chance de trouver du taff ? L’interim c’est surtout des petits boulots
de merde du genre de la manutention donc avec ou sans diplome ca change
rien.
• Gruz187 :
« Tu es en licence de droit alors que tu ne sais pas écrire sans
fautes?? :ouch2: :ouch: :rire:
• keichi 49 :
« Ah ok le fake :noel: Au passage oui il vérifie dans tu es dans la
merde »
• John_stewart :
« comment tu sais qu’ils vérifient? c’est no fake. En fait j’ai loupé
ma licence de droit, donc jcherche du travail, et c’est pas terrible.
Donc voilà jme suis fait un diplome :hum: »
• Torquemada
« S’ils demandent le diplôme c’est pour vérifier, sinon ils regardent
juste et te demandent une photocopie. C’est pas pour rien que beaucoup
achètent leurs diplômes (qui sont vrai) plutôt que d’en créé un faux…Tu
es en droit faux et usage de faux tu devrais savoir ce que ça veut
dire.«
• pseudark :
« Je suis le seul à pense que l’auteur est un débile profond ?
:doute:
• CFETOULAUD
« Je suis persuadé que les employeurs ne vérifient pas l’authenticité
des diplômes.
Pour vérifier l’authenticité d’un diplôme, il faut joindre le ministère
qui délivre le diplôme, il y a toute une démarche administrative, c’est
super long… Aucun employeur va se faire chié à faire ça… :(
Essayez avec un diplôme que vous possédez, vous verrez…
J’avais fait ça pour retrouver mon baccalauréat, il avait fallu que
j’appelle l’académie qui m’a demandé plein de trucs administratifs à la
con, ça a pris un temps fou pour récupérer mon diplome… :fou:
Par contre si t’as pas les compétences que tu es sencé avoir, ça se
verra tout de suite :hap: «
Etc.
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Sujet pas eu mon diplôme, je broie du noir...
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Paroxysm
Paroxysm
172 posts au compteur
Posteur AFfiné
Premier post
1 Posté le 09/07/2020 à 17:28:27
Bonjour.
Ce topic n'a pas pour but de vous demander des renseignements, ou quoi.
Je veux juste me confier, j'ai besoin de sortir ma colère et ma
tristesse, en toute sincérité, je souhaite qu'on me plaigne.
Ca fait deux ans que je fais un BTS dans les techniques du son.
Aujourd'hui je découvre les résultats, je suis quelqu'un qui a du mal a
me concentrer et je lâche rapidement, quand j'arrive a tenir déjà. J'ai
donc eu de mauvais résultats en Physique et en matière de spécialité
(Son).
Je découvre cette après-midi qu'absolument toute ma promo a eu son
diplôme, certains sont très bons, d'autres juste normaux, d'autres sont
passionnés et connaissent leur domaine mais rament en cours (j'en fait
partie), d'autres ont l'air passionnés vite fait, mais sont
complètement hors des cours, ne prennent pas de notes, n'apprennent, ne
font pas les devoirs etc... tout ce beau monde a eu son BTS, moi, non.
Je n'ai pas reçu d'encouragement ou de réconfort, juste un "tu l'as
pas" après avoir demandé "je trouve pas mon nom dans la liste..., c'est
que ceux qui l'ont qui sont sur la liste ?"
Ca fait des mois que je cherche du travail pour me payer une école de
musique (rien à voir), je ne trouve rien, aucune réponse. J'ai presque
20 ans, pas vraiment d'amis proches qui me conviennent a qui parler,
une soeur qui semble me détester parce qu'on est psychologiquement pas
compatibles, une famille prolétaire qui vit en cité avec que de la
misère/racaille.
Les deux personnes les plus mauvaises de mon option (Son) ont eu leur
diplôme, je ressens de l'injustice parce que ce sont deux filles qui ne
connaissent absolument pas la théorie, et qui en pratique sont
limitées, elles doivent être en train de fêter leur victoire lâchement,
et j'aimerais faire de même, j'aurai dû être à leur place,
clairement...
En plus de ça j'suis pas vraiment attirant physiquement, pas forcément
la tchatche (jsuis pas asocial autiste non plus hein !), un peu
grassouillet, elles sont belles et sociables, plein d'amis ,de la
famille réactive a elles etc ...
Je sais pas quoi faire de ma vie j'ai beaucoup de haine, je suis
fatigué de vivre en fait (ça fait cliché de dire ça, mais c'est
vraiment ça !)
J'ai fini. Vous pouvez ignorez ce topic, j'avais juste besoin d'écrire
ça
0
"La musique, c'est du bruit qui pense."
_V. Hugo
BBmiX
BBmiX
3704 posts au compteur
Squatteur d'AF
2 Posté le 09/07/2020 à 17:59:15
20 ans et toute la vie devant toi ... Quand on est au creux de la vague
, on a tendance à tout noircir . Du creux tu ne peut que remonter ...
Change de voie ( ils cherche pleins de monde dans l'agriculture ,
entretiens des machines etc ... ) ce n'est qu'un exemple .
parle à tes amis , ta famille , assistance sociale ...
Et dis toi que ça pourrait être pire . :bravo:
0
Un jour j'irai vivre en Théorie, car en Théorie tout se passe bien ...
sublime gate
sublime gate
3983 posts au compteur
Squatteur d'AF
3 Posté le 09/07/2020 à 18:26:48
hello,
Citation :
je suis quelqu'un qui a du mal a me concentrer et je lâche
rapidement
tu connais tes points faibles, tu sais donc sur quoi travailler. essaie
de mener un projet (musical ou autre) à bien ! l'endurance est question
de pratique. essaie de faire de la musique à plusieurs, c'est le
meilleur moyen de rencontrer du monde...
je note que tu sais t'exprimer clairement et sans dire de bêtises, ce
n'est pas donné tout le monde.
bon courage !
4
mes astuces pour SE : ici
PACOCLEBS
PACOCLEBS
123 posts au compteur
Posteur AFfiné
4 Posté le 09/07/2020 à 18:46:21
Tout pareil... à 20 ans, j'étais tellement dans les chiottes...
du temps, de la persévérance, du travail sur soi...
Je ne sais pas trop quoi dire pour t'encourager... juste que la roue
tourne quand on s'en donne les moyens, j'ai également subit énormément
d'échecs dans ma vie sentimentale et artistique.
Mais rien ne dure quand on se bat, il faut modeler la réalité telle
qu'on la désire...
Bon courage à toi et deux options pour les vacances : travailler comme
un damné ( ce que j'ai fait après l'un de mes premiers échecs en
conservatoire ) ou au contraire se donner un max de bon temps et ne
penser à rien d'autre qu'au présent. ( ce que j'ai appris à faire bien
plus tard dans ma vie )
Bonne chance l'ami.
3
call me Paco.
BBmiX
BBmiX
3704 posts au compteur
Squatteur d'AF
5 Posté le 09/07/2020 à 19:31:05
Citation :
je note que tu sais t'exprimer clairement et sans dire de bêtises
Je voulais dire trouve une autre voie pour " bouffer " et tu pourras
reprendre plus tard ton métier passion , li n'est jamais trop tard .
1
Un jour j'irai vivre en Théorie, car en Théorie tout se passe bien ...
rica2synthé
rica2synthé
4176 posts au compteur
Squatteur d'AF
6 Posté le 09/07/2020 à 19:51:08
Vois-tu à 26 ans artisan j'ai fait banqueroute, re à 35 ans quand j'ai
repris un commerce, et a 50 piges je vis un licenciement abusif ! mais
j'ai la niaque je me bats ! j'ai eu d’innombrables soucie de santé, je
devrais déjà être mort ! mais non je me bats j'ai la niaque ! il faut
croire en toi et taper dans la vie ! prend un autre chemin , la musique
le son Ce n'est peut-être pas maintenant que la vie veut te le donner
mais un peu plus tard, fait autre chose il y en a plein des occasions !
il suffit de les chopés ! n'attends pas que ca tombe du ciel , du ciel
il n'y a que la pluie la neige et l'orage qui tombe ! et les avions
quand le sort s'acharne ! vas y fonce man !
2
Je suis naze en ortho et grammaire, je fais au mieux !
ont ne se quitte jamais vraiment, nous sommes ailleurs momentanément,
pas aux mêmes endroits , puis un jour nous nous retrouvons
Paroxysm
Paroxysm
172 posts au compteur
Posteur AFfiné
7 Posté le 10/07/2020 à 11:14:35
Merci pour vos messages qui redonne un peu de poil de la bête, c'es
très sympa de votre part.
1
"La musique, c'est du bruit qui pense."
_V. Hugo
sublime gate
sublime gate
3983 posts au compteur
Squatteur d'AF
8 Posté le 10/07/2020 à 16:58:16
AF est aussi fait pour ceux qui débutent et qui cherchent de l'aide
qu'ils n'ont pas forcément autour d'eux !
2
mes astuces pour SE : ici
Shreddator
Shreddator
2335 posts au compteur
AFicionado
9 Posté le 13/07/2020 à 12:59:54
Dis-toi que tu loupes pas tant de choses que ça, le diplôme c'est juste
un bout de papier. Plein de gens l'ont et ne trouvent pas de boulot
pour autant car le monde artistique est surpeuplé (si ça peut te
consoler, les gens qui ont eu leur BTS et qui sont nuls n'iront pas
très loin).
Quand j'étais au lycée, et quasiment dès l'école primaire mon but était
de devenir ingé-son, j'imaginais pas faire autre chose. En gros c'était
ça ou rien. Au lycée je foutais pas grand chose (en fait je travaillais
absolument pas, j'y arrivais pas), ce qui fait qu'en terminale mon
dossier était trop mauvais pour obtenir n'importe quelle formation
sélective, je me suis donc retrouvé à la fac et ma prof principale de
terminale me prédisait un échec fracassant. En tous cas j'ai dû faire
une croix sur le BTS audiovisuel.
Bon, finalement en fac de sciences j'ai vraiment trouvé un milieu qui
me convenait et je me suis dit que finalement je pouvais très bien
étudier l'acoustique ou l'électronique et faire un métier dans le son
(finalement j'ai fini ingénieur en mécanique, comme quoi...), donc
finalement rien n'était perdu. Enfin c'est pas là que je veux en venir.
À ce moment-là je faisais partie d'une association qui organisait des
concerts où je me suis occupé de la partie sonorisation, ce qui m'a
permis de bien me faire la main. Cette asso n'a pas duré longtemps mais
ça m'a permis de connaître du monde dans le milieu et je me suis mis à
travailler pour des groupes en parallèle de mes études.
Donc voilà, au moment où j'avais abandonné le projet de devenir
technicien son, je suis de fait devenu technicien son, ce qui m'a
permis de gagner de l'argent pendant mes études (et sans diplôme
particulier, juste la réputation et les rencontres).
J'ai fait ça pendant 5-6 ans (j'ai continué un peu avec un groupe quand
j'ai commencer à travailler comme ingénieur) et au bout d'un moment
j'ai fini par réaliser que finalement, j'étais bien content de pas
avoir fait d'études là-dedans puisque :
- ça ne m'avait pas empêché de bosser dans le son
- j'avais fait d'autres études qui m'ont permis d'avoir des boulots
bien plus rémunérateurs que technicien son et d'apprendre plein de
choses dont je soupçonnais pas l'existence avant
- après 5 ans à faire technicien son je ne me voyais vraiment pas
bosser sur des spectacles toute ma vie.
En effet, le boulot est loin de l'image qu'on s'en fait. Si on veut le
faire bien on n'est pas là pour boire des bières avec les musiciens
mais pour gérer quantité de problèmes et d'imprévus (et on est payé
pour ça, souvent on est même le seul à être payé décemment), comme les
pannes de matos, les organisateurs qui quasi-systématiquement oublient
de signaler des choses importantes, les gens bourrés du public qui te
parlent pendant tout le concert, le fait qu'un concert de 2h c'est une
journée entière de logistique, le fait d'être exposé continuellement à
des niveaux sonores excessifs, le fait d'entendre le même set 2 fois
par semaine toute l'année...
Évidemment il y a des points positifs, je ne regrette pas du tout
d'avoir fait ça, surtout que ça permet de travailler avec des gens qui
dans leur grande majorité sont très sympas. Mais je suis content de pas
être obligé de continuer à faire ça toute ma vie car c'est usant.
Aujourd'hui j'ai encore changé de voie, j'essaye de monter une boîte
qui est liée à la musique mais d'une autre façon (avec rien en poche à
part le RSA :mrg: ).
Ne te laisse pas gagner par l'amertume ou la haine de gens qui ont rien
à voir là-dedans. Évidemment ça serait un mensonge que de dire que tout
le monde part avec les mêmes chances dans la vie, que «quand on veut on
peut» ou ce genre de connerie. En revanche, si t'es en fin de BTS à 20
ans ça veut dire que tu n'as jamais pris de retard. C'est rare, perso à
20 ans j'étais encore en première année de fac :mrg: , autour de moi
j'ai des ami⋅e⋅s qui ont 30 ans et sont toujours précaires ou
étudiant⋅e⋅s, plusieurs potes de la fac qui ont bossé comme ingénieur
avant de tout plaquer pour faire autre chose (et oui, on fait des
études passionnantes et en général on se retrouve à cliquer sur des
boutons dans un bureau d'étude grisâtre). En fait je ne connais
quasiment personne qui à 20 ans a le diplôme + le métier qu'il voulait.
La plupart de mes potes sont plus ou moins précaires ; certains parce
que leurs études ne leur a pas donné de boulot (métiers littéraires ou
artistiques) ou un travail très en dessous de leurs attentes, la
plupart parce qu'ils n'ont pas eu de diplôme du tout. Les seuls qui
s'en sont «sorti» sont ceux qui comme moi ont choisi des études dans
des secteurs qui donnent du travail. En gros ce sont ceux qui
maintenant sont ingénieurs ou font des métiers manuels, qui gagnent
bien leur vie malgré un boulot chiant.
La totalité de mes potes et moi, on attend plus rien du monde du
travail. C'est juste un moyen de gagner de l'argent pour vivre et dès
qu'on peut y échapper on le fait. D'où ceux qui à 30 ans sont toujours
à la fac ou bien enchaînent contrats précaires, RSA et reprise d'étude
ou bien ceux qui sont ingénieurs en attendant d'avoir assez de thune
pour se barrer et devenir indépendant.
Donc, je disais, t'as 20 ans, t'as le bac et une expérience du son,
donc que tu veuilles t'orienter vers un métier-passion ou bien un
métier pour simplement gagner ta vie, t'es pas en retard du tout. J'ai
une pote à 20 ans elle commençait son BTS dans un domaine artistique,
aujourd'hui avec un bac+4, elle alterne des boulots de vendeuse, bosse
occasionnellement sur des tournages et surtout espère se reconvertir
dans autre chose. Même les métiers-passion sont souvent aliénants.
Enfin tout ça pour dire que même si t'as l'impression d'être au bout de
ta vie, c'est pas le cas du tout. Tous les rêves de «se réaliser dans
le travail» ne sont qu'une arnaque pour nous exploiter et tous les bons
côtés de la vie sont ailleurs.
5
Billybilly
Billybilly
317 posts au compteur
Posteur AFfamé
10 Posté le 13/07/2020 à 13:49:29
Concernant le BTS audiovisuel ; le problème de cette formation est
qu'il y a une grosse partie en contrôle continu et que le jury qui
t'examine pour la technique est en contact direct avec tes profs. Donc
les biais d'influence sont énormes. Et ça c'était mon époque, il me
semble que maintenant il y a encore plus de contrôle continu. Je
comprends bien ce que tu ressens Paroxysm, ce sentiment d'injustice.
Pour ma part j'ai eu le BTS, pas de soucis mais l'une des personnes de
ma promo les plus incompétentes techniquement l'a eu haut la main parce
qu'elle avait réussi à créer un climat d'admiration autour de sa
personne de la part de l'équipe enseignante. Et ça, tu n'y peux rien.
Je peux juste te dire que les personnes qui arrivent à duper leur
entourage professionnel sur leurs compétences réelles finissent très
souvent par se faire griller (même si ça peut prendre beaucoup de temps
parfois pour démasquer un imposteur).
Ensuite, le son et l'audiovisuel de manière générale c'est bien un
secteur professionnel où le diplôme ne sert quasiment à rien.
20 ans, c'est encore très jeune, encore tout le temps de commencer une
autre formation.
Comme Shreddator, je constate énormément de reconversions
professionnelles parmi les gens qui bossent ou qui ont étudié dans la
culture. Et souvent, le boulot est beaucoup moins gratifiant que ce
qu'on s'imaginait. Sans oublier le fait que c'est un secteur ultra
concurrentiel où l'ambiance peut parfois être assez toxique.
2
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Questions générales sur les écoles Flux - Sujet - De l'intérêt du
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De l'intérêt du double-diplôme ?
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Archibalde
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Classe : S5
De l'intérêt du double-diplôme ?
Message par Archibalde » 05 janv. 2019 13:29
Bonjour,
Je suis en 1A dans une école d'ingé dite A+, et je me pose des
questions sur mon cursus, et sur les "bons" choix à faire, notamment au
sujet de la césure, du double-diplôme, voir plus tard d'une éventuelle
thèse. D'où ce topic pour demander conseil.
Je suis intéressé par les mathématiques appliquées, et particulièrement
le traitement du signal (mon TIPE portait sur du traitement numérique
du signal sonore, et c'était plutôt cool). J'ai fait un peu de ML aussi
et ça m'a aussi bien intéressé (plus du point de vue théorique
qu'applicatif). Plus tard je m'imagine assez mal abandonner ce côté
théorique. Mais je ne sais pas encore parfaitement ce que je veux
faire.
Mon école offre la possibilité d'effectuer un semestre de la 2A dans
une université étrangère. Nous avons également la possibilité de
postuler au MVA en 3ème année pour le faire en parallèle de la
dernières année d'école, qui ne peut pas se faire à l'étranger. Dans
l'idéal je souhaiterais le faire car certains cours proposés
m'intéressent.
Dans ce contexte, je me demandais quelle valeur pouvait avoir un
double-diplôme dans le domaine maths/info (type celui-là, celui-ci,, ou
encore celui-ci ou celui-là. Idéalement, il faudrait que les crédits
obtenus en 2A en échange comptent pour le programme de master (j'ai
posé la question à TokyoTech, pas de réponse pour l'instant).
Ce que je crains un peu, c'est que ces programmes de masters soient
redondants avec ce que je pourrais voir en 3A, et éventuellement au MVA
si cela se fait. Sur des topics que j'ai pu lire à ce sujet, certaines
personnes voyaient l'intérêt du double-diplôme dans la possibilité
d'acquérir une double-compétence. J'ai cependant un peu de mal à voir
pour moi ce qui m'irait : c'est quand même un engagement de 2 ans (dans
le cas du Japon, éventuellement possiblement réduit) non-négligeable.
Une idée ?
De plus, faire un double-diplôme de ce type impliquerait de le faire,
idéalement, pendant un semestre de 2A, puis en césure entre la 2A et
3A, ce qui élimine de facto la possibilité de faire des stages pendant
la césure. Cela rend aussi difficile la réalisation des 4 mois de stage
obligatoires imposés par mon école.
Enfin, vient la question du stage de fin d'étude. J'ai cru lire qu'il
prenait souvent en France la forme d'une pré-embauche. Il serait donc
peut-être maladroit (justification malaisée auprès des employeurs) de
compléter un DD après sa 3A, qui nécessiterait par exemple un semestre
en plus.
Pour info, je me renseigne sur les doubles-diplômes au Japon ci-dessus,
car ça me semble quand même être une excellente opportunité d'un point
de vue personnel, pour avoir des cours intéressants, sortir un peu de
France, apprendre la langue, découvrir plus en profondeur une culture
qui attise ma curiosité qu'en un semestre en 2A. C'est vrai que dit
comme ça ça peut faire un peu pipo, mais j'espère quand même qu'une
telle expérience peut-être valorisée professionnellement.
Enfin peut-être que la même chose est possible en stage en césure au
lieu d'un double-diplôme, mais ce que je me demande finalement, c'est
qu'est-ce que les entreprises préfèrent ? Si jamais je veux travailler
dans une entreprise en lien avec le Japon (type entreprise française au
Japon, ou l'inverse, ou que sais-je), les entreprises étrangères
sont-elles friandes d'un diplôme "local" ? Ou un semestre d'échange non
diplômant peut à lui seul être valorisant ?
Qu'en pensez-vous ?
Merci beaucoup :)
Haut
Helserdin
Messages : 0
Enregistré le : 02 août 2018 02:11
Classe : 1A
Re: De l'intérêt du double-diplôme ?
Message par Helserdin » 05 janv. 2019 14:33
Vu que tu es probablement aux Mines (me trompe-je ? :mrgreen: ), j'ai
discuté avec l'intervenant du cours "ingénieur en 2022" sur
l'intelligence artificielle. Il m'a expliqué de son côté que le MVA
était certes très intéressant et faisait beaucoup apprendre, mais qu'il
valait mieux faire un Master à l'étranger plus prestigieux et reconnu
internationalement. Il était d'avis que de toute façon, l'intelligence
artificielle ça s'apprend mieux en apprenant sur Internet et en
bidouillant qu'en suivant un cours sur un domaine bien précis de
l'intelligence artificielle (la vision artificielle en l'occurence).
Après il faut bien dire que dans ce cas là l'approche est moins
théorique... Donc suivre un cours à l'université de Tokyo puis DD
serait a priori plus pertinent si on suit ce qu'il dit; reste à
demander aux gens en S3E ce qu'ils en pensent :D
Surtout qu'apprendre le Japonais pour travailler dans ce domaine est
loin d'être idiot :D
Tu peux aussi te renseigner sur la possibilité de suivre des cours à
Ulm (si tu es aux Mines), s'ils en ont sur le sujet.
Tu peux aussi poser la question à la DE sur comment ça marche en
pratique...
MP
2018 - : Mines Paristech
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father
Messages : 4248
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Classe : 3J8VR2
Re: De l'intérêt du double-diplôme ?
Message par father » 05 janv. 2019 18:05
Rien ne me convainc dans ces arguments, l histoire du prestige, le
japonais (une langue difficile..), la collaboration entre des
entreprises francaises et japonaises (l actualite prouve le contraire)
En revanche, un semestre a l etranger, le mva voire en complément une
bonne these en france ou a l etranger voire en cotutelle.. cela semble
assez robuste.
Qu en pense Hibiscus ?
Haut
Helserdin
Messages : 0
Enregistré le : 02 août 2018 02:11
Classe : 1A
Re: De l'intérêt du double-diplôme ?
Message par Helserdin » 05 janv. 2019 19:05
father a écrit : ↑
05 janv. 2019 18:05
Rien ne me convainc dans ces arguments, l histoire du prestige, le
japonais (une langue difficile..), la collaboration entre des
entreprises francaises et japonaises (l actualite prouve le contraire)
En revanche, un semestre a l etranger, le mva voire en complément une
bonne these en france ou a l etranger voire en cotutelle.. cela semble
assez robuste.
Qu en pense Hibiscus ?
J'ai juste retranscrit ce que disait l'intervenant. Après, outre
Hibiscus qui est bien placé pour parler du Japon, il faudrait aussi
demander à d'autres gens qui travaillent dans l'intelligence
artificielle ce qu'ils en pensent (il doit y en avoir dans son école).
Connaître le Japon pour travailler dans des secteurs à la pointe de la
technologie doit ouvrir des portes j'imagine, avant même de parler de
travailler dans une entreprise japonaise...
MP
2018 - : Mines Paristech
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Hibiscus
Messages : 38
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Classe : Bac a fleurs
Re: De l'intérêt du double-diplôme ?
Message par Hibiscus » 06 janv. 2019 05:29
Je vais parler en généralités, quand même, pour commencer, on verra
après.
Quelques petites mises en gardes sur le système éducatif d'abord :
- Les cours seront de moins bonne quantité (un peu qualité, si tu es
dans une grande école) au Japon, ou le but d'un master est de préparer
les élèves à rentrer en doctorat. Au même titre, le premier et dernier
lien, le g30&ist, sont à ma connaissance des programmes qui te
recommandent fortement/obligent d'aller en thèse après. (notamment en
terme d'engagement de financement et autres.) Ces derniers sont parfois
difficiles à obtenir. (GRE Subject..)
- L'apprentissage de la langue, ne serait-ce qu'un minimum, reste,
quoique te diront tous les sites et publicités, indispensable. Tu peux
rentrer dans un programme dit anglais, et, comme ça a pu t'arriver dans
ton école si tu as des cours "en anglais", mais avec un seul auditeur
étranger pour 30 français, ça devient 50-50 sur les langues. Si tu
restes plus de 3 mois, tu auras aussi une quantité non négligeable
d'obligations administratives (etc..) qui nécéssitent un niveau de
langue de base. (c'est comme en France, imagine-toi vivre ici sans
parler un mot).
Bon, je mens, je connais des gens qui sont venus sans rien comprendre,
et s'en sont sortis, mais ça sera beaucoup plus amusant et enrichissant
si t'as un (même un petit) niveau de japonais avant. [Fais attention
aux gens de linalco, c'est parfois très bof :? ]
- La qualité de ton expérience et de ta vie au Japon dépend avant tout
du laboratoire, et du professeur sous l'égide duquel tu seras. Pas de
l'université.
Je connais personne en mathapp/info/ingé, donc je ne peux pas te
renseigner, mais en général, les ressentis varient du tout au tout,
d'un labo à l'autre.
- La rentrée pour un étranger aura presque toujours lieu le 1er
Octobre. (occasionnellement en avril). Ca risque de chambouler un
certain nombre de tes plans.
- Tu as la possibilité de faire une période (6 mois en général) qui ne
te rapporte pas de crédits, un peu comme un stage de recherche, mais
avec accréditation universitaire, et c'est une solution qui est souvent
préférable à faire un Master. Notamment à cause de cette rentrée en
Octobre, la plupart des gens finissent par "perdre un an". (ce qui
correspond aussi à passer un an à revoir les mêmes notions, mais à
apprendre le vocabulaire scientifique japonais, ce qui n'est pas un mal
quand on veut rester longtemps, mais dans ton cas....). C'est cette
redondance que les élèves choisissent souvent, même si tu la crains un
peu. C'est pas une mauvaise chose d'avoir un deuxième master dans la
même discipline, si tous les cours sont en japonais, par exemple.
- Un engagement d'un an et quelques, ça n'existe pas, à part cette
histoire d' "étudiant de recherche", non diplômant. Tout simplement
parce que, frais de scolarité, frais de dossiers, frais d'admission,
frais de logement, tout ça, pour un an, ça vaut clairement pas le coup.
Et si tu obtiens le support (difficile) de l'ambassade, ou du ministère
(MexT), on te demandera de rester plus longtemps.
J'vais m'arrêter là pour cette partie, mais on pourrait continuer
encore..
Ensuite,
- Pour les problèmes liés à ton école / ton système
2A:3A:césure:stagedefind'étude patincouffin, j'en sais rien. Faudra,
comme les autres élèves, passer quelques heures au service scola pour
en discuter, clarifier, étaler les possibilités, les concessions que
toi et eux seront prêts à faire.
- Oui, si tu veux travailler chez Mitsubishi à Kanagawa, cette
expérience est "indispensable". (genre méga-préférable).
Si tu veux travailler chez Sony Europe, tout le monde s'en fout, le
siège n'a aucune attache japonaise. (Ils n'enlèvent même pas leurs
chaussures, c'est te dire ! :) )
- Sortir de France, découvrir la culture toussa, oui, d'accord. Mais en
4 mois de stage, c'est bien aussi, et ça coupe pas tout. Par contre, si
tu veux essayer une thèse au Japon après, par exemple, y faire un
double-diplôme serait important. Mais à partir du moment ou tu as des
objectifs professionnels différents, faut essayer de faire des choix
cohérents. 2 ans ici, pour bosser chez Nikon France, ça n'apporte rien.
Autant faire un stage, ça te laissera plus de temps pour faire du
tourisme. Le stage sera valorisé aux yeux d'un français, justement
puisque t'es sorti de ton cocon.
J'vais m'arrêter là, ça fait déjà du bon pavé..
Lycée Masséna (Pcsi-PC*) -- École polytechnique (X15) -- PhD Student
(Japon, Astrophysique) -- Ingé (spatial)
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Helserdin
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Re: De l'intérêt du double-diplôme ?
Message par Helserdin » 06 janv. 2019 13:50
Juste pour clarifier : puisqu'il s'agit probablement de l'École des
mines (école de rang A+ qui ne laisse pas faire sa 3A à l'étranger y en
a pas des masses, et tout le reste colle), il s'agit bien d'un semestre
d'échange. Très concrètement, le cursus aux Mines c'est 1A en tronc
commun (S1 et S2), puis S3 recherche avec projet en labo OU S3
académique OU S3 Étranger (académique ou recherche) dans une université
étrangère. Le S4 se fait à la Mine, il y a un stage tehnicien à la fin
je crois, comme dans toute école d'ingé. Il y a ensuite une césure pour
95% des élèves. Cette césure est consacrée à 2 stages ou alors à un
double-diplôme (étranger souvent). Le double-diplôme peut prendre en
compte les cours pris en S3 Étranger. À la fin de la 3A, (en Janvier
environ), c'est le PFE, projet de fin d'étude, stage dans une
entreprise, souvent de pré-embauche.
Donc là je pense qu'on parle d'un S3 au Japon en échange,
éventuellement pris en compte dans le cadre d'une césure diplômante.
Pas de souci d'incorporation dans le cursus donc. Et à mon avis
Archibalde apprend le Japonais aux Mines.
MP
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father
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Re: De l'intérêt du double-diplôme ?
Message par father » 06 janv. 2019 15:58
On y voit plus clair. La cesure permettra t elle la double diplomation
au japon ? Cela reste a prouver.
Accessoirement, on peut s etonner que ton collègue vienne sur ce forum
pour obtenir des info que votre école devrait pouvoir lui fournir...
Mais cela reste intéressant.
Vous pouvez acceder au mva en 3a ?
Cela remplace mareva ou cela complète ?
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Helserdin
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Re: De l'intérêt du double-diplôme ?
Message par Helserdin » 06 janv. 2019 18:17
father a écrit : ↑
06 janv. 2019 15:58
On y voit plus clair. La cesure permettra t elle la double diplomation
au japon ? Cela reste a prouver.
Accessoirement, on peut s etonner que ton collègue vienne sur ce forum
pour obtenir des info que votre école devrait pouvoir lui fournir...
Mais cela reste intéressant.
Vous pouvez acceder au mva en 3a ?
Cela remplace mareva ou cela complète ?
Ça complète a priori. Après les premiers mois aux Mines sont très
denses; c'est difficile d'y voir clair sur les possibilités offertes et
pour être honnête c'est un peu délicat de demander aux 2A ce qu'il est
possible de faire. La DE est très disponible, mais c'est un peu
compliqué aussi s'il faut demander un rendez-vous pour avoir toutes les
informations. Ça marche par amphi d'information avant les échéances
(genre le S3E on a eu les infos fin Novembre je crois). Et oui le MVA
est accessible en 3A je crois (et au pire ça se négocie)... Ça complète
probablement.
MP
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Archibalde
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Re: De l'intérêt du double-diplôme ?
Message par Archibalde » 07 janv. 2019 01:29
Merci pour vos réponses !
Hibiscus a écrit : ↑
06 janv. 2019 05:29
- Les cours seront de moins bonne quantité (un peu qualité, si tu es
dans une grande école) au Japon, ou le but d'un master est de préparer
les élèves à rentrer en doctorat. Au même titre, le premier et dernier
lien, le g30&ist, sont à ma connaissance des programmes qui te
recommandent fortement/obligent d'aller en thèse après. (notamment en
terme d'engagement de financement et autres.) Ces derniers sont parfois
difficiles à obtenir. (GRE Subject..)
Effectivement j'ai constaté que la plupart des programmes de masters
poussaient à faire une thèse dans le même programme ("integrated
doctoral program"). C'est la première fois que je vois ça et j'en suis
assez surpris. Est-ce que ça veut dire que les étudiants japonais en
ingénieurie / maths app font généralement une thèse, et qu'il est peu
commun de s'arrêter après bachelor + master ?
Une curiosité sur cette question de la thèse est qu'elle a l'air
payante (admission&tuition fees), et pas rien : par exemple 282,000 yen
d'admission + 635,400 yen par an à TokyoTech (pour les programmes en
japonais). En France c'est l'inverse, j'ai cru comprendre que des
rémunérations existaient via les thèses CIFRE. Pas évident donc
d'envisager un programme type master + thèse au Japon sans garantie de
bourse... Enfin c'est au delà de mes moyens financiers et de ceux de
mes parents, en tout cas, mais y a l'air pas mal de possibilité de
bourses. Et surtout, puisque je suis plus dans une optique de tâter le
terrain pour le moment, je me vois mal le faire.
Father parlait de cotutelle, qu'est-ce que cela change ?
Hibiscus a écrit : ↑
06 janv. 2019 05:29
- Tu as la possibilité de faire une période (6 mois en général) qui ne
te rapporte pas de crédits, un peu comme un stage de recherche, mais
avec accréditation universitaire, et c'est une solution qui est souvent
préférable à faire un Master. Notamment à cause de cette rentrée en
Octobre, la plupart des gens finissent par "perdre un an". (ce qui
correspond aussi à passer un an à revoir les mêmes notions, mais à
apprendre le vocabulaire scientifique japonais, ce qui n'est pas un mal
quand on veut rester longtemps, mais dans ton cas....). C'est cette
redondance que les élèves choisissent souvent, même si tu la crains un
peu. C'est pas une mauvaise chose d'avoir un deuxième master dans la
même discipline, si tous les cours sont en japonais, par exemple.
Ayant commencé le japonais cette année, ça me semble difficile... Je
pense effectivement que les 6 mois dont tu parles c'est ce qu'on peut
Hibiscus a écrit : ↑
06 janv. 2019 05:29
Mais à partir du moment ou tu as des objectifs professionnels
différents, faut essayer de faire des choix cohérents.
TL;DR : Si je veux bosser en France mieux vaut faire des stages, si
l'envie me prend de bosser au Japon (avec éventuellement une thèse en
vue), mieux vaut faire un DD/master ?
father a écrit : ↑
06 janv. 2019 15:58
On y voit plus clair. La cesure permettra t elle la double diplomation
au japon ? Cela reste a prouver.
Accessoirement, on peut s etonner que ton collègue vienne sur ce forum
pour obtenir des info que votre école devrait pouvoir lui fournir...
Pour en avoir discuté avec la responsable des échanges académiques,
cela ne s'est encore jamais fait mais l'école encouragerait. Reste à
savoir si les universités seraient prêtes à ce que je fasse ça en 1 an
et demi au lieu de 2, et en plus en découpant en un semestre de 2A, et
un an césure... Ce qui est à mon avis très très loin d'être gagné. Et
effectivement je ferai bien d'aller voir le DE pour lui demander ce
qu'il en pense.
Le MVA complète effectivement MAREVA, avec décharge de cours des deux
côtés. D'après mes sources ce n'est pas une partie de plaisir de suivre
les deux cursus en parallèle (et j'imagine pas ce que ça va être avec
le déménagement de Cachan sur le plateau...).
Merci !
(Edit : Réponse de TokyoTech quant à la possibilité de comptabiliser
les crédits d'un échange non-diplômant en tant que crédits diplômants
(pour éviter de faire 2 ans derrière) : non, quoique la personne avant
m'avait dit oui mais pas sûr... En soi assez logique. Du coup ça me
semble très compliqué dans mon cas, car il faudrait que je trouve un
programme commençant en avril 2019 (2ème semestre de 2A, où on est
aussi autorisé à partir des Mines).)
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Hibiscus
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Classe : Bac a fleurs
Message par Hibiscus » 07 janv. 2019 03:25
Archibalde a écrit : ↑
07 janv. 2019 01:29
Effectivement j'ai constaté que la plupart des programmes de masters
poussaient à faire une thèse dans le même programme ("integrated
doctoral program"). C'est la première fois que je vois ça et j'en suis
assez surpris. Est-ce que ça veut dire que les étudiants japonais en
ingénieurie / maths app font généralement une thèse, et qu'il est peu
commun de s'arrêter après bachelor + master ?
Une curiosité sur cette question de la thèse est qu'elle a l'air
payante (admission&tuition fees), et pas rien : par exemple 282,000 yen
d'admission + 635,400 yen par an
Alors. Non, pas les japonais.
Par contre, les gens qui veulent commencer une thèse sont encouragés à
obtenir ce qu'on appelle le DC1 (grant, beaucoup de sous), venant de la
JSPS, l' "Académie des sciences". (difficile de trouver un équivalent).
Il est donc très facile pour un étranger de continuer en thèse après
son master. La politique d'immigration actuelle soutient aussi ça,
ouverture machintoussa.
Les frais d'admission & de scolarité sont quasi identiques dans toutes
les écoles, puisque fixés par le Ministère (MexT). Au passage, ça fait
2000+6000€, ça reste faible par rapport à l'anglosaxon.
Si tu obtiens une recommandation de ton ambassade, ou de l'université,
tu ne les payeras pas.
Si tu obtiens notamment le support MexT pour un kenkyuusei, étudiant de
recherche (6 mois, typiquement), tu ne les payes pas non plus, et tu
recevras aussi une aide financière. Existent également beaucoup de
bourses (Jasso, etc..), et la possibilité facile d'être TA/RA quand on
est un étranger sympa. (A noter qu'un niveau, disons.. N4-N3 de
japonais serait recommandé pour ça).
Archibalde a écrit : ↑
07 janv. 2019 01:29
Father parlait de cotutelle, qu'est-ce que cela change ?
Ici, ya très peu de cotutelle de la part d'entreprises, pour les
thèses. Mais beaucoup de financements existent, donc c'est rarement un
problème.
Archibalde a écrit : ↑
07 janv. 2019 01:29
TL;DR : Si je veux bosser en France mieux vaut faire des stages, si
l'envie me prend de bosser au Japon (avec éventuellement une thèse en
vue), mieux vaut faire un DD/master ?
C'est un peu ça.
Même si les court-circuits peuvent être discutables, et tu trouveras
toujours quelqu'un pour dire "moi, j'ai fait ça, et ça m'a servi".
Une thèse au Japon pour postuler en France comme ap, c'est pas
"logique", surtout vu le peu de places selon les secteurs.
Pour cette histoire de double-diplômes, je connais pas bien TokyoTech,
mais je sais que d'une manière générale, le côté Japonais est réticent
à faire de nouveaux accords diplômants, à cause de la politique de
financement.
Une partie des cursus/diplômes est financé par un ministère, l'autre
part l'université. Les nouveaux cursus sont quasi-exclusivement suite à
décision ministèrielle, pas universitaire.
Les conventions de stage, et les MO existent par contre en pagaille,
notamment pour les périodes/stages de 6 mois. (ce qui permet,
rémunération,logement au sein de l'université..)
Faut bien comprendre que sur ton visa, il sera toujours mieux d'être
rattaché Ministère (ou Université) que "touriste longue-durée"
(assurances, louer un appartement, n'importe quelle procédure
administrative, etc..). Je caricature, mais tu n'aurais pas un visa de
travail, et pas un visa "étudiant", dans certains cas. Donc "créer" des
double-diplômes, changer les années, toussa, c'est souvent très
difficile.
Dans mon cas, par exemple, j'ai obtenu des droits de séjour random 6
mois pour le stage de M1, puis 2 ans pour M2 - thèse (ce qu'il faudra
renouveler)..
Si c'était pour une formation "nouvelle", avec des années qui coupent,
ya des problèmes de financement, de visa, et d'autres à toutes
échelles.
Lycée Masséna (Pcsi-PC*) -- École polytechnique (X15) -- PhD Student
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Topic de CompteSuspendu :
Les sans DIPLOME du forum vous faites quoi comme métier ?
Avatar de GangeOuvreToi
GangeOuvreToi
2 mai 2021, 18:42:06
"0 diplôme" :)
"métier" :)
Rêve pas t'auras que des gagne-pain
Avatar de secteurzone2
secteurzone2
2 mai 2021, 18:42:23
Le 02 mai 2021 à 18:41:14 :
Le 02 mai 2021 à 18:39:23 :
Le 02 mai 2021 à 18:33:16 :
Le 02 mai 2021 à 18:32:36 :
avec l'expérience je suis devenu superviseur
Faites des études qu'ils disent
Superviseur ?
je suis télétravail toute l'année, et de temps en temps je me rend
sur site pour voir l'avancement des travaux de mes équipes. On
installe des éoliennes
Tu as fait comment pour monter sans diplome ? Piston ?
Khey monter sans diplome cest pas compliqué , tu taff , tu provoques
les opportunités et eventuellement tu ments sur ton CV , si a 30ans ton
boss voit que tas mis qu'a 18 21ans t'as fait un bac+3 il va pas
vérifier , tant que tes compétant dans le domaine requis.
Avatar de Clank-77
Clank-77
2 mai 2021, 18:42:26
Chirurgien orthopédiste
Avatar de Malleole
Malleole
2 mai 2021, 18:42:53
Je m'étais lancé dans chaturbate mais j'ai une p'tite bite alors zéro
token du coup :(
Avatar de CompteSuspendu
CompteSuspendu
2 mai 2021, 18:43:10
Le 02 mai 2021 à 18:41:25 :
Le 02 mai 2021 à 18:37:58 CompteSuspendu a écrit :
Le 02 mai 2021 à 18:36:29 :
garantie jeune de la mission local actuellement
C'est comment ?
Ils ont diminué les heures de 7h à 2h30-3h par jour et en plus c'est
tout le mois en visio donc pas besoin de ce déplacé, donc je suis
plutôt bien tombé
à voir si je trouve un boulot ou formation grâce à eux mais au moins
j'aurais 500€ par mois en attendant
Tu fais quoi pendant les réunions ?
Avatar de capphaitien
capphaitien
2 mai 2021, 18:43:15
Le 02 mai 2021 à 18:41:02 :
Le 02 mai 2021 à 18:40:16 :
Le 02 mai 2021 à 18:38:16 :
Livreur en camionette
Trop de pression livreur quand je vois comment ils roulent :pf:
j'espère que pour toi ça va :hap:
Normal , chez UPS / DPD etc. cest 150 colis par tournée , moi cest
40 - 50 stops max sur un shift de 5 a 9H , donc autant te dire que
cest tranquille , je dois prendre des pauses souvent durant la
journée car je suis trop tot chez les clients :rire:
J'aimerais un taf du genre
t'es chez qui :(
Avatar de KheyEnLexusRX
KheyEnLexusRX
2 mai 2021, 18:44:20
[18:39:07]
Le 02 mai 2021 à 18:37:32 :
[18:34:13]
Le 02 mai 2021 à 18:33:12 :
[18:32:58]
Le 02 mai 2021 à 18:32:11 :
:hap:
oui ? je t'écoute mon khey :)
Je fais du chômage
Ahi bah ça va c'est que tu as travaillé avant et que tu touches de
l'argent en étant à la maison :oui:
Ouais enfin j'étais éboueur et la j'ai fait une reconversion pro
pour être chauffeur poids lourds mais a cause du covid j'ai mis 8
mois a valider le super lourds
Et la j'ai pas envie de chercher du taf parce que je pars en
vacances la semaine pro
On verra dans 2 semaines
C'est pole emploi qui t'a payer le permis ?
Fongecif m'a payé un titre pro, en gros ils m'ont payé permis C + FIMO
par le CPF
En gros y'en avait a peu près pour 8,5k€ de formation qui me sont
revenues a 2,2k€
Avatar de CompteSuspendu
CompteSuspendu
2 mai 2021, 18:44:35
Le 02 mai 2021 à 18:42:06 :
"0 diplôme" :)
"métier" :)
Rêve pas t'auras que des gagne-pain
C'est ce que je vois sur les sites d'annonce d'emploi :-(
quand je vois ça je préfère rester 0 tout au moins j'ai pas de stress
lié à ce que je n'aime pas :(
Avatar de ShootyBoo
ShootyBoo
2 mai 2021, 18:44:40
Le 02 mai 2021 à 18:41:14 :
Le 02 mai 2021 à 18:39:23 :
Le 02 mai 2021 à 18:33:16 :
Le 02 mai 2021 à 18:32:36 :
avec l'expérience je suis devenu superviseur
Faites des études qu'ils disent
Superviseur ?
je suis télétravail toute l'année, et de temps en temps je me rend
sur site pour voir l'avancement des travaux de mes équipes. On
installe des éoliennes
Tu as fait comment pour monter sans diplome ? Piston ?
non, j'ai commencé en bas de l'échelle dans le ferroviaire, et ensuite
quand je suis arrivé manager, j'ai changer de boite car les postes de
gestions après sont possible dans toutes les grosses boites
Avatar de spookypen
spookypen
2 mai 2021, 18:45:05
Lead dev en freelance; je tape 7k/mois environ (30ans)
J'ai fais des études d"infos mais j'ai drop sans finir la 2eme année
(sur 5) + redoublé la 2eme; je suis parti avec 30k de dettes :oui: à 25
ans j'étais au fond du trou
J'ai pris sur moi; j'ai fais des taffs au smics; puis avec mon CPF
formation pole emploie en JAVA; puis ssii pour 2k3; j'ai vite pigé la
valeur des informaticiens et j'ai toujours poussé au max mon salaire en
profitant de la pénurie de devs; on m'a jamais fait chier pour mon
abscence de diplômes.
Le plus gros up de salaire ça a clairement été le passage en
indépendant; pas de retour au CDI possible depuis :oui:
Avatar de sreud
sreud
2 mai 2021, 18:45:09
Manuel central nucléaire j’ai fais policier aussi
Avatar de CompteSuspendu
CompteSuspendu
2 mai 2021, 18:46:24
Le 02 mai 2021 à 18:44:20 :
[18:39:07]
Le 02 mai 2021 à 18:37:32 :
[18:34:13]
Le 02 mai 2021 à 18:33:12 :
[18:32:58]
Le 02 mai 2021 à 18:32:11 :
:hap:
oui ? je t'écoute mon khey :)
Je fais du chômage
Ahi bah ça va c'est que tu as travaillé avant et que tu touches de
l'argent en étant à la maison :oui:
Ouais enfin j'étais éboueur et la j'ai fait une reconversion pro
pour être chauffeur poids lourds mais a cause du covid j'ai mis 8
mois a valider le super lourds
Et la j'ai pas envie de chercher du taf parce que je pars en
vacances la semaine pro
On verra dans 2 semaines
C'est pole emploi qui t'a payer le permis ?
Fongecif m'a payé un titre pro, en gros ils m'ont payé permis C +
FIMO + ADR, ensuite j'ai payé le permis CE de moi même avec la
moitié payée par le CPF
En gros y'en avait a peu près pour 8,5k€ de formation qui me sont
revenues a 2,2k€
Mais vous faites comment pour être au courant de tout ça ?
Le seul rendeez vous que j'ai eu avec ma conseillère c'est résumé à "il
faut chercher du travaille et diversifie tes recherches"
Avatar de CompteSuspendu
CompteSuspendu
2 mai 2021, 18:47:29
Le 02 mai 2021 à 18:44:40 :
Le 02 mai 2021 à 18:41:14 :
Le 02 mai 2021 à 18:39:23 :
Le 02 mai 2021 à 18:33:16 :
Le 02 mai 2021 à 18:32:36 :
avec l'expérience je suis devenu superviseur
Faites des études qu'ils disent
Superviseur ?
je suis télétravail toute l'année, et de temps en temps je me rend
sur site pour voir l'avancement des travaux de mes équipes. On
installe des éoliennes
Tu as fait comment pour monter sans diplome ? Piston ?
non, j'ai commencé en bas de l'échelle dans le ferroviaire, et
ensuite quand je suis arrivé manager, j'ai changer de boite car les
postes de gestions après sont possible dans toutes les grosses
boites
Tu faisais quoi dans le ferroviaire ?
Avatar de secteurzone2
secteurzone2
2 mai 2021, 18:48:29
Le 02 mai 2021 à 18:44:35 :
Le 02 mai 2021 à 18:42:06 :
"0 diplôme" :)
"métier" :)
Rêve pas t'auras que des gagne-pain
C'est ce que je vois sur les sites d'annonce d'emploi :-(
quand je vois ça je préfère rester 0 tout au moins j'ai pas de
stress lié à ce que je n'aime pas :(
Cest ce que je disais avant et je restais chez moi tous les jours a
rien branler.
Mais si tu fous rien de ta vie , ni étude ni taff " d'esclave "
t'avanceras jamais khey , et un jour tu vas te reveiller. Surement sera
t il trop tard...
Des métiers d'esclaves planquer y'en a plein , suffit de les trouvé. Ca
sera peut etre pas la planque ultime mais suffit d'avoir de la
gratitude !
Avatar de CompteSuspendu
CompteSuspendu
2 mai 2021, 18:48:36
Le 02 mai 2021 à 18:45:05 :
Lead dev en freelance; je tape 7k/mois environ (30ans)
J'ai fais des études d"infos mais j'ai drop sans finir la 2eme année
(sur 5) + redoublé la 2eme; je suis parti avec 30k de dettes :oui: à
25 ans j'étais au fond du trou
J'ai pris sur moi; j'ai fais des taffs au smics; puis avec mon CPF
formation pole emploie en JAVA; puis ssii pour 2k3; j'ai vite pigé
la valeur des informaticiens et j'ai toujours poussé au max mon
salaire en profitant de la pénurie de devs; on m'a jamais fait chier
pour mon abscence de diplômes.
Le plus gros up de salaire ça a clairement été le passage en
indépendant; pas de retour au CDI possible depuis :oui:
Bien joué :oui:
Avatar de branlux03
branlux03
2 mai 2021, 18:48:59
streup.gif NE RATEZ PAS LE TRAIN BORDEL
streup.gif
explosion du dogecoin prévue pour ce 8 mai
le tweet d'elon musk :
meilleure plateforme pour buy :
s'inscrivant avec ce lien)
ne ratez pas le train une 3 ème fois les clés
Avatar de tIemcenent
tIemcenent
2 mai 2021, 18:49:00
électricien
Avatar de Nasi_33
Nasi_33
2 mai 2021, 18:49:59
vacher
Avatar de schlieper
schlieper
2 mai 2021, 18:50:09
Pour le coup la restauration ça peut être très dur mais l'évolution
peut être très rapide aussi, quand j'avais 20 ans j'étais manager à
2000e sans diplome ni piston
La grande distrib, les chaines de resto ou magasin, l'évolution est
lente et casse couille, alors qu'une petite boite ça va vite
Bref mon conseil quand tu es sans diplome, cherche une boite où tu peux
évoluer vite, ça sert à rien de gâcher des années pour rester au même
poste, t'as rien à perdre donc évolue ou change :ok:
Avatar de CompteSuspendu
CompteSuspendu
2 mai 2021, 18:50:39
Le 02 mai 2021 à 18:48:29 :
Le 02 mai 2021 à 18:44:35 :
Le 02 mai 2021 à 18:42:06 :
"0 diplôme" :)
"métier" :)
Rêve pas t'auras que des gagne-pain
C'est ce que je vois sur les sites d'annonce d'emploi :-(
quand je vois ça je préfère rester 0 tout au moins j'ai pas de
stress lié à ce que je n'aime pas :(
Cest ce que je disais avant et je restais chez moi tous les jours a
rien branler.
Mais si tu fous rien de ta vie , ni étude ni taff " d'esclave "
t'avanceras jamais khey , et un jour tu vas te reveiller. Surement
sera t il trop tard...
Des métiers d'esclaves planquer y'en a plein , suffit de les trouvé.
Ca sera peut etre pas la planque ultime mais suffit d'avoir de la
gratitude !
Je sais que tu as raison mais j'ai du mal à me motiver.
J'ai quand même travaillé pendant 8 ans mais depuis le covid j'ai tout
perdu je devais faire une formation pour me réorienté et elle a été
annulé depuis je sais plus quoi faire complètement perdu :-(
Données du topic
Auteur
CompteSuspendu
Date de création
2 mai 2021, 18:30:28
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Organiser un forum pour l’emploi des jeunes diplômé⋅e⋅s
Fiche pratique
Vous finissez bientôt vos études et votre insertion professionnelle
vous préoccupe. Vous et votre association êtes fermement décidés à
organiser un forum pour l’emploi afin d’anticiper votre entrée sur le
marché du travail. Vous avez déjà créé votre réseau d’ancien⋅ne⋅s
étudiant⋅e⋅s et vous souhaitez maintenant organiser un forum pour
l’emploi. Sachez que cela est à la portée de toutes les associations
étudiantes. L’université peut en effet se révéler un terrain très
propice à ces manifestations. Il suffit d’un peu de motivation et de la
méthode. Voici ici quelques conseils pour vous aider à organiser un
forum pour l’emploi des jeunes diplômé⋅e⋅s.
Définir les contours du forum
Avant de vous lancer dans un forum pour l’emploi, il vous faudra au
préalable répondre à quelques questions.
DÉFINIR LE PUBLIC CIBLE
Votre forum ne pourra probablement pas s’adresser à tout votre campus.
D’abord, parce qu’il ne sera pas forcément pertinent pour des
étudiant⋅e⋅s en L1 ou en L2 qui commencent tout juste leurs études qui
ne soucient donc pas encore nécessairement de leur entrée sur le marché
du travail.. Ensuite peut-être aussi qu’au regard du nombre de
formations différentes proposées dans votre établissement, il sera
difficile d’intéresser tout le monde.
Ainsi, votre sélection s’orientera probablement plus vers les
étudiant⋅e⋅s en fin d’études. Ce seront donc les étudiant⋅e⋅s en
master, doctorat, ou en licence professionnelle. Ensuite, si les
filières sont nombreuses, on vous conseille d’orienter votre forum sur
celles qui se rapprochent de la vôtre ou celles de votre équipe, car
l’organisation pourra être facilitée par votre connaissance préalable
du milieu. En effet, vous saurez plus naturellement vers qui vous
orientez et vous connaîtrez mieux les acteur⋅rice⋅s de l’emploi dans
votre filière.
DÉFINIR LA DATE
Si le mois de mars est le habituel pour les forum organisés dans les
grandes écoles, le mois d’octobre peut être un bon moment pour votre
université. Pourquoi ? Car les diplômé⋅e⋅s de l’année précédente, qui
ont fini soit autour de juin, soit en septembre, n’ont pas forcément
trouvé une embauche dès la fin de leurs études. En effet, les jeunes
diplômé⋅e⋅s passent souvent cette période à finir leur stage de fin
d’études ou leur mémoire et n’ont donc pas nécessairement le temps de
rechercher un emploi. C’est pourquoi un forum pour l’emploi peut être
pertinent durant l’automne. Vous pouvez aussi en organiser en
mars-avril pour les personnes qui anticipent à cette période leur
avenir professionnel. Attention cependant à vous tenir au courant des
forums déjà programmés, afin de ne pas vous trouver en concurrence avec
un établissement qui risque de vous « piquer » des sociétés s’il a plus
de renommée.
OPTER POUR UN FORUM POUR L’EMPLOI
Plus les matières et cursus de votre établissement sont multiples, plus
vous gagnerez à ne pas focaliser votre événement uniquement sur
l’embauche mais véritablement sur l’emploi.
Qu’est-ce que cela change ?
Un forum dédié à l’embauche consiste à inviter des entreprises ou des
structures qui recrutement immédiatement ou très prochainement que
rencontrent des jeunes diplômé⋅e⋅s prêt⋅e⋅s à travailler.
Un forum pour l’emploi quant à lui permet de viser des personnes encore
en études, et qui s’interrogent sur leur avenir professionnel et les
choix de carrières qui s’imposeront à elles à la sortie des études.
Ainsi, dans un forum pour l’emploi, vous pouvez aussi programmer des
tables rondes, des rencontres, des ateliers qui permettront de faire
rencontrer des professionnel⋅le⋅s, des jeunes diplômé⋅e⋅s et des
étudiant⋅e⋅s prochainement diplômé⋅e⋅s au sein du forum. Ils
permettront, par exemple, la mise en relation entre un⋅e étudiant⋅e qui
ne sait pas trop où aller mais a des compétences, et un⋅e recruteur⋅se
qui ne sait pas que tel diplôme mène à telles compétences.
Une table ronde sur les carrières de la communication sera ainsi à même
d’intéresser philosophes, sociologues, historiens…
Plus votre établissement sera pluridisciplinaire, plus il sera
difficile de cerner toutes les débouchés professionnelles.
Votre forum devra donc également permettre aux étudiant⋅e⋅s de
s’informer sur les métiers qui peuvent s’offrir à eux. Prévoyez donc
des stands d’un côté, mais également des tables rondes et ateliers pour
vos actions d’orientation.
Penser aux multiples structures actrices pour l'emploi
Une fois votre idée en tête, commencez par rendre visite aux différents
acteur⋅rice⋅s de l’emploi proches de vous, présentez leur votre projet
et restez attentif⋅ve⋅s à leurs retours.
En effet, si vous le faites dans un premier temps par politesse, ces
rencontres vous permettront également de voir les actions qu’il est
possible de développer ensemble et d’agir là où ces acteur⋅rice⋅s sont
peu présent⋅e⋅s. Enfin, les personnes rencontrées pourront peut-être
vous ouvrir quelques portes et vous mettre en contact avec structures
qui peuvent vous intéresser.
Pour trouver des participant⋅e⋅s, plusieurs structures peuvent vous
aider : l’université, les entreprises, les institutions et le secteur
associatif.
Au-delà du personnel administratif, vos enseignant⋅e⋅s peuvent
également jouer les intermédiaires. Ciblez en premier lieu les
intervenant⋅e⋅s professionnel⋅le⋅s, mais ne négligez pas pour autant
les enseignant⋅e⋅s-chercheur⋅se⋅s qui peuvent également avoir un réseau
bien fourni. Il peut être délicat pour eux⋅elles de communiquer leur
carnet d’adresses, mais avec de bons arguments, vous pouvez tout à fait
les convaincre de faire un petit geste en faveur de votre projet.
N’hésitez donc pas à les solliciter, sans pour autant en faire trop.
LES ENTREPRISES
Pour cibler les entreprises, il peut peut être judicieux de travailler
avec la Chambre de commerce et d’industrie (CCI ) de votre région. Si
votre établissement est orienté sciences humaines et sociales par
exemple, plutôt que les grands groupes industriels, invitez des
structures peu habituées à promouvoir leurs domaines : les PME, les
associations, les entreprises mécènes pour les formations beaux-arts…
Autre astuce importante : sachez écouter les entreprises. Un petit
questionnaire en amont vous permettra de mieux adapter votre forum à
leur demande.
LES INSTITUTIONS
Commencez par les grands classiques : Pôle emploi et l’Apec sont LES
acteurs incontournables de l’insertion professionnelle. Cependant, ne
négligez pas pour autant d’autres structures, plus petites, mais tout
aussi pertinentes : maisons de l’emploi, missions locales, services vie
économique de votre municipalité…
LES ACTEUR⋅RICE⋅S ASSOCIATIF⋅VE⋅S DE L’ACCOMPAGNEMENT À L’EMPLOI
L’AFIJ et l’association Bernard Grégory se sont spécialisées dans
l’aide à l’insertion professionnelle des jeunes diplômés et sont
présentes au niveau national. D’autres structures plus localisées
existent probablement dans votre région, comme par exemple
l’association Un parrain, un emploi en Loire Atlantique. À vous
d’effectuer un petit travail prospectif afin de les identifier.
Ensuite, nul doute que votre initiative trouvera un écho pertinent
auprès de ces acteurs, qui pourront vous fournir de précieux conseils
et, qui sait, peut-être vous ouvrir les pages de leur carnet
d’adresses…
Organiser le forum
IMPLIQUER LES ÉTUDIANT⋅E⋅S
La préparation d’un forum est avant tout une question d’organisation,
en particulier au sein de votre équipe. Il n’est pas toujours facile de
la motiver, surtout quand l’événement est dans un futur plutôt
éloigné.
Il est donc nécessaire pour vous de bien penser à tout le travail à
effectuer en amont (annuaire des CV,, démarchage des
professionnel⋅le⋅s, communication, etc.) et ainsi à mobiliser au plus
tôt les autres étudiant⋅e⋅s. Vous aurez besoin de monde en amont pour
la préparation et l’organisation mais également le jour J pour
accueillir et être référent⋅e⋅s lors du forum. Ainsi, vous concentrez
les efforts sur le long terme et non pas seulement sur le Jour J, et
vous entretenez la motivation de votre équipe.
Anticipez votre première réunion d’organisation et de constitution
d’une équipe plusieurs mois à l’avance, et à l’approche du forum
essayez de remobiliser quelques semaines voire un mois avant pour vous
aider à mettre en oeuvre le forum et accueillir les participant⋅e⋅s.
TROUVER LE LIEU
Le choix de votre lieu va vous permettre de déterminer les dates
potentielles de tenue de votre forum, qui dépendront de la
disponibilité de la salle.
Si votre fac peut accueillir votre forum dans ses locaux, c’est
l’idéal. Vous pouvez par exemple envisager le hall ou le parvis de
votre campus afin d’être dans un lieu de passage obligé et ainsi être
visible.
Sinon, il vous faudra trouver un partenariat. La mairie est une bonne
solution : toute mairie possède des salles destinées à accueillir
divers événements et vous fera bénéficier de la présence des
entreprises de la ville. Même si la salle est gratuite, n’oubliez pas
les frais annexes : qui va payer le nettoyage, l’assurance, les vigiles
? Ne négligez pas non plus certains détails, qui n’en seront plus si
vous les oubliez… Fautil la présence d’un service de la Croix Rouge ? Y
a-t-il une connexion Internet, téléphone ? La salle est-elle meublée ou
faut-il louer du mobilier ? Est-elle assez grande ? Y a-t-il de quoi se
garer facilement à l’extérieur ?
Essayez de bien lister toutes les choses nécessaires en termes de
mobilier et d’équipement, afin de ne rien oublier le jour J. Rien ne
vous empêche d’ailleurs d’aller jeter un coup d’oeil dans d’autres
forums pour anticiper les besoins.
Trouver des partenaires
PROSPECTER
Vient le moment de prospecter les sociétés et les professionnel⋅le⋅s :
si vous vous lancez dans votre premier forum, le travail pourra être
conséquent. Toutefois, un peu d’organisation pourra vous aider à gagner
du temps : commencez par prospecter au sein de vos réseaux. Toute votre
équipe a sûrement des contacts dont elle peut faire profiter :
ancien⋅ne⋅s structures de stage, contacts dans les associations ou les
professionnel⋅le⋅s intervenant dans leur cursus, etc. Une fois un
premier tour fait dans votre réseau, celui-ci pourra en parler autour
de lui. Ensuite, vous pourrez prospecter grâce aux réseaux tels que
LinkedIn, etc. Enfin, n’oubliez pas que vous organisez un forum pour
l’emploi et non pas pour l’embauche. Ainsi, pensez à solliciter des
intervenantes pour vos différents ateliers, tables-rondes et
conférences.
Si vous n’en êtes plus à votre coup d’essai, il s’agit de faire venir
au moins vos partenaires des années passées. Vous avez pour cela tout
intérêt à conserver de très bons contacts tout au long de l’année :
envoyez des questionnaires de satisfaction après le forum, une carte de
voeux pour la nouvelle année, tenez à jour les contacts de votre base
de données…
N’oubliez pas que pour pouvoir inviter les sociétés, il faut que les
tarifs, la date et le lieu de votre événement soient fixés. Vous devez
donc commencer ce travail après avoir choisi votre salle, et déterminer
ainsi votre budget et la date exacte de tenue de votre forum.
FINANCER SON FORUM
Ayez en tête que les forums peuvent à la fois être organisés avec des
petits mais aussi des gros budgets. Par exemple, les forums organisés
par la mission université-entreprises de Paris 1, par Dauphine ou par
Sciences-Po sont facturés plus de 1000 € par jour aux entreprises qui
souhaitent recruter… Bien entendu rien ne vous empêche de faire un
forum à petits moyens, qui sera gratuit pour les entreprises et que
vous pourrez faire financer par l’université dans le cadre de
l’insertion professionnelle. Elle pourra également vous prêter le lieu
gratuitement.
Par ailleurs, pour les coûts annexes, vous pouvez envisager de faire
sponsoriser votre forum et obtenir des avantages en nature : pour le
café et les éventuels goodies : faites venir des sociétés de services
qui trouveront là un bon moyen de faire de la com’ facilement et seront
forcément intéressées par le nombre important d’étudiant⋅e⋅s que vous
mobiliserez.
Communiquer sur votre forum
La communication constitue l’un de vos gros points d’organisation. Vous
devez la préparer suffisamment en amont du forum pour être efficace.
Établissez toutes sortes de partenariats avec la presse, des sites web,
des radios… pour faire parler de votre projet à l’extérieur de
l’établissement. Construire un site web pour l’événement n’est pas non
plus à exclure.
Ne négligez pas les partenaires auprès desquel⋅le⋅s vous avez fait
votre « tour diplomatique » lors de la préparation de l’événement,
il⋅elle⋅s pourront relayer l’information au sein de leurs réseaux.
Enfin, n’oubliez pas non plus la communication à l’intérieur de la fac
organisatrice, en essayant d’impliquer au maximum les élèves et en les
informant des noms des sociétés participantes pour leur donner envie
d’être présent⋅e⋅s le jour J et de vous faire relayer par les services
de l’université.
Pour en savoir plus, consultez la fiche “Communiquer sur son évènement
auprès des médias et du public”
Accueillir le jour J
Le jour du forum, balisez l’itinéraire. Envoyez un plan précis aux
intervenant⋅e⋅s présent⋅e⋅s et fléchez aussi pour les étudiant⋅e⋅s.
N’oubliez pas de bien accueillir vos participant⋅e⋅, de même que
tou⋅te⋅s les partenaires qui vous auront rendu service pour monter le
projet. Assurez vous aussi de la présence de l’administration et des
enseignant⋅e⋅s. Enfin, le jour J, n’hésitez pas à prospecter les
étudiant⋅e⋅s de la tenu de votre forum et des éventuels ateliers,
tables-rondes et conférences.
Certaines associations n’en sont plus à leur coup d’essai en matière
d’organisation d’événements de grande ampleur. N’hésitez pas à
contacter ces associations qui, si elles ont leurs événements bien
rodés et bien à elles, pourront probablement vous donner des conseils
pratiques et astuces.
Aller plus loin
Si vous souhaitez aller plus loin, libre à vous d’inventer vos propres
variations au thème du forum en l’organisant autour d’une thématique,
par exemple celle du handicap. Vous pourrez alors bénéficier des
conseils d’Handisup et d’autres associations mobilisées sur cette
thématique et explorer ainsi l’insertion professionnelle pour les
personnes en situation de handicap.
Vous pouvez également choisir de cibler un type de recruteur⋅euse
spécifique, en consacrant par exemple votre forum à l’emploi dans les
collectivités territoriales.
Une fois encore, n’hésitez pas à prendre contact avec les associations
spécialisées et inventez un forum qui se démarque des autres, grâce au
choix d’une thématique « fil rouge ».
Au final, ces petits forums thématiques vous permettront de donner un
côté convivial à votre rencontre et favoriseront les contacts.
Intéressé⋅e⋅s par les mêmes thématiques, il leur sera d’autant plus
facile d’entrer en contact.
Sommaire
À propos
Fiche pratique publiée le 22 juin 2020
dans la thématique Insertion professionnelle
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selon les termes de la Licence Creative Commons Attribution - Partage
dans les Mêmes Conditions 4.0 International .
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Utilisateur anonyme - 19 juin 2014 à 21:32
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28 mai 2016
- 28 août 2014 à 14:47
Bonjour à tous,
J'aimerais des avis sur ma situation professionnelle. Je viens d'être
retenu pour un poste de conseiller digital. L'annonce stipulée "Bac+2 à
Bac+5". J'ai mis sur mon CV et j'ai confirmé en entretien que j'ai un
Master. En réalité je n'ai qu'un niveau licence et je suis actuellement
à distance des cours pour avoir un Master 2. L'entreprise me demande
une photocopie des diplômes avant de commencer. Je suis bien conscient
que c'est très bête ce que j'ai fais. J'ai voulu augmenter mes chances,
alors que j'avais déjà le niveau scolaire requis.
Aussi, je ne sais pas s'il est plus sage de refuser le poste en
trouvant un prétexte, ou dire la vérité à mon employeur ? Ma crainte
c'est qu'il me dise "On ne pourra pas vous faire confiance etc"
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20 juin 2014 à 07:05
Tu es seul à porter la responsabilité de tes actes.
Ne compte pas sur nous pour décider à ta place de l'attitude à adopter
maintenant.
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scaravenger
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20 juin 2014 à 08:32
Dis leurs que tu abandonnes sans leur fournir de motif.
Ce poste de conseiller digital est perdu pour toi.
Et tiens compte de tes erreurs pour les prochains CV.
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Utilisateur anonyme
19 juin 2014 à 22:03
Oui c'est de plus en plus ce que je me dis. Par contre je ne pense pas
que je dirais la vraie raison, ça me parait hasardeux. Encore que...
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Modifié par Obd2 le 19/06/2014 à 22:25
Bonsoir,vous êtes pas le premier ou le dernier à gonfler son CV...
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Utilisateur anonyme
19 juin 2014 à 22:36
Oui bien sur. S'ils découvrent la supercherie je ne pense pas qu'ils me
diront que je suis le premier à avoir fait ça, mais le résultat sera le
même : perte de l'emploi.
0
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Profil bloqué
20 juin 2014 à 08:19
Je n'approuve pas la triche,mais quand on voit ce qui demandé ou exigé
aux candidats dans les offres d'emploi faut pas s'étonner que certains
soient tentés de franchir la ligne blanche.
0
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Madame soleil
26 août 2014 à 17:04
Moi je dirais rien, mieux vaut te défiler en donnant une excuse
bidon...faux diplome egal a trois ans de prison...alors, ferme la et
dis leur que tes plus i terressé...
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26 août 2014 à 20:22
Sachez pour votre information que j'ai amis dans la gendarmerie et dans
la Justice.Si on devait mettre en prison ceux qui trafiquent des
diplômes,il faudrait doubler le nombre des prisons au minimum.Il faut
savoir être réaliste,ne traiter pas un sujet dont vous connaissez rien.
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Chris 94
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7 642 > Profil bloqué
27 août 2014 à 00:30
Bonsoir,
Une article intéressant sur les conséquences et les suites possibles :
v-mensongers-quelles-consequences-1001427.php
En particulier :
Le faux et l'usage de faux sont punis de trois ans d'emprisonnement
et de 45 000 euros d'amende (C. pén. art. 441-1, al. 2)
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Profil bloqué > Chris 94
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30 janvier 2021
Modifié par Obd2 le 27/08/2014 à 09:43
Bonjour,
Dans le monde de l'entreprise avant d'embaucher un candidat,il y a deux
jours d'essai.Si il n'est pas qualifié cela se verra très vite,vrais ou
faux diplômes.Les employeurs qui engagent des poursuites sont très
rares,car ils ont d'autres chats à fouetter avec la gestion d'une
entreprise et en particulier sur l'administratif.Le texte de loi sur le
faux et l'usage de faux est surtout appliqué sur les escroqueries.Vous
remarquerez que ce débat a été lancé par Madame Soleil,vu son niveau de
vocabulaire et d'orthographe,il est certain qu'il n'a aucun diplômes.Il
a perdu une bonne occasion de se taire.
0
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8 902 > Profil bloqué
28 août 2014 à 14:47
Bonjour
certain qu'il n'a aucun diplômes
Quand on se permet de critiquer quelqu'un sur son niveau
orthographique,on commence par balayer devant sa porte.
Vu qu'il n'a aucun diplôme le mot diplôme se doit d'être au singulier
0
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BloodyAngel
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19 juin 2014 à 21:37
Hello,
mieux vaut jouer la carte de l'honnêteté.
A tous les coups tu va perdres la place, mais de toutes façons si tu
baratines un prétexte tu vas la perdre aussi.
Essaie d'expliquer ce qui t'a motivé à mentir sur ton CV et essaie de
regagner leur confiance... Bon c'est pas gagné du tout et y'a beaucoup
de chances pour qu'ils ne te reprennent pas.
Mais au moins tu auras la conscience tranquille... ce qui ne sera pas
le cas si tu les baratinne encore plus ;)
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5. 27 ans, jamais travaillé, pas de diplôme
27 ans, jamais travaillé, pas de diplôme
121 réponses /
Dernier post : 19/06/2021 à 10:48
A
Ada63erh
01/07/2018 à 21:27
Bonjour,
J'ai 27 ans, je n'ai jamais travaillé parce que j'ai toujours repousser
à plus tard et peur du refus.
Je n'ai pas de diplôme parce que je n'ai jamais aimer l'école, pourtant
j'avais un bon niveau.
Est ce possible de trouver du travail sans expérience et sans diplome ?
Ayant arrêter l'école il y a une dizaine d'années, je ne saurais pas
comment expliquer ce trou sur mon cv...
J'ai l'impression que ma vie est foutu, qui aimerait recruter un mec de
27 ans qui n'a jamais rien fait...
En plus je n'ai jamais eu de copine (manque de confiance en soi) et là
a mon âge c'est encore plus dur sans travail...
J'aimerais avoir avoir un travail, un appart, une copine, mais j'ai
peur de rester seul avec aucun avenir...
Je n'ai pas de potes non plus à cause de nombreuse crasse qu'on ma
fait...
Pour être mieux dans ma tête, je fais de la musculation.
Voilà, ça fait du bien de parler.
Merci.
Ps: j'aimerais travailler en tant que vendeur, ou lise en rayon, dans
un magasin quoi.
0 like
NOFUTURENEANT
nofutureneant
01/07/2018 à 22:05
Salut Adamathes,
Es-tu inscrit à Pôle Emploi ? Ca vaut ce que ça vaut (moi je me
débrouille mieux sans mais peut-être qu'ailleurs c'est plus utile) mais
on peut toujours te proposer une préparation opérationnelle à l'emploi.
C'est une sorte de stage que tu fais pour essayer un métier. A toi de
voir si ton conseiller peut te la proposer.
Sinon si tu n'as jamais travaillé, il te reste éventuellement l'intérim
avec des jobs comme manutentionnaire ou préparateur de commandes si tu
n'as aucune qualification. Tu n'as absolument aucun diplôme ?
Autrement pour travailler en magasin comme par exemple employé
libre-service dans un supermarché il me semble que tu n'as pas
spécialement besoin d'un diplôme.
0 like
SELFHATE
SelfHate
02/07/2018 à 06:37
Déjà, les diplômes ne sont qu'un frein. Maintenant les gens se font
refuser des CDI parce qu'ils sont "trop diplomé".
Dans l'industrie tu trouveras sans problème du travail.
0 like
A
Ada63erh
02/07/2018 à 09:20
En réponse à
nofutureneant
Salut Adamathes,
Es-tu inscrit à Pôle Emploi ? Ca vaut ce que ça vaut (moi je me
débrouille mieux sans mais peut-être qu'ailleurs c'est plus utile) mais
on peut toujours te proposer une préparation opérationnelle à l'emploi.
C'est une sorte de stage que tu fais pour essayer un métier. A toi de
voir si ton conseiller peut te la proposer.
Sinon si tu n'as jamais travaillé, il te reste éventuellement l'intérim
avec des jobs comme manutentionnaire ou préparateur de commandes si tu
n'as aucune qualification. Tu n'as absolument aucun diplôme ?
Autrement pour travailler en magasin comme par exemple employé
libre-service dans un supermarché il me semble que tu n'as pas
spécialement besoin d'un diplôme.
En réponse à
SelfHate
Déjà, les diplômes ne sont qu'un frein. Maintenant les gens se font
refuser des CDI parce qu'ils sont "trop diplomé".
Dans l'industrie tu trouveras sans problème du travail.
Bonjour,
Oui je suis inscris mais j'ai l'impression qu'ils veulent tout faire
pour me radier..
Par exemple je dis que je veux faire une formation en vente, et eux ils
veulent que je fasse une formation non rémunéré qui va m'aider à savoir
ce que je veux faire et qui va m'aider à trouver une formation..
Sauf que je sais ce que je veux faire, mais ils trouvent toujours un
prétexte pour me dire de faire leur truc..
Sauf que ça me fait perdre 6 mois pour rien..
Pour l'intérim, ils m'ont très bien fait comprendre qu'avec un cv comme
ça et sans permis, c'est même pas la peine de postuler...
Donc j'ai peur de ne jamais trouver...
0 like
A
Ada63erh
02/07/2018 à 09:25
En réponse à
SelfHate
Déjà, les diplômes ne sont qu'un frein. Maintenant les gens se font
refuser des CDI parce qu'ils sont "trop diplomé".
Dans l'industrie tu trouveras sans problème du travail.
Sauf que je ne veux travailler dans la vente, c'est le seul boulot ou
je serais vraiment motiver.
On m'a conseiller d'envoyer une carte de visite (a la place du cv vu
que il n'y a rien dans mon cv) + une lettre de motivation.
Ça me tente bien de faire comme ça, mais j'ai peur que les patrons ne
lisent pas ma mettre de motivation.
Vous pensez qu'avec une très bonne lettre de motivation ça peut me
permettre de trouver même sans diplome et sans expérience ?
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PATTEDEPANTHERE
PattedePanthere
02/07/2018 à 13:19
Cibler les boîtes d'intérim pour commencer. Vous avez fait une demande
de RSA par contre ?
0 like
A
Ada63erh
02/07/2018 à 13:53
En réponse à
PattedePanthere
Cibler les boîtes d'intérim pour commencer. Vous avez fait une demande
de RSA par contre ?
Oui j'ai le rsa mais je veux travailler en fait, l'argent c'est bien
mais je veux surtout faire quelque chose de ma vie.
Pour les boîte intérim comme j'ai dis plus haut, ils m'ont très bien
fait comprendre qu'avec mon cv et sans permis, ce n'est même pas la
peine de postuler en intérim.
0 like
NOFUTURENEANT
nofutureneant
02/07/2018 à 16:59
Drôle de réponse de ta boîte d'intérim (sur le coup j'aurais eu envie
de répondre "Ah, et vous voulez me payer peut-être ?" ), au pire tu
changes d'agence.
Es-tu inscrit sur des sites en particulier hormis Pôle Emploi (genre
Indeed, Vivastreet, Qapa ) ?
Il te reste aussi les candidatures spontanées en faisant le tour des
commerces du coin.
Edité le 02/07/2018 à 5:05 PM par nofutureneant
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A
Ada63erh
02/07/2018 à 17:16
En réponse à
nofutureneant
Drôle de réponse de ta boîte d'intérim (sur le coup j'aurais eu envie
de répondre "Ah, et vous voulez me payer peut-être ?" ), au pire tu
changes d'agence.
Es-tu inscrit sur des sites en particulier hormis Pôle Emploi (genre
Indeed, Vivastreet, Qapa ) ?
Il te reste aussi les candidatures spontanées en faisant le tour des
commerces du coin.
Pas inscris non, je vais faire ça.
Oui les candidatures spontanées je fais oui.
Mais est-ce que les gens lisent vraiment les lettres de motivation ?
Parce que ma lettre est bien mais bon..
Les gens ils voient dur le cv que j'ai un trou de 10 ans donc à mon
avis ils ne lisent même pas..
D'où l'idée de la carte de visite pour attisé la curiosité a la place
du cv.
Je vais testé la carte de visite pour voir.
0 like
ALGERNON
algernon
03/07/2018 à 13:50
Tu pourrais peut-être embelir ton cv en faisant des trucs à coté, je
dis ça comme ça...
Genre tu peux t'inscrire dans un stage d'informatique par exemple,
comme ça tu pourras prétendre à un certain niveau. Ou un stage
d'anglais, ou dieu sait quoi d'autre...
Alors bien sur tu ne vis pas de ça... mais au moins ça te fais des
choses à dire sur toi et des expériences à raconter à des futurs
entretiens. Puis ça t'occuperas l'esprit le temps que tes démarches
professionnelles commencent à se mettre en place.
0 like
Vous ne trouvez pas de réponse ?
NOFUTURENEANT
nofutureneant
03/07/2018 à 14:14
Oui c'est pas faux pour le côté développement perso avec les cours en
e-learning et les MOOC entre les langues, l'informatique (,
bureautique, programmation, développement web, webmarketing,...),
l'entrepreneuriat.... Il y a de quoi faire pour apprendre et se former.
Tu peux ainsi afficher sur ton profil LinkedIn les certificats obtenus
comme preuves.
Edité le 03/07/2018 à 2:15 PM par nofutureneant
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A
Ada63erh
06/07/2018 à 10:44
Oui j'y ai penser.
Même des stages en magasin ça me va pour le moment.
Je vais aller voir ca.
Edité le 06/07/2018 à 10:46 AM par Ada63erh
0 like
NOFUTURENEANT
nofutureneant
07/07/2018 à 07:59
Si on est incrit au Pôle Emploi on peut par exemple suivre gratuitement
pendant 2-3 mois je crois les MOOC d'Openclassrooms (ou alors payer de
ta poche 20/mois le compte Premium Solo) pour obtenir un maximum de
certificats. On a du développement web, du webmarketing, du design...
Le Pole Emploi a aussi quelques MOOC
Sinon il y a aussi des MOOC divers (langues, sciences, sciences
naturelles) sur France Université Numérique qu'on peut suivre
gratuitement pour avoir une attestation de réussite (certains cours
seront payants pour avoir un certificat en plus).
Quelques cours gratuits dispensés par la plate-forme d'Orange (faut les
suivre que pendant une période donnée)
Si on souhaite suivre des tutos pour coder dans des langages de
programmation
Des plate-formes en anglais (et ou payantes pour certains cours)
Ou encore tout simplement des vidéos sur Youtube.
- Pour le japonais, je suis tombé sur ce topic intéressant qui regroupe
plusieurs outils et sites pour apprendre la langue
Pour l'anglais, y'a tellement de choix (presse,livres audio, de
grammaire, guides de conversation, séries, films,jeux, chansons,
chaines et Youtube,...)que la liste serait longue.
Edité le 07/07/2018 à 8:04 AM par nofutureneant
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R
Rag16hwd
08/07/2018 à 07:47
En réponse à
Ada63erh
Bonjour,
J'ai 27 ans, je n'ai jamais travaillé parce que j'ai toujours repousser
à plus tard et peur du refus.
Je n'ai pas de diplôme parce que je n'ai jamais aimer l'école, pourtant
j'avais un bon niveau.
Est ce possible de trouver du travail sans expérience et sans diplome ?
Ayant arrêter l'école il y a une dizaine d'années, je ne saurais pas
comment expliquer ce trou sur mon cv...
J'ai l'impression que ma vie est foutu, qui aimerait recruter un mec de
27 ans qui n'a jamais rien fait...
En plus je n'ai jamais eu de copine (manque de confiance en soi) et là
a mon âge c'est encore plus dur sans travail...
J'aimerais avoir avoir un travail, un appart, une copine, mais j'ai
peur de rester seul avec aucun avenir...
Je n'ai pas de potes non plus à cause de nombreuse crasse qu'on ma
fait...
Pour être mieux dans ma tête, je fais de la musculation.
Voilà, ça fait du bien de parler.
Merci.
Ps: j'aimerais travailler en tant que vendeur, ou lise en rayon, dans
un magasin quoi.
Bonjour
Si tu as au moins trois ans de permis tu peux faire ambulancier
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A
Ada63erh
08/07/2018 à 09:12
Bonjour,
Je n'ai pas le permis :(
Et nofuturneant, merci je vais aller voir tout ça.
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Forum de la Fonction Publique Territoriale
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Concours bac+3 sans diplome
Formation professionnelle. Préparation aux concours et examens
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continue. Droit individuel à la formation. CNFPT. CDG. ENACT. INET.
Règles du forum
Avant de poster, merci de vérifier :
allez exposer (voir description sous chaque forum) ;
recherche.
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5 messages • Page 1 sur 1
Romain1779
Messages : 1
Enregistré le : lun. 5 août 2019 15:14
Concours bac+3 sans diplome
Message par Romain1779 » lun. 5 août 2019 15:22
Bonjour, je souhaiterais passer un concours de catégorie A ouvert aux
bacs +3. J'ai effectué un cursus BAC +3 mais n'ai pas obtenu le
diplôme. Puis je tout de même passer ce concours? ( je considère que
j'ai le niveau BAC + 3 et cela ne m'a pas handicapé durant mes 10 ans
de carrière dans le privé).
Merci a ceux qui me répondront.
Cdlt,
Haut
marie87
Messages : 13
Enregistré le : mar. 30 juil. 2019 14:26
Re: Concours bac+3 sans diplome
Message par marie87 » mar. 6 août 2019 08:41
Bonjour,
Pour passer des concours dans la fonction publique, il faut avoir le
diplôme correspondant.
Au niveau de la fonction publique territoriale, lors de l'inscription
sur le centre de gestion, il demande quel est le type de diplôme
obtenue. Il me semble que lors de l'envoi papier du dossier
d'inscription, il faut joindre ce diplôme.
J'espère vous avoir aider dans votre démarche. Si vous avez un doute,
prenez contact avec le centre organisateur de votre concours et il vous
dira ce qu'il a besoin comme pièce.
Cordialement
Haut
GHM
Messages : 1503
Enregistré le : mer. 22 juin 2011 18:35
Re: Concours bac+3 sans diplome
Message par GHM » mar. 6 août 2019 11:30
Tu peux demander une équivalence, si tu peux justifier de ton
inscription et du fait que tu es allé jusqu'à Bac +3 mais sans avoir
obtenu le diplôme. Si tu n'obtiens pas cette équivalence, alors non tu
ne pourras pas t'inscrire.
Haut
Béatrice49
Messages : 107
Enregistré le : jeu. 12 juil. 2018 11:26
Re: Concours bac+3 sans diplome
Message par Béatrice49 » mar. 6 août 2019 12:00
Bonjour,
quelques infos sur la commission d'équivalence du CNFPT :
La liste des concours concernés y figurent.
bonne journée
Haut
Lecat
Messages : 3220
Enregistré le : mar. 10 juil. 2012 16:12
Re: Concours bac+3 sans diplome
Message par Lecat » mar. 6 août 2019 16:53
Regarder aussi éventuellement du côté des concours de troisième voie.
Ils ouvrent parfois une porte d'entrée intéressante.
Haut
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Chômage
Sur diplômé et paumé !
Papika01, le 14/02/2020
Bonjour,
ce qui m'amène sur ce forum est une problématique qui parlerait
peut-être à certains?.. A ceux qui ont fait des études à l'université
pendant plusieurs années.. et qu'une fois sortis de leur "bulle
universitaire", ils se trouvent confrontés au marché du travail, un peu
comme un avion qui se prend un mur en pleine face...
J'ai un Bac +5 mais qui n'a vraiment aucune valeur dans le marché du
travail.
j'ai grandi à une période, où on ne jurait que par les "diplômes"
"l'UNIVERSITE" symbôle du savoir absolu, de réussite blabla bla bla..
Sauf que, bercée d'illusion par les prof, sans aucun lien avec le
marché du travail, je me suis retrouvé avec un "haut" diplôme, mais
sans expérience du réel.. une fois confrontée au terrain, j'ai
complètement déchanté...j'ai tenté de faire prof, mais on m'a
clairement fait comprendre qu'il fallait que j'arrête...
A vrai dire, j'ai choisi ces études car cela m'intéressait, je me suis
aperçu vers la licence 3 que cela ne me mènerait à rien, mais j'ai
bêtement écouté mon entourage qui me disait qu'au niveau où j'en étais,
il fallait que je tienne bon pour avoir le plus haut diplôme, afin de
trouver un boulot.
Et je confirme, que même avec BAC+5, on n'a rien non plus !!
Puis j'ai travaillé par la suite dans des boites, mais je ne me sentais
pas reconnu comme l'une des leurs... je pense que c'est bien ça le
problème... je ne m'identifie à aucun milieu professionnel...
J'ai tellement idéalisé ma vie, que la réalité est très dure à voir, et
je trouve systématiquement des défauts aux emplois dans lesquels j'ai
pu travailler.
Je ne sais pas si c'est un problème de diplôme "trop élevé mais sans
valeur", ou un problème d'idéalisation, ou les deux, toujours est t'il
qu'il y a un clair --décalage-- que je ne parviens pas corriger. Y a
t'il quelqu'un qui soit dans le même cas?
Merci de m'avoir lu
Voter
Chômage
Répondre
40 messages
Génoises, le 13/03/2020
lonewolf622
J'avoue ma curiosité est touchée ! Tant que ça te convient, continue.
Peut-être que tu appricerais de faire des remplacements en intérim ? Tu
peux décider si oui ou non tu veux travailler sur les endroits et
postes concernés... ça te laisse le temps pour ta passion. Et si tu
veux un vrai poste stable, il y en a toujours un quelque part, je te
souhaite bon courage pour ta recherche.
(Comme tu dis, malheureusement, on ne vit pas tout le temps à partir de
nos passions.. c'est bien triste)
Voter
Répondre
Anonymous1990250, le 01/03/2020
Bonjour
Vous êtes diplômés dans quels domaines ?
Répondre
deleteProfile64, le 03/03/2020
Ce message a été retiré par l'utilisateur.
Répondre
Anonymous1990250, le 03/03/2020
Ça sert à quoi les sciences humaines ?
Répondre
jeff, le 29/08/2020
Les sciences humaines intègrent beaucoup de disciplines :
L'Economie, pour déterminer des stratégies d'entreprises, dans la
Recherche, dans l'enseignement.
Les Lettres, pour travailler dans l'enseignement,
La Géographie, pour travailler l'aménagement du territoire,
l'enseignement.
L'Histoire, pour travailler dans l'enseignement, la Recherche.
...
Voter
Répondre
Pendantif, le 13/03/2020
Bonjour, alors tu m’as touchée. Je ne sais pas si c’est la solution
mais je vais te dire ce qui a marché pour moi. Faire table rase du
passé. Tu es as été, tu es différente à présent. Ton passé te rends
forte car tu as vécue des choses. On efface et on recommence.
Comment? Déjà le regard des autres et de l’entourage, on s’en fiche.
Maintenant tu es plus forte de par ton expérience passée, donc on ne
fait plus les mêmes erreurs et on s’ecoute ! Super important d’être à
l’écoute de soi même. Il y’a sûrement des domaines qui t’intéresse,
santé, social, les RH. Pôle emploi n’aide pas mais tu peux t’aider toi
même en faisant des stages de découverte de métier. La pâtisserie
t’intéresse et bien pourquoi pas? Tout est possible.
Fais table rase.
Voter
Répondre
lonewolf622, le 12/03/2020
@Génoises
Oh mais ce que j'aime faire, je l'ai trouvé. En fait je dirais même que
c'était sous mes yeux (ou plutôt dans ma tête) depuis plus de 10 ans.
Mais c'est seulement depuis 2 ans et demi à peu près, que je sais que
c'est ce que j'aime le plus. Malheureusement... Malheureusement... Même
si ça demande du travail, même si quand on fait ça on ne donne pas
l'impression de travailler (puisque 90% de ce dont je parle passe par
la réflexion, bref dans la tête quoi), ce n'est pas un vrai "travail",
ce n'est pas un métier. Au mieux, c'est considéré comme un loisir, une
passion. Toutes les passions ne sont pas représentées par un métier
hélas. Du coup je sais bien que je ne pourrais jamais "vivre" de ce que
j'aime vraiment faire. Du coup je recherche un job pas trop mal payé,
qui me laisserait du temps pour faire ce que j'aime à côté. Je crois
que j'aurais beau tester tous les métiers du monde, il n'y en a aucun
que j'aimerais autant que ce que j'aime faire.
Oui je n'ai jamais cité dans le paragraphe que je viens de faire, ce
fameux truc qui me plait. Mais c'est pour pas passer pour quelqu'un
d'étrange. Rien de spécial. Juste que si je le disais on me dirait
certainement "perd pas ton temps avec ça", "ça ne sert à rien ça",...
Mais bon voilà... Juste pour dire que ce que j'aime faire, je l'ai déjà
trouvé. Mais que je ne pourrais jamais en vivre.
Voter
Répondre
Papika01, le 03/04/2020
C'est un peu compliqué de se relever après s'être confronté à
l'inadéquation entre les études et le monde du travail... Mais il ne
faut pas se culpabiliser pour autant..le système est ainsi fait...c'est
notre époque qui veut ça. Au contraire, plus on s'en rend compte, et
mieux on peut trouver des stratégies pour le contourner, et retomber
sur ses pattes....Ne te compare pas aux autres qui ont une voiture un
boulot et tout se qui s'en suit...C'est le pur produit de notre bonne
vieille société de consommation..qui te dis qu'ils sont vraiment
heureux de toute façon, ils font ça pour être comme les autres.."vivre
pour avoir la dernière Audi"...c'est pas très intelligent...
Alors que toi tu as une passion, peut-être un savoir faire, il faut que
tu l'exploites, grâce à ça tu gagneras confiance, et peut être une
certaine reconnaissance vis à vis des autres.
Je trouve que tu as la bonne démarche, garder cette passion en loisir
est le mieux qu'on puisse faire pour être bien. Pour ma part, et par
expérience, j'ai abandonné l'idée de faire ma passion un métier, car à
force de devoir adapter sa passion pour qu'elle soit "bankable" tu
finis par perdre le plaisir de la faire. Et puis ça impliquait d'aller
vivre à Paris...
Un boulot à peu prêt bien payé signifie "Responsabilités"...et quand tu
rentres chez toi le soir, tu ne décroche pas du taf ...c'est pas bon
pour se consacrer à sa passion.
De mon côté j'ai trouvé, mais le plus compliqué c'est maintenant de
s'adapter aux collègues :-)
Je te souhaites bon courage, et n'oublie pas de me dire en MP quelle
est ta passion ! qui sait, peut être qu'on parle de la même chose !
Voter
Répondre
Génoises, le 12/03/2020
Papika01 Littéraire 90
@Ionewolf622
Bonjour tout le monde !
Désolée, je n'ai pas de réponse ou d'aide précieuse à vous apporter
(enfin je crois). Pour ma part après le bac, je ne savais pas quoi
faire, mais rien du tout. J'étais perdu. J'ai quand même suivi ma
passion, en allant à l'univ et à la fin de l'année, je savais que ça ne
fonctionnerait pas au fond de moi. J'avais pas le déclic. J'ai arrêté
et j'ai cherché un service civique : Assistante directrice et
enseignants dans une école primaire maternelle. J'aime les enfants
alors pourquoi pas ? Je passe 10 mois à faire des missions auprès des
petits et aider les autres et je découvre que j'adore ça. Je découvre
que je ne veux pas bosser auprès d'enfants et ne veut pas être dans
l'enseignement. Mais j'ai découvert milles choses sur moi, et en plus
de ça, j'ai dorénavant de l'expérience et des contacts. J'ai pu me
lancer dans une formation alternance et je sais que j'ai enfin trouvé
ce qui me convient.
Par là, je veux dire que se faire de l'expérience dans plusieurs
domaines est nécessaire pour savoir ce qu'on aime et si le petit "clic"
en soi nous dit qu'il n'y a plus besoin de chercher autre part. Le but,
faire un métier qui nous correspond. Aimer ce qu'on fait. Pour moi
c'est grâce au service civique et aux stages.
Après pour ce qui est de "trouver" un lieu pour travailler... j'avoue
qu'il faut bien chercher..et concernant les diplômes, lors de
l'entretien, il faut rester soi-même. L'expérience est souhaitée et
bien moi je dis : faites moi travailler, là j'aurais une expérience !!
Voili voilou..bon courage à tous !
Voter
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lonewolf622, le 12/03/2020
Je suis exactement dans le même cas que toi... Mais vraiment. Moi aussi
j'ai un Bac+5 (Master MEEF) et j'ai voulu être professeur. Mais les
concours étant "truqués" aux oraux. J'ai abandonné l'idée. J'ai
plusieurs fois tenté le concours, accédé aux oraux... J'ai passé des
entraînements, ça se passait super bien, et puis lors des vrais oraux,
je tombais sur des Jurys douteux qui avaient pour objectif de me
piéger. Et ça on s'en rend compte comment ? Parce qu'on a l'occasion
d'assister aux oraux d'autres candidats et c'est comme ça qu'on se rend
compte que ce n'est pas un concours égalitaire, que certains ont des
sujets et questions simples, classiques lorsque d'autres se tapent les
sujets et questions pièges.
Et avant ça, je n'ai jamais travaillé.
Et là je me retrouve à postuler dans des emplois qui ne me plaisent pas
du tout. Depuis Août/Septembre je tente de trouver un emploi, mais
rien. Je postule pour des jobs sous payés et bas de l'échelle (j'aime
pas cette expression mais c'est pour faire comprendre un peu dans quoi
je postule) et même là on ne m'accepte pas. Et puisque je postule pour
des jobs "bas de l'échelle" je ne peux pas viser plus bas. Je confirme
donc ce que tu dis... Même avec un BAC+5, on n'a rien. Et
effectivement, je soupçonne que les refus sont dû au fait que je suis
"trop" diplômé pour eux. Le truc c'est que si je retire de mon CV ma
période étudiante, même si j'obtiens des entretiens, ils vont me
demander ce que j'ai fais pendant 6 ans. En fait ça va créer un trou de
6-7 ans que je serai obligé de justifier. Et donc je serai obligé de
leur avouer que j'ai fait des études et obtenu des diplômes.
Je m'en veux tous les jours d'avoir été aussi naïf. La plus grande
connerie que racontent les professeurs à leurs élèves c'est qu'en
travaillant bien ils seront récompensés plus tard. On a tous entendu ce
genre de phrase lorsque l'on était élève (de la primaire au Lycée) :
"travaillez bien et vous serez récompensés plus tard" "travaillez bien
et faites des études et vous ne le regretterez pas" ou le fameux "Plus
tard vous nous remercierez". Une grosse connerie. Sauf que moi j'y ai
cru. Pire que ça. J'ai vu des élèves de mes classes se foutre de ces
phrases. Certains même ont passé leur temps à faire le bordel en cours.
Aujourd'hui, ils sont en CDI, bien payé, travaillent depuis quelques
années, ont un appartement, une voiture,... Moi je n'ai rien. Au final,
ce sont eux qui ont eu raison. Et tous les jours depuis quelques mois
maintenant, je me dis que si j'avais l'occasion de retourner en
arrière, je ferais le bordel moi aussi. Au moins j'aurais rigolé. Le
fait d'avoir été un élève sérieux, ne m'a pas aidé, bien au contraire.
Beaucoup m'ont rejeté en partie à cause de ça. Du coup je me retrouve à
26 ans, Bac+5, jamais travaillé, zéro cercle social, aucune vie car pas
d'argent,...
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lombredunevie, le 29/08/2020
où il faut tenter l'étranger! allez au canada, ce pays peut rebooster
votre vie! après faut avoir le courage de tout quitter pour tout
recommencer. Mais si la France ne vous offre plus un épanouissement
professionnel et de vie tout court, rien ne vous empêche d'avoir voir
ce qui se passe ailleurs. Beaucoup ont réussi à atteindre une meilleure
vie en étant surdiplomé en partant à l'étranger. A vous de voir...
c'est mieux que de subir une vie qu'on ne veut pas
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Répondre
jeff, le 29/08/2020
Le Canada si on est sur-diplômé, oui mais ça dépend de ce que vous
proposez. Si on ne l'est pas, je suis beaucoup plus nuancé. Des gens
autour de moi y sont allé mais on n'a pas eu vraiment besoin d'eux ou
alors vivotent. Et puis il faut un visa de travail pas toujours
renouvelé.
Si Litteraire90 est sur-diplômé c'est certain que ça fait râler de ne
pas trouver un travail en rapport après autant d'investissement.
L'avantage de l'étranger c'est que contrairement à la France on ne vous
demande pas 2 ans d'expérience quand vous cherchez à débuter. Il faut
voir en Angleterre, en Belgique, en Suisse. Si on est sur-diplômé on
peut trouver.
Voter
Répondre
lombredunevie, le 29/08/2020
biensur j'ai dit le canada comme j'aurai pu dire dire l'Angleterre bien
que ce soit deux système différents. Moi j'ai une amie qui était
responsable de grandes boutique de luxe en Angleterre. Elle a voulu
revenir en France, on lui proposait rien du tout, elle a commencé a
reboiser en tant que simple vendeuse! elle est repartie rapidement en
Angleterre et puis la mentalité des français l'ont déprimé! elle savait
qu'en restant ici, l'évolution serait quasi nulle
Voter
Répondre
Minette680, le 04/08/2020
L'histoire....j'ai un ami qui a fait un concours..il travaille dans
l'administration et pour continuer dans sa passion qu'est l'histoire,
il a créé une association de rando et joue au guide historique..
En philo, un autre est devenu livreur...
Et puis il y a aussi des formation d'auxiliaires de vie....le marché
était fort, on a créé un diplôme parce que c'était une niche...
Dans le domaine de la comptabilité, avec le baby boom, on a vu fleurir
des formation en gestion...résultat...on trouve des comptable au
chômage car la seule voie royale reste celle du DSG et BTS recrutés par
les cabinets comptables et bien plus armés que ceux qui n'ont fait
qu'une maîtrise en gestion à l'école.
Avant de s'engager dans parcours, il vaut mieux éplucher les petites
annonces pour être au courant des niveaux et formations exigées.
Voter
Répondre
jeff, le 27/08/2020
C'est très juste que c'est chiant pour le patron car le salarié est
moins productif pendant qu'il apprend à son stagiaire.
Mais le cas où le salarié n'a pas envie, n'a pas le temps de prendre en
main un stagiaire parce qu'il a du travail par dessus la tête est très
fréquent aussi. J'en ai souvent fait les frais, même en stages.
Disons très clairement que si on était un de leur famille, le temps et
la motivation ils le trouveraient.
Aussi, des employeurs ne voient pas leur intérêt de perdre du temps à
former un stagiaire pour les autres s'ils ne sont pas dans une période
d'embauche. Sauf, encore une fois, si on est un de leurs proches.
Littéraire 90 Je pense qu'il ne faut pas sous-estimer les stages et
notamment les PMSMP. Celles-ci m'ont été utiles et indispensables pour
valider un projet de formation financé par la Région. Certes on n'est
pas payé mais pleins de gens sont passés par là avant de trouver du
travail.
J'ai fait des stages de formation non rémunérés. On m'a plus ou moins
fait travailler mais cela fait quelques lignes sur le CV. En entretien
d'embauche je saurais quoi dire.
Oui, les chômeurs sont pointés du doigt. Mais quand on cherche un stage
ou une PMSMP non rémunérés, on essuie beaucoup de refus. "Ah! on ne
prend pas de stagiaire, on n'a pas le temps !" Et puis après les mêmes
vont dire que les chômeurs ne veulent pas travailler ! C'est de la
malhonnêteté intellectuelle.
Une fois j'ai fait la réflexion, alors le ton de l'employeur n'était
plus le même et m'a longuement expliqué qu'il n'avait pas assez de
travail, que ce ne serait pas intéressant pour moi.
Puis, d'aucuns fantasment sur l'intérim sans savoir de quoi ils
parlent, ou mentent.
NON, l'intérim n'est pas fait pour débuter. Il faut tordre le coup à
cette légende.
Quand j'ai commencé à chercher du travail, mon petit cv a été refusé
chez Manpower parce que je n'avais pas d'expérience. Devant mon
incompréhension on m'a expliqué qu'une agence d'intérim était un
commerce et que leurs clients étaient un marché. Pour conserver leurs
clients, ce n'était pas leur intérêt de leur emmener des gens qui n'ont
pas d'expérience.
Une année, une agence d'intérim m'a trouvé une mission de 2 mois parce
que j'avais de l'expérience. Expérience acquise dans les emplois aidés
de l'Etat dans la fonction publique.
Parmi les gens qui travaillent ou leurs proches le plus souvent, il y
en a qui sont des mythomanes, mentent, enjolivent la réalité quand ils
racontent comment ils ont trouvé du travail.
Pour ne pas dire que c'est par piston.
On est dans un pays où sans piston ce n'est pas simple.
J'en ai eu 3 fois pour des CDD, la 1ère fois par hasard, sans savoir
que la secrétaire de la coopérative agricole où je m'étais présenté
était une de mes connaissance !!
Mais ce peut être à double tranchant. Une fois, j'ai été obligé de
partir car victime de harcèlement moral de la part d'une vieille qui ne
supportait pas les pistonnés. J'aurais pu porter plainte, il y avait un
témoin qui m'avait parlé de son comportement le jour où je suis parti.
Mais je n'y pas pensé. Et pas sûr que ce témoin aurait accepté de
témoigner. Et puis et surtout, je voulais partir, en finir avec cet
endroit, et demander d'urgence à un ancien employeur qu'il me reprenne
en vacation.
Voter
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Forums des Zéros
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Partage
Le diplôme : un mensonge ?
Benjyben
9 octobre 2018 à 20:28:38
Bonjour à toute la communauté,
Je me présente je suis benjamin j'ai 24ans, et j'habite en région
centre.
J'ai commencé à mes 16ans dans un apprentissage en coiffure , et finit
4 ans après suite à des problèmes de santé.
J'ai toujours été passionné de développement depuis mon adolescence, et
me suis dit ok, pourquoi pas me lancer dedans .
Malheureusement je n'avais pas le niveaux BAC pour rentrer dans une
école d'informatique et poursuivre mes études, on m'a donc conseiller
de faire un parcours DAEU ( Diplôme d'accès au études universitaire )
ce que j'ai fait .
Bon il n'y avait pas assez de membres pour ouvrir une classe dans la
catégorie scientifique et on m'a proposé de suivre le parcours
littéraire ce que j'ai bien évidement fait .
Quand j'ai alors eu mon diplôme je me suis rendu dans la même école qui
m'avait conseiller ce parcours et à ce moment la on m'as dit que je
n'avais pas le niveau nécessaire en mathématiques pour intégrer l'école
... ( la blague au bout de 2 ans ) alors que j'avais déjà suivit des
cours d'Openclassrooms et créer mes premiers programmes en C / C++...
J'ai abandonné l'idée de devenir développeur, et continuer des jobs qui
n'avait aucun intérêt à par financier jusqu’au jour ou j'ai reçu ce
mail me disant qu'une cession de développement allait ouvrir et j'ai
donc SAUTER sur l'opportunité !
J'ai suivit la formation à l'AFPA en 2016 pour obtenir le diplôme de
développeur logiciel ( niveau III ) et enfin pouvoir travailler dans le
développement informatique.
Ensuite j'ai commencer ma recherche d'emploi dans le développement
JavaJ2EE, mais bon au bout d'une centaine de refus, j'ai décider de
postuler dans toutes les entreprises que je voyait pour proposer mes
services :
Le premier travail que j'ai eu était en tant que développeur Wordpress
( 3 mois ), puis un autre travail de développeur web ( 6 mois ) et
finit par un job de Community manager ( 2 mois ) . J'ai toujours été
postuler en spontanée pour obtenir mes jobs , j'ai décider la semaine
dernière de m'inscrire à une agence d'intérim afin de trouver des
offres plus intéressantes et maximise mes chances dans le monde du dev.
J'ai alors eu un entretien avec ce conseiller d'intérim pour mettre en
place mes compétences, mon parcours...
Cette personne m'a alors dit que je ne pourrais jamais devenir
développeur ( que ce soit en logiciel JavaJ2EE ou web php/symphony) car
je n'avais ni la formation ni l’expérience pour.
Cette même personne m'as conseiller de soit postuler en tant que
technicien Informatique ou reprendre mes études jusqu'au master.
je voulais juste avoir votre avis sur ce sujet, pensez vous que je
devrais arrêter ma recherche en tant que développeur et continuer sur
autre chose ? ( je ne peut pas reprendre mes études j'ai un loyer à
payer et je ne me voit pas reprendre mes études avec le niveau
théorique très bas que j'ai et avoir un travail à coter ).
Au bout de 5 années pour devenir un dev, l'agence d'intérim à foutu en
l'air tout mes rêves très honnêtement je suis totalement perdu.
De plus je suis quelqu'un d'assez peu confiant, et seul. j'ai une bonne
présentation et un blabla très pro( de mes précédentes exp ) mais tout
ce qui sort de ma bouche lors des entretiens sont du bégaiement et je
perd tout mes moyens.
Ps : on m'a dit soit tu vas à paris sois tu oublie .
J'ai pensé à devenir freelance, qu'en pensez vous ?
Devrait-je m'acharner et continuer ma recherche selon vous ?
Je vous remercie pour avoir lu mon message, et espère avoir été assez
clair .
Bonne journée
Benjamin
-
Edité par Benjyben 9 octobre 2018 à 20:41:44
la connaissance s'acquiert par l'expérience, le reste n'est
qu'information.
LoupSolitaire
10 octobre 2018 à 2:31:20
Te laisse pas décourager par le commentaire d'une seule personne, c'est
juste son opinion.
Par contre niveau déménagement, t'es pas obligé d'aller à Paris, mais
le Centre n'est sans doute pas le meilleur coin pour trouver un boulot
de développeur.
D'ailleurs vu le coût de la vie, je te déconseille plutôt Paris, à
moins d'aimer tout ce qu'on trouve là-bas et pas ailleurs (plein de
gens, grosse activité culturelle...). Il y a plein de villes dans
lesquelles on peut trouver du boulot en ayant une qualité de vie
meilleure. Ça peut être Lyon, Bordeaux, Lille, Toulouse, Nantes,
Rennes...
Blond, bouclé, toujours le sourire aux lèvres...
Sennacherib
10 octobre 2018 à 10:46:12
Le point positif qui ressort de vos messages est la volonté d'évoluer
et les efforts entrepris pour réussir dans le métier visé.
Il y a eu déjà des discussions sur la valeur d'une formation AFPA sur
OC.
Voir par
Les avis sont contrastés, me semble -t-il après une lecture en
diagonale, sur la valeur du diplôme.
Il semble que en particulier AFPA sans niveau préalable minimum
sciences soit un obstacle et avoir fait une mise à niveau via un DAEU
littéraire faute d'autre possibilité n'est sans doute pas l'idéal. Le
tout peut expliquer les nombreux refus que vous avez essuyés et la
position de l'agence. Mais, après un délai aussi court d'inscription et
comme le dit Loupsolitaire, avec l'avis d'une seule personne, c'est
tôt pour être découragé.
A partir de ce lien, un avis direct de membres qui sont passés par
l'AFPA et ont pu obtenir un emploi peut être utile pour une stratégie à
suivre.
remarque: vous ne dites pas pourquoi la durée de chaque emploi cité
est restée si brève. Amènent-t-ils quelque chose à votre CV en tant
que démonstration de vos capacités de développeur?
-
Edité par Sennacherib 10 octobre 2018 à 10:47:23
tout ce qui est simple est faux, tout ce qui est compliqué est
inutilisable
Benjyben
10 octobre 2018 à 13:29:43
Merci pour vos réponses,
Pour mon délai aussi court je pense que ce ne soit pas un problème du
fait que la personne de l'agence ne veut pas me proposer pas
d'entretien pour des postes de développeurs mais en tant que technicien
helpdesk.
Mes emplois sont court oui, le premier que j'ai eu en tant que
développeur Wordpress c'est moi même qui ai donné ma démission (je
faisait 50% de développement et 50% en tant que ouvrier) , le deuxième
j'avais juste un CDD de 6 mois pour une refonte de site internet, et
mon troisième j'ai juste été la pour le lancement d'une start-up et ce
n'étais pas du tout du développement.
Sur mon cv, mes deux premiers emplois démontre ce que j'ai pu faire en
tant que développeur, j'ai même travailler comme si je faisait de L'UX
pour mettre en valeur mon parcours.
Dans mon parcours j'ai eu d'autre emplois qui ne sont pas du tout lié à
l'informatique, j'ai donc préféré ne pas les mettre en avant dans mon
CV.
la connaissance s'acquiert par l'expérience, le reste n'est
qu'information.
Benzouye
10 octobre 2018 à 13:54:04
Bonjour,
Mauvais forum
Le sujet est déplacé de la section Discussions générales vers la
section Vos études
Seul on va plus vite, ensemble on va plus loin ... A maîtriser :
Conception BDD, MySQL, PHP/MySQL
Benito56
10 octobre 2018 à 15:40:49
Déjà félicitation pour ton parcours. C'est vraiment pas évident ce que
tu as fais et ça serait dommage d'abandonner maintenant.
Le point positif c'est que tu as aujourd'hui le niveau bac, un diplôme
dans l'informatique et un peu d'expérience pro.
Je te conseil de bien travailler ton CV, hésite pas à redoré ton exp
sans non plus mentir mais met le vraiment en avant. (pour tes missions
dans l'info). Travaille aussi les entretiens, si c'est pas ton point
fort il faut que tu t'améliores (vois avec pole emploie, ils font des
stages il me semble)
Dis toi que si tu as déjà trouvé du boulot, t'en retrouveras d'autre.
Concernant la formation, regarde vers le CNAM, tu peux passer des
diplômes à distance et par étape ( bac+3, +4, +5).
T'es jeune, pas de contrainte familiale, mobile, t'as du temps libre
(normalement). Bref, continue tes efforts ça va payer !
Donnie.
10 octobre 2018 à 16:58:30
Tu cibles quelles technos lors de tes recherches généralement ?
Je sais que pour un débutant c'est très difficile de trouver un poste
en Java EE.
Anonyme
10 octobre 2018 à 19:33:36
Bonjour, sacré parcours et très courageux, j'ai pas grand chose à
rajouter de ce qui a été déjà dit : ne pas se décourager à cause de
cette boîte d'intérim (c'est horrible de casser les gens comme ça). Tu
n'es pas obligé de venir sur Paris pour trouver du travail c'est juste
la ville où il y a plus de poste, fin la région (île de France) où il
y a plus de postes, mais forcément les plus exigeants je trouve.
T'auras pu voir pour faire de l'alternance mais est ce que ça sera
suffisant pour vivre ?
Benjyben
11 octobre 2018 à 18:06:14
Pour mon parcours j'ai maintenant un diplôme développeur Logiciel
équivalent Bac+2, mais cela ne suffit pas :/
Sur mes techno je suis sur JavaEE c'est en gros la spé sur laquelle on
à le plus travailler mais je travail beaucoup dans le web, avec
wordpress php/mysql et javascript.
Je maitrise plutôt pas mal tout ce qui est back-end en web (
jquery/ajax Node.js/sockets three.js ) mais je n'ai aucune connaissance
par exemple en Symfony ou Angular .
Justement je pense que l'alternance reste une bonne idée mais j'ai un
niveau d'études théorique de 3ème, j'ai toujours eu de grande
facilitées en Mathématiques mais j'ai quand même peur des examens ne
sont ils pas à un niveau trop élevé ?
la connaissance s'acquiert par l'expérience, le reste n'est
qu'information.
Anonyme
11 octobre 2018 à 18:19:30
B2ebn a écrit:
Pour mon parcours j'ai maintenant un diplôme développeur Logiciel
équivalent Bac+2, mais cela ne suffit pas :/
Sur mes techno je suis sur JavaEE c'est en gros la spé sur laquelle
on à le plus travailler mais je travail beaucoup dans le web, avec
wordpress php/mysql et javascript.
Je maitrise plutôt pas mal tout ce qui est back-end en web (
jquery/ajax Node.js/sockets three.js ) mais je n'ai aucune
connaissance par exemple en Symfony ou Angular .
Justement je pense que l'alternance reste une bonne idée mais j'ai
un niveau d'études théorique de 3ème, j'ai toujours eu de grande
facilitées en Mathématiques mais j'ai quand même peur des examens ne
sont ils pas à un niveau trop élevé ?
Bah écoute je vise les mêmes technos que toi j'ai un DUT informatique +
une licence pro, j'ai repris de 0 en licence pour avoir un bac +5 Parce
que j'ai bien vu les offres d'emploi et des RH me l'ont clairement dit
que les boîtes surtout les grosses boîtes (et surtout continuer avec
une lpro bah c'est mort) préfèrent largement les bac +5. J'ai croisé
une ancienne camarade qui s'est arrêtée au DUT et pareil CDD de 3 mois
puis chômage, elle m'a dit tu fais bien de continuer.
Concernant l'alternance, il faut voir avec les écoles types Supinfo,
Epitech, il y en a pleins d'autres bien sûr a toi de voir laquelle te
correspond le plus et est le plus près de chez toi. Si tu as
l'équivalent d'un bac +2 + de l'expérience tu ne devrais pas avoir de
soucis à être accepté dans ces écoles en 3eme annee et pareil au niveau
des employeurs. Je trouve que ce serait pas mal pour toi.
Franchement 24 ans, tu as le temps, j'ai 25 ans mais du coup je vais
finir à 30 ans avec ma reprise de 0 donc ne t'inquiète pas.
-
Edité par Anonyme 11 octobre 2018 à 18:21:22
Le diplôme : un mensonge ?
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Accueil› La filière littéraire
[INS: :INS]
Mon université me dit que j'ai déjà retiré mon diplôme
Danie Danie Membre
octobre 2016 dans La filière littéraire
bonjour,
ma fac me dit que mon diplome (annee 2014-2015) a ete edite' et
retire', ce qui est faux : je ne l'ai pas! je n'ai jamais eu le
diplome, ne suis jamais alle' le chercher et n ai jamais fait aucune
demarche pour qu'il me soit envoye'!
ca parait incroyable mais c est bien ma situation!
comment prouver que je n'ai jamais eu le diplome comme apparemment la
fac ne demande aucune signature pour le retrait? Comment prouver qu'il
s'agit d'une erreur administrative ? Quelles sont les voies de recours
?
merci de votre aide
Réponses
octobre 2016
Malheureusement, je pense que c'est à ta fac même qu'il faut
demander...
Bonne chance !
octobre 2016
Malheureusement c'est samedi et le service en question est fermé.
C'était la remise des diplômes aujourd' hui, j'avais même posé un
jour au travail, et là c'est le choc, personne ne m'appelle, et
quand je vais voir le directeur, il me dit que le diplôme a déjà
été edité et retiré ! Je voulais donc savoir si quelqu'un a déjà
été dans la même situation.... :(
septembre 2017
Bonjour,
Pouvez-vous me dire quelle est la suite? Je me retrouve dans le
même cas que vous, je n'ai jamais retiré mon diplôme et on me dit
que je l'ai retiré. :( :(
Est ce qu'on vous a envoyé votre diplôme?
Merci de votre réponse.
octobre 2017
Bonjour,
alors je suis revenu maintes fois au service en question, et j'ai
été franchement humilié même par le directeur du département qui me
disait que ça arrivait souvent que des gens malhonnêtes le retirent
puis le perdent, et disent qu'ils ne l'ont pas eu. Il dit il y a
encore beaucoup d'affaires en cours d'étudiants qui ont attaqué la
fac!!!!
Et un jour je suis tombé sur une gentille dame que je n'avais pas
encore vue, et qui me dit qu'ils avaient changé le format des
diplômes, et ils avaient imprimé le mien pour faire un test de
format, comme mon nom de famille commence par "A"!!!!
J'ai halluciné!!
J'ai écrit un mail au directeur du département pour dire que cet
événement jetait encore davantage de discrédit sur une formation
universitaire déjà bien mise à mal, mail auquel il n'a pas daigné
répondre...
Une autre fille dans ma classe était dans le même cas que moi, elle
c'était parce qu'elle n'avait pas tout validé du premier coup, elle
avait eu des points au rattrapage qui n'avaient pas été
comptabilisés! Finalement elle a fini par l'avoir!
Et c'était pas dans un trou perdu, c'était Paris 3, la Sorbonne!
Quelle honte!
Où vous en êtes ?
Bon courage
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Apprentis Cuisiniers
Travailler en cuisine sans diplomes
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2018Assia - 1 juin 2018 16:41
Bonjour,
Auriez vous un emploi de commis de cuisine à me proposer, je
souhaite apprendre le métier par l’experience. J’ai une expérience
de 6 mois en tant que commis de cuisine et plus de 10 ans en tant
que serveuse. La cuisine est ma passion et j’en souhaite évoluer
dans ce métier.
Merci pour avance pour l.attention portée à ma demande.
Répondre
Marion1104 - 25 mai 2018 09:37
Bonjour,
Je viens de tomber sur un poste de 2010, et mon coeur a commencé
vous répondre automatiquement...
Avez vous toujours un restaurant et êtes-vous vous toujours
intéressé par des gens prêts a tout ?
Bonne journée
Marion Salingue
Répondre
Ma8rie92 - 29 mars 2016 17:10
Bonjour Jean-Marc,
Ca fait plaisir de voir d'autres personnes qui sont autant
passionnées par ce métier que moi je le suis. En fait tout dépend
de ce que tu as fais et de ce que tu es en train de faire en ce
moment. As-tu fais d'autres stages à part celui-là ? Si j'ai bien
compris tu n'as pas de diplômes c'est bien ça ?
Répondre
Ibraim - 17 mars 2016 16:28
essayez ici :
ael/24651556
Répondre
Maximuss - 4 janv. 2016 14:29
Bonjours je m'appel Jean-Marc après avoir fait un stage dans la
restauration je suis tomber amoureux de ce métier . J'aimerais de
tous coeur trouver un restaurant prêt a me tendre la main, je suis
prêt a faire beaucoup de sacrifice ... merci
Répondre
eseguran - 6 mars 2014 18:56
Nous sommes situés en seine et marne
Répondre
eseguran - 6 mars 2014 18:54
Bonsoir,
Trouver un emploi en cuisine sans formation est possible mais très
très difficile. Peu de chefs accepteront de former un débutant et
de le payer en tant que salarié, sans que celui ci ai la moindre de
base de cuisine.
Au niveau des stages, il faut impérativement une convention de
stage avec une école.
Je vous conseille sincèrement de faire par exemple une mise à
niveau.
Nous la proposons à la prochaine rentrée, avec un bac pro en 1 an,
en alternance, pour ensuite intégrer un BTS option A ou B
Répondre
cc13380 - 5 mars 2014 20:10
Bonjour, je sais que votre message date de quelques années, mais je
voudrais tout d'abord savoir si vous aviez toujours votre
restaurant ou des contacts dans le milieu de la cuisine car je suis
passionnée de cuisine et j'aimerai maintenant que je vais finir le
lycée (bac général, pas pro cuisine malheureusement), trouver un
stage en cuisine ou même un emploi... Et dans quelle région vous
trouvez vous ?
Merci de votre réponse, bonsoir.
Répondre
laetitia.cole - 3 févr. 2014 17:43
Bonjour,
Je souhaite intégrer un CFA ou un GRETA pour la rentrée septembre
2014 pour suivre un CAP de cuisine, j'ai 31 ans et un niveau
licence de Biochimie et je souhaite une reconversion
professionnelle dans le monde de la restauration. Actuellement
demandeur d'emploi, je ne me limite pas uniquement aux formations
prises en charge par le pole emploi, ou le conseil régional, mais
une aide sera la bienvenue.
Suite à quelques échanges avec des chefs, restaurants... j'ai eu
des conseils divergents concernant la pertinence de suivre un CAP
ou un autre cursus. Pouvez-vous me donner votre avis sur le choix
du diplôme ou de la formation à suivre ?
Le fait de trouver un employeur - dans un restaurant gastronomique
- n'est pas forcément beaucoup plus simple lorsqu'on s'inscrit à un
CAP, j'ai d'ores et déjà eu quelques retours négatifs, savez-vous
si les aides de l'état sont différentes pour les jeunes sortis de
l'école ou pour les adultes?
Si vous avez des contacts qui seraient intéressés par un apprenti à
la rentrée 2014, n'hésitez pas à me les transmettre par mp.
Dans l'attente de votre retour et avec mes remerciements pour votre
aide.
Laetitia
Répondre
eseguran - 29 oct. 2013 11:38
Bonjour,
Le problème est qu'une formation de cuisinier n'est possible qu'en
passant par une formation prise en charge ou bien une école.
Quand je parle de chefs pédagogues, il y en a, mais cela sous
entend un poste rémunéré sans qualification pour que le chef vous
forme pour passer un diplôme en candidate libre, je suppose?
Le soucis pour un chef étant de dégager suffisamment de temps pour
pouvoir former et gérer sa brigade ou sa mise en place en même
temps.
Répondre
ninaxole - 28 oct. 2013 11:46
Monsieur,
Bien que votre message date d''il a 4 ans, j'aimerais beaucoup
connaître ces cuisiniers pedagogues...
En effet, ayant fait chou blanc quant à ma recherche d'école (trop
onéreuses ou reconversion peu financée par le Pôle Emploi), je me
desespere à petit feu à chercher un employeur qui pourrait me
former...
Cordialement
Solange
Répondre
eseguran - 5 févr. 2013 10:54
Il ne s'agit pas d'un problème pour le passer en "candidat libre",
mais de trouver des stages non rémunérés: chose impossible car il
faut une convention collective.
La seule possibilité étant de passer par le pôle emploi....
et encore
Répondre
Anouck34 - 5 févr. 2013 09:07
Si elle passe en candidat libre son diplôme, elle s'est inscrite
auprès de son académie qui lui a donné les documents nécessaires.
S'est elle renseignée de ce côté?
Répondre
cgab92 - 20 janv. 2013 21:55
Bonsoir,
Merci pour votre réponse si rapide :)
Nous recherchons un coaching en cuisine uniquement, comme vous
dîtes pour acquérir les bases d'une cuisine traditionnelle simple
et bonne en qualité des produits, les techniques de cuisson, les
astuces de pro, ...
L'objectif est de savoir servir 60 à 80 couverts chaque midi avec
une seule personne en cuisine.
Merci pour votre aide.
Si effectivement vous avez dans vos connaissances des cuisiniers
prêts à nous accompagner quelques jours/semaine, le temps que nous
devenions autonomes, ce serait parfait.
Cordialement
Répondre
eseguran - 20 janv. 2013 17:18
Bonjour
Je me renseignerai auprès de mes connaissances.
S'agit il de coaching en cuisine (bases, techniques etc) ou un
coaching concernant le restaurant dans son ensemble??
Cordialement
Répondre
eseguran - 20 janv. 2013 17:13
Je réponds un peu tardivement au post.
Une de mes anciennes élèves qui avait complètement changé de
filière avant de passer son diplôme m'a recontacté récemment pour
faire un stage dans le but de passer son cap en candidat libre.
Malheureusement elle s'est heurtée à une réalité administrative qui
veut que pour effectuer un stage il faut signer une convention avec
un établissement scolaire. Ce qui est impossible si la personne
n'est pas élève.
L'autre solution étant de passer par le pôle emploi.
C'est rageant de savoir que des personnes sont motivées pour passer
un diplôme et que c'est un parcours laborieux.
Répondre
cgab92 - 19 janv. 2013 14:35
Bonjour,
Je sais que votre message est très ancien, néanmoins, je tente ma
chance.
Avec une associée, nous venons de reprendre un restaurant
traditionnel ouvert que les midis en semaine sur Suresnes (92).
Nous n'avons pas de formation en cuisine.
Aussi, nous aimerions pourvoir nous faire accompagner au démarrage
de notre activité (vers mi avril normalement) par un retraité par
exemple qui pourrait partager avec nous son savoir-faire en cuisine
traditionnelle.
Vous qui êtes du métier, en tant qu'ancien prof, auriez-vous des
personnes dans vos connaissances qui pourraient nous aider dans
cette aventure. Bien entendu, cet accompagnement sous forme de
coaching pourrait donner lieu à une rémunération.
Merci d'avance pour votre aide.
Catherine
Répondre
mickaelthom - 8 oct. 2012 23:28
Bonjour,
Je suis plus ou moins dans le même cas que la personne ayant posté
le sujet.
J'aime la cuisine et je souhaiterai apprendre de ce métier.
Sans pour autant passer par la case CAP est il possible de faire un
stage pour justement apprendre tout les bons usages et pratiques de
la cuisine.
Est ce que se serait suffisant? Je me le demande, mais se-serait un
bon début.
Mais si vous dites connaitre des bons pédagogues je suis preneur de
bon contact.
Je vous remercie de votre réponse et de votre compréhension.
Cordialement.
Mickael THOMAS
Répondre
teaitu - 10 déc. 2011 20:23
Bonjours je voudrais avoir des renseignement pour pouvoir passé des
formation de cuisine avec des personne sympas?
Répondre
0616092416 - 9 oct. 2011 22:31
bonjour;
j'ai 18 ans et suis pannsionnee de cuisine.cette passion qui au
debut etait domaine du loisir prend de plus en place dans ma
vie.c'est pour quoi j'aimerais beaucoup travailler en cuisine.
Mon probleme est que j'ai des diplomes malien.
pensez-vous que certains chefs sont prets a embaucher quelqu'un de
tres motive mais qui n'a aucun diplome?
je vous remercie par avance por vos futures reonses.
Répondre
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@
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@
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@
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@
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o
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@ Voir tout
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@
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= Voir tout
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@ Livre sur le chocolat
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@ Appareil électrique
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@
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@ Techniques
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# C.A.P Pâtissier
#
@ Pâte à tarte
@ Viennoiseries
@ Brioches
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# Recettes de cuisine
#
@ Apéritifs
@
-
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= Espumas salés
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= Toast
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@ Entrées
@
-
= Beignets
= Cakes salés
= Cocotte salée
= Crêpes salées
= Foie gras
= Pâtés et terrines
= Salades composées
= Salades de légumes
= Salades de pâtes
= Salades de poissons
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= Tartes
= Sauces salade
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@ Quiche
@ Poissons
@
-
= Coquillages et crustacés
= Poisson
= Sauces poisson
@ Viandes
@
-
= Abats
= Agneau et mouton
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= Gibier
= Lapin
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= Sauces viande
= Beurres composés
@ Fromage ou œuf
@
-
= À base de fromage
= À base d'œufs
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@
-
= Garnitures
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= Pommes de terre
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= Légumes oubliés
@ Desserts
@
-
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= Biscuits
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= Cakes sucrés
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= Charlottes
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= Tartes
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= Verrines
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@ Viennoiseries
@
-
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@ Cuisines du monde
@
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# Recettes vidéos
#
@ Toutes les vidéos
@
-
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= Desserts
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# Recettes pratiques
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@ Recette minceur
@
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= Les viandes
= Les poissons
= Les légumes
= Les desserts
@ Recettes faciles
@
-
= Entrées faciles
= Gâteaux faciles
= Plats faciles
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@ Un ustensile, une recette
@
-
= Tartes individuelles Mozaik
= Moule en silicone
= Siphon à espuma
= Mini-cocottes
= Verrines
# Recettes par thèmes
#
@ Mondial foot
@ Anniversaire
@ Épiphanie
@ Chandeleur
@ Mardi gras et Carnaval
@
-
= Beignets salés
= Beignets sucrés
= Les gaufres
@ Pâques
@
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= Recettes de Pâques
= Chocolats de Pâques
= Desserts de Pâques
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@ Gâteaux Fête des Mères
@ Desserts sans gluten
@ Halloween
@ Saint-Valentin
# Les Rencontres du Chef
#
@ Thèmes et Émissions
@
- Thèmes et Émissions
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= Les entrées
= Les poissons
= Les viandes
= Les desserts
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@ Chefs
@
- Chefs
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= Patrice Ibarboure
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- Diplome?
Forum PAGES 14-18
Les combattants & l'histoire de la Grande Guerre
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Diplome?
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5 messages • Page 1 sur 1
gael
Messages : 77
Inscription : mar. mars 21, 2006 1:00 am
Re: Diplome?
Message par gael » sam. juil. 22, 2006 7:49 pm
Chez mes grands-parents, j'ai avec beaucoup de chance retrouvé cette
sorte de "diplôme" donné à mon AGP , le format d'origine est le A3,
c'est pourquoi je vous le montre en 2 parties. Aux quatre coins on peut
y lire: "Départ, Gloire, Défense, Paix" , en bas:
"Monsieur Pavageau Jean
Soldat au 51è Régiment d'Artillerie de Campagne
3 blessures, a fait toute la campagne dont 7 mois de captivité
EN MEMOIRE DE LA GRANDE GUERRE"
Au centre il y avait la médaille commémorative de la Grande Guerre
ainsi que la médaille interallié. Quel est le vrai nom de ce document?
Quelqu'un sait-il s'il était attribué à tout les soldat, ou était-il
décerné dans certaine circonstance? Mon AGP a aussi obtenu la Croix de
Guerre et celle-ci n'était pas acrochée dessus, dois-je en conclure que
ce diplome était fait "en série"?
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Le Crabe-Tambour
Messages : 360
Inscription : jeu. juin 01, 2006 2:00 am
Re: Diplome?
Message par Le Crabe-Tambour » sam. juil. 22, 2006 8:06 pm
Bonjour Gaël,
Il s'agit d'un des nombreux "diplômes" non officiels vendus après la
Grande Guerre pour mettre en valeur les médailles des anciens
combattants en les encadrant. Normalement, chaque médaille avait son
propre diplôme, mais les disposer dans un même cadre était plus
esthétique et surtout plus impressionnant.
Bien cordialement,
Laurent.
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gael
Messages : 77
Inscription : mar. mars 21, 2006 1:00 am
Re: Diplome?
Message par gael » sam. juil. 22, 2006 8:18 pm
Merci de la précision, rien d'officiel là-dessous donc. Y avait-il
cependant des dilpomes du même type mais "officiel" comme par exemple
pour certaines médailles plus importantes (CG, MM...) ou hauts faits
d'armes?
Amicalement, Gaël
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Le Crabe-Tambour
Messages : 360
Inscription : jeu. juin 01, 2006 2:00 am
Re: Diplome?
Message par Le Crabe-Tambour » sam. juil. 22, 2006 8:23 pm
Oui bien sûr, toute médaille, la plus humble soit-elle, possède
normalement son diplôme. Mais il n'est pas toujours évident de les
retrouver, étant donné qu'ils n'ont pas souvent été conservés avec
soin.
Bien cordialement,
Laurent.
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Jean RIOTTE
Messages : 5952
Inscription : sam. nov. 05, 2005 1:00 am
Re: Diplome?
Message par Jean RIOTTE » sam. juil. 22, 2006 9:09 pm
Bonsoir à toutes et à tous,
Bonsoir Gael,
Chef de poste isolé, responsable d'un village regroupé de 2000
personnes en Algérie, je me souviens avoir vu accroché aux murs du
minable logement occupé par le seul couple européen du village le même
tableau avec la Médaille Militaire, la Croix de Guerre avec une palme
et une étoile de couleur indéfinie, la Médaille Commémorative de la
Grande Guerre et la Médaille Interalliée.
Je me suis toujours demandé, et je me demande encore, ce que ce couple
d'anciens, ainsi que les 4 anciens combattants musulmans de 39-45 du
village sont devenus...
Ce souvenir fait partie de mes blessures.
Cordialement.
Jean RIOTTE.
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LeaderSheep
Membre
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Messages : 69
Enregistré le : 28 sept. 2010, 09:22
Diplôme nécessaire a l'installation
Message par LeaderSheep » 16 janv. 2013, 15:14
Bonjour,
j'aurais besoins de votre aide sur les diplômes agricoles que l'on peut
obtenir hors cursus classique (cours a temps complet)
Je souhaite reprendre la ferme familiale (polyculture élevage laitier)
mais je ne possède aucun diplôme agricole. Le problème c'est que je ne
peux pas, ou très peu, suivre de cours vu qu'en parallèle de la ferme
je suis ingénieur informaticien a mi temps.
Je crois que le BPREA est suffisant pour s'installer, est ce qu'on peut
le présenter en candidat libre ? Nécessite t'il un stage sur une ferme
autre que celle que l'on souhaite reprendre ?
Suite au BPREA qu'est il possible de faire ? un bac pro ? un btsa ? Ses
diplôme nécessiteraient ils que je me déplace hors de mon exploitation
? (pour des stages j'entends)
Niveau des formations, ya t'il des cours/livre disponible regroupant
les connaissances nécessaires aux différents diplomes ?
Je sais qu'il y a beaucoup de questions car je ne connais pas du tout
le monde de la formation agricole ^^
Merci =)
Haut
marindodouce29
Membre
Membre
Messages : 100
Enregistré le : 23 déc. 2012, 21:11
Re: Diplôme nécessaire a l'installation
Message par marindodouce29 » 16 janv. 2013, 20:58
le bprea est suffisant oui, par contre pas sur que ce soit faisable
sans passer un peu de temps en salle de cours, car le sformation a
distance en agri me semble pas que ça se fasse...
c'est histoire de quelques moi et tu peu integrer tes stages de
preinstalation dans le projet du bprea, ça gagne du temps...
pour apres, si deja tu as peu de temps pour le bprea, ça peut etre
chaud de faire une autre formation...
sinon il existe des CS (certification de Soecialisation) ça prends
quelques mois...
en bprea, je ne sais pas si tu as des stages obligatoires...
renseigne toi a l'odasea chez toi, ils pourront probablement te dire...
Haut
LeaderSheep
Membre
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Messages : 69
Enregistré le : 28 sept. 2010, 09:22
Re: Diplôme nécessaire a l'installation
Message par LeaderSheep » 16 janv. 2013, 21:35
Qu'en est il du stage de pré installation ? est il toujours obligatoire
? C'est bien le stage que l'on doit réaliser dans une ferme hors du
cadre familiale non ?
Pour le CS il semblerait que ce soit en alternance donc difficilement
envisageable.
La quantité de boulot n'est vraiment pas un soucis pour moi c'est
plutôt les déplacements qui sont contraignants !
Merci pour ta réponse
Haut
cc35
Membre
Membre
Messages : 75
Enregistré le : 23 déc. 2011, 11:11
Re: Diplôme nécessaire a l'installation
Message par cc35 » 17 janv. 2013, 11:44
De mémoire le stage de pré-installation (durée 6 mois à plus de 50Km)
peut être remplacé par un emploi dans le secteur agricole pendant un
certain nombre d'années. A vérifier.
Haut
g80
Membre
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Messages : 880
Enregistré le : 08 oct. 2010, 22:35
Re: Diplôme nécessaire a l'installation
Message par g80 » 17 janv. 2013, 12:56
J'était un peut dans ton cas, mais j'avait tout de méme des diplomes
agricoles (bepa et bac pro productions horticoles).
Avec la réunion ppp ( plan professionnalisation personnalisée) du fait
que je n'avait pas fait les études spécifique a mon projet
(remplacement de mon pére dans le gaec familial en polyculture lait);
je davait effectuer un stage de 7 mois a plus de 50km dans une
explotation spécialisée lait ainsi qu'une formation en comptabilitée en
plus du satge 21h obligatoire; pour avoir le droit aux aides a
l'insatlation.
Du coup j'ai renoncé aux aides plus handicapante qu'autre chose pour ne
pas retarder le projet.
Haut
LeaderSheep
Membre
Membre
Messages : 69
Enregistré le : 28 sept. 2010, 09:22
Re: Diplôme nécessaire a l'installation
Message par LeaderSheep » 17 janv. 2013, 15:47
Merci pour ton retour,
plus je me renseigne, plus je me dis que m'installer sans les aides et
donc sans contraintes semble le choix le plus simple =/
Haut
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saycilou
saycilou
3 Janvier 2016
47
413
109
Bonjour les Madz !
Je crée ce topic dans l'espoir de trouver, soit des personnes qui
vivent une situation similaire, soit des qui ont connu cette situation
et qui s'en sont finalement bien "sorties" (auquel cas, les conseils
sont bienvenus :puppyeyes: ) !
Alors voilà, je suis une jeune diplômée (depuis un an en réalité) et
depuis l'obtention de ce diplôme, je suis un peu perdue (je ne souhaite
pas donner de précision sur ce diplôme par souci d'anonymat, mais
sachez que c'est Bac+5, Master2).
Tout d'abord, j'ai beau être à l'affût des annonces et postuler depuis
mai
Ce contenu est réservé aux membres inscrit.es. Inscris-toi par ici.
quand ça semble à peu près dans mes cordes mais pour le moment, je n'ai
obtenu aucune réponse (ni négative, ni positive).
Mais quand bien même, la nature des postes proposés ne me parle pas
beaucoup généralement. Soit qu'on demande une spécialisation très
spécifique (spécialisation que l'on n'a pas au cours du cursus
universitaire), soit que l'on demande une expérience de dingue dans le
domaine (généralement au moins 5 ans, 2 s'ils ne sont pas trop
exigeants), donc autant dire que pour un 1er poste... ça ne colle pas,
et tout un tas de candidatures passent sûrement en priorité par rapport
à la mienne. Pourtant, j'ai vraiment fait un bon CV attractif selon des
retours d'amis, et j'ai bien fait valoir mes expériences de stage, mais
rien n'y fait, ça ne semble pas significatif.
Alors je suis dans cette période un peu déprimante de recherche
d'emploi. Et je nourris beaucoup de peurs par rapport au monde du
travail, avec cette intime sensation ne pas être apte à y évoluer. En
fait, j'ai l'impression de n'avoir aucune compétence concrète. Quand je
lis des discussions de professionnels issus de mon cursus, je me
demande comment j'ai bien pu avoir ce diplôme étant donné que je suis à
des années lumière de toutes leurs considérations. Pourtant, mon
diplôme, je ne l'ai pas volé, j'ai eu toutes mes années avec des notes
honorables et un mémoire de recherche vivement salué par les membres du
jury. Mes maîtres de stage ont toujours été ravis de mon travail. J'ai
pris du plaisir à étudier, je me suis sentie à ma place. Mais
aujourd'hui, maintenant que j'aborde le monde professionnel, je ne m'y
sens plus du tout, et je ne sais plus ce que je veux faire, ce qui me
correspondrait.
Aussi, je suis terrorisée quand je lis des choses concernant le statut
juridique de la profession que je devrais exercée, ce qu'il faut
connaître par rapport au salaire, aux conditions de travail, etc. Je
souhaiterais vraiment en savoir davantage et j'essaye de glaner des
informations ici et là, mais il y a tellement d'informations qu'au
final je m'y perds et n'y comprends pas grand chose.
Voilà, en ce moment, j'oscille entre des jours de grande motivation où
je postule pleine de détermination, et d'autres de grands désespoir où
je ne sais même pas pourquoi j'ai postulé à ces offres puisque je ne
suis en rien compétente pour.
Parfois, j'envisage de faire complètement autre chose que ce que me
permet de faire mon diplôme, alors je me renseigne et regarde les
offres mais même là, je me confronte à des attentes (sur papier) très
spécifiques voire disproportionnées auxquelles je ne réponds donc pas.
Je sais que je dois changer ma mentalité, que je dois prendre confiance
en moi, me dire que beaucoup de choses (si ce n'est tout en fait)
s'apprend directement sur le terrain, mais voilà, rien n'y fait, je
suis au fond du trou à ce niveau-là.
C'est un peu long, toutes mes excuses, j'espère trouver des Madz qui
sauraient être conseillantes et/ou soutenantes :fleur:
Vivez-vous ou avez-vous déjà vécu cela ? Comment avez-vous tiré votre
épingle du jeu ? Qu'est-ce que vous vous dites face à des offres
d'emploi ?
Merci pour vos contributions !
Reactions : bimbadaboum, Chryseïs, cassandre_ and 4 others
artemis-diane
artemis-diane
1 Juin 2014
2 129
7 337
2 674
33
le havre
Vu que tu dis avoir trouvé des annonces je suppose qu'il y a des
débouchés.
Peut être pourrais tu essayer les candidatures spontanées ?
Sinon je te rassure tu n'es pas la seule a avoir du mal à trouver un
travail alors que tu as fait de longues études. J'en ai plusieurs
parmis mes amis qui sont dans le même cas que toi.
Ils ont finalement décidé de se réorienter et de se re-former pour
mieux convenir au marché du travail.
Courage ! :hugs:
Reactions : bimbadaboum, dyspeptique and saycilou
Scail
Scail
11 Février 2015
6 419
37 494
3 004
caronat.deviantart.com
Je n'ai pas tout lu (flemme du matin) mais je te conseille d'aller
faire un tour sur le forum dédié à l'emploi tu trouvera vite des idées,
des conseils, des personnes qui sont en galère aussi etc :)
Reactions : saycilou
saycilou
saycilou
3 Janvier 2016
47
413
109
@artemis-diane @Scail Merci beaucoup pour vos réponses ! :jv:
Je vais de ce pas faire un tour sur le forum emploi dont je ne
connaissais pas l'existence (ce qui est un peu bête, il m'aurait suffit
de cherche un peu :ninja: )
Mais ça m'a fait du bien de lâcher tout ça ! :happy:
Du coup, je vais supprimer ce post encombrant et peut-être le
copier-coller dans le forum dédié :)
saycilou
saycilou
3 Janvier 2016
47
413
109
@Omabeline Merci d'avoir pris le temps de me lire et de me répondre !
Tu ne m'as pas démoralisée, pas plus que tu n'as été brutale,
simplement car malgré la longue plainte, je n'ai que trop conscience de
la réalité du marché de l'emploi et du monde professionnel (désormais).
Je savais pertinemment que mon parcours honorable ne ferait pas de moi
l'élue idéale pour accéder au poste de mes rêves (si tant est que j'en
avais un tête). D'ailleurs, on le sait bien aujourd'hui que le bon
élève n'est pas forcément le meilleur professionnel (même si cela ne
veut pas dire que le mauvais élève sera un bon professionnel). Bon, je
tempère malgré tout, j'étais très loin d'être la major de ma promo !
Pour ce qui est de la confiance en soi, c'est un vrai problème chez
moi, indépendamment des candidatures sans réponse. Du coup, je dois
réellement faire un travail à ce niveau là ! :red:
Du reste, tu as parfaitement raison, et j'essaie d'être pro-active et
de mener à bien des petits projets (qui étoffent malgré tout mon CV) !
Pour ce qui est des rencontres dans le milieu, je dois avouer que j'ai
bien des progrès à faire ! Mais ça fait du bien de lire ce type de
commentaire, les conseils de réorientation ou de candidature pour des
postes tout à fait autre que ce à quoi amène le diplôme initial, car
même si tu cites des choses dont j'ai bien conscience, et bien ça me
met un petit coup de cravache pour reprendre l'élan et ne pas rester
dans cet état d'esprit un peu "down" ! Merci à toi donc :fleur:
Reactions : Omabeline
Sylvestrum
Sylvestrum
Up and down, and that's how energy stays alive
12 Février 2015
4 860
52 125
3 314
ooooh mais comme je te comprends!
En lisant les offres d'emploi, je me disais tjs "Je ne saurai jamais
faire tout ça, on ne m'a pas appris". J'ai vite réalisé que l'école ne
t'apprend pas grand chose d'utile. Bien sûr, des connaissances dans tel
ou tel domaine c'est indispensable pour certaines fonctions, mais ce
qui compte vraiment (dans bcp de cas) ce sont les compétences
transversales (c'est bien comme ça qu'on dit?). Les faculté
d'expression orale, la capacité de prise de décision, la capacité à
gérer le stress et le multitasking, la gestion d'équipe...
Personnellement j'ai eu fini mon master sans avoir rien de ça très
développé. Et j'ai vite compris que, sur le marché de l'emploi, tout ça
était considéré comme des compétences liées au degré d'étude... On
dirait qu'avec Bac+5, on est condamné à être cadre.
Bref, je te conseille comme les autres de ne pas hésiter à postuler
même si tu ne colle pas vraiment au profil demandé. Tu pourrais avoir
de la chance, et ton profil pourrait tout de même être intéressant pour
une boîte. J'ai vu passer toutes sortes de profils dans mon service, et
la motivation et le potentiel d'adaptabilité, c'est bien plus précieux
qu'un diplôme!
Courage!
(et tu as essayé dans l'administration? il y a parfois des screenings
très génériques, genre il faut un bac+5 en n'importe quoi (je ne dis
pas ça péjorativement, vraiment il n'y a que le niveau qui compte et
pas l'orientation pour certains postes)
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Reactions : bimbadaboum and Chambray
OrageA
OrageA
30 Septembre 2015
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32
Pff, et dire qu'on bourre la tête des gamins dès le collège sur "tu
veux faire quoi comme métier ?"... Et moi je dis aux petits que je
garde, "qu'est que tu aimes faire ? Parce que c'est ça qui est
important...".
Je suis tellement dans ton cas, @saycilou , et je suis très contente de
ta réponse, @Omabeline , mais putain... je me dis que j'ai pas fait 5
ans d'études dans un domaine qui m'intéresse pour chercher (et surtout
trouver) dans autre chose. C'est pas le marché du travail qui me
déprime, là, maintenant, c'est me dire que c'est normal d'avoir fait
des études qui ne pèsent pas lourd, d'y avoir cru pendant 5 ans, et que
tout le monde pense pareil. Bref, pardon pour le coup de sang, je suis
contente aussi de voir des gens qui ont peur comme moi. :)
Je suis dans le même cas, master 2, en recherche en sciences humaines.
Tellement peu d'annonces dans mon domaine... Et là, heureusement que
j'ai bossé dans des biblios à côté de mes études, c'est presque l'une
des seules choses que je peux vraiment valoriser, j'ai l'impression.
Valoriser un mémoire de recherche, c'est très dur... Donc oui, tout
à-côté est très important.
En plus de ce constat, c'est le statut qui est compliqué aussi.
Aujourd'hui, on se définit par notre métier, notre statut officiel
social (étudiant, chômeur...), et non pas parce ce qu'on est.
Perso, si je trouve pas le boulot de mes rêves, je voudrais juste
pouvoir trouver quelque chose qui me permette de rentrer quelques sous,
et de pouvoir voyager un peu, et m'engager dans une activité, pour moi
ou dans une association, pour construire quelque chose. Parce que
ouais, ce qu'on aime faire, c'est le plus important en fait. :)
Reactions : bimbadaboum, AStarShinesBright and Omabeline
OrageA
OrageA
30 Septembre 2015
13
29
74
32
@Omabeline C'est aussi, et surtout, l'excuse parfaite pour faire les
études qui nous intéressent vraiment ! Mais il faut pas mettre tous ses
rêves dedans, ou peut-être ne pas mettre tous ses rêves dans son
activité professionnelle, mais autre part. Je ne dis pas du tout qu'il
ne faut pas faire d'études si on a pas des ambitions folles, au
contraire !
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Blabla Général 28 Août 2021
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Le blog de la communauté de l’IB » Flux des commentaires Le blog de la
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Le Programme du diplôme, c’est tout un art !
janvier 24, 2020 in Programme du diplôme
Quatre diplômés du Programme du diplôme expliquent la valeur des études
interdisciplinaires et la façon dont elles relient les sciences
humaines à la science.
dp art
On a tendance à tout séparer et regrouper en catégories strictes (par
exemple, hémisphère gauche ou droit du cerveau, esprit créatif ou
analytique) et l’on oublie ce que les différentes facettes peuvent
s’apporter mutuellement. Cependant, les différentes perspectives sont
de plus en plus représentées, notamment dans le domaine des sciences,
où l’art s’est récemment ajouté à l’enseignement de la science, la
technologie, l’ingénierie et des mathématiques, (STEAM en anglais). Ces
quatre anciens élèves du Programme du diplôme expliquent comment ils
appliquent leurs études en sciences humaines dans leur vie personnelle
et professionnelle.
vincent square
« Quelle que soit la matière que vous étudiez, vous contribuez soit à
sauver le monde, soit à en faire quelque chose qui vaut la peine d’être
sauvé. »
Vincent Blake, un diplômé de l’IB explique la valeur de l’apprentissage
interdisciplinaire, dont l’inclusion de la pensée critique, la
communication et la compassion dans le domaine des STIM.
« La médecine est à la fois une science et un art ; la science porte
sur les détails, et l’art sur l’exécution. »
Aaron Goh, un ancien élève de l’IB, dévoile les éléments artistiques et
la compassion qu’il retrouve dans ses études de médecine, un domaine
souvent perçu comme étant rigide et analytique.
aarongoh headshot
smit
« Il est important de rester informés sur la politique et l’histoire,
l’art peut nous aider à interpréter ces sujets »
Smit Chitre raconte comment le cours de littérature et représentation
théâtrale de l’IB dans son Programme du diplôme en STIM lui a présenté
de nouveaux modes de pensée.
« Les livres et la poésie que nous lisions étaient une formidable
source d’inspiration. Même les mathématiques avec le nombre d’or m’ont
inspirée. »
Izy Kali, diplômée du Programme du diplôme, décrit l’influence qu’a eu
l’art sur son parcours à l’IB puis dans sa carrière d’illustratrice et
nous en dit plus sur l’affiche de la déclaration de mission de l’IB
qu’elle a créé.
Izy kali image 300
Pour en savoir plus sur les diplômés du Programme du diplôme, lisez les
témoignages sur les programmes de l’IB. Si vous êtes diplômé(e) de l’IB
et que vous souhaitez nous envoyer votre témoignage, écrivez-nous à
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témoignages et à nous contacter sur LinkedIn, Twitter et maintenant
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éducative à but non lucratif qui propose quatre programmes
d’enseignement stimulants et de grande qualité à une communauté
mondiale d’établissements scolaires. Depuis plus de 45 ans, les
programmes de l’IB se sont bâti une réputation de rigueur et de grande
qualité pour préparer les élèves à vivre dans le contexte mondialisé du
XXIe siècle, et pour aider à développer des citoyens qui contribueront
à construire un monde meilleur et plus paisible. Actuellement, plus
d’un million d’élèves de l’IB sont scolarisés dans plus de 3 700 écoles
du monde de l’IB, réparties dans 147 pays.
À propos de l’IB
En 1968, le Baccalauréat International a lancé un mouvement novateur en
faveur de l’éducation internationale. Aujourd’hui, il propose quatre
programmes éducatifs stimulants et d’excellente qualité à des élèves
âgés de 3 à 19 ans. Grâce aux bases solides de ses programmes, l’IB
munit les élèves d’atouts incontestables, notamment de compétences de
pensée critique et de résolution de problèmes complexes, tout en
encourageant la diversité, la curiosité et la soif d’apprendre et de
réussir. Dans un monde où il est aussi important de savoir poser les
bonnes questions que de découvrir des réponses, l’IB encourage la
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l’interdisciplinarité et le mélange des cultures et des nations.
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Études : les diplômes sont-ils toujours aussi valorisés en France ?
étudiants 4:26
Manon Fossat 21h13, le 14 avril 2021
Alors qu'un jeune sur deux estime que ses études ne lui servent à rien
dans sa recherche d'emploi, la France reste un des pays où le niveau de
diplôme est le plus important. Contrairement aux idées reçues, le pays
reste extrêmement structuré autour des études, conformément à son ADN
depuis plus d'une trentaine d'années, expliquent les invités du Club
des idées autour de Julian Bugier sur Europe 1, mercredi soir.
ANALYSE
Que vaut vraiment la course aux diplômes dans un pays frappé par le
Covid-19 ? Les grandes études sont-elles toujours aussi valorisées en
France ? Mercredi soir, dans le Club des idées, Julian Bugier a débattu
de l'avenir des jeunes avec plusieurs spécialistes du sujet, dont
Stéphane Marchand, directeur et rédacteur en chef du mensuel Pour l’Eco
qui publie en avril en partenariat avec Europe 1 un dossier intitulé
"Génération Covid : les jeunes diplômes à perpétuité ?". Il se trouve
que nous accordons justement une place considérable aux diplômes, bien
plus que dans les autres pays.
"Un sens aigu de l'élite"
Un constat que Stéphane Marchand explique par plusieurs raisons. "En
France, nous ne sommes pas des pragmatiques et nous avons un sens aigu
de l'élite. Et depuis plus d'une trentaine d'années, nous avons
entrepris une sorte de massification de l'éducation afin de donner au
maximum de citoyens la possibilité de faire des études, et donc de
trouver un travail derrière. L'objectif était aussi une certaine
démocratisation de la connaissance, et de l'accès à l'emploi.
Malheureusement ça n'a pas marché. Dès que vous allez vers les études
de qualité, la proportion de gens aisés demeurent la même, et les
catégories ouvrières, elles, ne progressent pas."
>> Retrouvez Europe soir en replay et en podcast ici
Selon lui, un choix a été opéré, et est désormais ancré dans les
mentalités. "À un moment, l'Etat français a mesuré deux risques. Celui
d'abord de créer une frustration dans le pays parce que les gens
n'arrivent pas à avoir des diplômes et des jobs. Et l'autre, que les
gens soient formés mais n'aient pas de jobs. Et cette frustration là a
été jugée moins grave", a-t-il encore estimé.
"Les diplômes comme rempart contre la précarité"
À l'heure actuelle en effet, le graal pour les étudiants est en effet
d'arriver à Bac+5. Comme l'explique Tom Chevalier, chargé de recherche
au CNRS, une course au diplôme a été engagée en France et est toujours
d'actualité. "Statistiquement, vous avez beaucoup moins de chances de
ne pas trouver un emploi si vous avez des diplômes élevés. Plus les
jeunes vont être diplômés, plus ils vont être protégés du chômage et
des emplois de mauvaise qualité" a-t-il jugé, précisant que certaines
filières étaient par ailleurs plus à l'abri que d'autres.
Des propos partagés par François Sarfati, professeur en sociologie à
l'Université Paris-Saclay. "Même après des années de massification,
le diplôme continue d'être un rempart contre la précarité et permet
d'accéder plus facilement à l'emploi stable et à un niveau de
rémunération supérieur", a-t-il expliqué.
Selon lui, la France reste en effet un pays extrêmement structuré par
le niveau d'études. "On est passionné par les diplômes et les
recruteurs cherchent toujours à savoir quels diplômes ont les candidats
qu'ils ont en face d'eux au moment du recrutement".
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Travailler en ASH Travailler en IME
Travailler en IME, quel diplôme ?
Ou établissements de même type : IMPro, etc. (option D)
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servane81
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Messages : 1
Enregistré le : 25 sept. 2008 11:07
Travailler en IME, quel diplôme ?
Message par servane81 » 25 sept. 2008 11:40
Je sors d'un congé parental et une amie m'a proposé d'être maître
suppléant en IME dans 1 école à Toulouse. Je ne suis pas institutrice
et je n'ai qu'un niveau licence (il me manque 2 UV). Ayant 4 enfants,
puis-je tout de même avoir ce statut ? Où trouver des renseignements à
ce sujet ? J'ai appelé aujourd'hui l'inspection académique du Tarn qui
n'a pas su me répondre. Je suis très motivée à l'idée d'aider des
enfants en difficulté mais je peine à trouver des réponses à mes
questions. Merci d'avance à ceux qui ont des infos de me guider dans
cette voix.
Bien cordialement,
Servane
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Daniel Calin
Administrateur du forum
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Messages : 956
Enregistré le : 15 sept. 2004 09:03
Localisation : Retraité, ex-chargé d'enseignement à l'IUFM de
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Re: Travailler en IME, quel diplôme ?
Message par Daniel Calin » 25 sept. 2008 22:56
De quel statut parlez-vous ? Suppléante, on vous le propose et vous
pouvez donc l'avoir sans problème...
Pour être "titularisée", vous devez en passer par le professorat des
écoles, pas moyen d'y couper. Le concours PE vous est ouvert sans
condition de diplôme, comme mère de 3 enfants ou plus. Mais vos enfants
ne vous donnent que le droit de vous y inscrire, ça reste un concours,
très difficile par ces temps de suppressions massives de postes. Ceci
dit, être en fonction "aide", même dans des fonctions "marginales",
surtout pour les épreuves orales. Encore faut-il passer le barrage des
épreuves écrites : là, les petits jeunes qui ne connaissent rien de la
vie, mais qui sortent de la fac, ont un avantage compétitif sérieux sur
vous... :(
Cordialement,
Daniel Calin
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figoline
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Messages : 26
Enregistré le : 28 sept. 2008 20:24
Re: Travailler en IME, quel diplôme ?
Message par figoline » 06 oct. 2008 22:04
Monsieur Calin,
Institutrice suppléante depuis 1998 auprès de l'enseignement
catholique, je suis actuellement (et pour ma deuxième année) dans un
IME. Personne ne veut de ce poste et les élèves ont eu une scolarité
très chaotique. Je m'investis dans la classe et les enfants aussi. Je
sais que pour régulariser ma situation professionnelle, je dois passer
le CRPE et m'y prépare pour la troisième fois.
Il y a quelques mois, un nouveau décret est passé concernant les
"précaires de l'EN" proposant une contractualisation aux suppléants et
autres vacataires à condition qu'ils justifient de 6 années
d'ancienneté en continu. Bac+3, je remplis les conditions mais je me
vois refuser la contractualisation car je suis, depuis peu, dans un IME
donc considérée "hors circuit" (réponse du Ministère). Du coup, je ne
sais plus si je travaille dans une école, si je fais la classe... Mon
établissement n'est pas reconnu. Je ne comprends pas.
Cordialement.
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Daniel Calin
Administrateur du forum
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Re: Travailler en IME, quel diplôme ?
Message par Daniel Calin » 07 oct. 2008 00:09
Alors ça, c'est un sommet de crapulerie administrative !!! Pas
exceptionnel, mais particulièrement tordu. Si cet IME est géré par
l'enseignement catholique, comme cela semble probable au vu de votre
message, il n'y aucune discontinuité dans l'emploi et la nouvelle
réglementation devrait s'appliquer. En ce cas, vous devriez obtenir
satisfaction en tribunal administratif...
Cordialement,
Daniel Calin
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figoline
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Enregistré le : 28 sept. 2008 20:24
Re: Travailler en IME, quel diplôme ?
Message par figoline » 07 oct. 2008 18:30
Monsieur Calin,
Merci pour votre rapidité, je me sens un peu moins seule (une
enseignante pour 41 jeunes inscrits dans mon établissement.) Une
certitude : mon établissement dépend du service de l'enseignement privé
de l'IA de mon département mais n'est pas géré par la DDEC. En ce début
d'année scolaire, j'ai signé mon arrêté stipulant que je suis nommée
par l'IEN sur un poste vacant dans l'IME. Par la suite, mon directeur
établit un CDD. Du coup, pensez-vous que j'ai deux contrats (CDD) ? Les
autorités de l'EN affirment que je suis rémunérée par l'EN mais que mon
employeur est l'IME. Du coup, je ne sais plus quel est mon statut.
Cordialement.
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Daniel Calin
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Enregistré le : 15 sept. 2004 09:03
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Re: Travailler en IME, quel diplôme ?
Message par Daniel Calin » 08 oct. 2008 09:26
Au vu de ces précisions, j'ai bien peur que, mine de rien, vous ayez
changé d'employeur, puisque votre IME n'est pas géré par la DDEC, qui
était votre employeur précédemment. En ce cas, le décret que vous avez
évoqué ne s'applique probablement pas. Je ne suis pas sûr de mon
interprétation : il faudrait la vérifier auprès d'une organisation
syndicale, ou d'un avocat spécialisé.
Cordialement,
Daniel Calin
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figoline
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Enregistré le : 28 sept. 2008 20:24
Re: Travailler en IME, quel diplôme ?
Message par figoline » 08 oct. 2008 18:10
Bonsoir monsieur Calin,
Merci pour vos précisions, je transmets le message à la personne qui
suit mon dossier. Il faut, maintenant, que je me reconcentre sur mon
travail et sur mon concours pour mettre toutes les chances de mon côté.
Je crois que je n'ai pas le choix.
Cordialement.
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Comment appeller un diplômé de l'enseignement sup (universitaire ?)
forum abclf » Pratiques linguistiques » Comment appeller un diplômé de
l'enseignement sup (universitaire ?)
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Messages [ 19 ]
1 Sujet de Andreas 13-11-2006 17:13:15
Sujet : Comment appeller un diplômé de l'enseignement sup (universitaire ?)
Bonjour à toutes et à tous ! smile
Pourriez-vous me dire comment on désigne en français qqn. qui est
diplômé de l'enseignement supérieur, s'il vous plaît ?
En allemand, c'est un Akademiker, mais je ne pourrais évidemment pas le
traduire par « académicien »... Pourrait-on parler d'un universitaire ?
Merci pour toute réponse...:)
Ceci devient vraiment insignifiant. - Pas encore assez.
Citer Message 1
2 Réponse de patoiglob 13-11-2006 17:15:37
Re : Comment appeller un diplômé de l'enseignement sup (universitaire ?)
Un diplômé de l´enseignement supérieur...
DEFENSE DE CRACHER PAR TERRE ET DE PARLER BRETON. (Le Ministère de
l'Éducation Nationale)
Citer Message 2
3 Réponse de krokodilo 13-11-2006 18:31:10
Re : Comment appeller un diplômé de l'enseignement sup (universitaire ?)
Certains ne refuseraient pas d'être appelés Votre Seigneurie !
Un universitaire me semble être dans le langage courant une personne
diplômée mais également en poste, qui est actuellement enseignant à
l'université.
Le plus souvent, on détaille les divers titres : professeur, agrégé,
licencié, ingénieur en ci ou ça, le nom des grandes écoles (normalien,
centralien, polytechnicien, etc), des IUT, etc.
Finalement, comme terme général, je crois que le mieux c'est
l'expression que vous avez utilisée dans la question : diplômé de
l'enseignement supérieur !
Citer Message 3
4 Réponse de gb 13-11-2006 18:56:22
Re : Comment appeller un diplômé de l'enseignement sup (universitaire ?)
Je ne vois pas de terme général ; on se réfère souvent au diplôme, au
nombre d'années après le bac ou à l'école. (noter que l'enseignement
supérieur n'est pas seulement universitaire...).
WWW
Citer Message 4
5 Réponse de P'tit prof 13-11-2006 20:34:03
Re : Comment appeller un diplômé de l'enseignement sup (universitaire ?)
Et on distingue entre le professeur et le maître de conférence, l'un
étant plus chic (et mieux payé...) que l'autre.
... ne supra crepidam sutor iudicaret. Pline l'Ancien
Citer Message 5
6 Réponse de Andreas 14-11-2006 08:57:28
Re : Comment appeller un diplômé de l'enseignement sup (universitaire ?)
Merci beaucoup à tous !
Je devrai donc réprimander mon prof de français pour nous avoir
enseigné de traduire Akademiker par universitaire. big_smile
Ceci devient vraiment insignifiant. - Pas encore assez.
Citer Message 6
7 Réponse de Bounigne 14-11-2006 11:02:42
Re : Comment appeller un diplômé de l'enseignement sup (universitaire ?)
Je pense qu'un universitaire, c'est quelqu'un qui fréquente
l'université, qui va au cours. Mais il n'est pas (et ne sera pas)
forcément diplômé.
Citer Message 7
8 Réponse de gb 14-11-2006 14:37:05
Re : Comment appeller un diplômé de l'enseignement sup (universitaire ?)
Celui qui fait des études supérieures, c'est «l'étudiant».
WWW
Citer Message 8
9 Réponse de P'tit prof hors les murs 14-11-2006 15:30:09
Re : Comment appeller un diplômé de l'enseignement sup (universitaire ?)
L'universitaire enseigne à l'Université, ou en est retraité, et le
terme englobe les professeurs, les maîtres de conférence, les
assistants et les ATER, taillables et corvéables à merci.
Un chercheur au CNRS, par exemple, malgré tout son savoir, n'est pas un
universitaire.
Je n'ai pas fait d'allemand, mais je risquerais que l'Akademiker est un
intellectuel.
S'il est versé en sciences, c'est un savant. (Curieusement, tout savoir
du sanscrit ou lire Platon dans le texte ne fait pas de vous un
savant...)
Citer Message 9
10 Réponse de Diantino 14-11-2006 16:51:56
Re : Comment appeller un diplômé de l'enseignement sup (universitaire ?)
Pouvez-vous nous dire ce qu'est un ATER ?
Quelle différence y a-t- il entre un professeur d'université et un
maître de conférences?
Quel nom donne -t-on à une personne qui donne des cours dans une
université, sans être professeur de formation, mais engagé par
contrat temporaire de 3 ans renouvelable deux fois ? S'agit-il dans ce
cas d'un universitaire ?
Merci pour vos réponses !
D.
Citer Message 10
11 Réponse de vocsoute 14-11-2006 18:17:33
Re : Comment appeller un diplômé de l'enseignement sup (universitaire ?)
Andreas a écrit:
Bonjour à toutes et à tous ! smile
Pourriez-vous me dire comment on désigne en français qqn. qui est
diplômé de l'enseignement supérieur, s'il vous plaît ?
En allemand, c'est un Akademiker, mais je ne pourrais évidemment pas
le traduire par « académicien »... Pourrait-on parler d'un
universitaire ?
Merci pour toute réponse...:)
Au Québec, on parle simplement d'un « diplômé » (qui fait référence la
plupart du temps à une formation post-secondaire, souvent
universitaire) ou d'un « finissant » pour quelqu'un qui a suivi la
formation sans nécessairement obtenir un diplôme.
Citer Message 11
12 Réponse de Andreas 14-11-2006 18:38:33 Dernière modification par Andreas
(14-11-2006 18:41:30)
Re : Comment appeller un diplômé de l'enseignement sup (universitaire ?)
Voilà, j'ai eu un beau dispute avec mon prof ce midi pendant lequel il
a avoué que universitaire et Akademiker ne signifient pas la même
chose.
En contrepartie, il m'a dit que universitaire était un terme général
pour qualifier tous les membres de l'université, les enseignants, les
étudiants et les diplômés - et qu'on pourrait donc quand même appeller
un diplômé un universitaire...et il m'a promis de faire une photocopie
du vocabulaire d'où il avait tiré ces connaissances....:/
P.S. (à P'tit Prof) : Oui, Akademiker a aussi cette connotation de «
savant », employée parfois péjorativement. Mais au sens d'origine,
c'est un mot neutre, ne signifiant qu'on est diplômé de l'enseignement
supérieur.
Ceci devient vraiment insignifiant. - Pas encore assez.
Citer Message 12
13 Réponse de krokodilo 14-11-2006 18:46:02
Re : Comment appeller un diplômé de l'enseignement sup (universitaire ?)
P'tit prof
S'il est versé en sciences, c'est un savant. (Curieusement, tout
savoir du sanscrit ou lire Platon dans le texte ne fait pas de vous
un savant...)
Certes, mais cela fait de vous un érudit, qui n'a pas à rougir devant
un savant. Le savant, lui, ne peut pas non plus se prétendre érudit !
la vie est dure pour les puits de science (ou de connaissance !)
Diantino : il ya fort à parier que le T de ATER signifie temporaire...
Assistant ? Kleenex (en anglais) ?!
Citer Message 13
14 Réponse de Hippocampe 14-11-2006 19:16:21
Re : Comment appeller un diplômé de l'enseignement sup (universitaire ?)
"qu'on pourrait donc quand même appeller un diplômé un universitaire"
Non, on ne dit pas un universitaire pour un diplômé d'un BTS, d'un IUT,
d'un IUFM, d'une école d'infirmière, d'une grande école (sauf pour les
écoles normales supérieures)...
Citer Message 14
15 Réponse de Torsade_de_Pointes 15-11-2006 22:01:57
Re : Comment appeller un diplômé de l'enseignement sup (universitaire ?)
Je fais un copié-collé partiel de l’article ‘universitaire’ du Grand
Robert:
Un, une universitaire : un membre du corps enseignant (assistant,
maître-assistant, maître de conférences, professeur).
N. (Régional, Belgique). Étudiant, étudiante dans une université;
personne ayant un diplôme universitaire.
Il s’agit bien sûr du corps enseignant d’une université (cet extrait du
GR se trouve dans les profondeurs de l’article sur l’adjectif
universitaire, où il n’est question que d’université).
Concernant le belgicisme : c’est très certainement exact pour la
deuxième partie (personne ayant un diplôme universitaire), mais je n’ai
jamais entendu utiliser le mot dans le premier sens (étudiant d’une
université).
Alors, comment désigner, en français général, une personne titulaire
d'un diplôme universitaire? Pourquoi pas 'diplômé universitaire', tout
simplement?
Citer Message 15
16 Réponse de P'tit prof 15-11-2006 22:13:45
Re : Comment appeller un diplômé de l'enseignement sup (universitaire ?)
Diplômé suffit largement, car en France, seule l'Université est
habilitée à délivrer des diplômes.
... ne supra crepidam sutor iudicaret. Pline l'Ancien
Citer Message 16
17 Réponse de Piotr 15-11-2006 23:16:27
Re : Comment appeller un diplômé de l'enseignement sup (universitaire ?)
P'tit Prof a écrit:
Diplômé suffit largement, car en France, seule l'Université est
habilitée à délivrer des diplômes.
Objection Votre Honneur !
Il existe en France des diplômes d'État, des diplômes professionnels,
et j'en oublie certainement (tous ceux cités par Hippocampe).
Seraient-ce là des abus de langage ? je l'ignore, mais l'appellation
est officielle et gouvernementale (on la trouve dans les décrets
régissant les professions ou formations concernées).
En conséquence et en conclusion, le terme diplômé d'université me
semble convenir.
elle est pas belle, la vie ?
Citer Message 17
18 Réponse de P'tit prof 16-11-2006 00:59:53
Re : Comment appeller un diplômé de l'enseignement sup (universitaire ?)
En tous cas, Robert nous dit :
Diplômé : qui a obtenu son diplôme d'études supérieures.
... ne supra crepidam sutor iudicaret. Pline l'Ancien
Citer Message 18
19 Réponse de Piotr 16-11-2006 09:36:10
Re : Comment appeller un diplômé de l'enseignement sup (universitaire ?)
Oui, et Robert a raison.
Simplement « études supérieures » n'est pas synonyme de «études
universitaires » : les études supérieures, c.-à-d. après le bac, se
poursuivent dans bien d'autres filières que l'Université.
elle est pas belle, la vie ?
Citer Message 19
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forum abclf » Pratiques linguistiques » Comment appeller un diplômé de
l'enseignement sup (universitaire ?)
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EMPLOI / SOCIETE
Qu’attendent les recruteurs des diplômés ? Les diplômés des entreprises ?
Olivier Rollot17 octobre 2019, 9 h 00 min11 octobre 2019 0
1431
Le congrès 2019 de la Conférence des grandes écoles était largement
consacré à la question des compétences et de l’emploi. Pour illustrer
le propos une étude a été réalisé par l’Institut Ipsos.
En résumé. Du côté des candidats on entend comme toujours le rejet du
management vertical et, au contraire, la valorisation du « manager
coach » qui va « prendre part au développement du jeune talent ». Les
diplômés demandent qu’on leur laisse de l’autonomie, de la qualité de
vie au travail, un bon équilibre vie privée / vie professionnelle et
de la flexibilité. Surtout une entreprise doit être en adéquation
avec leurs propres valeurs et leur donner une utilité sociale. Ils
parlent de « job à impact » vs. « bullshit jobs ».
Du côté des RH si ces questions sont bien évidemment prises en compte,
si l’évolution numérique reste au cœur des besoins, le sujet majeur
devient « comment recruter des collaborateurs alors qu’on ne sait pas
quels seront les métiers de demain ? » D’où l’importance croissance
donnée aux soft skills quand les entreprises espèrent recruter des
profils « capables de travailler à la conduite du changement en
entrainant avec eux les salariés actuels » selon le verbatim de
l’étude.
Grandes écoles et recruteurs. Être diplômé d’une Grande école évoque
tout un système de valeurs positif pour les recruteurs qui jugent leurs
diplômés « sérieux, à l’esprit structuré, autonomes et travailleurs ».
Logiquement ils ont une excellente opinion des Grandes écoles (à 93%) –
tout comme le grand public qui les plébiscite à 82% – leur première
qualité étant qu’elles « apprennent à travailler dans un
environnement international et multiculturel » et qu’elles « permettent
d’acquérir une expérience professionnelle avant même d’être diplômé ».
Dans ce contexte le passage par une CPGE (classe préparatoire aux
grandes écoles) est valorisé mais pas autant que le diplôme.
Les Grandes écoles et les jeunes. Les Grandes écoles restent les
établissements d’enseignement supérieur dans lesquels les jeunes (38%)
comme leurs parents (35%) font le plus confiance pour obtenir un
emploi. Loin devant les BTS et l’université. Le premier argument est
que les Grandes écoles « permettent de se constituer un réseau
professionnel pour sa future carrière ». Suit du côté des étudiants
« être diplômé d’une Grande école permet d’aller travailler à
l’étranger plus facilement » quand les parents expliquent qu’être
« diplômé d’une Grande école permet de trouver facilement un emploi en
CDI ».
Si l’intérêt pour les classes préparatoires est en hausse par rapport à
2016 le différentiel entre l’intérêt des parents et de leurs enfants
n’en reste pas moins particulièrement important.
En termes de moyens d’information quant à leur future orientation, les
jeunes plébiscitent les forums et salons étudiants mais sont surtout
42% à s’appuyer sur les témoignages d’étudiants. Plus que jamais les
réseaux sociaux doivent être scrutés de près…
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concours postbac
Olivier Rollot
Ancien directeur de la rédaction de l’Etudiant, ancien rédacteur en
chef du Monde Etudiant. Olivier Rollot a développé de nombreuses
expertises au service des communautés éducatives. Son expérience fait
de lui un expert confirmé des stratégies de relation presse et des
enjeux de communication et d’image pour l’enseignement supérieur. Il
est également un expert reconnu des pédagogies innovantes et des
nouveaux publics de l’enseignement supérieur, il est en effet l'un des
experts français de la Génération Y. Olivier Rollot est directeur
exécutif du pôle communication de HEADway Advisory depuis 2012 et
rédacteur en chef de "l’Essentiel du Sup" (newsletter hebdomadaire) et
de "l’Essentiel Prépas" (webzine mensuel).
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» Pourquoi faire un double diplôme ? Comment réussir les entretiens
Conseils de pro pour vos entretiens
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Pourquoi faire un double diplôme ? Comment réussir les entretiens
d’entrée ?
Pourquoi faire un double-diplômes ? Comment réussir les entretiens ?
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Etude dans la mode et le luxe : 5 raisons pour lesquelles c’est la filière
dans laquelle se lancer en période de contraction économique
Etude dans la mode et le luxe : pourquoi se lancer dans cette filière ?
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Comment transformer le confinement en une opportunité ? Guide de
l’orientation du jeune confiné
Comment transformer le confinement en une opportunité ? Guide de
l’orientation du jeune confiné
4, mai 2020
Pourquoi faire un double diplôme ? Comment réussir les entretiens d’entrée ?
Nous avons la chance d’évoluer à une époque dans laquelle les
formations ne sont plus autant cloisonnées qu’auparavant, en effet il
existe désormais de très nombreuses passerelles entre ces dernières par
le biais des doubles-diplômes. Aujourd’hui, les étudiants peuvent faire
double diplôme de nombreuses manière: double licence, double master,
double diplôme avec une université partenaires et partir à l’étranger
dans une université franco-allemande par exemple, les opportunités ne
manquent pas.
Mathieu, coach Yapuka, étudiant à HEC Paris et en double diplôme
d’ingénieur avec l’ENSAE Paris, vous donne quelques conseils concernant
les doubles-cursus, sésames de plus en plus convoités par les étudiants
et les entreprises.
Yapuka propose des modules de coaching afin de vous préparer à l’oral
et à vos entretiens avec des coachs experts de l’oral et des entretiens
de recrutement. Découvrez nos offres !
Faire une double formation : que faut-il savoir ? Comment réussir les
entretiens d’entrée ?
Qu’est-ce qu’un double diplôme ?
Comme son nom l’indique, un double-diplôme permet aux étudiants
d’obtenir en plus du diplôme de son établissement d’origine, un second
diplôme délivré par un autre établissement. On peut globalement
distinguer 2 catégories au sein des doubles cursus :
– Les doubles-diplômes qui permettent aux étudiants de suivre une
formation dans un domaine qui n’est pas initialement le votre.
Exemples : Les doubles diplômes ingénieur-manager (ce qui est mon cas),
mais aussi entre une école d’ingénieur et un institut politique / entre
une école de commerce et un institut politique, etc. Ce double parcours
permet d’acquérir une double compétence.
– Les doubles-diplômes qui permettent de suivre une nouvelle formation
dans un domaine que vous auriez toutefois déjà étudié au préalable. Le
but est alors souvent d’approfondir et/ou de se spécialiser, voire de
suivre une formation similaire mais à l’international.
Exemples : Les doubles-diplômes entre une école de commerce et une
« business school » à l’étranger / entre une école d’ingénieurs et un
mastère dans une université, etc.
Pourquoi un double parcours ?
Dans un monde du travail qui se complexifie sans cesse et dans lequel
les compétences sont de plus en plus transversales, un double cursus
est un véritable atout sur votre CV. Ils sont tout d’abord mis en avant
par ceux qui les proposent, c’est-à-dire les différentes écoles et
universités qui multiplient les partenariats de doubles-diplômes afin
de faire profiter à leurs étudiants de la possibilité d’obtenir une
double compétence.
Mais surtout les doubles-diplômes ont excellente réputation auprès des
recruteurs car ceux-ci sont très friands des étudiants ayant des
doubles compétences ou des expertises sectorielles. Plus généralement,
c’est aussi un véritable indicateur de la motivation du candidat, mais
aussi d’une certaine curiosité et ouverture d’esprit ainsi que d’une
soif d’apprendre.
Mais qu’est-ce que cela implique ?
Si les doubles-diplômes sont un vrai atout et une formidable expérience
académique et humaine, cela implique aussi certaines contraintes
auxquelles il convient de mûrement réfléchir avant de se lancer. Faire
un programme de double-diplôme c’est devoir assumer les exigences
académiques de deux établissements, ce qui peut signifier une charge de
travail plus importante, des calendriers académiques pouvant se
superposer et des impératifs de validation du diplôme différents, comme
par exemple un nombre de semaines de stage ou de semaines à l’étranger
différents entre les deux établissements. Les partenariats de
doubles-diplômes ont ainsi pour rôle de faciliter cela en mettant en
commun une partie importante du parcours. Dans mon cas par exemple, les
semaines de stage et les semaines à l’étranger à valider sont mises en
commun et le choix de l’établissement pour effectuer l’année de Master
2 m’est libre, cependant le stage d’application propre aux écoles
d’ingénieur et ayant pour objectif d’appliquer les enseignements
techniques m’est obligatoire. Ce dernier point est crucial et il faudra
particulièrement y prêter attention si vous êtes issus d’une formation
d’origine business par exemple et que vous souhaitez effectuer en
double-diplôme une formation plus technique car dans la plupart des cas
un stage d’application ou un stage de recherche vous sera imposé.
Comment obtenir un double-diplôme ?
Les modalités varient énormément selon les établissements mais aussi
selon qu’il existe ou non des partenariats de double-diplôme entre
votre établissement et un autre. Cependant, vous aurez dans la grande
majorité des cas un entretien à passer en plus des potentielles
épreuves préliminaires telles que l’analyse des relevés de notes, les
lettres de motivation et/ou de recommandation, etc. Cet entretien est
alors crucial et compte très souvent pour plus de 50% de la décision
finale, pour cette raison il est primordial de le préparer avec
sérieux.
Comment réussir son entretien de double-diplôme ?
Il est d’abord nécessaire en amont de faire de nombreuses recherches
sur l’établissement et la formation à laquelle vous postulez car c’est
le gage de votre réelle motivation à intégrer cette école. Il faut
étudier le parcours. Je vous conseille de retenir quelques informations
très précises que vous pourrez utiliser le jour de l’entretien pour
apporter du poids à votre argumentation, par exemple des chiffres sur
le prestige de l’école, des dates, des cours précis que vous
souhaiteriez suivre, des associations en particulier qui vous
intéressent ou encore des témoignages d’élèves que vous avez pu
obtenir.
Ensuite, un deuxième point majeur porte sur la cohérence de votre
projet, c’est-à-dire être en mesure de relier la formation que vous
souhaitez effectuer à votre formation d’origine et d’expliquer
précisément comment cela s’articule et en quoi ce double-diplôme vous
permettra d’atteindre vos objectifs futurs. En effet, cela doit
provenir d’une volonté d’aller plus loin dans votre domaine par exemple
ou alors de gagner en compétences dans un domaine qui n’est peut-être
pas initialement le vôtre, auquel cas il vous faudra être capable de
défendre ce projet professionnel au mieux. Cela peut-être par exemple
en parlant du fait que même si vos études ne portaient pas sur ce
sujet, vous y avez depuis longtemps un intérêt très fort, ce que vous
démontrerez par le biais d’un exemple personnel.
Enfin, il faut que vous soyez en mesure d’apporter au jury une réponse
à la question suivante : « Que vais-je apporter à leur école ? » car un
double-diplôme ce n’est pas seulement suivre une nouvelle formation,
c’est surtout devenir un membre à part entière d’une nouvelle école et
intégrer un nouveau réseau. Pour cette raison, il ne faut pas laisser
croire au jury que leur école n’est qu’un moyen pour vous d’atteindre
vos objectifs et rien d’autre. Par exemple, les écoles accordent
énormément d’importance à leur réseau « alumni » (réseau des anciens
élèves), montrer que vous y serez un membre impliqué peut donc être une
première piste.
Il n’y a aucun doute dans le fait que si vous souhaitez effectuer un
double-diplôme, vous trouverez votre bonheur dans le catalogue de
partenariats de plus en plus fourni de vos écoles respectives. Votre
réussite à l’entretien portera alors sur votre capacité à exposer
clairement et de façon structurée à votre jury votre motivation et les
raisons qui vous ont poussé à candidater, chose faisable pour quiconque
dès lors que vous serez bien préparés !
En complément :
d’école ou d’embauche en anglais
impactant et percutant en anglais en distanciel ?
filière dans laquelle se lancer en période de contraction
économique :
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Trouver un emploi sans diplôme : découvrez les métiers qui recrutent
Publié le 05/12/2019 Conseil
Vous cherchez un emploi, mais vous avez interrompu votre scolarité ou n'avez
pas suivi le bon parcours ? Pas de panique, il existe de nombreux secteurs
porteurs qui recrutent sans diplôme.
Trouver un emploi lorsqu'on n'a pas fait d'études, qu'on ne dispose
d'aucun diplôme ou que l'on souhaite se reconvertir peut sembler
complexe. La bonne nouvelle ? Ce sont les conclusions de l'enquête
annuelle de Pôle Emploi « Besoin de Main d’œuvre » 2019. Elle révèle
que les profils les plus demandés sur le marché du travail concernent
majoritairement des emplois peu ou pas qualifiés : agents d'entretien,
aides à domicile, BTP... Vous avez donc toutes vos chances pour trouver
facilement et rapidement du travail.
En effet, de nombreuses entreprises embauchent sans autre condition
d'accès qu'une forte motivation et des qualités personnelles. Sans
diplôme ne signifie pas sans atout ! Au cours de votre parcours
professionnel, vous avez certainement développé des compétences et des
savoir-être suffisants pour décrocher un emploi sans diplôme.
Vous n'avez pas d'expérience professionnelle ? Pensez à l'intérim !
L'accumulation de missions va vous permettre d'étoffer rapidement votre
CV et de découvrir de nombreux nouveaux métiers. Notez également que
dans les secteurs avec de nombreux postes à pourvoir ou qui peinent à
recruter, les entreprises proposent de plus en plus régulièrement des
formations à l'embauche.
Dans tous les cas, tournez-vous vers les agences emplois labellisées
d'ACTUAL ! Expertes métiers, elles vous accompagnent dans la
valorisation de vos compétences sur un secteur précis.
Petit tour d'horizon des métiers qui recrutent le plus sans diplôme.
Les métiers du secteur tertiaire accessibles sans diplôme ni qualification
Les métiers de la relation clients
Vous avez le sens de la communication et le goût de la relation client
? C'est une chance : les métiers de Chargé de clientèle, Téléconseiller
et Télévendeur offrent de très nombreux postes à pourvoir, même aux
débutants !
En effet, avec la modernisation du secteur, les entreprises forment en
interne leurs nouvelles recrues. Elles s'adressent donc à tous types de
profils.
En outre, ces métiers aboutissent facilement après quelques temps à des
postes à responsabilités comme Superviseur ou Responsable d'équipe.
Les métiers de la logistique
Le secteur de la Logistique, en pleine évolution technologique, offre
lui aussi de nombreuses opportunités d'emploi accessibles sans diplôme,
avec des possibilités d'évolution intéressantes vers des métiers comme
Chef d'équipe logistique. C'est le cas notamment des métiers suivants :
Vous n'avez pas de diplôme mais disposez du CACES ? Optez pour le
métier de Cariste 1/3/5.
Les métiers du commerce
Le commerce est l'un des secteurs les plus porteurs lorsqu'on est sans
diplôme. Des qualités comme le sens de l'accueil et un bon relationnel
suffisent souvent à se démarquer pour décrocher un poste d'employé de
libre-service ou d'hôte de caisse.
Les métiers de l'hôtellerie et de la restauration
Ce secteur est en demande régulière de Serveurs, Plongeurs,
Réceptionnistes, Employés de chambre... notamment parce qu'il s'agit de
métiers où la saisonnalité joue un rôle important.
Occupés par 25% de jeunes, ces métiers restent ouverts à tous les
profils, sans diplôme et sans qualification.
Les métiers de l'environnement et de la propreté
Souvent mal connus, les métiers de l'environnement et de la propreté
sont pourtant très demandés sur le marché du travail et facilement
accessibles. On pense notamment aux Agents de tri dans les centres qui
procèdent au recyclage des produits, emballages et déchets.
Ce secteur regroupe également les métiers liés aux services aux
entreprises, comme l'Agent d'entretien et de propreté des locaux. Un
métier qui recrute massivement et permet un accès ou un retour à
l'emploi rapide. L'évolution est également possible ici. Le
professionnel peut se spécialiser sur des matériels ou engins
spécifiques, à l'aide de formations courtes et d'habilitations.
Les métiers des services à la personne
Garde d'enfant, Aide à domicile, Agent d'entretien de petits travaux et
de jardins... : tous ces métiers dédiés à faciliter la vie quotidienne
des familles et des personnes fragiles proposent souvent des postes en
CDI à temps partiel sans condition de diplôme ou de formation à
l'embauche.
Les métiers du secteur secondaire accessibles sans diplôme et sans
qualification
Les métiers du viticole-vinicole
La filière vitivinicole recrute ! Et pas seulement pendant les
vendanges ! Les missions et les profils de poste sont très variés dans
ce secteur. Et de nombreux métiers sans diplôme et sans formation – si
vous êtes intéressé et motivé – vous permettent de faire vos premiers
pas dans ce secteur porteur :
Les métiers de l'agroalimentaire
La filière agroalimentaire embauche particulièrement dans les métiers
de la production et de la commercialisation. Là encore, des postes sans
diplôme sont ouverts à l'emploi :
couteau est obligatoire : cuisinier par exemple)
Les métiers dans l'infrastructure du numérique
La filière des infrastructures du numérique couvre l’ensemble des
activités nécessaires au déploiement des réseaux de haut débit mobile
et fixe. Le déploiement du Très Haut Débit sur tout le territoire
entraîne actuellement un énorme besoin de main d’œuvre. Parmi les
métiers recherchés, on retrouve notamment celui de Monteur-raccordeur
télécoms, accessible sans diplôme. D'autres, qui nécessitent
habituellement un diplôme, peuvent vous ouvrir leurs portes en fonction
de votre expérience :
Et les métiers du BTP ?
Quand on pense aux métiers sans diplôme, on pense souvent au secteur de
la construction et du bâtiment. Premier employeur de France, le secteur
du BTP propose en effet de nombreux postes sans diplôme avec de belles
perspectives d'évolution au fur et à mesure de l'expérience acquise.
Toutefois, il s'agit de métiers techniques qui requièrent des
qualifications professionnelles. Pour les acquérir, il existe de
nombreuses solutions, parmi lesquelles :
Les métiers des Travaux Publics
Les métiers du Second œuvre
Les métiers du Gros œuvre
Vous voulez d'abord voir comment cela se passe sur un chantier avant de
vous lancer dans une formation ? Intégrez le secteur comme débutant en
tant que Manœuvre. Cet Ouvrier polyvalent sans qualification réalise
différentes tâches de manutention et d'assistance aux équipes. Un bon
moyen de faire un premier pas dans le BTP !
EN BREF
On recense de nombreuses offres d'emploi accessibles sans diplôme.
Souffrant souvent de préjugés ou de stéréotypes, ces métiers peinent
parfois à recruter. Pourtant, ils représentent une opportunité de
carrière intéressante pour les candidats. Qu'ils apprennent sur le tas
où via des formations courtes pour les plus spécifiques, ils offrent
tous de réelles possibilités d'évolution grâce à l'expérience.
Notez enfin que de nombreuses entreprises ouvrent leurs portes à des
candidats non qualifiés et débutants qu'ils forment en interne : c'est
l'assurance d'obtenir un poste durable pour les plus motivés !
Vous voulez en savoir plus sur un métier spécifique ? Contactez votre
agence emploi labellisée ACTUAL !
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Décryptage du contrat de mission
Au démarrage de chaque nouvelle mission d'intérim, vous signez un
contrat. Nous vous aidons à bien le comprendre en détaillant ses
différentes rubriques.
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Blog & actualités
1. Blog & actualités
2. Comment reconnaître un faux diplôme ?
Retour
Comment reconnaître un faux diplôme ?
Comment reconnaître un faux diplôme ?
Luc Jarry-Lacombe
2021-04-26
Le faux diplôme est une espèce en voie d’apparition ! Avec la fin de
l’impression papier des diplômes dans de nombreuses universités, mentir
sur une compétence ou une certification n’a en effet jamais été aussi
facile. Falsifier un diplôme, inventer certaines formations effectuées
ou encore insérer de fausses informations sur le Curriculum Vitae sont
désormais des actions fréquentes chez les candidats peu scrupuleux lors
d’entretien de recrutement. Ainsi, selon une étude du Florian Mantione
de 2018, 85% des candidats déclarent normal d’arranger leurs CV.
Face au fléau du faux diplôme, de nombreuses entreprises s’organisent
pour tenter de détecter les fausses informations. Questionnaire précis,
vérification auprès d’organismes extérieurs : lors de la phase de
recrutement, les entreprises doivent maintenant inclure un système de
contrôle concernant la formation et l’éducation réellement effectuées
par leur candidat.
Curriculum
Mais reconnaître un faux diplôme n’est pas chose aisée. Comment
distinguer le vrai du faux ? Quels moyens existent pour authentifier
les informations fournies ?
Quelles démarches peuvent être effectuées par les recruteurs pour vérifier
l’authenticité d’un diplôme ?
En 2013, une étude du cabinet de conseil en recrutement Florian
Mantione avance un chiffre effrayant pour les recruteurs : selon un
échantillon de 352 entreprises interrogées, 33% des candidats à une
offre d’emploi s’attribueraient souvent ou toujours un faux diplôme.
Site de faux diplômes
Mais qu’est-ce qu’un faux diplôme ? Le faux diplôme regroupe des
facettes bien différentes, du document officiel falsifié à la réalité
légèrement enjolivée par un candidat lors d’un recrutement. Par
exemple, selon une étude du même cabinet, 75% des CV des candidats ne
reflèteraient pas en toute honnêteté le parcours du candidat. Le faux
diplôme n’est pas qu’une question de faux documents : il regroupe des
réalités plus complexes.
Dès lors, quelles solutions existent pour les recruteurs ?
La vérification auprès des organismes concernés
Selon le cabinet RecrutementDigital, 33% des employeurs n’effectuent
aucune vérification des diplômes présentés et seulement 25% des
recruteurs demandent à consulter les diplômes originaux. La
vérification la plus efficace, mais également la plus fastidieuse pour
un recruteur est de se renseigner directement à la source. Les
recruteurs peuvent contacter les organismes où le candidat prétend
avoir suivi une formation. À la fois directe et sans appel, cette
démarche est bien souvent la plus préconisée en cas de doute sur un
candidat.
Cependant, ce processus prend du temps : il implique de contacter
parfois plusieurs établissements et de communiquer avec plusieurs
intermédiaires. Par ailleurs, cette démarche peut facilement devenir
très chronophage dans une entreprise d’envergure avec des besoins en
recrutement de plusieurs centaines de personnes chaque année.
Enfin, ce processus de vérification est également encadré juridiquement
: les candidats doivent être informés de cette procédure et donner leur
accord. Une étape de plus dans un processus de vérification déjà très
lourd.
La vérification auprès d’un ancien employeur
La vérification auprès d’un ancien employeur
Téléphoner à un ancien employeur devient petit à petit une étape
incontournable dans un processus de recrutement. En effet, des études
démontrent que plus le postulant à de l’expérience professionnelle sur
son CV, moins le service de recrutement vérifie ses informations. Mais,
toujours selon l’étude du Florian Mantione, seulement dans 53% des cas
le poste occupé correspond à la réalité. Missions survolées,
compétences non maîtrisées, postes survalorisés… L’appel à un ancien
employeur reste bien souvent un moyen efficace de repérer les personnes
mal intentionnées.
Contacter l’ancien employeur apparaît alors comme un moyen fiable de
vérifier la formation ainsi que les compétences de l’aspirant.
Quelles sont les questions à poser à un ancien employeur ?
compétences réellement développées ;
Les axes à aborder lors de l’entretien d’embauche
Parfois, la falsification d’un diplôme porte sur des candidats
possédant réellement le diplôme en question, mais falsifiant leur
parcours académique. Certains candidats enjolivent ainsi leur formation
et déclarent soit avoir reçu des compétences qui n’ont jamais été
proposées dans leur cursus scolaire, soit avoir suivi au sein de ce
cursus une matière qu’ils n’ont pas réellement étudiée. Ces fausses
informations sont souvent les plus difficiles à déceler pour un
recruteur, car le candidat connaît l’établissement et les formations
qui y sont dispensées.
Se renseigner en amont sur le parcours académique en question permettra
au recruteur d’aiguiser ses questions lors de l’entretien. Plus un
questionnaire est précis, plus le mensonge sera facilement décelé.
Il convient par exemple de faire des recherches sur les matières
proposées par la formation du candidat : nom du professeur enseignant,
module enseigné, etc. Ainsi, lors de l’entretien d’embauche, le
recruteur peut pousser le candidat dans ses retranchements tout en
vérifiant s’il a réellement suivi ce parcours académique. Le recruteur
doit se fier à son instinct, s’il ressent que le candidat ne maîtrise
pas certains aspects de son parcours, il se doit d’approfondir les
sujets pour s’assurer de l’authenticité du parcours.
De plus, pour s’assurer de la véracité d’un diplôme en langue
étrangère, un des moyens les plus simples est d’effectuer une partie de
l’entretien d’embauche dans cette langue. Le recruteur verra alors
directement les compétences du candidat dans cette langue. À savoir que
64% des postulants en moyenne surestiment leurs connaissances dans une
langue étrangère.
Bien analyser les diplômes et le CV
Enfin, la technique la plus évidente reste de bien analyser le diplôme
en question. L’attestation de diplôme est un document officiel qui se
doit d’être irréprochable. La police du texte doit être identique, sans
aucune faute d’orthographe, le contenu doit être cohérent et la
signature du document doit apparaître de manière distincte et nette.
Analyse d'un CV
Demander des informations précises sur le diplôme est également
recommandé. Des données telles que le nom complet du diplôme et sa
spécialisation, le lieu ou encore l’année de promotion.
Certaines mentions légales sont obligatoirement inscrites sur un
diplôme officiel. Des mentions telles que la dénomination du diplôme
dans son intégralité ainsi que la date et le lieu de naissance du
candidat.
Pour en savoir plus :
Bulletin officiel n°47 du 21 décembre 2006
Le respect du droit du travail et de la protection des données
Se renseigner sur les diplômes et les expériences effectuées par le
candidat apparaît comme une démarche nécessaire pour le recruteur.
Cependant, ces actions demeurent encadrées par la loi.
Le candidat doit être informé des techniques que le recruteur utilise
pour vérifier ses compétences et aptitudes. De plus, toutes les
recherches effectuées doivent être en lien direct avec le poste
envisagé. Selon l’article L. 1221-6 du Code du travail “Ces
informations doivent présenter un lien direct et nécessaire avec
l’emploi proposé ou avec l’évaluation des aptitudes professionnelles”.
L’article 9 du Code civil protège également les données personnelles
telles que les opinions politiques, la religion ou la famille du
candidat.
Quelles solutions existent pour aider les recruteurs à détecter les faux
diplômes ?
Vérifier l’authenticité d’un diplôme en interne est une tâche
compliquée et fastidieuse : c’est une vérification qui peut prendre du
temps au recruteur. Et le temps, pour une entreprise, c’est de l’argent
!
Un processus de recrutement se déroule généralement sur une période
courte et restreinte. L’employeur souhaite trouver son nouveau salarié
dans les meilleurs délais : se renseigner sur les parcours académiques
et les diplômes en interne apparaît ainsi souvent comme une perte de
temps.
Depuis quelques années, de nombreuses innovations technologiques ont vu
le jour pour faciliter les démarches de vérification des diplômes.
Voici un aperçu des différentes solutions qui existent pour faciliter
la vérification des faux diplômes.
Faire appel à une entreprise de vérification
Une entreprise de vérification est un prestataire extérieur qui
s’occupera à la place du recruteur de faire les recherches adéquates
pour authentifier un diplôme. La vérification s’effectue généralement
par le biais d’une base de données mise en place grâce à des
partenariats avec les organismes délivrant les diplômes. En France, on
peut par exemple citer la plateforme EveryCheck. Il faut bien sûr
prévoir le budget adéquat pour intégrer ce service à vos process
administratifs.
Diplôme.gouv, la solution du gouvernement
Suite à la recrudescence des faux diplômes, l’État français a réagi :
le ministère de l’Éducation nationale a mis en place une plateforme où
sont regroupés les diplômes et les attestations de réussite délivrés
par l’État. Ce service permet de télécharger des attestations, mais
également de fournir des clés d’accès aux potentiels employeurs afin
qu’ils vérifient d’eux-mêmes le diplôme.
Quels sont les diplômes référencés ?
L’avantage de cette plateforme se trouve dans sa fiabilité, elle est
régie et contrôlée par l’État. Cependant, peu de diplômes sont
référencés ce qui est un inconvénient majeur pour les entreprises à la
recherche de candidats très qualifiés.
La technologie blockchain au service de la vérification de diplôme
La blockchain permet de résoudre le problème à la racine. Grâce à sa
technologie blockchain, BCdiploma propose un service de
dématérialisation de diplômes et d’attestations infalsifiables et 100%
en ligne.
BCdiploma permet aux établissements d’enseignement supérieur qui
utilisent le service de fournir à leurs diplômés et étudiants des
attestations en ligne sécurisées et authentifiées sur tous les
supports. À l’aide d’un lien URL, vous donnez un accès direct et
sécurisé vers vos diplômes authentifiés. Les employeurs n’ont plus qu’à
cliquer sur le lien pour consulter un diplôme et ainsi être assurés de
leur véracité.
Cette technologie est multilingue : les diplômes ou les certifications
peuvent être accessibles en plusieurs langues, à partir d’un lien
unique. Une option idéale pour attester de l’authenticité d’un diplôme
obtenu par des étudiants français partis faire leurs études à
l’étranger, par exemple.
Plus de 100 institutions de 16 pays ont choisi de faire confiance à la
technologie blockchain de BCdiploma. Les services de recrutement des
entreprises ne perdent ainsi plus de temps à essayer d’authentifier un
diplôme !
Références :
pdf
-des-rh-pour-deceler-les-cv-frauduleux.html
me-florian-mantione-auteur-fondateur-cabinet-recrutement
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Diplômes perdus : un nouveau service en ligne pour obtenir une attestation de
ses diplômes
Diplômes perdus : un nouveau service en ligne pour obtenir une
attestation de ses diplômes
Diplôme du baccalauréat ou de BTS égaré ? On peut désormais télécharger
directement une attestation certifiée depuis la plateforme
gouvernementale diplome.gouv.fr. Le service sera progressivement
enrichi par les diplômes de l’enseignement supérieur.
À noter que la plateforme délivre des attestations numériques
certifiées de diplômes et permet également à des tiers (par exemple,
des futurs employeurs) de vérifier l’authenticité d’un diplôme grâce à
une clé de contrôle fournie par le diplômé. Pour se connecter au
service, on doit soit s’identifier par le biais de son
compte « FranceConnect », soit créer un compte sur la plateforme.
Attention, on doit indiquer le même nom et prénom que sur ses diplômes.
© Sarah Corbeel – Dossier Familial – décembre 2019
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Auteur Message
Rachelle26
Inscrit le :
12 avr. 2005
Posté le: 2 avril 2010 18:45:26 EDT
Patjet a écrit
C'est certain que ça dépend du diplôme aussi. Un camionneur (qui
travaille généralement beaucoup) peut gagner plus cher que quelqu'un
qui a un bacc en récréologie. Mais pas plus qu'un avocat ou un actuaire
par contre.
Sauf que le camionneur (mon chum aussi en est un) devra travailler une
grosse partie de sa vie à faire du 60 heures par semaine s'il veut
conserver son rythme de vie et son salaire. Et on peux-tu s'entendre
pour dire que les conditions de travaild'un camionneur, n'égaleront
jamais les conditions de travail d'un un récréologue.
Mon chum est loin d'avoir ses heures de garanties, il travaille
toujours peu importe les conditions météorologiques, de soir, de nuit
etc. Un récréologue, fera en général du 8 à 4 (tout dépend où il
travail, mais disons qu'il est dans la fonction publique là, dans un
Cégep par exemple), il a son heure de dîner, des congés aux fêtes, des
avantanges sociaux etc. Je préfère, de loin être récréologue!
revenir en haut
MeteO
Inscrit le :
21 déc. 2008
Posté le: 2 avril 2010 18:44:00 EDT
maive a écrit
MeteO a écrit
Mon mari a étudié en DEP mecanique diésel, ensuite il a décidé d'aller
sur la route en tant que camionneur et il gagne plus que quelqu'un qui
a un DEC ou un BAC alors je crois que ça dépend du métier et de la
disponibilité de l'emploi.
Mon père lui travaille à Rio Tinto Alcan et gagne plus qu'une
infirmière bachelière au dernier échelon et n'a pas étudié la dedans...
Ah, j'oubliais, j'ai un oncle qui vend du pot et qui fait plus que mon
parrain qui est architecte.. Rolling Eyes
C'est sûr qu'on connaît toutes quelqu'un qui n'a pas d'études et qui
fait un bon salaire.. Là n'est pas le point.
Beaucoup de la communauté artistique ont peu ou pas d'étude et se font
dans les 6 chiffres.. Est-ce une raison pour ne pas aller à l'école?
Je n'ai pas dit le contraire je disais que c'téait relatif au métier.
revenir en haut
minounic
Inscrit le :
15 juil. 2008
Posté le: 2 avril 2010 18:17:27 EDT
ok, dsl je suis en désaccord..
je veux bien vivre des expériences...mais quand on cumule le cout de
renonciation au salaire durant les années qu'on ne peut pas travailler
plus la dette d'études et les frais de scolarité/manuels..bein ca monte
au-dessus de 105 000$. Pis c drôle là, mais je pense pas que si je dis
à mon mari: vient, on va dépenser 105 000$ sur un tel projet! Écoute,
ca va rien apporter mais maudit ca va être trippant! Rolling Eyes
dsl, mais l'équation ne peut pas égaler rien d'autres que: c mieux de
rapporter qqchose faire ca parce que j'ai pas l'intention de gaspiller
mon cash pour le plaisir..
tant qu'à y être, a 105 000, j'irais faire le tour du monde pour
l'expérience Rolling Eyes
revenir en haut
Patjet
Inscrit le :
18 janv. 2010
Posté le: 2 avril 2010 15:08:06 EDT
Oh boy! image mentale de Georges Laraque en train de faire une
transplantation coeur-poumons LOL
revenir en haut
Calipso
Inscrit le :
17 juin 2008
Posté le: 2 avril 2010 13:33:09 EDT
Je suis d'accord avec les derniers commentaires...La valeur des
connaissances acquises sur les bancs d'école ou du diplôme obtenu n'est
pas (toujours) en équation directe avec le salaire qu'on fait.
Parce que si c'était en équation directe, ça voudrait dire que, dans
encore bien des domaines, les femmes sont plus incultes que les hommes,
et que les joueurs de hockey pourraient opérer à coeur ouvert ou
plaider à la cours pénale internationale Confused
revenir en haut
Anonyme
Inscrit le :
04 déc. 2007
Posté le: 2 avril 2010 13:04:39 EDT
Maive,
Je suis tellement d'accord avec toi. Moi je trouve ça très limité la
simple équation diplôme=$$$. C'est l'$ et la consommation la valeur la
plus importante au Qc. L'éducation c'est loin derrière.
revenir en haut
**membre bannie**
Inscrit le :
21 sept. 2009
Posté le: 2 avril 2010 11:58:49 EDT
MeteO a écrit
Mon mari a étudié en DEP mecanique diésel, ensuite il a décidé d'aller
sur la route en tant que camionneur et il gagne plus que quelqu'un qui
a un DEC ou un BAC alors je crois que ça dépend du métier et de la
disponibilité de l'emploi.
Mon père lui travaille à Rio Tinto Alcan et gagne plus qu'une
infirmière bachelière au dernier échelon et n'a pas étudié la dedans...
Ah, j'oubliais, j'ai un oncle qui vend du pot et qui fait plus que mon
parrain qui est architecte.. Rolling Eyes
C'est sûr qu'on connaît toutes quelqu'un qui n'a pas d'études et qui
fait un bon salaire.. Là n'est pas le point.
Beaucoup de la communauté artistique ont peu ou pas d'étude et se font
dans les 6 chiffres.. Est-ce une raison pour ne pas aller à l'école?
revenir en haut
Patjet
Inscrit le :
18 janv. 2010
Posté le: 2 avril 2010 09:16:38 EDT
C'est certain que ça dépend du diplôme aussi. Un camionneur (qui
travaille généralement beaucoup) peut gagner plus cher que quelqu'un
qui a un bacc en récréologie. Mais pas plus qu'un avocat ou un actuaire
par contre.
revenir en haut
MeteO
Inscrit le :
21 déc. 2008
Posté le: 2 avril 2010 09:06:24 EDT
Mon mari a étudié en DEP mecanique diésel, ensuite il a décidé d'aller
sur la route en tant que camionneur et il gagne plus que quelqu'un qui
a un DEC ou un BAC alors je crois que ça dépend du métier et de la
disponibilité de l'emploi.
Mon père lui travaille à Rio Tinto Alcan et gagne plus qu'une
infirmière bachelière au dernier échelon et n'a pas étudié la dedans...
Ma belle-soeur a un DEC en comptabilité et gagne moins que moi qui a un
DEP en secrétariat et là je vais faire médicale et je vais augmenter
encore de salaire..
revenir en haut
Korria
Inscrit le :
16 déc. 2007
Posté le: 2 avril 2010 01:19:44 EDT
Je vous aies lu toutes du début à la fin. Je trouve très intéressant de
voir le point de vu de chacune sur le niveau de scolarité. Pour ma
part, j'ai réfléchis longtemps à mon retour aux études, un Dec ou un
BAC???
J'ai décidé d'aller faire le DEC en comptabilité et gestion, car c'est
un domaine qui m'intéresse aujourd'hui. Je ne me voyais pas aller faire
le DEP en comptabilité qui dure seulement 1 an, car je désirais avoir
plus de connaissance.J'avais déjà une autre technique, alors j'ai une
partie de faites. Oui, un meilleur salaire, mais des connaissances en
plus.
Je n'ai pas choisi le Bac en science comptable, car sa demande
énormément plus de temps, d'énergie et surtout de l'argent. Je me suis
beaucoup renseignée auprès de mon entourage étant dans se domaine, et
pour avoir le salaire, il faut avoir un titre comptable qui demande
encore plus de temps, ou sinon c'est à peu près le même salaire que la
technicienne, si on a seulement le Bac.
Présentement, je finis ma première année et je suis très contente de
mon choix. Je suis aux études 5 jours semaines, je travaille la fin de
semaine, j'ai ma fille et mon conjoint et j'en suis très heureuse.Je ne
suis pas très riche présentement, mais le sacrifice au niveau du
salaire en vaut la peine.
Ronnie27 : Comme toi, j'ai fait un Dec en Design d'intérieur et sa vaut
rien pantoute. Tout le monde pense que je suis décoratrice, sa me fache
tellement. Se n'est pas pour moi, si je pouvais retourner en arrière je
ne le ferais pas.
Korria
revenir en haut
Anonyme
Inscrit le :
04 déc. 2007
Posté le: 1 avril 2010 22:28:09 EDT
Je comprends. Wink
revenir en haut
bébé kangourou
Inscrit le :
15 mars 2010
Posté le: 1 avril 2010 22:25:11 EDT
Bernie: hummm ça m'arrive de ne pas être capable d'exprimer clairement
ce que je veux dire... Je pense que je comprend ce que tu veux dire, et
je respecte ton opinion. J'ai vécu les deux côtés de la médaille. Alors
que j'étais étudiante en Droit, c'est incroyable à quel point j'avais
de la considération des autres lorsqu'on me demandait en quoi
j'étudiais. Puis j'ai arrêter pour avoir mes enfants et je suis restée
à la maison par choix pendant 6 ans. J'ai eu tellement de commentaire
du genre alors quand iras-tu travailler pour vrai. Surprised Euh c'est
parce que je considère que j'ai un travail à temps plein. Rolling Eyes
Prendre soin de mes enfants étaient ce que je considéraient comme le
travail le plus important à ce moment. La quantités de remarques
méprisantes que j'ai reçu m'a écoeurée un peu du système. Maintenant
que je travaille, que je me sens utile à ma place, je me fais dire
alors quand est-ce que tu iras étudier pour avoir enfin un diplôme....
C'est de ça que je m'indigne et pas envers les gens qui font des
études. Ni envers l'éducation.
revenir en haut
Anonyme
Inscrit le :
04 déc. 2007
Posté le: 1 avril 2010 22:00:02 EDT
Bébé kangourou,
Je peux comprendre ta frustration par rapport à la reconnaissance dans
ton domaine professionnel et le fait que tu sentes que tu doives te
battre pour prouver que tu es compétente compte tenu de l'absence de
diplôme.
Cependant, je ne dis qu'il n'y a pas d'autres moyens d'acquérir la
connaissance. Je dis que les études constitue un moyen privilégié de le
faire.
Moi aussi je travaille avec les gens et pour les gens et j'ai fait des
études. Je ne suis pas certaine de saisir le rapport avec les études?
Il y a plein de domaines d'études qui mènent à travailler pour les gens
et avec les gens.
Par ailleurs, je ne partage pas ton opinion de manière générale car je
trouve pas que les études sont suffisament valorisés au Qc. Peut-être
est-ce vrai dans ton cas particulier, mais pour moi ce n'est pas ce
qu'on observe de manière générale.
revenir en haut
bébé kangourou
Inscrit le :
15 mars 2010
Posté le: 1 avril 2010 21:27:08 EDT
Bernie: Je ne dis à aucun moment que les études ne sont pas importantes
ou que ça ne sert à rien. Et désolé, mais non je ne suis pas reconnue
pour le travail que je fais et ce n,est pas une question d'argent. Je
travaille avec les gens pour les gens. Chaque jour j'écoute,
j'accompagne, je rassure, je donne sans compter. Des connaissances j'en
ai, mais je me fais sans arrêt dire que ce que je sais ne compte pas,
et ce sera comme ça jusqu'à ce que je fasse ma certification. C'est ça
qui me fâche, et pas le fait d'aller étudier. Ce que tu dis est vrai,
par contre je peux te dire que c'est notions que tu mentionnes plus
haut, d'acquérir des connaissances, le sens critique, les outils pour
intervenir je retrouve tout ça dans mon travail et bien plus. Le
communautaire pour moi est la plus grande école qui soit. Des
formations, des lectures, l'apprentissage sur le terrain, l'analyse
etc... Je l'ai appris en fesant ce que j,aime et en échangeant avec les
autres, pas sur les bancs d'école. J'ai travaillé dur pour faire ce que
je fais aujourd'hui. Ma frustration c'est d'avoir à prouver que je suis
compétente et pour le faire il faut nécessairement que ça passe par un
bout de papier...
revenir en haut
minounic
Inscrit le :
15 juil. 2008
Posté le: 1 avril 2010 21:26:37 EDT
ronnie77: je repete: j'ADORE mon domaine..dernierement, j'ai fais le
menage dans mes livres et ca me demangeais de les ouvrir juste pour
pratiquer qq exercices! Laughing MAIS! Et c la le bemol...j'aurais fait
la technique avoir su tout ca plutot que le bacc. Et tu sais, c pas
nécessairement les orientateurs (?) le probleme...ils nous conseillent
quand on est en sec 4 ou 5. Tu t'enligne pour le bac et tu en
ressors....5-6 ans plus tard. Y'a des choses qui se passent dans ce
temps-là ma chère! lol Ainsi, mon mari gagne presque 10 000 de plus que
promis en sec 5...moi, j'étais pas pire comme je prévoyais. sauf
que..on m'avait pas mentionné que le technicien gagnait pareil.
Mais bon! Si jeunesse savait, si vieillesse pouvait, hein? lol (et non,
je retourne pas faire un bac dans mon domaine...lol...je trouverais ca
vraiment trop facile vu j'ai l'expertise! lol)
revenir en haut
Anonyme
Inscrit le :
18 nov. 2008
Posté le: 1 avril 2010 21:17:31 EDT
MInounic: je crois que ce que tu veux dire c'est que la différence
entre la réalité du marché du travail et l'idée qu'on se fait du métier
c'est souvent deux choses Très différence!!! On idéalise, on ne connait
pas vraiment les horaires de travail, les salaires. etc..
Les orienteurs sont souvent mal informés, ou les livres sosur le sujet
ne disent pas tout. Voilà pourquoi plussieurs ici, on changé de
domaine, retourner aux études ou bien par chance car ils ont la chance
de bien CE connaitre on fait les bons choix.
Les études s,est bien mais pourquoi juger les gens quand ils ont fait
le choix de faire UN DEP, DEC, ASP, ou BAC..etc. Le but premier s'est
d'aimer son travail, d'être bien d'avoir une conciliation travail
famille qui fonctionne et d'être en paix.. Mais les statistiques sont
là pour nous dire que la majorité des Québecois sont pas si heureux que
ça au travail et que beaucoup changerait de domaine si la vie leur
permettrait ou si ils prendraient le temps de retourner aux études. Ça
en dit beaucoup..
Il faut de tout pour combler les différentes classes de notre société
mais si tout le monde choisi aux salaires.. qui est-ce qui va emballer
vos épiceries????
Je suis heureuse et fière de moi même si autour de moi on me regarde
comme ça Surprised ¨ca fait du bien de dire :MOI je suis heureuse à mon
travail!!!!!
revenir en haut
Anonyme
Inscrit le :
04 déc. 2007
Posté le: 1 avril 2010 21:16:12 EDT
Moi contrairement au commentaire au départ je ne trouve pas du tout que
les diplômes sont si valorisés que ça au Qc. Nous sommes champions su
décrochage scolaire au Canada et nous sommes parmis les derniers, il me
semble, quant au taux de diplômation parmi les pays de l'OCDE (si on la
compare la province aux pays membres).
De plus nous avons les personnalités les plus admirés au Qc. sont des
décrocheurs scolaires. On les admire car ils font de l'$. selon moi, ce
ne sont pas les études qui sont valorisées mais bien l'$. Une
illustration de ça c'est que bien souvent on considère les études que
comme ayant pour vocation première de faire de l'$. Moi je trouve ça
très triste.
Les études oui pour la carrière mais c'est surtout la façon privilégiée
d'acquérir des connaissances, de développer un sens critique, une
pensée scientifique, développer un sens d'analyse, d'acquérir des
outils pour mieux réfléchir, mieux intervenir, etc. Je ne comprends pas
comment on peut trouver ça inutile et non précieux.
Des gens se battent partout dans le monde pour accéder ne serait-ce
qu'à un minimum d'éducation mais c'est pas important pour nous. Je
trouve ça particulier.
revenir en haut
Babsi
Inscrit le :
24 sept. 2007
Posté le: 1 avril 2010 21:14:25 EDT
J'ai un DEC en Art visuel.
Ensuite, j'ai fais un cours privé en Aviation, pour être contrôleur
aérien. J'ai rushé comme une dinde (je n'étais pas très responsable à
l'époque). C'est un mélange de mathématiques,de droits,de génie
mécanique et de météorologie. Ce n'est que des calculs, des graphiques,
des analyses, et t'as intérêt à être présent d'esprit et assez futé,
car une simple erreur de calcul peut faire crasher l'avion. Too much
responsibilities.
J'ai mon diplôme mais je n'ai jamais eu mon permis chez Transport
Canada...j'ai eu 78%...ça prenais 80%...Blasée...Fallait attendre 3
mois, payer plusieurs centaines de dollars pour le repasser. ''Fuck
it''
Ensuite,j'ai une formation d'étudiante libre au certificat en Culture
musicale. J'ai pogné la mononucléose sévère qui a dégénérée avant les
exams...3 mois d'hospitalisation, fatigue extrème...Bref, j'ai les
connaissances, mais pas le bout de papier.
Et présentement, je fais un baccalauréat multidicisplinaire en
communications, anthropologie et psychologie. Je termine ma première
année en comm cette session-ci.
Mes parents n'ont JAMAIS privilégiés mes études. Ils n'ont d'ailleurs
jamais débourser d'argent...même mes passes de stationnement. Par
contre, ils sont bien fiers de moi! Laughing
Je suis présentement pigiste en communications, en même temps que mes
études à temps partiel...ça touche surtout le relationnisme ce sur quoi
je travaille présentement. Ça me donne beaucoup d'expérience. Chose que
j'ai d'ailleurs appris en évoluant dans le monde des médias depuis 4
ans. J'ai fais de la radio dans 3 stations de Québec, dont à Énergie,
la nuit...radio sur laquelle je chie souvent pourtant Wink Pas besoin
de diplomes...seulement la passion de communiquer, un langage juste,
des sources fiable, pas trop de nervosité, et un bon sens de l'humour.
Pour ma fille, je ne ferai pas comme mes parents...je vais y souligner
l'importances des études, mais je n'ai pas l'intention de la faire
chier avec ça si ça ne colle pas.
revenir en haut
Coccinelle06
Inscrit le :
21 janv. 2008
Localisation :
Rouyn-Noranda
Posté le: 1 avril 2010 20:55:17 EDT
J'ai pas toute lu, mais je suis d'accord avec le message de départ...
Bon les diplomes sont la pour bien des choses aussi, médecin
infirmier,e il a bien des métiers qui sont nécessaires pour des études,
moi je crois en t-k.
Par contre je vous donne un bon exemple
Mon chum a seulement un sec 2. Il travail dans la construction, il est
journlaier manoeuvre spécialisé. Sa veut dire bouche-trou d'une équipe
un peu. Bah oui bon salaire, mais lui aimerait bien etre couvreur. Pour
etre couvreur, il faut avoir un minimum de sec 3. L'école du Chantier a
Laval, (jai appellé) prennent les personnes avec les meilleures
résultats scolaires, et commencent par ceux qui ont des cégep et des
sec 5 avant tout... En plus de faire passer un examen d'inaptitude
avant l'inscription. Donc ici on oublie sa pour lui. Par contre il
aurait pu by-passer le system, mais il lui tout de meme son sec 3.
Pourtant il travaille la dedans depuis des années, il travaille ds la
compagnie de couverture, a de lexpérience, il fait souvent des taches
de couvreur même s'il a pas le droit (selon la CCQ)... Donc si son
employeur lui promet 1500 heures d'embauche il a le droit a ses cartes,
mais il lui faut son foutu sec 3. Ensuite il va voir a l'école pour
faire un TDG. Sa aussi sa prend un sec 3. Il a pas le droit de le
passer... Donc il doit retourner a l'école, finir son 3 pour avoir ses
cartes de compétences de couvreur, même si sa fait 5 ans qui travail ds
son métier et qu'il en connait déja plus que qqun qui sort de
l'école... je trouve sa ORDINAIRE....
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maman3x
Inscrit le :
28 avr. 2009
Posté le: 1 avril 2010 19:21:09 EDT
Yin & Yan a écrit
Et, l'été dernier, on cherchait un prof dans une autre polyvalente de
la région. Il a été choisi contre des gens avec un Bacc, mais il y a
aussi le fait qu'il avait déjà de l'expérience et une solide réputation
avec l'ancienne directrice. Ce qui lui a valu un méchant coup de pouce.
Et bien ÇA j'avoue que je trouve ça poche pour ceux qui ont mis
beaucoup d'effort, d'énergie et d'argent dans une formation de 4 ans
que le ministère EXIGE... désolé si je te fâche.... un diplôme ça dit
pas tout mais quand tu as des finissants ayant mis tant d'effort à
réussir je trouve ça bizarre qu'ont ne leurs donne pas la chance qui
leurs reviennent!
De plus les enseignants non ''qualifié'' sont payé la même chose que
ceux qu'ils sont... alors pourquoi les étudiants en enseignement
s'endetterait de 15 000-20 000$ et perdraient 4 ans de salaire?
C'est ben beau l'apprentissage et le savoir mais personne ici
cracherait sur un salaire pour vivre!
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Société
Diplôme du BAC égaré, quels recours?
rat-bit
Par rat-bit,
le 27 janvier 2004 dans Société
Messages recommandés
rat-bit Pilote chevronné
rat-bit
Posté(e) le 27 janvier 2004
rat-bit
Posté(e) le 27 janvier 2004
Salut.
Lors d'un grand tri dans mes papiers, j'ai égaré (pour pas dire perdu)
mon diplôme du BAC. :oops: Par contre j'ai toujours mon BTS.
Or je vais bientôt m'inscrire à l'armée de l'air et il demande une
photocopie de mes diplômes.
Je sais qu'on ne me redonnera pas un autre BAC mais y a-t-il un papier
qui puisse prouver que j'ai ce diplôme? J'ai mon relevé de notes.
Où faut-il s'adresser pour avoir un document ayant la même valeur?
merci
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NSV Pilote semi-pro
NSV
Posté(e) le 27 janvier 2004
NSV
Posté(e) le 27 janvier 2004
Si tu as la collante (feuille verte avec les notes), ça devrait être
bon je pense ?
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rat-bit Pilote chevronné
rat-bit
Posté(e) le 27 janvier 2004
rat-bit
Posté(e) le 27 janvier 2004
Si tu as la collante (feuille verte avec les notes), ça devrait être
bon je pense ?
Oui j'ai mon relevé de notes avec écrit en bas admis 1er groupe, avec
un tampon et tout.
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balzout Pilote d'essai
balzout
Posté(e) le 27 janvier 2004
balzout
Posté(e) le 27 janvier 2004
Oui j'ai mon relevé de notes avec écrit en bas admis 1er groupe, avec
un tampon et tout.
Faut un justificatif, tout simplement, et le revelé de notes suffit :)
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Invité §bou067me
Invité §bou067me
Posté(e) le 27 janvier 2004
Invité §bou067me
Posté(e) le 27 janvier 2004
Mon père est parti depuis 6 mois travailler au Maroc en qualité
d'expatrié. Cela fait donc 30 ans qu'il est dans la même boite. Il a
été obligé de retrouver son diplôme d'école de commerce. C'est juste
pour insister sur le fait qu'il faut bien garder tous ses diplômes.
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Invité §naj182kQ
Invité §naj182kQ
Posté(e) le 27 janvier 2004
Invité §naj182kQ
Posté(e) le 27 janvier 2004
Mon père est parti depuis 6 mois travailler au Maroc en qualité
d'expatrié. Cela fait donc 30 ans qu'il est dans la même boite. Il a
été obligé de retrouver son diplôme d'école de commerce. C'est juste
pour insister sur le fait qu'il faut bien garder tous ses diplômes.
On doit toujours pouvoir demander à son école ou bien au rectorat (où
on a passé le bac), non pas un diplome mais une attestation de diplome
non?
Sinon, si ta maison brûle c'est comme si tu n'avait jamais fait
d'études!!!!
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Invité §bou067me
Invité §bou067me
Posté(e) le 27 janvier 2004
Invité §bou067me
Posté(e) le 27 janvier 2004
Bien sur mais il y a toujours un contexte. Pays étranger, personnes
méfiantes, certains ne veulent pas te voir venir travailler....
Des batons dans les roues, quoi. Donc ne pas leur laisser la moindre
ouverture.
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rat-bit Pilote chevronné
rat-bit
Posté(e) le 27 janvier 2004
rat-bit
Posté(e) le 27 janvier 2004
Faut un justificatif, tout simplement, et le revelé de notes suffit :)
Donc d'après toi, si je fais une photocopie de mon relevé de notes ça
ira.
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Invité §uzy336Pg
Invité §uzy336Pg
Posté(e) le 27 janvier 2004
Invité §uzy336Pg
Posté(e) le 27 janvier 2004
Moi je dirais aller ou tu as passer ton bac, pour avoir un duplicata,
ou du moins un papier "officiel" prouvant ton diplome.
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balzout Pilote d'essai
balzout
Posté(e) le 27 janvier 2004
balzout
Posté(e) le 27 janvier 2004
Stressez pas, il a son relevé de notes, ça suffit amplement !
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ced510xe Pilote addict
ced510xe
Posté(e) le 27 janvier 2004
ced510xe
Posté(e) le 27 janvier 2004
Stressez pas, il a son relevé de notes, ça suffit amplement !
En plus il a son BTS, c'est un peu con dans ce cas de demander le bac
non?
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Invité §kra605SL
Invité §kra605SL
Posté(e) le 27 janvier 2004
Invité §kra605SL
Posté(e) le 27 janvier 2004
En plus il a son BTS, c'est un peu con dans ce cas de demander le bac
non?
Peu de gens le savent mais on peut candidater à un BTS sans le bac.
Dans la pratique, c'est très dur bien sûr puisque les écoles qui
préparent aux BTS demandent le bac.
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rat-bit Pilote chevronné
rat-bit
Posté(e) le 27 janvier 2004
rat-bit
Posté(e) le 27 janvier 2004
Peu de gens le savent mais on peut candidater à un BTS sans le bac.
Dans la pratique, c'est très dur bien sûr puisque les écoles qui
préparent aux BTS demandent le bac.
Et puis dans mon cas, on choisi son métier à l'armée en fonction de son
bac même si j'ai un BTS.
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Invité §rha368BX
Invité §rha368BX
Posté(e) le 27 janvier 2004
Invité §rha368BX
Posté(e) le 27 janvier 2004
Ben faut le repasser !
:ptdr:
non le relevé de note suffit !
:)
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rat-bit Pilote chevronné
rat-bit
Posté(e) le 27 janvier 2004
rat-bit
Posté(e) le 27 janvier 2004
Ben faut le repasser !
:ptdr:
non le relevé de note suffit !
:)
:beuh: t'es un fou toi!
J'ai envoyé un amil à une amie qui est secrétaire au lycée où j'ai
passé le bac. On verra ce qu'ils peuvent faire.
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Ze Speed Pilote d'essai
Ze Speed
Posté(e) le 27 janvier 2004
Ze Speed
Posté(e) le 27 janvier 2004
J'ai pas mon diplome du BAC, je l'ai jamais eu et j'ai pas eu de
probleme, le releve de notes ca suffit amplement :D
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Invité §mus433KS
Invité §mus433KS
Posté(e) le 27 janvier 2004
Invité §mus433KS
Posté(e) le 27 janvier 2004
Il faut que tu fasses une demande de duplicatat au rectorat qui t'a
délivré l'original...
par ontre,t'as droit qu'à un seul dupli alors ne le pommes pas
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Invité §rug744RV
Invité §rug744RV
Posté(e) le 27 janvier 2004
Invité §rug744RV
Posté(e) le 27 janvier 2004
si ta le bts personne ne te demandera le bac
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rat-bit Pilote chevronné
rat-bit
Posté(e) le 27 janvier 2004
rat-bit
Posté(e) le 27 janvier 2004
si ta le bts personne ne te demandera le bac
Si à l'armée il le faut. On te dirige vers un métier en fonction de ton
BAC et non du BTS comme moi. mais on est quand même considéré comme bac
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Invité §rug744RV
Invité §rug744RV
Posté(e) le 27 janvier 2004
Invité §rug744RV
Posté(e) le 27 janvier 2004
Si à l'armée il le faut. On te dirige vers un métier en fonction de ton
BAC et non du BTS comme moi. mais on est quand même considéré comme bac
a ok
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Invité §20V082iZ
Invité §20V082iZ
Posté(e) le 27 janvier 2004
Invité §20V082iZ
Posté(e) le 27 janvier 2004
tu peux également appeler ton lycée pour leur demander un duplicata. le
relevé de notes pourrai passer mais il n'a pas la valeur du diplome! je
ne pense pas sincerement qu'ils acceptent seulement le releve de note
meme s'il y a un tampon! :non:
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rat-bit Pilote chevronné
rat-bit
Posté(e) le 30 janvier 2004
rat-bit
Posté(e) le 30 janvier 2004
C'est pu la peine d"e chercher. J'ai retrouvé mon diplôme. c'est ma
mère qui l'avait das ses papiers et elle ne me l'avait pas dit!
Grosse trouille quand même!
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kazouille Pilote d'essai
kazouille
Posté(e) le 30 janvier 2004
kazouille
Posté(e) le 30 janvier 2004
Il faut toujours faire des photocopies certifiées conformes par la
mairie toujours !!!
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Invité §nic401pz
Invité §nic401pz
Posté(e) le 30 janvier 2004
Invité §nic401pz
Posté(e) le 30 janvier 2004
tu peux également appeler ton lycée pour leur demander un duplicata. le
relevé de notes pourrai passer mais il n'a pas la valeur du diplome! je
ne pense pas sincerement qu'ils acceptent seulement le releve de note
meme s'il y a un tampon! :non:
Si ! J'ai rempli mon dossier pour l'armée avec seulement le relevé de
notes de tous mes diplômes, il n'y a aucuns problèmes.
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protestant » Les inégalités de diplôme, au cœur des enjeux politiques
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Les inégalités de diplôme, au cœur des enjeux politiques actuels
Frédéric de Coninck 10/05/2021 Contributions Choisir Savoir
«Des lignes de fractures majeures et assez nouvelles» apparaissent dans
tous les pays riches: comme le montre le livre Clivages politiques et
inégalités sociales, les plus diplômés (désormais nombreux) ne votent
plus à droite et les moins diplômés se partagent entre un vote utile
pour les partis promettant une redistribution économique et un vote
identitaire pour les partis populistes promettant «de les protéger des
influences étrangères». Si la gauche veut conserver un électorat
populaire, il ne suffira plus «de redistribuer des montants financiers
ou des offres de formation», il faudra «redistribuer des places».
Texte publié sur Tendances, Espérance.
Les grandes questions de société ont été comme anesthésiées par
l’épidémie de Covid-19. Elles passent au second plan, refont surface
faiblement de temps en temps, mais ne parviennent pas à passionner les
foules. Quand on pense à la virulence du mouvement des Gilets jaunes,
puis de la grève des transports, juste avant le début de la pandémie,
on doit se frotter les yeux. Les débats sur l’urgence climatique
continuent, eux aussi, mezzo voce. Dans un autre contexte, par exemple,
l’examen actuel de la loi Climat et résilience aurait donné lieu à bien
d’autres expressions publiques.
Il faut se tourner vers des études de fond pour retrouver la
sensibilité à des enjeux sociaux qui traversent et mettent en tension
nos sociétés. C’est ainsi que j’ai été particulièrement stimulé par le
livre collectif Clivages politiques et inégalités sociales (1). Le
propos est simple: sortons de l’étude de l’évolution des votes dans un
seul pays et comparons ce qui se passe dans un large panel de pays. Or
on voit que, dans les pays riches, les évolutions sont largement
similaires les unes aux autres: au-delà de tel ou tel coup tactique, de
l’habileté ou de la maladresse de tel ou tel leader, les mutations sont
de même nature. Cela montre que les tensions que nous vivons, à l’heure
actuelle, ne sont pas des péripéties, mais qu’elles révèlent des
évolutions profondes, qui sont en train de tracer des lignes de
fractures majeures et assez nouvelles.
Les personnes les plus diplômées votent de plus en plus à gauche
L’affirmation essentielle du livre est que, dans la plupart des pays
riches, on est passé progressivement, depuis 1948, d’une situation où
les personnes les plus riches et les personnes les plus diplômées
votaient à droite tandis que celles qui cumulaient les handicaps
sociaux votaient à gauche, à une situation où les plus riches
continuent à voter à droite tandis que les plus diplômés votent
nettement à gauche. Dans le même temps, les catégories les moins
diplômées et les moins riches se sont également séparées: les unes
votant pour des partis populistes marqués à droite, les autres
continuant à voter à gauche.
Cela produit, dans ces pays, un clivage au sein des forces de gauche:
les plus diplômés et les plus urbains sont le cœur de l’électorat
écologiste; les moins riches sont surtout attachés à des politiques
redistributives plus affirmées.
L’importance numérique de l’électorat qui a fait de longues études est
une nouveauté dans l’histoire: il est le fruit de l’élévation continue
du niveau de diplôme moyen et du développement de pans entiers de
l’économie qui s’appuient sur des savoirs ou des productions
culturelles élaborés, qui n’offrent pas forcément de hauts salaires
mais qui proposent des défis professionnels motivants et qui permettent
de développer des projets qui font sens par rapport aux valeurs des
personnes concernées. Par ailleurs, pour elles, la dimension
internationale est un atout: une source d’échange et un espace d’action
qui leur est assez facilement ouvert.
On devine, par contraste, le désarroi de personnes qui ont moins bien
réussi dans la compétition scolaire et pour qui ces perspectives n’ont
rien de motivant. Elles n’ont pas grand chose à attendre des
préoccupations des couches sociales fortement diplômées et, pour
lesdites couches sociales, la redistribution est quelque chose de
correct, mais pas forcément prioritaire.
Voilà, au-delà des batailles d’égo, les difficultés énormes que
rencontrent les forces politiques de gauche pour construire des
plateformes communes, alors qu’elles rassemblent des populations aux
attentes plutôt hétérogènes.
Quand les hauts salaires finissent par voter démocrate aux États-Unis
À droite, la situation n’est pas forcément plus simple: c’est surtout
le patrimoine qui est un facteur clair de vote mais les leaders
populistes ne font pas forcément envie aux nantis. Lors des deux
élections présidentielles de 2016 et 2020, les plus hauts salaires ont
choisi de voter contre Trump. Le patrimoine accumulé a continué à
pousser à voter républicain. Mais on voit que les programmes populistes
ne séduisent pas forcément les partisans de l’économie libérale.
Ce qui est frappant, si on s’intéresse au cas des électeurs défavorisés
qui votent pour les programmes populistes, est qu’il ne le font sans
doute pas pour des raisons économiques. En général, on ne leur promet
pas de nouvelles allocations. Ils le font plutôt pour des raisons
identitaires: ils choisissent un leader qui réaffirme des valeurs, un
mode de vie auxquels ils sont attachés et qui promet de les protéger
des influences étrangères.
À propos de la redistribution
Cela montre que la question de la redistribution financière n’est pas
tout. Il est évident que taxer les hauts revenus et soutenir les plus
pauvres est possible et souhaitable. Mais, pour beaucoup de personnes
peu diplômées, aujourd’hui, la question la plus vive est de savoir
s’ils vont trouver une place dans une société où le savoir et les
compétences spécialisées sont de plus en plus cruciales. On répond à
cet enjeu, en général, en soutenant la formation continue. C’est un
autre objectif possible et souhaitable, mais sans doute pas suffisant.
Pour beaucoup de personnes qui ont connu l’échec scolaire, penser qu’il
faille en passer par un retour vers une expérience de formation est un
cauchemar. Il ne suffit donc pas de redistribuer des montants
financiers ou des offres de formation. Il faudrait redistribuer des
places: travailler à reconstruire des projets motivants, un accès à des
formes de travail accessibles pour des pans entiers de la société
française. J’ai dit, à plusieurs reprises dans ce blog, que l’évolution
spontanée de l’économie conduit à éliminer progressivement les emplois
moyennement qualifiés.
Sur ce point, les partis sociaux-démocrates ont largement failli. Ils
ont, dans les faits, souvent donné la priorité aux électeurs diplômés,
en élargissant leurs possibilités d’action. Les projets écologistes
pourraient ouvrir une voie en réinvestissant dans des situations
professionnelles moins intenses en techniques énergivores. Pour
l’heure, on n’en voit pas d’exemple à grande échelle.
Au fond, on retrouve un enjeu auquel s’est attelé et s’attèle encore ce
qu’on appelle l’éducation populaire: former d’une manière moins
scolaire, afin que les savoirs et les compétences s’acquièrent au
travers d’un parcours qui est également un parcours de prise
d’autonomie et de reconquête d’un projet de vie. Le travail au plus
près du terrain qui est à faire n’est pas d’aller dans les cités
distribuer des tracts et discuter avec tout un chacun, mais plutôt
d’accompagner la reconstruction de personnes qui se retrouvent exclues
de la dynamique sociale dominante. Le protestantisme a une longue
tradition d’investissement dans une telle pratique pédagogique. Il peut
apporter sa pierre à ce chantier, à sa modeste mesure.
Mais pour l’heure, le minimum serait que les couches sociales diplômées
se rendent compte qu’il y a un problème et que la société dite de la
connaissance peut être une société bien cruelle.
Illustration: rassemblement de la France insoumise à Paris en mars 2017
(photo CC-Inkey).
(1) Amory Gethin, Clara Martínez-Toledano et Thomas Piketty (dir.),
Clivages politiques et inégalités sociales: Une étude de 50 démocraties
(1948-2020), Hautes Études (EHESS/Gallimard/Seuil), 2021.
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Bonjour à tous,
Je cherche à déterminer le juste prix d'un entraineur de club diplômé
(en province on va dire, car à Paris les choses sont probablement
différentes), en distinguant plusieurs cas (voir ci-dessous). J'invite
donc responsables associatifs membres de ce forum à éclaircir ma
lanterne sur la question, en MP si besoin. Merci d'avance !
auto-entrepreneur : quel taux horaire ? Frais kilométriques en sus
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PS : je ne souhaite pas que le sujet dérape sur le débat de
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Il a indiqué un tarif tarif de 32,5€ pour 1h30 d'entrainement, soit
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Tu es dans quel coin @sinhala ?
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mp83
(@mp83)
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Revêtement RV: tenergy 05 2,1
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Réponse à jakin jakin
@jakin chez nous à sanary il est auto entrepreneur on le paye 28 euros
de l heure pour entrainer le lundi mercredi et jeudi 1h30 et samedi
matin 2h soit environ 6000 euros pour notre ckub et 5700 euros pour
faire les taps scolaires 2 jours par semaine a la mairie donc c'est
très bien payé
edité par Nener: HS
Modifié Il y a 2 mois par mp83
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Style de jeu: attaquant à la table orientation revers
Classement: 12
Bois: garaydia ZLC retaillé JO shape
Revêtement CD: xiom omega IV europe
Revêtement RV: tuttle G20 président
Titre: Pongiste
Il y a 2 mois n°6 / 13
Réponse à jakin jakin
@jakin chez nous c'est 22€ /l'heure , 5 h par semaine et un 2ème
entraineur apprenti
on espère pérenniser l'an prochain un temps plein sur plusieurs clubs +
handi + sport santé
Répondre
jakin aime
Nener
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Moderator
(@nener)
Messages: 810
Style de jeu: TOP FRAPPE!
Classement: 1173
Bois: AERO SOFT CARBON
Revêtement CD: VJC 07 STICKY EXTRA
Revêtement RV: WYVERN 1.5
Titre: Maître Jedi
Il y a 2 mois n°7 / 13
Bon j'ai déplacé notre gros HS par ici
n-circonstanciee-des-statuts-salaries-et-auto-entrepreneur-dans-le-ping
-en-15-volumes#post-24916
Je vous encourage à le poursuivre la bas. Ou pas...
Répondre
jakin
jakin
(@jakin)
Messages: 96
Style de jeu: Offensif
Bois: OSP Expert
Revêtement CD: Dignics 80
Revêtement RV: Gipfelsturm
Titre: 17 - du club Monqui Pong (69) - OSP expert / Dignics 80 /
Gipflesturm
Il y a 2 mois n°8 / 13
J'ai pas compris en quoi un sujet sur la rémunération des entraineurs
de ping diplômés est un HS dans le forum "General" et a plus sa place
dans le forum "passions" 😀
Quoiqu'il en soit, je suis preneur d'autres retours, merci aux premiers
contributeurs !
Répondre
Nener
Nener
Moderator
(@nener)
Messages: 810
Style de jeu: TOP FRAPPE!
Classement: 1173
Bois: AERO SOFT CARBON
Revêtement CD: VJC 07 STICKY EXTRA
Revêtement RV: WYVERN 1.5
Titre: Maître Jedi
Il y a 2 mois n°9 / 13
Réponse à jakin jakin
@jakin ton sujet a sa place dans le forum général et y reste ;). Je
n'ai déplacé, sauf erreur, que le brouhaha sur ces diables de
nantis/malheureux exploités par le capital que ce sont les
auto-entrepreneurs.
Répondre
jakin aime
escages
escages
(@escages)
Messages: 112
Style de jeu: allround
Bois: Stiga Allround evolution
Revêtement CD: DNA M
Revêtement RV: DNA S
Titre: V1/ clt 10. Bois : Stiga Allround evolution. RV : DNA S / CD :
DNA M
Il y a 2 mois n°10 / 13
J'ai retrouvé un vieux contrat de travail de notre entraineur à
l'époque ou j'étais président.
Entraineur diplômé, plus de 10 ans d'ancienneté donc avec prime prévue
dans la convention collective, en CDI intermitant. en région
parisienne.
Ca date de 2015/2016
Il entrainait alors du 01 septembre au 30 juin, hors vacances scolaire,
6 heures par semaine + 10h30 (sur l'année).
Son salaire était lissé sur l'année et il était donc payé 288.53 euros
bruts. par mois sur 12 mois. (congés payés inclus).
A noter qu'en tant qu'employeur il te faudra alors prendre en compte le
coût supplémentaire des cotisations employeurs. Et accessoirement le
coût d'établissement d'une fiche de paye. Pour ma librairie mon
comptable me facture 30 € TTC par fiche de paye + 90 € pour la création
du dossier.
Sans vouloir polluer le sujet, l'avantage pour toi de prendre un
autoentrepreneur c'est en gros tu te mets d'accord avec le devis de ton
entraineur et tu paye ses factures et c'est tout. Avec un salarié, tu
as toute la paperasse qui viens avec et le temps/coût que cela
représente et que l'on évalue mal (gestion des arrêt maladies,
rédaction contrat de travail, indemnité de licenciement, juste si
l'année d'après ton club a pas les moyen de le payer, prudhomme).
L'inconvénient c'est l'instabilité structurelle de ton entraineur.
Répondre
Nener aime
sinhala
sinhala
(@sinhala)
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Style de jeu: je fais ce que je peux
Revêtement CD: vega japan
Revêtement RV: best anti
Titre: Member
Signature:
Pongiste distingué (à défaut d'etre bon).
Il y a 2 mois n°11 / 13
Réponse à jakin jakin
@jakin je suis en banlieue de Nancy
Répondre
jakin aime
Tranbert
Tranbert
(@tranbert)
Messages: 25
Style de jeu: risqué
Classement: 940 PTS
Bois: Andro Core Cell Off-
Revêtement CD: Sriver FX 1.9
Revêtement RV: Varispin 1.5
Titre: Pongiste
Signature:
Président de l'OC CESSON TENNIS DE TABLE / V2 / 940 pts
Il y a 2 mois n°12 / 13
Réponse à jakin jakin
@jakin Hello, je suis président d'un club qui emploie un entraineur à
plein temps depuis 7 ans. En MP pour la suite !
Répondre
jakin aime
jerome
jerome
Admin
(@jerome)
Messages: 2090
Style de jeu: Attaquant
Classement: 1754
Bois: Hinotec Off+ Carbon
Revêtement CD: Target Pro GT Cornilleau
Revêtement RV: Target Pro GT Cornilleau
Titre: Administrateur
Localisation: Le Chambon Feugerolles
Signature:
Vive le Ping !
Il y a 2 mois n°13 / 13
Sur la Loire, c'est aux alentours de 30€ / heure. Souvent les frais de
déplacements sont inclus dedans...
Il est possible de passer par "Loire Profession Sport" LPS, c'est un
regroupement d'employeur. Cela permet de salarier à temps partiel
l'entraîneur sans s'occuper des papiers (ils font la fiche de paie,
etc...). Les avantages pour le salarié sont bien plus importants en
passant par LPS (salarié) que si l'entraîneur est auto entrepreneur
Répondre
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Achat et vente d'entreprise sans diplome dans batiment comment créer son
entreprise?
Flabat
Par Flabat,
le 9 juin 2008 dans Difficulté d'Entreprise
Messages recommandés
Flabat
Flabat
Posté(e) le 9 juin 2008
Flabat
Posté(e) le 9 juin 2008
Bonjou,r
Je souhaite créer mon entreprise dans le batiment (second oeuvre) en
tant que plaquiste -jointoyeur, mais je n'ai pas de diplome dans ce
domaine.
J'ai une grande expérience non officielle mais la chambre des métiers
me demande soit un diplome, soit 3 ans d'expérience déclarés.
Comment puis je faire pour créer quand même mon entreprise, sous quelle
forme, comment contourner ces problèmes?
Sachant que j'ai déjà réussi à avoir une RC et une décennale pour mon
projet!
La chambre des métiers ne m'empeche pas de créer mon entreprise, mais
me dit qu'elle me dénoncera à la répression des fraudes suite à mon
inscription, pouvez vous me dire quels sont les risques réels pour moi?
Enfin, on me demande de faire le stage obligatoire de création
d'entreprise mais il n'y a pas de date avant fin juillet, puis je
commencer à exercer avant?
merci pour vos réponses!
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Marsu
Marsu
Posté(e) le 9 juin 2008
Marsu
Posté(e) le 9 juin 2008
Que vous ayez réussi à avoir une RC et une décennale ne me semble pas
la meilleure garantie... Si demain vous vous retrouvez face à une
commande que vous ne pouvez pas honorer dans les règles de l'art selon
les exigence techniques mais que vous vous y attaquez quand même en
pensant y arriver, vous imaginez le danger ?
L'exigence d'un diplôme (pas très élevé en plus !!) ou d'une expérience
est une garantie pour les clients et la Chambre des métiers de ne pas
envoyer n'importe qui au casse pipie sans avoir filtré un tant soit
peu...
Vous voulez savoir les risques réels ? Ne pas être couvert par
l'assurance en cas de sinistre et devoir payer toute votre vie si un
sinistre important survient (comme par exemple un accident sur un
chantier), sans compter les éventuelles sanction pénales derrière,
alourdies par le fait que vous aurez cherché à controuner les règles de
prudence minimales...
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July
July
Posté(e) le 9 juin 2008
July
Posté(e) le 9 juin 2008
Enfin, on me demande de faire le stage obligatoire de création
d'entreprise mais il n'y a pas de date avant fin juillet, puis je
commencer à exercer avant?
Ça c'est du pipo le stage est réclamé par les établissements bancaires
pour l'obtention d'un prêt. Si vous n'avez pas besoin de prêt vous
n'avez pas de stage à effectuer.
Pour le reste d'accord avec Marsu c'est une profession qui nécessite
une formation ou une expérience professionnelle.
Passez le CAP en candidat libre.
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Marsu
Marsu
Posté(e) le 9 juin 2008
Marsu
Posté(e) le 9 juin 2008
Ceci dit, le stage est toujours utile pour vérifier une base de compta
et voir des gens qui se lancent dans la même aventure... J'ai tendance
à penser (pour l'avoir vu dans une Chambre des métiers précise) que ce
stage peut être aussi très utile... Donc il ne faut pas le négliger...
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July
July
Posté(e) le 9 juin 2008
July
Posté(e) le 9 juin 2008
J'avais dans l'idée que la comptabilité serait traitée par un cabinet
de comptabilité et supervisé par un expert comptable. Effectivement
suivant la dénomination de l'entreprise si c'est vous que deviez
toucher à la comptabilité de votre entreprise il vaut mieux avoir des
bases…
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Flabat
Flabat
Posté(e) le 9 juin 2008
Flabat
Posté(e) le 9 juin 2008
Merci pour vos réponses
j ai décidé de créer mon entreprise car j ai les compétences
nécessaires ainsi que l'expérience meme si celle ci n est pas
officielle.
Je ne suis pas fou et je ne me lancerais pas dans une création
d'entreprise dans ce type d' activités si je ne maitrisais pas
integralement les techniques du métier
Je cherche juste à savoir comment m installer et de quelle manière en
sachant que la chambre des métiers me réclame ce fameux diplome et ce
stage de formation pour les createurs d'entreprise
réclame t on un justificatif pour avoir effectué ce stage ?
Car il n'y a des places dispo. que fin Juillet alors que je veux
démarrer dans une semaine car tout est pret pour moi (RC + DECENNALE
merci
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Marsu
Marsu
Posté(e) le 10 juin 2008
Marsu
Posté(e) le 10 juin 2008
Si la Chambre des métiers vous réclame des documents, il faut les lui
donner ou les obtenir... Peut être fallait-il vous soucier des ces
conditions un peu plus tôt...
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Flabat
Flabat
Posté(e) le 10 juin 2008
Flabat
Posté(e) le 10 juin 2008
oui j avais bien compris que je ne pourrais pas échapper à donner les
documents à la chambre des métiers mais je crains que vous n'ayer pas
compris la question.
je demande de quel manière ou sous quel quel forme (entreprise
multiservices par ex....) je pourrais monter mon entreprise en sachant
que je maitrise parfaitement le métiers, donc ce n est pas ça le
problème!!!
Je cherche juste à échapper à ces fameux documents (diplome) qui m'
enpeche de démarrer mon activité en passant par une autre activité qui
me permettras de travailler.
MERCI
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Marsu
Marsu
Posté(e) le 10 juin 2008
Marsu
Posté(e) le 10 juin 2008
Ben, si c'est le problème... Parce que vous comptez faire comment pour
ne pas donner les papiers nécessaires pour commencer une activité
(légale, pas au noir) ??
Sincèrement, à part donner les clés de votre entreprise à un tiers en
créant une société et en prenant une personne qui a les diplômes comme
gérant de la société, je ne vois pas comment faire. Mais ce gérant, va
falloir le payer... Au moins pendant 3 ans, le temps que vous ayez la
fameuse expérience requise... Et en plus, rien ne vous garantit que
vous pourrez ensuite débarquer le gérant en question à moindres frais
puisque lui saura que vous l'avez "employé" pour passer outre des
interdictions...
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Artégore
Artégore
Posté(e) le 10 juin 2008
Artégore
Posté(e) le 10 juin 2008
En fait je voulais dire exactement la même chose.
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Nicolasd
Nicolasd
Posté(e) le 18 juillet 2009
Nicolasd
Posté(e) le 18 juillet 2009
Bonjour,
Je suis dans la même situation. Je connais mon métier (métiers
construction du batiment) mais je n'ai pas de qualifications
officielles. Je ne peux donc pas fournir les documents qui me
permettraient d'avoir 1 assurance RC+décennale et l'assurance est
obligatoire pour travailler. Sans ces qualifications, normalement, je
ne peux pas travailler du tout.
J'aimerais bien savoir comment vous avez fait pour obtenir une décénale
sans diplome, je suis très intéressé.
Je me suis renseigné à la [Cie d'assurance], ils ne me la donne pas
puisqu'il me manque les papiers. Ils m'ont quand même donné un devis
pour RC+décenale maçon: 2500 €/an. C'est cher mais je suis prèt à payer
pour pouvoir travailler.
En fait, j'espère trouver un assureur au plus vite et me renseigenr
auprès de l'AFPA pour les VAE (validation des acquis de l'expérience).
On m'a aussi parlé de passer le CAP en auditeur libre, faut voir.
Merci d'avance pour votre réponse,
Cordialement
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Charmeail
Charmeail
Posté(e) le 18 juillet 2009
Charmeail
Posté(e) le 18 juillet 2009
Bonjour,
exact , même en auto-entrepreneur artisan, il faut un CAP ou un BEP ou
3 ans d' expérience dans la profession (loi n°96-603 du 5/7/96 art.16).
cordialement charmeail ;)
commentaire : sachant que certains CAP sont plus dur que certains
BAC........
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Nicolasd
Nicolasd
Posté(e) le 19 juillet 2009
Nicolasd
Posté(e) le 19 juillet 2009
Bonjour,
Je suis en train de me casser la tête avec ces histoires de diplomes
obligatoires pour les travaux du bâtiment...
On ne demande pas aux autoconstructeurs d'avoir des diplomes ou de
justifier leurs compétences ! Attention, je ne suis pas en train de
casser les autoconstructeurs, je trouve ça génial au contraire.
J'ai fait des recherche sur internet et j'ai trouvé que les
autoconstructeurs sont soumis à la garantie décennale comme n'importe
qui. s'ils vendent leurs maison moins de 10 ans après l'avoir
construite, ils sont responsables de leurs travaux, et cela est valable
pour tout travaux d'agrandissement ou d'aménagement fait pas un
particulier.
Donc ok, tout les particuliers sont dans l'obligation de garantie
décennale pour les travaux de gros oeuvre et de second oeuvre mais on
ne les oblige pas à avaoir des diplomes ou des certificats de travail
pour construire !
Alors pourquoi moi (auto entrepreneur) si ?
Parceque je suis professionnel et pas eux me direz-vous ! mais je ne
suis pas d'accord, les travaux sont les même, il s'agit d'une maison
qui doit être batie suivant des règles de sécurité, sans quoi il
pourait y avoir de graves dommages.
Qu'en pensez-vous ?
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Marsu
Marsu
Posté(e) le 20 juillet 2009
Marsu
Posté(e) le 20 juillet 2009
Les travaux sont les mêmes, mais, a priori, les autoconstructeurs les
réalisent pour eux-mêmes alors que vous les réaliseriez pour
d'autres...
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Anthony Abello
Anthony Abello
Posté(e) le 18 septembre 2011
Anthony Abello
Posté(e) le 18 septembre 2011
est comment fait ont pour savoir les dates pour passer le CAP en
candidat libre ???
merci d'avance
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Nedelka
Nedelka
Posté(e) le 18 septembre 2011
Nedelka
Posté(e) le 18 septembre 2011
Voyez auprès des organismes de formation de votre région qui préparent
ce diplôme comme l'AFPA et les établissements d'enseignement technique
et professionnel, ou encore la chambre des métiers.
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jvlucas
jvlucas
Posté(e) le 15 mai 2012
jvlucas
Posté(e) le 15 mai 2012
Bonjour à tous,
trouvez vous normal qu'une personne sans diplome de restauration puisse
ouvrir un etablissement de restauration rapide ou autre, avec les
conditions d'hygiene et les risque qui vont avec. Alors qu'un personne
voulant creer son entreprise dans le batiment (second oeuvre, peinture,
plaquiste....) ne puisse pas le faire. Je comprends parfaitement que
pour des travaux de plomberie et d'electricite il faille des qualif.
Mais la question reste posée.
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Jurihand
Jurihand
Posté(e) le 15 mai 2012
Jurihand
Posté(e) le 15 mai 2012
Bonjour,
Si le droit vous semble injuste, passons à plus concret : une dame de
mon quartier a fait construire sa maison avec l'aide d'un ami sans
diplôme d'archi. Les hauteurs légales n'ont pas été respectées. Une
autre, dessous, (terrain en pente) ne voulant pas d'une vue directement
sur ses fenêtres, a fait nommé des experts par un tribunal. Deux ans
ont passé, ils ont expertisé, :-( soit la propriétaire paie pour tout
fermer par un mur et ne plus avoir de vue (sur rein, ni sur sa voisine,
ni sur la plaine...) soit le tribunal pourra lui demander de faire
tomber sa maison.
Et si celle-ci se retourne sur celui qui a fait construire, sa vie
professionnelle est finie, et sa vie financière ne vaut pas plus. C'est
plus clair ainsi ?
Si un vendeur de "resto" rapide tue quelqu'un, lui il va en prison. Et
parfois la théorie rejoint la pratique, malheureusement.
Courage, un métier peut s'apprendre à tout âge.
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Corinol
Corinol
Posté(e) le 26 juillet 2012
Corinol
Posté(e) le 26 juillet 2012
Bonjour à tous,
trouvez vous normal qu'une personne sans diplome de restauration puisse
ouvrir un etablissement de restauration rapide ou autre, avec les
conditions d'hygiene et les risque qui vont avec. Alors qu'un personne
voulant creer son entreprise dans le batiment (second oeuvre, peinture,
plaquiste....) ne puisse pas le faire. Je comprends parfaitement que
pour des travaux de plomberie et d'electricite il faille des qualif.
Mais la question reste posée.
Croyez-vous normal que M. BOUYGUES puisse être à la tête de la plus
grosse entreprise de bâtiment sans avoir de CAP de maçon ? Et il n'est
pas le seul...
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Marsu
Marsu
Posté(e) le 27 juillet 2012
Marsu
Posté(e) le 27 juillet 2012
Il me semble que c'est autre chose: je ne suis pas convaincu que la
personne que vous citez mette souvent les mains (ou les pieds) dans le
béton... Au contraire, un artisan maçon sera lui-même quotidiennement
sur les chantiers à travailler.
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Corinol
Corinol
Posté(e) le 27 juillet 2012
Corinol
Posté(e) le 27 juillet 2012
Selon la taille de l’entreprise, ce sera le dirigeant qui mettra les
mains dans le camboui ou pas. Et ça, on ne vous le demande quand vous
vous inscrivez. Alors je ne comprends pas pourquoi des sociétés peuvent
proposer des travaux du bâtiment sans que le dirigeant en ait
l'expérience et que de l'autre côté, on demande des références à un
artisan qui va exercer en solo. Tout ce la n'est pas juste. Et aussi,
combien d'artisans qui ont fait culbute inscrivent leur épouse au RM
pour continuer à exercer. Je ne comprends pas non plus comment on peut
les inscrire ?
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Marsu
Marsu
Posté(e) le 27 juillet 2012
Marsu
Posté(e) le 27 juillet 2012
Juridiquement, au delà de 10 salariés, on considère que vous n'êtes pas
un artisan mais un commerçant ou un industriel.
Par ailleurs, le problème n'est pas que quelqu'un ait pu faire une
chose ou pas mais bel et bien de savori si vous allez respecter les
règles. Ni vous ni moi ne connaissons les dessous complets du dossier
de la personne que vous visez. Il est donc difficile de vous répondre
sur la base de cet exemple ou d'un autre du même genre...
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samsam12345
samsam12345
Posté(e) le 10 février 2013
samsam12345
Posté(e) le 10 février 2013
bonjour marsu moi je voudrais savoir comment tu as réussi à souscrire
une décenale moi je n'y arrive pas merci
---------- Message ajouté à 19h57 ---------- Précédent message à 19h51
----------
bonjour fabiat je voudrais savoir quelle assurance vous à délivrer une
décenalle svp car je n'y arrive pas
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lepeintre82
lepeintre82
Posté(e) le 16 juin 2014
lepeintre82
Posté(e) le 16 juin 2014
Bonjour nicolasd, Je suis un ancien artisan (peintre, ravalement de
façade) et j'ai galéré, car j'avoue, je connais mon métier mais par
contre je suis nul en gestion... Bref, je me suis planté. J'ai pu
rebondir grace à une boite de portage salarial qui ma permis de
continuer avec mes clients, moi je travaille, mais c'est eux qui
s'occupe des papiers, assurance décénale, compta et tout. C'est pas
donné en frais de gestion, environ 10 % du chiffre, mais je suis
tranquille, plus de soucis avec l'urssaf.
Voila, c'est peut être une piste pour ceux qui ont un problème avec les
papiers ou l'assurance décénale. Bon courage.
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Fantomas76
Fantomas76
Posté(e) le 13 août 2014
Fantomas76
Posté(e) le 13 août 2014
J'ai vu défiler à mon domicile trois auto-entrepreneurs. Ils commencent
tous par exhiber leur carte de visite pour faire sérieux. La carte de
visite du premier décrivait "agencement de combles ossatures bois
multiservices". Déjà se méfier des "multiservices" : Personne ne sait
tout faire. Ils mentionnent cela sur leur carte de visite pour ne pas
perdre un marché. Cette personne venait pour poser du contreplacage,
cela correspondait donc à sa carte de visite. Mais comme il fallait
aussi poser du carrelage il m'a dit qu'il fallait poser le carrelage
avant et qu'il savait le faire. Il m'a dit aussi qu'il fallait poser la
baie vitrée avant (transformation de garage en pièce d'habitation) et
que, bien sûr, il savait faire ça aussi. Résultat : le carrelage a des
joints largement différents d'un carreau à l'autre, trois carreaux
sonnent creux, et quatre autres sont surélevés. Il ne connaissait pas
le "double encollage". Il a fallut 1 heure de discussion pour qu'il
refasse ce travail d'apprenti grassement payé. Pour ma baie vitrée, la
patte de fermeture de la serrure avait été montée à l'envers. Le second
spécimen, un pseudo plombier, a "oublié" de coller deux tuyaux PVC, a
"oublié" une vis à la fixation du ballon d'eau chaude et le PER qu'il a
posé goutte et pour finir m'a brûlé le papier avec son chalumeau en
pratiquant une soudure à un tuyau et heureusement que j'étais là et que
je suis intervenu sinon il aurait continué ! Seul le 3ème pour poser
une clôture a été à la hauteur. J'ai appris qu'il leur était demandé un
diplôme ou... et c'est là le problème, une attestation sur l'honneur
par laquelle ils sont 3 ans d'expérience. Ils signent évidemment
l'attestation sur "l'honneur" et le loup est alors dans la bergerie.
N'écoutez pas les "j'ai travaillé "non officiellement" ça n'a aucune
valeur. N'oubliez pas que c'est vous qui payez ! La rue est pleine de
chômeurs compétents comme d'innocents en prison. Contrairement aux
artisans obligatoirement diplômés, ils "jouent les patrons", ils
commencent tous les chantiers et vous traînent en longueur (comme les
artisans d'ailleurs) afin de ne pas avoir de creux et se retrouver sans
activité. Face à de nombreuses malfaçons, les assureurs exigent de plus
en plus un diplôme pour délivrer une garantie décennale. L'auto
entrepreneur vous expliquera qu'il n'en a pas parce que cela a un coût
mais c'est surtout parce qu'il n'est pas diplômé. Exigez une date de
début et de fin de travaux sur le devis avant de commencer. Le devis
devra être détaillé 'nombre d'heures notamment pour que vous puissiez
comparer l'importance de la somme demandée avec le temps qu'il va
réellement y passer. Soyez prudent pour le "forfait" il est toujours
plus élevé que le travail à l'heure, au moins en étant présent vous
voyez si il passe 1h au téléphone ou met 15 minutes pour changer une
ampoule. Dîtes que si le délai n'est pas respecté vous ne réglerez rien
et prendre quelqu'un d'autre. Ca remet les pendules à l'heure. Moi, les
auto entrepreneurs pour des travaux de rénovation c'est ter-mi-né. Il
en est de même pour les artisans qui semblent savoir faire mais quand
on sait qu'ils sous-traitent avec des auto-entrepreneurs pour une
question de coût et que ces artisans facturent trois fois plus cher ils
peuvent aller se brosser. Désormais, j'investis dans les livres de
bricolage, de documents en ligne et je le fais moi-même pour rénover
mes trois studios. Avec des amis on le fait ensemble autour d'un bon
repas en se rendant des services mutuellement. Ce ne sera pas au final
plus long, ce ne sera certainement pas pire et ça m'aura coûté moins
cher et au moins je ne pourrais m'en prendre qu'à moi en cas de
problème. Et si malgré tout vous souhaitez les honorer de votre argent,
ayez l'intelligence d'exiger de voir l'original du diplôme dans le
domaine concerné. (pas de bulletins de paye pour éviter les faux).
Enfin, ils vous diront qu'ils ne fournissent pas le matériel car cela
augmente leur chiffre d'affaire. Bonne affaire pour vous puisque vous
choisissez le magasin de bricolage et réglez vous-même mais
attendez-vous à y faire souvent vous même des aller et retour car il
manquera toujours quelque chose. Dites qu'il vous faut une liste, que
vous vous déplacerez qu'une fois et que tous les autres déplacements
seront fait sur son temps. Dernière chose, pensez a garder les notices
de montage ou de notices techniques si il s'agit de meubles ou de baie
vitrée car vous ne la retrouverez jamais. histoire que vous ne puissiez
réparer vous même et soyez obligé de le rappeler pour faire
réparer...(c'est du vécu). Soyez toujours présent il faut surveiller.
Pour le matériel, les magasins discount de bricolage sont mal vu des
artisans alors qu'il suffit de regarder sur le parking le matin à 7h
pour voir le nombre impressionnant de véhicules professionnels. Leur
intérêt ? se fournir à très bas coût dans ces magasins en vous
refacturant puissance 10 tout en les critiquant sur la qualité pour ne
pas que vous y alliez acheter vous-même et surtout comparer. Bref
Artisans et Auto entrepreneurs, entre la peste ou le choléra, choisis
ton camp camarade !
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Faut-il (encore) un diplôme pour réussir ? Flux des commentaires
Le blog de Jean-François FIORINA
Le blog de Jean-François FIORINA
Faut-il (encore) un diplôme pour réussir ?
performance grandes ecoles
Jean-Francois Fiorina20 juin 2019Actualité de l'Enseignement supérieur,
Emploi, Enseignement supérieur, Grandes Ecolesaccréditation
internationale, Certification, certification professionnelle,
certificats de compétences, diplôme, formation continue, Marque, marque
et stratégie
À l’heure où les étudiants passent le BAC, les oraux pour décrocher
leur diplôme ou entrer dans l’école de leurs rêves, une question se
pose : doivent-ils encore en obtenir un pour réussir ? Cette
interrogation fait d’ailleurs le buzz ces derniers jours sur les
réseaux sociaux. Voici mes réflexions, ouvertes et sans tabou, sur la
valeur du diplôme. N’est-il pas préférable de se tourner vers les
certificats qui attestent de compétences particulières ? Faut-il
s’appuyer sur une marque puissante et son diplôme pour garantir
potentiel et crédibilité ? Panacher les deux ? Avec qui et quelles
garanties ?
L’important est de créer une combinaison gagnante d’expériences, de
connaissances et de compétences. Lorsque qu’un établissement porte une
marque forte et internationale, le diplôme est essentiel. À l’inverse,
si ce n’est pas son objectif, le diplôme devient plus relatif. Discours
récemment contredit par certaines entreprises qui estiment que pour
embaucher un nouvel employé, le diplôme n’est plus nécessaire (du
tout). Et pourtant encore aujourd’hui, lors d’entretiens d’embauche,
une personne qui n’aurait pas fait l’X ou Harvard serait considérée
avec un a priori négatif voire étonnement ! En tout cas, le diplôme ne
protège plus ( l-echo.info ). Si la dernière livraison des chiffres du
chômage affiche une embellie, le baromètre mensuel de l’agence
d’intérim Qapa.fr, révélait en début d’année que le diplôme n’était
plus un passeport pour l’emploi. Et que l’embauche en contrat court
restait quoi qu’il en soit particulièrement prisée par les employeurs.
Le travail sur la marque
La marque d’un établissement ou d’un groupe éducatif est la
reconnaissance d’une compétence, d’un niveau et d’un profil, et
surtout, la certification d’une expertise. Pour certains, le diplôme
sera moins important mais permettra de rebondir. L’entreprise comme vu
dans mon dernier post peut former ses futurs employés. Elle y est
intéressée car un diplômé pourrait avoir un coût à l’embauche qu’elle
pourrait tenter de réduire en formant elle-même.
La réponse n’est pas aussi binaire : oui, effectivement, je vois
paraître quelques articles sur le fait que « les entreprises ne
recrutent pas sur diplôme ». Mais attention aux effets d’annonce, les
injonctions sont contradictoires. À l’avenir, l’apprenant devra gérer
son propre portefeuille de parchemins.
Les deux binômes : diplôme/institution, certificat/domaine de compétence
Ils sont à la fois concurrents et complémentaires, à la fois
dissociables et indissociables, l’ensemble dépendant de la stratégie de
l’établissement émetteur. Pour tous ceux qui se veulent d’une marque de
dimension internationale, la notion de diplôme sera importante. Cela
soulève beaucoup d’autres questions dont celle de la dénomination des
diplômes.
Pour les autres, le diplôme ne sera pas forcément essentiel. Nous
verrons apparaître des certificats qui seront des reconnaissances à un
moment donné, qui supposent de la part de l’émetteur de cette
reconnaissance un label de qualité. Il doit être reconnu comme expert
et non pas comme un distributeur bonus de parchemins…
Tout dépend de la qualité de l’émetteur
L’entreprise se projettera peut-être sur les diplômes, mais les
certificats seront à la fois un élément d’attraction et un élément de
validation. Je vous renvoie à ce que j’ai vu dans le post du 13 juin
sur ce qui se passe aux Etats-Unis. De toute façon, diplôme, certificat
ou pas, tout va dépendre de la qualité de l’émetteur.
Je suis convaincu qu’il ne faut pas forcément les opposer.
Premièrement, parce que nous évoluons vers de nouveaux modèles de
construction de profils : diplôme + quelques certificats pour
reconnaître des compétences. Et puis, nous verrons peut-être apparaître
d’autres formes de diplômes avec d’autres noms. Elles seront la somme
de certifications diverses et variées mais reconnues. Le diplôme
restant « je reconnais un potentiel et une capacité à évoluer ». Le
certificat étant « je maitrise une compétence dans un domaine ». Une
synthèse qu’Alain Goudey qu’exprime dans un tweet récent sur sa vision
du diplôme.
A l’inverse, nous aurons peut-être la facilité grâce à la nouvelle loi,
de combiner différents certificats avec un attribut donnant lieu à un
diplôme. Nous entrons alors dans un élément fantasmé de la formation
tout au long de la vie. Nous allons avoir besoin d’un service qui sera
le ou les coffres forts des différents certificats. Une entité qui
garantisse l’ensemble et qui, dans dix ans, pourra attester de la
labéllisation d’un certificat X ou Y.
L’État garant et régulateur
Pour nous, il y a un diplôme et des certificats. Ces derniers étant
utiles à nos étudiants dans la construction et la validation de leurs
profils. La question est la suivante : Comment sont gérés ces
certificats ? Seront-ils « maison » ou co-construits avec des
entreprises ou d’autres écoles ? Y-aura-t-il concurrence ? Les
certificats pourront être un élément de diversification, de nouveaux
marchés. Par contre, dans ma vision, les certificats que devront offrir
les écoles ne pourront être crédibles et n’auront de la valeur que
lorsqu’ils s’inscriront dans le cadre de l’ADN et du positionnement de
l’école. Ces certificats vont donner naissance à un nouvel écosystème
de labéllisation de classement, de reconnaissance, de format également.
Est-ce que cela ne pourrait pas s’intégrer dans ce fameux TripAdvisor
qu’est en train de mettre en place le gouvernement ? L’État stratège
doit ici jour son rôle pleinement : coffre-fort, garant et régulateur
de tous ces éléments. C’est-à-dire, laisser « jouer » les acteurs et
valider avec eux la qualité des certificats et des parcours. Tout comme
en matière de formation continue, la capacité de valider un
parcours/compétences sans tomber dans des critères de contraintes
absolues.
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Le paradoxe du stagiaire diplômé
by Laure Dargelos - 13:35
[patrick-tomasso-71909-unsplash_Photo%2Bby%2BPatrick%2BTomasso%2Bon%2BU
nsplash.jpg]
Sacré paradoxe que celui du stagiaire diplômé ! Une image qui circulait
sur le net résumait parfaitement cette situation absurde : on y voyait
un recruteur et un jeune diplômé échangeant une poignée de main.
Jeune diplômé : « Bonjour, j’ai vingt ans et trente ans d’expérience. »
Recruteur : « Vous êtes exactement le profil que nous recherchons ! »
Aujourd’hui, pour espérer décrocher un poste, il est nécessaire d’avoir
de l’expérience. Or, pour avoir de l’expérience, il n’y a qu’une seule
solution : faire des stages afin d’orner son CV de quelques lignes
supplémentaires. Là où l’affaire se corse, c’est que le stage est
réglementé et soumis à une convention de stage qui, elle, n’est
délivrée qu’aux étudiants. Que deviennent alors les jeunes diplômés ?
Eh bien, ils galèrent… D’un côté, les employeurs refusent d’engager un
jeune tout juste sorti de fac et donc pas encore rôdé aux spécificités
du métier, et de l’autre côté, impossible de décrocher un stage quand
on a perdu le statut d’étudiant.
Quand je suis sortie diplômée de mon master 2 édition, je pensais
naïvement qu’à grand renfort de lettres de motivation et de CV, il
serait possible de trouver un emploi dans une période raisonnable.
Après tout, ma fac se vantait que plus de 80 % de la promotion
précédente était parvenu à décrocher un job dans les six mois après
l’obtention du diplôme. À présent, je pense que soit mes prédécesseurs
étaient guidés par une bonne étoile soit l’université maîtrisait l’art
de présenter de façon favorable un job de
caissier/babysitteur/vendeur/etc.
Il suffit de consulter des sites tels que l’Asfored ou ProfilCulture
pour s’apercevoir que la plupart des employeurs réclament une
expérience minimum de 2 ans (et là, je parle des postes "juniors", pas
des postes à haute responsabilité où il faut être dans le milieu depuis
au moins 7 ou 10 ans). D’après mes calculs, deux ans, ce serait donc la
durée de stages à cumuler pour espérer voir sa candidature acceptée.
Bien évidemment, Pôle emploi ne délivre pas de conventions de stage et
face à ce soutien démesuré, il faut se débrouiller par soi-même.
Certes, jusqu’à 25 ans, la mission locale peut nous aider à obtenir un
stage pour une durée de 15 jours (quand on a besoin de deux ans
d’expérience, ça a l’air tellement dérisoire…). Bref, pour obtenir une
convention, les aspirants stagiaires n’ont pas énormément de
solutions : ils sont obligés de contourner les règles. Pour ce faire,
ils se retrouvent contraints de s’inscrire à des formations bidons
uniquement destinées à récupérer le statut d’étudiant tant convoité.
Ces formations coûtent cher : environ 450 euros minimum. Et là, point
important du paradoxe, ce sont les stagiaires qui payent pour avoir le
droit de travailler. Vu les indemnités perçues pour un mois de stage,
500 euros et des poussières, on peut conclure que le premier mois sert
principalement à rembourser ses dettes.
Il est intéressant de constater que les employeurs n’ignorent pas non
plus la manœuvre. Certaines annonces proposent des stages à partir de
septembre pour une durée de six mois. À part de « faux étudiants »,
j’ai du mal à imaginer des étudiants lambdas réussir à cumuler les
heures de stages et les cours à la fac.
Dans d’autres pays d’Europe, notamment le Royaume-Uni et l’Allemagne,
il n’est pas nécessaire d’être étudiants pour avoir une convention de
stage. J’aimerais bien que la France décide d’imiter ses sympathiques
voisins, parce que chez nous, c’est quand même l’art de compliquer les
choses pour rien et de priver d’expérience les jeunes diplômés.
Crédit image : Patrick Tomasso on Unsplash
Tags : Assistante éditoriale, Réflexions
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#Verdir le diplôme d’architecture au Canada : un forum académique
national, une question de transdisciplinarité. VertigO - la revue
électronique en sciences de l'environnement, Numéros VertigO - la revue
électronique en sciences de l'environnement, Documents
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VertigO - la revue électronique en sciences de l'environnement
AccueilHors-sérieHors-série 13Verdir le diplôme d’architecture ...
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Éducation et développement durable dans les universités et les cégeps :
une nécessaire intégration
Verdir le diplôme d’architecture au Canada : un forum académique national,
une question de transdisciplinarité.
Céline-Coralie Mertenat, Daniel Pearl et Carmela Cucuzzella
Auteurs
Résumés
Français English
Afin de répondre au défi du développement durable, l’Université de
Montréal prend part au projet de « Verdir le diplôme d’architecture au
Canada ». Ce projet se veut à la fois un lieu d’échange d’idées, de
ressources et d’expertise sur l’intégration du développement durable
dans les cursus des dix institutions canadiennes d’architecture. Dans
ce forum virtuel, chaque université a l’opportunité de poser des
questions sur des enjeux majeurs, d’en débattre et d’y répondre. Ce
processus permet des échanges riches et réflexifs autour d’idées
souvent divergentes sur les modèles, les outils et les structures de la
formation en architecture. L’objectif de cet article est de présenter
cette expérience unique qui se déroule depuis 2002.
In order to address the challenges of sustainable development in
academia, Université de Montreal, has been participating in a project
called “Greening the (Architecture) Curriculum in Canada”. This is an
ongoing, collective project for sharing ideas, resources and
experiences on integrating sustainable development within the core
curriculum of architectural schools across Canada. In this virtual
forum, each university has the opportunity to present questions on
major issues, to debate, and finally, to respond. It provides a rich,
reflective and deliberative forum for exchanging on common, and at
times, diverging ideas related to current and potential structures for
architectural curricula, including what tools and models may be most
appropriate. The objective of this article is to present this unique
experience which has spanned over the last decade.
Haut de page
Entrées d’index
Mots-clés :
Multidisciplinarité, curriculum, Transdisciplinarité, cursus, forum,
Internet, architecture, formation universitaire, étude de cas
Keywords :
Transdisciplinarity, curriculum, Cursus, Forum, Internet, Architecture,
University Formation, Case Study
Lieux d'étude :
Amérique du Nord
Haut de page
Plan
Introduction
Verdir le diplôme d’architecture, un projet pancanadien.
L’historique
Le processus
L’exemple de la Question II de l’Université de Montréal
La définition et le lancement de la question II
Les débats internes et la publication des réponses de chaque
institution
Les autres institutions
L’Université de Montréal
La publication du bilan
Le programme de formation
L’atelier
Les activités hors programme
La recherche
Le suivi pédagogique
Discussion
L’évolution des sujets abordés par Verdir le Diplôme
Conclusion : une critique du processus
Remerciements
Biographies
Haut de page
Texte intégral
PDF Signaler ce document
Introduction
1Le présent article vise à faire ressortir deux aspects
particulièrement intéressants du projet « Verdir le diplôme
d’architecture au Canada » : le côté innovant et ouvert de son
processus d’échange d’idée et de ressource, et les multiples approches
et point de vue soulevés par le débat sur la notion de
transdisciplinarité. Verdir le diplôme permet des discussions riches et
réflexives autour de conceptions souvent divergentes sur les modèles,
les outils et les structures de la formation en architecture. Le débat
sur la nécessité de passer d’un curriculum disciplinaire à un
curriculum « multi » voir « trans » disciplinaire, dirigé par l’équipe
de l’Université de Montréal a mis en lumière de nombreuses inquiétudes
et de profondes divergences d’opinions, émises par les administrations,
les professeurs, les chercheurs et les étudiants. Un double constat
émerge : la crise des pratiques traditionnelles de l’architecture et le
besoin de préparer les diplômés à prendre une place de « leader », ou
du moins de facilitateur, dans le développement durable s’ils ne
veulent pas être marginalisés. Des pistes de solution se dégagent, mais
convergent vers une situation où l’architecte est formé
professionnellement à travers et pour un contexte transdisciplinaire.
Verdir le diplôme d’architecture, un projet pancanadien.
L’historique
Montréal
Architecture, University of British (...)
University (en 2002 et 2003 Richard K (...)
2Verdir le Diplôme est partie d’une volonté de quatre professeurs
(Daniel Pearl1, Raymond Cole2, André Potvin3 et Lucie Fontaine4) de
créer au sein des dix écoles d’architecture du Canada un réseau
scientifique et pédagogique d’échange entre les acteurs du
développement durable et de permettre la tenue de débats constructifs
sur l’intégration du développement durable dans la formation
professionnelle. L’initiative fut lancée à Montréal en 2002 par Pearl
et Cole et poursuivit lors des colloques de Québec (2004) et de
Winnipeg (2007) (Figure 1). Sous forme de conférence et d’exposition
itinérante, ces rencontres avaient pour double objectif de dresser un
premier portrait d’ensemble de la présence du développement durable
dans la formation et de réfléchir à la forme que prendrait le projet de
Verdir le Diplôme dans les années à venir. Un « Comité national de
rédaction » est élu dès 2004 afin de diriger le projet et d’agir comme
comité scientifique et de rédaction.
Figure 1. Évolution de Verdir le Diplôme depuis sa création en 2002.
Figure 1. Évolution de Verdir le Diplôme depuis sa création en 2002.
Agrandir Original (jpeg, 280k)
3Le défi du projet était de trouver une structure permettant aux
membres des douze institutions de débattre dans les deux langues
officielles (français et anglais) et d’échanger sans avoir à se
déplacer. Cette structure devait être accessible autant aux étudiants
qu’aux professeurs, aux chercheurs et aux membres de la direction de
chacune des institutions, voir même être accessible au grand public
pour consultation. L’information générée régulièrement devait pouvoir
être facilement accessible et mise à jour. L’idée d’un site internet
s’est imposée comme une évidence.
www.leap.umontreal.ca
4C’est ainsi que depuis l’été 2007, sous la gouverne du comité de
l’Université de Montréal (UdeM) et du L.E.A.P.5, le « Forum National »
est disponible en ligne à l’adresse internet
www.arclab.umontreal.ca/greening-verdir/. Ce site est un lieu virtuel
de rencontre interactive et dynamique où se tiennent débats et échanges
au sein et entre les institutions. Il est une source d’information,
mais aussi une fenêtre sur les enjeux de l’architecture, du
développement durable, de l’enseignement, de la recherche et de la
pratique. Le Forum National est un outil appropriable par les
participants pour faire ressortir leurs préoccupations, sans a priori.
5La figure 2 présente l’exemple de la page internet où est présentée la
question II. Sur cette page, chaque institution participante au forum
peut entrer ses réactions, ses commentaires et sa réponse officielle.
Il n’y a pas de contrôle central de ce site Internet par le comité
national, mais un accès ouvert à toutes les institutions impliquées
dans ce forum. Le site est complètement bilingue et les questions et
les réponses officielles sont soumises dans les deux langues, soit en
français et en anglais. Ce site est accessible au grand public pour
consultation.
Figure 2. Aperçu du forum national de Verdir le diplôme pour la
question II.
Figure 2. Aperçu du forum national de Verdir le diplôme pour la
question II.
Agrandir Original (jpeg, 1,1M)
6Dans les premières années, la formule de Verdir le Diplôme avait pris
la forme de conférence nationale, où l’université hôte déterminait un
thème et invitait les autres institutions à se déplacer pour venir en
débattre. La nécessité de voyager limitait le nombre de participants,
surtout auprès des étudiants et des directions. La création du site
internet a transformé cette pratique. Si l’idée que chaque institution
reprend à tour de rôle les rênes du débat, c’est à présent sous forme
de question nationale lancée sur le site internet du Forum National.
Le processus
7Paradoxalement, pour encourager un débat vivant et ouvert, Verdir le
Diplôme est organisé selon un protocole strict (mais en constante
adaptation) comportant plusieurs phases. Les débats sont tenus à
l’échelle de chaque université et à l’échelle nationale à travers le
forum en ligne. À tour de rôle, une des douze institutions initie un
nouveau cycle de discussions en lançant une question qui la préoccupe
plus particulièrement et à laquelle les autres y répondent selon leur
contexte, leur expérience et leur compréhension. Le protocole est alors
utilisé pour indiquer aux participants la marche à suivre pour le
déroulement des débats, l’utilisation du site internet, la formation
des comités, etc. Il s’avère donc essentiel pour valider l’expérience
puisqu’il donne des directives communes à chaque comité, dont les
membres sont bénévoles et changeants, et assure un minimum de cohérence
et de continuité dans les actions. Toutefois, Verdir le diplôme est en
soi une expérimentation dont la structure (protocole et site internet)
est réévaluée lors de sa mise en pratique par les différents comités à
chaque nouveau cycle de question. Le tableau 1 présente une synthèse du
protocole qui guide le processus.
Tableau 1. Synthèse du protocole pédagogique principal de Verdir le
diplôme
Étape
Description du processus
Durée
1. Définition de la question
Le comité éditorial de l’université hôte organise un débat interne avec
les enseignants et les apprentis (étudiants et chercheurs) afin de
définir la question. Un texte expliquant les enjeux soulevés et le
contexte accompagne la question.
1 mois
2. Lancement de la question
L’université hôte publie sa question sur le site internet du Forum
National ainsi que de la documentation complémentaire (articles,
exemples de projet ou de pratique, etc.). Les autres universités
participantes prennent connaissance de la question et forment un comité
interne.
1-2 semaines
3. Débats internes
Dans chaque institution, le représentant et l’assistant du comité font
circuler l’information et organisent un débat regroupant les
enseignants et les apprentis.
1-2 semaines
4. Publication des réponses
Le représentant et l'assistant de chaque institution publient la
synthèse des réponses recueillies durant leur débat sur le site
internet du Forum National. Les participants peuvent alors prendre
connaissance des réponses et les commenter directement en ligne.
2-3 semaines
5. Publication du bilan
Le représentant, l’assistant et le comité éditorial de l’université
hôte rédigent le bilan des synthèses. Il est publié sur le site
internet du Forum National et soumis pour commentaires.
1-2 mois
6. Suivi pédagogique
Le comité éditorial national prend connaissance du bilan et en assure
le suivi pédagogique par des recommandations. La nouvelle université
hôte est désignée.
1 mois
8La durée exacte de chaque étape depuis la définition de la question
jusqu’au bilan des débats, est difficile à déterminer. Bien qu’un
échéancier serré de 2 à 6 semaines est généralement déterminé lors de
la création du calendrier des évènements par le comité éditorial de
l’université hôte, la réalité de chaque institution, la disponibilité
des bénévoles et le cycle des sessions entraînent des délais dans le
processus.
9L’École d’Architecture de l’Université de Montréal joue un rôle
central dans l’application du protocole pédagogique puisque ses membres
de Verdir le Diplôme (soit les auteurs du présent article) y assurent à
la fois le rôle d’équipe d’assistance technique (protocole et site
internet) pour les autres institutions et celui de comité éditorial
pour l’UdeM. Ce double statut permet d’assurer une continuité entre
chaque cycle de question tout en expérimentant le protocole au sein
même de l’institution.
L’exemple de la Question II de l’Université de Montréal
10Le mandat pancanadien et bilingue de Verdir le Diplôme reste
toutefois ambitieux et en lui-même pavé d’embuches. L’exemple de la
question II, lancée par l’UdeM et dont les dates clés sont présentées
au tableau 2, permet d’illustrer le processus nécessaire pour compléter
un cycle de questions à travers le Forum National.
Tableau 2. Dates clés du déroulement de la question II de Verdir le
Diplôme.
Étape
Description du processus
1. Définition de la question
Formation du comité éditorial le 27 novembre 2008.
Débat interne le 16 janvier 2009, de 13h30 à 16h30.
2. Lancement de la question
Lancement de la question II sur le Forum National le 10 mars 2009
3. Débats internes
Université de Carleton : Débat interne en mai 2009
Université McGill : Débat interne en avril 2009
Université de Toronto : Articles individuels, pas de débat
Université de Waterloo : Débat interne le 27 mars 2009
4. Publication des réponses
Publication des réponses des autres universités le 22 mai 2009
5. Publication du bilan
Publication du bilan final en anglais et en français le 13 février 2010
6. Suivi pédagogique
Non publié
La définition et le lancement de la question II
Pearl (professeur), Carmela Cucuzzella (...)
11Lorsque l’École d’architecture de l’Université de Montréal a été
désignée par le comité national pour être la prochaine institution
hôte, le comité exécutif de Verdir le Diplôme, basé à l’UdeM, a
recherché des étudiants pour former le comité éditorial6 de la question
II. Chapeauté par le professeur Daniel Pearl, il était constitué
d’étudiants de premier, deuxième et troisième cycle. Pendant deux mois,
le comité a préparé la définition de la question. Il a commencé par
informer la collectivité de la faculté de l’aménagement du lancement
prochain de la question et les a invités à s’exprimer et à participer
au débat. Il a choisi d’orienter la réflexion sur les possibilités et
le potentiel d’un contexte pluridisciplinaire pour l’École
d’Architecture dans le contexte des quatre écoles de la Faculté de
l’aménagement (architecture, architecture de paysage, design industriel
et d’intérieur et urbanisme). Pendant tout le processus, le comité a
compilé et sélectionné des articles et des exemples de pratiques pour
documenter la question.
12Le 16 janvier 2009, les étudiants de tous les niveaux de l’École
d’Architecture et des autres écoles de la Faculté de l’aménagement
ainsi que les professeurs, chercheurs, et le personnel des directions
ont été conviés à un large débat sur les enjeux de l’intégration de la
transdisciplinarité dans les cursus actuels. Afin d’alimenter les
discussions, quatre groupes d’étudiants (1^re, 2^e, 3^e année de
baccalauréat et 1^re année de maîtrise), ainsi que quelques professeurs
et chercheurs, sont venus à tour de rôle présenter leur point de vue et
leur préoccupation par rapport à la place du développement durable dans
leur formation ou leur recherche et à la notion de transdisciplinarité.
S’en est suivi un débat animé et retranscrit par les membres du comité
éditorial.
13De manière très synthétique, les préoccupations divergeaient selon
les groupes. Ainsi, une partie du corps professoral et des chercheurs
ont souligné (1) le sous-développement de la théorisation de la
durabilité et de l’architecture durable (2) leur crainte de voir la
discipline de l’architecture s’affaiblir par l’introduction de la
transdisciplinarité tout en soulignant en même temps (3) la nécessité
d’ouvrir la discipline et d’arrêter de travailler en silo. En
contrepartie, des interventions des étudiants sont ressorties (1) le
désir d’augmenter le travail interdisciplinaire avec les autres écoles
(2) l’irrégularité et le niveau embryonnaire des connaissances de
plusieurs professeurs envers le développement durable et (3) la crainte
de surcharger leur formation déjà écrasante par l’apprentissage des
complexes considérations du développement durable. Ce débat a mené à la
formulation et au lancement par le comité éditorial de l’UdeM de la
deuxième question nationale de Verdir le Diplôme.
« Quelle est la transformation disciplinaire nécessaire pour engager
le milieu académique dans le processus transdisciplinaire du projet
soutenable ?
Notre question se veut un appel à l’action, à la création d’un
dialogue entre les écoles d’architecture, mais aussi avec d’autres
disciplines. Bien que les intérêts et les enjeux varient d’un
contexte à l’autre et, qu’en plus, la notion de soutenabilité ne
fait pas consensus, nous pensons qu’il est urgent que le milieu
académique passe à l’acte. Et comme pour s’ouvrir aux autres il faut
commencer par se connaître soi-même, nous avons centré notre
réflexion sur les possibilités et le potentiel du contexte de notre
École d’architecture au sein de la Faculté de l’aménagement de
l’Université de Montréal […]. Le défi de la transformation vers la
soutenabilité […] implique le passage de la multidisciplinarité à la
transdisciplinarité. En d’autres mots, il nous faut passer d’une
formation qui, actuellement, survole les disciplines connexes à
l’architecture, mais qui reste centrée sur elle-même, à une
formation qui s’appuie sur sa discipline pour prendre sa place dans
la complexité du monde. Le « quand » et le « comment » de ce passage
se révèlent être au cœur du problème. Doit-il se faire dès le
premier cycle ou plutôt au deuxième cycle ? Quelle forme
prendra-t-il ? Et surtout, les programmes de formation actuels
sont-ils assez flexibles pour permettre ce passage ? »
Extrait du texte explicatif accompagnant la question II sur le Forum
National
Les débats internes et la publication des réponses de chaque institution
Les autres institutions
14Pour ce cycle de question, en plus de l’UdeM, quatre institutions ont
participé activement en tenant des débats à l’interne puis en publiant
leur réponse officielle sur le Forum National. Il s’agit de
l’Université Carleton (Ottawa, Ontario), l’Université McGill (Montréal,
Québec), l’Université de Toronto (Ontario) et l’Université de Waterloo
(Ontario). Chacune à sa manière a présenté ses initiatives locales et
les grandes lignes de ses préoccupations.
15La discussion autour de la transdisciplinarité a fait ressortir un
malaise concernant le rôle de l’architecte et de l’architecture par
rapport aux transformations qu’entraine la « crise » du développement
durable. Initialement, la transdisciplinarité établit le constat
d’échec des pratiques en silo tout en indiquant une piste d’avenir à
suivre. L’idée que les architectes doivent travailler avec les autres
disciplines n’est pas si récente. Toutefois, les problèmes qui y sont
associés sont bien actuels et d’autant plus difficiles à surmonter. Les
intervenants semblent s’accorder sur l’importance d’ouvrir à la fois la
profession, la formation et la recherche, à la transdisciplinarité. Le
prochain obstacle à franchir est maintenant le « comment faire ». Si
plusieurs modèles potentiels ainsi que plusieurs exemples de
transdisciplinarité ont été présentés durant le débat, un constat pèse
sur l’ensemble : le manque de cohérence et le lien entre les actions,
autant à l’échelle de chacune des Écoles qu’à l’échelle nationale. En
effet, pour entrainer un changement de mentalité, les nouvelles
pratiques doivent devenir les nouvelles habitudes.
L’Université de Montréal
Céline-Coralie Mertenat, accompagné du (...)
16De son côté, le comité de l’UdeM compilait aussi certaines
initiatives de l’École et de la Faculté pour les publier. Par rapport à
l’enjeu de la transdisciplinarité, un exemple se démarque plus
particulièrement, celui de l’atelier d’écologie urbaine ARC3015, donné
en 3^e année du baccalauréat en architecture de l’Université de
Montréal, en association au groupe de recherche ARUC-MSC (Alliance de
recherche Université-Communauté / Les mégaprojets au service des
communautés) et à la communauté montréalaise du « Village des
Tanneries ». À l’automne 2008 (Figure 3), une première structure
transdisciplinaire a été mise en place afin d’initier les étudiants aux
enjeux complexes de l’écologie urbaine dans ses dimensions
environnementales et sociales et de les exposer à une diversité de
point de vue différent et divergent sur un même contexte. Les étudiants
en architecture ont été exposés à l’enseignement d’une équipe de
professeur et de chercheur7 et à différents conférenciers venant tout
autant du milieu académique, professionnel ou communautaire. Les
résultats furent présentés à la communauté du Village ainsi qu’aux
membres élargis de l’ARUC-MSC.
Figure 3. Structure transdisciplinaire adoptée lors de l'atelier
d'écologie urbaine (ARC3015) donné à l'automne 2008 à l’École
d’Architecture de l'Université de Montréal.
Figure 3. Structure transdisciplinaire adoptée lors de l'atelier
d'écologie urbaine (ARC3015) donné à l'automne 2008 à l’École
d’Architecture de l'Université de Montréal.
Agrandir Original (jpeg, 1,0M)
Simon Jones.
nouveau en 2012.
17À la session d’hiver 2010, l’atelier est à nouveau donné, mais cette
fois avec une structure transdisciplinaire différente (Figure 4). À
l’atelier, s’ajoute le cours théorique de 3 crédits d’architecture
verte (ARC3640)8 où l’information présentée par les conférenciers est
complétée par des cours théoriques sur l’architecture verte et des
collectivités durables. De plus, les étudiants en ateliers sont amenés
à rencontrer et à collaborer avec les étudiants de l’atelier de
planification de projet II (URBP623) donné en première année de
maîtrise à l’institut de planification urbaine de l’Université McGill.9
Figure 4. Structure transdisciplinaire adoptée lors de l'atelier
d'écologie urbaine (ARC3015) donné à l'hiver 2010 à l’École
d’architecture de l'Université de Montréal.
Figure 4. Structure transdisciplinaire adoptée lors de l'atelier
d'écologie urbaine (ARC3015) donné à l'hiver 2010 à l’École
d’architecture de l'Université de Montréal.
Agrandir Original (jpeg, 1,2M)
18Ce processus d’expérimentation met l’accent sur la pensée et
l’enseignement transdisciplinaire. Elle soulève des opportunités telles
que : (1) confronter les étudiants à différents points de vue par
divers moyens (conférence, texte, enseignant, etc.) ; (2) faire éclater
les silos en créant des liens entre les groupes de recherche, les
professionnels, les étudiants et les communautés ;(3) apaiser le
sentiment d’impuissance des étudiants en leur montrant leur rôle
complémentaire dans le contexte élargi du développement durable de la
ville. Ainsi que des défis tels que (1) intégrer une multitude et une
diversité d’intervenants ;(2) surmonter les limites des capacités
techniques et des connaissances des étudiants, ainsi que leur
hétérogénéité tout en nivelant par le haut ; (3) initier dans un temps
très réduit les étudiants aux théories, approches et exemples les plus
pertinents pour leur donner les outils et les connaissances de base et
les situer dans le contexte élargi du développement durable et de
l’architecture ; et (4) combler au minimum les lacunes entre les
langages et les outils de différentes disciplines en jeu.
La publication du bilan
19Cet exemple, jumelé à ceux des autres universités, a mené le comité
éditorial de l’UdeM à proposer dans leur bilan de la question, publié
sur le Forum National, quatre manières potentielles de transformer les
programmes de formation vers une ouverture transdisciplinaire.
Le programme de formation
20Tout changement au cursus doit être approuvé par le CCCA10. (1) Le
baccalauréat se ferait en tronc commun avec une ou plusieurs autres
disciplines. La maîtrise offrirait une spécialisation dans un domaine
en particulier dont l’architecture. (2) Le baccalauréat se
concentrerait sur la formation professionnelle en architecture. La
maîtrise serait un programme commun à plusieurs disciplines où chaque
étudiant choisit le degré de transdisciplinarité de sa formation.
L’atelier
21La création de nouveau cours est limitée par les ressources de
l’École ainsi que par la structure de l’Université ou les exigences du
CCCA. (1) Le professeur de l’atelier est issu d’une autre discipline et
enseigne sa perception disciplinaire du projet d’architecture. (2) Les
étudiants sont de différentes disciplines et ils travaillent ensemble
dans le cadre d’un atelier. La transdisciplinarité est basée sur le
travail d’équipe lors de la conception du projet. (3) Différents
intervenants extérieurs à la discipline de l’architecture partagent
leur savoir et leur point de vue sous forme de conférences et de
critiques en atelier.
Les activités hors programme
22La création d’activité hors programme est flexible dans son
organisation et son financement, mais doit réussir à attirer des
participants. (1) Des activités hors programme de courte durée (tel que
charrettes, concours, conférences, colloques, etc.) qui permettraient
de multiplier les expériences transdisciplinaires. (2) Implication de
l’étudiant dans un projet transdisciplinaire hors programme étalé sur
une longue période de temps et qui permet l’évolution de la réflexion
(tel que concours, projet social, projet de recherche, etc.).
La recherche
23La création de nouveaux projets de recherche n’est pas limitée par le
CCCA. (1) Les chercheurs issus de différentes disciplines se regroupent
dans le contexte d’un laboratoire de recherche transdisciplinaire
autour d’un objet d’étude commun, par exemple, les pratiques et
l’enseignement du projet soutenable. (2) Le laboratoire vivant regroupe
des chercheurs, des professeurs et des apprentis de toutes les
disciplines dans une recherche-action dont l’objet d’étude est le cadre
bâti du campus et son utilisation comme outils de compréhension, de
promotion et d’expérimentation du projet soutenable dans les programmes
de formation.
Le suivi pédagogique
24En proposant cette série de modèles de transformation, le comité
éditorial de l’UdeM a mis en lumière les nombreux défis auxquels sont
confrontées les institutions poursuivant l’objectif d’ouverture
disciplinaire de leur cursus. Force est de constater qu’il y a
actuellement un accablant manque de cohésion et d’action dans chaque
institution à travers le pays. Pourtant, l’idée de transdisciplinarité
dans la profession d’architecte n’est pas récente et fait partie de son
histoire. Dans la pratique, les architectes travaillent sur des projets
en collaboration avec de nombreuses autres professions. Mais, la notion
de projet de conception dans un contexte de durabilité jette un nouveau
jour sur l’idée de transdisciplinarité. Les enjeux d’intégrité
environnementale, de cohésion sociale et de faisabilité économique sont
devenus maintenant explicites. Pour être intégrés au projet
d’architecture, ils devraient être idéalement mesurables et comparables
afin de savoir si des bénéfices ressortent des décisions prises au nom
de la durabilité. Toutefois, tant que l’idée de durabilité elle-même
sera entourée d’ambiguïté, où les enjeux sont globaux et les solutions
locales, l’applicabilité de la durabilité restera à un niveau de
complexité difficilement compatible avec le sentiment d’urgence sans
précédent qui l’accompagne.
Discussion
L’évolution des sujets abordés par Verdir le Diplôme
aspirations in the curriculum ? If so, in (...)
pid =1&lang (...)
25Jusqu’à présent, trois questions ont été lancées sur le site internet
du Forum National depuis sa création. La première a été définie par
l’Université de Colombie-Britannique (UBC) en mars 2008 : « Existe-t-il
un conflit entre les aspirations pour le développement durable et
celles visant la conception architecturale dans les objectifs du
cursus ? Si oui, de quelle façon se manifeste-t-il ? » 11 UBC a ainsi
ouvert ce premier débat virtuel autour de la tension qui existe entre
la recherche de durabilité et les objectifs et buts actuels des cursus
des écoles d’architecture. Suite à un débat interne, l’Université de
Montréal a souligné qu’à son point de vue, trois obstacles constituent
le défi principal pour combiner la durabilité et les aspirations du
design12 : (1) augmenter le contenu théorique et les connaissances
pratiques pour les professeurs et les étudiants (2) inclure une
structure multidisciplinaire plus compréhensive et (3) introduire les
concepts de base de la durabilité aux étudiants dès la première année.
that would improve the role of archit (...)
pid =1&lang (...)
26La question III, la plus récente lancée sur le Forum National, est
celle présentée par l’Université Laval (UL) en février 2010 : « Comment
le curriculum peut-il intégrer des technologies environnementales
renforçant le rôle de la conception architecturale comme lieu
d’innovation esthétique, sociale et culturelle plutôt que de la réduire
à une simple optimisation de performance ? »13 L’UL oriente ainsi le
débat sur le rôle de l’optimisation de la performance, associée aux
critères environnementaux et aux certifications vertes, et de son
impact sur les dimensions esthétiques, sociales ou culturelles du
projet d’architecture. À l’UdeM, lors du débat interne, une partie des
participants était partisane du potentiel de l’innovation technique
comme moteur d’innovation alors que d’autres, au contraire,
ressentaient que l’accent mis sur la technique, ou plus spécifiquement
sur les systèmes de certification reliés à de possibles innovations
techniques, pourrait compromettre les autres dimensions du projet
d’architecture.14
27Des trois premières questions lancées ressort une progression des
sujets dans les débats. La question de l’intégration des enjeux de
durabilité dans la formation universitaire en architecture et plus
largement en design et dans la pratique, suit une évolution d’où
émergent certains blocages majeurs. Au début, les préoccupations
générales ont touché à la tension entre architecture et durabilité,
pour évoluer vers une préoccupation plus précise sur l’enjeu de la
transdisciplinarité et du carcan de l’optimisation technique comme
solution de durabilité.
28Cette synthèse des débats démontre la double dichotomie entre
formation et pratique ainsi qu’entre théorie et technique, spécifique à
l’architecture et aux domaines du design et de l’aménagement. Ainsi,
une notion aussi complexe que la durabilité est d’autant plus
compliquée à intégrer au contexte tout aussi complexe de
l’architecture. Étant donné l’impossibilité de trouver une avenue
simple à cette intégration, le choix du débat tel qu’offert par Verdir
le Diplôme, reste un bon moyen de faire évoluer les idées et de
partager les blocages et les avancées dans le milieu élargi qu’est le
réseau des écoles canadiennes d’architecture.
Conclusion : une critique du processus
29Les ambitieux objectifs de Verdir le Diplôme s’avèrent un véritable
défi à relever. D'un côté, c’est un processus réflexif à l’échelle
nationale qui fait ressortir la multidimensionnalité des enjeux de la
formation en architecture et de la durabilité. Il permet aux
participants d’élargir leur vision et leur compréhension tout en
propageant de nouvelles manières de penser et d’agir. D’un autre côté,
c’est une large organisation de bénévoles disséminées à travers le pays
dont le fonctionnement et la participation relève d’un effort constant
de motivation et d’un suivi considérable par l’institution hôte et
l’équipe d’assistance technique de l’Université de Montréal.
30Incontestablement, Verdir le Diplôme génère de multiples
opportunités. Il crée un réseau interuniversitaire national qui met en
contact les acteurs du développement durable de chaque institution et
crée une émulation. Il met en lumière les complémentarités entre les
préoccupations des uns et les solutions des autres en assurant une mise
à jour des démarches et des actions en cours. Il est une source de cas
d’étude et d’exemple et donne ainsi des précédents et des arguments à
ceux qui veulent faire changer les choses. Il offre une structure
d’expression indépendante, flexible et appropriable.
valider ces hypothèses ou évaluer l'influ (...)
31Toutefois, ces opportunités sont en partie atténuées par les blocages
importants qui jalonnent le processus. En fait, le plus grand défi du
projet est la difficulté de motiver, d’encourager et de maintenir la
participation de tous, incluant les organisateurs et les bénévoles.
Selon l’équipe de l’UdeM, plusieurs facteurs en sont la cause. Bien
qu’au départ, le site internet s’est présenté comme une solution
idéale, il faut reconnaitre que les débats réels restent au sein de
chacune des institutions et que l’absence de rencontre en personne
entre les participants enlève la dimension sociale concrète du débat15.
De plus, le budget étant très limité, aucune incitation académique
(crédit académique) ou monétaire ne vient encourager l’implication et
créer un sentiment d’engagement. À cela s’ajoute la difficulté pour les
étudiants, professeurs, chercheurs et administrateur à se retrouver sur
un pied d’égalité lors des discussions. Finalement, plusieurs temps
morts dus à la multiplicité des étapes du processus et des participants
entrainent des baisses d’intérêts. Le temps qui sépare les questions et
les débats est généralement trop long, le processus tombe dans l’oubli
et les participants désertent.
32Depuis des siècles, les architectes et les designers ont développé
des visions holistiques et durables, projetant dans l’avenir la
construction complexe de bâtiment, d’espaces urbains, de paysage et de
plan d’ensemble à grande échelle. Dans le dernier siècle, ce travail
« historique » d’intégration s’est fragmenté à la faveur d’une
surspécialisation. Aujourd’hui, les professionnels capables
d’entrelacer les enjeux multidisciplinaires et de mener des projets de
design et de construction transdisciplinaire sont recherchés autant
dans la pratique que dans l’enseignement et la recherche. Verdir le
diplôme a facilité la dissémination de diverses approches pédagogiques
transdisciplinaires à travers le Canada et a encouragé le développement
de la prochaine génération d’architecte à posséder à la fois un
vocabulaire élargi et une capacité de pensée latérale et itérative des
habiletés de design.
33Au fur et à mesure que les campus canadiens évolueront vers des
« laboratoires vivants », ils créeront de cruciales opportunités de
documenter et d’améliorer des exemples de processus de conception et de
construction durable à différentes échelles. Verdir le diplôme peut
aider le partage et le retour critique nécessaire à de telles
expérimentations, spécialement dans le contexte actuel où la
prolifération d’efforts « durables » unidimensionnels (autrement dit de
« greenwashing ») commence à être louée sur de trop nombreux campus.
Afin d'assurer une profondeur suffisante aux futures expérimentations
académiques, Verdir le Diplôme va activement inviter les autres écoles
non seulement d’architecture, mais aussi de design et d’autres
disciplines à participer aux futurs cycles de question.
34En conclusion, Verdir le diplôme jongle entre une structure flexible
et une participation changeante afin de s’adapter à l’évolution
constante des enjeux et des contextes. Ses forces et ses lacunes
résident dans sa nature indépendante de toute structure officielle,
mais c’est grâce à cette tension que ce projet reste d’actualité et
offre un potentiel d’innovation majeure pour l’enseignement, les
approches pédagogiques, l’implication étudiante et surtout pour la
transformation dès maintenant des programmes de formation.
Remerciements
35Nous voulons remercier l’équipe fondatrice de Verdir le Diplôme -
Raymond Cole, André Potvin, Lucie Fontaine et Daniel Pearl - pour
l’excellence de leur initiative et pour leur persévérance depuis près
de 10 ans pour faire évoluer le projet. Merci aussi à toute l’équipe du
L.E.A.P. (Laboratoire d'étude de l'architecture potentielle) qui nous a
soutenus et nous a apporté l’assistance technique essentielle à la
réalisation de ce projet pancanadien. Merci à Simon Doucet d’avoir
conçu et entretenu le site internet du Forum National. Merci à l’École
d’architecture et à la Faculté de l’Aménagement de nous avoir soutenus
dans nos démarches. Merci à l’ARUC-MSP qui nous permet d’aller toujours
plus loin dans nos recherches. Un dernier merci, mais probablement le
plus important, à toutes les personnes qui participent aux activités de
Verdir le Diplôme et qui ont à cœur le développement durable.
Biographies
36Céline-Coralie Mertenat s’intéresse à l’approche de l’écologie
urbaine et à la certification environnementale des projets
d’architecture et de design urbain.
37Daniel Pearl enseigne la construction, l’architecture verte et
l’écologie urbaine et se démarque dans sa pratique sensible envers
l’environnement et les enjeux communautaires.
38Carmela Cucuzzella s’intéresse aux pratiques de design responsable et
aux évaluations de la durabilité et aux outils de certification, dont
l’analyse de cycle de vie et LEED.
Haut de page
Bibliographie
Pearl D, Mertenat C-C, et coll., 2010, Entre conception et
technologie : la nécessité du regard critique. Réponse synthèse du
comité de l’École d’architecture de l’Université de Montréal. Verdir le
diplôme d’architecture au Canada. 9 mars 2010. 7 pp. [En ligne] URL :
Pearl D, Mertenat C-C, Cucuzzella C, et coll., 2010, Question 2 :
Synthèse finale. Comité éditorial de l’École d’architecture de
l’Université de Montréal. Verdir le diplôme d’architecture au Canada.
27 janvier 2010. 7 pp. [En ligne] URL :
Pearl D, Mertenat C-C, Cucuzzella C, et coll., 2009, Question 2 :
Quelle est la transformation disciplinaire nécessaire pour engager le
milieu académique dans le processus transdisciplinaire du projet
soutenable ? Développement autour de la notion de transdisciplinarité.
Comité éditorial de l’École d’architecture de l’Université de Montréal.
Verdir le Diplôme d’architecture au Canada. 9 mars 2009. 7 pp. [En
Haut de page
Notes
1 Daniel Pearl, professeur, École d’architecture, Université de
Montréal
2 Raymond Cole, professeur, School of Architecture and Landscape
Architecture, University of British Columbia
3 André Potvin, professeur, École d’architecture, Université Laval
4 Lucie Fontaine, professeur, School of Architecture, Carleton
University (en 2002 et 2003 Richard Kroeker, professeur à Dalhousie
University, était le quatrième organisateur. Il a été remplacé en 2004
par Lucie Fontaine)
5 Laboratoire d’Étude de l’Architecture Potentiel URL :
www.leap.umontreal.ca
6 Alors formé de : Céline-Coralie Mertenat (maitrise), Daniel Pearl
(professeur), Carmela Cucuzzella (doctorante), Simon Doucet
(technicien), Fabiano Sobreira (postdoctorant), Giselle Bouron
(baccalauréat), Simon D. Bergeron (baccalauréat) et Marie-Anne Legault
(baccalauréat).
7 Dont deux auteurs du présent article, soit Daniel Pearl et
Céline-Coralie Mertenat, accompagné du professeur invité Sudhir Suri.
8 À l’équipe professorale précédente s’ajoute le professeur invité
Simon Jones.
9 Les cours d’Architecture verte et d’écologie urbaine se donnent à
nouveau en 2012.
10 Conseil Canadien de Certification en Architecture
11 “Does a conflict exist between sustainability and design
aspirations in the curriculum ? If so, in what ways is it manifest ?”
12 Fait référence à :
=1&lang =en
13 “How can the curriculum integrate environmental technologies that
would improve the role of architectural design as a place for
aesthetical, social and cultural innovation rather than reduce it to a
mere performance optimisation ?”
14 Fait référence à ;
=1&lang =en
15 Toutefois, aucune recherche n'a encore été réalisée pour valider
ces hypothèses ou évaluer l'influence de la conception du site internet
du forum national par rapport à la participation déséquilibrée. Ces
conclusions se basent sur les réflexions issues de l’expérience du
comité éditorial et de l’équipe de support technique de l’UdeM.
Haut de page
Table des illustrations
Titre Figure 1. Évolution de Verdir le Diplôme depuis sa création en
2002.
URL
Fichier image/jpeg, 280k
Titre Figure 2. Aperçu du forum national de Verdir le diplôme pour la
question II.
URL
Fichier image/jpeg, 1,1M
Titre Figure 3. Structure transdisciplinaire adoptée lors de l'atelier
d'écologie urbaine (ARC3015) donné à l'automne 2008 à l’École
d’Architecture de l'Université de Montréal.
URL
Fichier image/jpeg, 1,0M
Titre Figure 4. Structure transdisciplinaire adoptée lors de l'atelier
d'écologie urbaine (ARC3015) donné à l'hiver 2010 à l’École
d’architecture de l'Université de Montréal.
URL
Fichier image/jpeg, 1,2M
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Pour citer cet article
Référence électronique
Céline-Coralie Mertenat, Daniel Pearl et Carmela Cucuzzella, « Verdir
le diplôme d’architecture au Canada : un forum académique national, une
question de transdisciplinarité. », VertigO - la revue électronique en
mis en ligne le 10 avril 2012, consulté le 14 janvier 2022. URL :
Haut de page
Auteurs
Céline-Coralie Mertenat
M. Arch., M. Sc. App. AME, École d’architecture, Faculté de
l’aménagement, Université de Montréal, C.P. 6128, succursale
Centre-ville, Montréal (Québec), H3C 3J7, Canada, Courriel :
cc.mertenat@umontreal.ca
Daniel Pearl
Professeur agrégé, École d’architecture, Faculté de l’aménagement,
Université de Montréal, C.P. 6128, succursale Centre-ville, Montréal
(Québec), H3C 3J7, Canada, Courriel : daniel.pearl@umontreal.ca
Carmela Cucuzzella
Ph.D. AME, M. Sc. App. DC, Assistant Professor, Concordia University,
Design and Computation Arts, Faculty of Fines Arts, Concordia
University, EV- Engineering, Computer Science - Visual Arts Integrated
Complex, 1515 St. Catherine W. Montreal, Quebec, Canada, H3G 1M8,
Courriel : carmela.cucuzzella@concordia.ca
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Sur le marché de l’emploi, le diplôme protège un peu moins qu’avant
En 2013, 13 % des diplômés du supérieur étaient au chômage trois ans
après leur sortie. Les bac + 5 s’en sortent mieux.
Par Benoît Floc'h
Publié le 24 septembre 2015 à 00h19 - Mis à jour le 24 septembre 2015 à
11h05
Temps de Lecture 3 min.
Une étudiante à la faculté de Picardie - Jules Verne, à Amiens, le 22
septembre 2015. Une étudiante à la faculté de Picardie - Jules Verne, à
Amiens, le 22 septembre 2015. Une étudiante à la faculté de Picardie -
Jules Verne, à Amiens, le 22 septembre 2015. MATHIEU FARCY/COLLECTIF
KAIROS POUR "LE MONDE"
Faire des études, et après ? Une étude du Centre d’études et de
recherches sur les qualifications (Céreq), publiée jeudi 24 septembre,
rappelle que poursuivre des études supérieures ne garantit pas une
entrée sans encombre sur le marché du travail. C’est même de moins en
moins le cas. Ce rappel sonne comme un coup de semonce, alors que
l’Etat vient de fixer de nouveaux objectifs éducatifs : le
17 septembre, le président de la République a souhaité que 60 % d’une
classe d’âge soit diplômée du supérieur (contre 44 % aujourd’hui) d’ici
à 2025.
La veille, son secrétaire d’Etat à l’enseignement supérieur, Thierry
Mandon, se réjouissait de voir la France basculer plus vite que prévu
dans la « société de la connaissance » en accueillant cette année
65 000 étudiants de plus à l’université.
Mais après ? En 2013, le Céreq a interrogé un échantillon des 369 000
jeunes sortis en 2010, avec ou sans diplôme, de l’enseignement
supérieur. Entrés sur le marché du travail deux ans après le
déclenchement de la crise économique de 2008, les diplômés du supérieur
accusent trois ans plus tard un taux de chômage de 13 %. C’est 4 points
de plus qu’en 2007 pour ceux qui étaient sortis en 2004.
LE MONDE
En outre, comme dans l’enseignement scolaire, les origines sociales
pèsent lourd sur les études. Plus on monte dans le cursus, plus les
enfants de cadres sont nombreux. Ils sont 26 % parmi les diplômés de
brevet de technicien supérieur (BTS, bac + 2), 51 % en master (bac + 5)
et jusqu’à 67 % en doctorat (bac + 8). Et l’alternance, qui s’est
beaucoup développée dans le supérieur, n’échappe pas à la règle.
Jusqu’à bac + 4, il y a plus d’enfants de cadres parmi les alternants
qu’à bac + 5, où les familles favorisées sont par ailleurs
surreprésentées.
« Le nombre de bac + 5 délivrés est deux à trois fois supérieur à ce
que le marché du travail est en mesure d’absorber »
L’étude montre également qu’un jeune sur quatre n’a obtenu aucun
diplôme. Les plans gouvernementaux adoptés par la droite puis par la
gauche pour améliorer la réussite en licence n’y font rien. En
revanche, l’impulsion gouvernementale à la poursuite d’études donne,
elle, des résultats. En 2010, près d’un tiers des étudiants obtient un
diplôme de niveau bac + 5 ou plus. Ils n’étaient qu’un quart quelques
années plus tôt.
Pour les détracteurs de cette politique, c’est pure folie. Dans une
note parue en juillet, la Fondation pour l’innovation politique
(Fondapol), un cercle de réflexion libéral, dénonce « une
surdiplomation artificielle ». « Le nombre de bac + 5 délivrés est deux
à trois fois supérieur à ce que le marché du travail est en mesure
d’absorber, écrit l’auteur, Julien Gonzalez. Les conséquences sont
préoccupantes : frustration des jeunes diplômés et de leur famille,
dévalorisation des diplômes, renchérissement du coût de l’enseignement
supérieur, emplois moins qualifiés non pourvus… » Les mises en garde de
la sociologue Marie Duru-Bellat dans son livre L’inflation scolaire
(Seuil, 2006), sont également connues.
La seule licence protège mal du chômage
Et pourtant, le diplôme demeure très protecteur. Si les diplômés de
l’enseignement supérieur connaissent un taux de chômage de 13 % trois
ans après, il est de 26 % pour ceux qui n’ont pas dépassé le
secondaire, et de 50 % pour ceux qui sont sortis du système éducatif
sans diplôme.
« La création d’emplois de cadres a été très forte depuis 2004 »
Par ailleurs, il existe de grandes différences au sein même du
supérieur. La seule licence protège mal du chômage. Le master beaucoup
mieux. A ce niveau, le taux de chômage tombe à 10 % et même à 4 % pour
les écoles d’ingénieurs. Quant aux docteurs, seuls 6 % sont sans
emploi.
Les auteurs de l’étude du Céreq, Julien Calmand, Boris Ménard et
Virginie Mora, n’occultent pas la question de l’utilité de la hausse du
niveau de diplôme. « Entre les générations 2004 et 2010, la création
d’emplois de cadres a été très forte, indique Boris Ménard. Il y a donc
un potentiel, même si la capacité du marché de l’emploi à absorber ces
diplômés est plus lente que l’élévation du niveau d’études. »
Bertrand Martinot n’est pas inquiet. Economiste spécialiste de
l’emploi, ancien conseiller social de Nicolas Sarkozy, auteur de Pour
en finir avec le chômage (Fayard, 2015), il confie n’avoir « pas le
moindre doute » sur le fait que les jeunes qui poussent jusqu’à bac + 5
trouvent un emploi de cadre. « Les systèmes économiques s’adaptent aux
qualifications des personnes, dit-il. Si la France dispose de beaucoup
de matière grise, elle développera des activités économiques de haut
niveau : centres de recherches, technologies de pointe, finances,
sièges sociaux… L’ajustement peut prendre du temps. Mais le chômage que
connaissent ces jeunes est surtout dû à la crise de 2008. »
Benoît Floc'h
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Études : les diplômes sont-ils toujours aussi valorisés en France ?
étudiants 4:26
Manon Fossat 21h13, le 14 avril 2021
Alors qu'un jeune sur deux estime que ses études ne lui servent à rien
dans sa recherche d'emploi, la France reste un des pays où le niveau de
diplôme est le plus important. Contrairement aux idées reçues, le pays
reste extrêmement structuré autour des études, conformément à son ADN
depuis plus d'une trentaine d'années, expliquent les invités du Club
des idées autour de Julian Bugier sur Europe 1, mercredi soir.
ANALYSE
Que vaut vraiment la course aux diplômes dans un pays frappé par le
Covid-19 ? Les grandes études sont-elles toujours aussi valorisées en
France ? Mercredi soir, dans le Club des idées, Julian Bugier a débattu
de l'avenir des jeunes avec plusieurs spécialistes du sujet, dont
Stéphane Marchand, directeur et rédacteur en chef du mensuel Pour l’Eco
qui publie en avril en partenariat avec Europe 1 un dossier intitulé
"Génération Covid : les jeunes diplômes à perpétuité ?". Il se trouve
que nous accordons justement une place considérable aux diplômes, bien
plus que dans les autres pays.
"Un sens aigu de l'élite"
Un constat que Stéphane Marchand explique par plusieurs raisons. "En
France, nous ne sommes pas des pragmatiques et nous avons un sens aigu
de l'élite. Et depuis plus d'une trentaine d'années, nous avons
entrepris une sorte de massification de l'éducation afin de donner au
maximum de citoyens la possibilité de faire des études, et donc de
trouver un travail derrière. L'objectif était aussi une certaine
démocratisation de la connaissance, et de l'accès à l'emploi.
Malheureusement ça n'a pas marché. Dès que vous allez vers les études
de qualité, la proportion de gens aisés demeurent la même, et les
catégories ouvrières, elles, ne progressent pas."
>> Retrouvez Europe soir en replay et en podcast ici
Selon lui, un choix a été opéré, et est désormais ancré dans les
mentalités. "À un moment, l'Etat français a mesuré deux risques. Celui
d'abord de créer une frustration dans le pays parce que les gens
n'arrivent pas à avoir des diplômes et des jobs. Et l'autre, que les
gens soient formés mais n'aient pas de jobs. Et cette frustration là a
été jugée moins grave", a-t-il encore estimé.
"Les diplômes comme rempart contre la précarité"
À l'heure actuelle en effet, le graal pour les étudiants est en effet
d'arriver à Bac+5. Comme l'explique Tom Chevalier, chargé de recherche
au CNRS, une course au diplôme a été engagée en France et est toujours
d'actualité. "Statistiquement, vous avez beaucoup moins de chances de
ne pas trouver un emploi si vous avez des diplômes élevés. Plus les
jeunes vont être diplômés, plus ils vont être protégés du chômage et
des emplois de mauvaise qualité" a-t-il jugé, précisant que certaines
filières étaient par ailleurs plus à l'abri que d'autres.
Des propos partagés par François Sarfati, professeur en sociologie à
l'Université Paris-Saclay. "Même après des années de massification,
le diplôme continue d'être un rempart contre la précarité et permet
d'accéder plus facilement à l'emploi stable et à un niveau de
rémunération supérieur", a-t-il expliqué.
Selon lui, la France reste en effet un pays extrêmement structuré par
le niveau d'études. "On est passionné par les diplômes et les
recruteurs cherchent toujours à savoir quels diplômes ont les candidats
qu'ils ont en face d'eux au moment du recrutement".
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Accueil Entreprises Dirigeants Autodidacte : peut-on encore réussir
sans diplôme ?
Autodidacte : peut-on encore réussir sans diplôme ?
Par
Victor Cazale
-
03/03/2021
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De Xavier Niel à Steve Jobs ou Alain Afflelou, ils sont nombreux à
avoir réussi sans avoir appris à travers un cursus balisé, scolaire et
universitaire. De nombreux autodidactes sont présents dans tous les
domaines économiques, même si certains secteurs leur sont plus
difficiles d’accès. Pourtant, les autodidactes sont soit portés aux
nues, soit considérés comme difficiles à employer…
L’autodidacte n’est pas un ignorant, loin de là. Il a appris via
l’expérience, avec un cursus scolaire limité dans un premier temps, car
de nombreux autodidactes en progressant dans les échelons hiérarchiques
profitent des opportunités qui leur sont offertes pour suivre des
formations qualifiantes, parfois de haut niveau. Une façon de se
prouver « qu’ils le valent bien ». Car le coeur du problème de
l’autodidacte est sa légitimité dans des secteurs où le diplôme reste
la règle.
L’autodidacte est souvent un passionné
L’autodidacte présente des particularités. Bien souvent il est un
passionné, et c’est par motivation personnelle qu’il devient un vrai
pro, voire un leader. Les exemples de réussite d’autodidactes sont
pléthores. Connus ou pas, ces hommes et femmes sont foison. De Thomas
Edison en allant jusqu’à Steve Jobs, les entrepreneurs et génies
créatifs n’ont pas eu besoin d’user leur fond de culotte sur les bancs
de l’école et de l’université pour s’être manifestés. Il est vrai
qu’ils ont largement compensé ce désavantage apparent par une curiosité
insatiable, de nombreuses idées et une énorme somme de travail.
Le système scolaire ne convient pas à tous
Que l’on soit en France ou à l’étranger, le système scolaire tel qu’il
existe au fil du temps ne convient pas à tous les profils d’enfants ou
adolescents. Pourtant, on ne parle pas que des fameux « cancres » : des
enfants parfois tout à fait intelligents et intéressants, mais qui ne
parviennent pas à rentrer dans les cases de l’éducation nationale.
Certains ont besoin de plus de temps pour s’y faire, d’autres d’un
enseignement plus libre, certains ne peuvent supporter l’immobilité,
quelques-uns souffrent de dyslexie, etc. Difficile de critiquer
l’école, car il est normal qu’elle soit adaptée en priorité à la masse
et non pas aux exceptions.
De Xavier Niel à Afflelou : des autodidactes célèbres
Xavier Niel, Alain Afflelou, Jean Claude Bourrelier, Jacques Dessange…
autant de chefs d’entreprises sans complexe qui n’affichent pas de
diplôme et ont pourtant mis en place des entreprises et groupes majeurs
de l’économie française. Normal après tout que les exemples soient plus
faciles à trouver dans le secteur de la création où il n’est nullement
obligatoire de présenter son CV avant de déposer les papiers au greffe
de commerce. D’autant que les autodidactes font souvent preuve
d’imagination à défaut de toujours avoir la méthode adéquate.
L’important pour ces hommes dans leur trajet vers la réussite est de
savoir s’entourer afin de pallier les manques éventuels ou de se former
peu à peu pour acquérir les qualités nécessaires. Très opiniâtres, ils
ne s’en laissent pas compter et leur manque d’a priori leur est souvent
bénéfique. On le voit, ces exemples sont contemporains et qu’il
s’agisse de téléphonie, d’optique, de bricolage ou de coiffure, peu
importe, ils ont été à même de saisir l’opportunité quand elle s’est
présentée. Oui mais qu’en est-il des autres filières, plus académiques
? En réalité les autodidactes sont bien entendu obligés de démarrer par
le bas de l’échelle dans les sociétés classiques. De là à parvenir aux
vrais postes de direction, il y a une marge.
Un autodidacte a-t-il encore sa chance aujourd’hui ?
On le sait auparavant, le nombre de diplômés était nettement moins
élevé qu’aujourd’hui. Il n’y avait donc rien de bizarre il y a
cinquante ou soixante ans à ce que certains parviennent à la direction
d’une entreprise, faisant preuve de plus d’initiative, de compétences
intellectuelles que d’autres sans pour autant avoir le meilleur CV du
personnel. Il se dit qu’aujourd’hui que cela n’est plus le cas et que
partir sur le marché de l’emploi sans diplôme mène souvent à une
véritable impasse à terme. Une sorte de plafond de verre spécifique à
cette catégorie de personnes. En théorie, tout le monde applaudit à la
réussite de ces hommes et femmes qui partent de rien et arrivent tout
en haut. Mais ils ne sont pas pour autant toujours les bienvenus.
Le rôle indispensable des autodidactes
Le problème rencontré par les autodidactes doués vient en fait souvent
de la direction. Leur N+1 joue en effet souvent un rôle indispensable
de mentor. Ceux qui sont rentrés en bas de l’échelle ont en effet été
remarqués par leur hiérarchie qui leur a permis peu à peu de monter les
échelons, en les formant, voire en les envoyant faire des études,
enfin, à 30 ou 40 ans. C’est donc l’état d’esprit de la hiérarchie qui
ouvre le chemin à ces personnalités. Tous témoignent, ce sont leurs
managers qui les ont poussés et intéressés à de nouveaux sujets.
La confiance est présente, et le reste suit. Un selfmade man (ou woman)
apprend donc en priorité des autres avant d’apprendre seul,
contrairement à ce que le mot d’autodidacte signifie. L’expérience est
évidemment importante, voire essentielle, mais le potentiel de
croissance et d’apprentissage doit pouvoir s’exprimer. Or, on le sait,
il est bien des domaines où les cadres sont frileux, ou tout simplement
bloqués par un système d’entreprise qui ne laisse aucune liberté. Il
est normal dans ces conditions de retrouver peu d’autodidactes dans des
secteurs comme l’administration ou la banque par exemple.
Ce dernier secteur embauchait pourtant de nombreux non diplômés, un
temps qui est terminé à présent, car la demande est au minimum de
bac+2. On ne peut nier que certains secteurs sont en effet peu ouverts,
voire fermés aux autodidactes. Au contraire, les PME et TPE jouent un
rôle très important en France dans l’insertion des jeunes sans diplômes
sur le marché du travail, ce qui leur permet d’acquérir une expérience
et de voir plus loin.
Autodidactes : quelles données statistiques ?
Les données INSEE sont contradictoires : le niveau général de formation
des patrons de PME est plus élevé que celui de la population, mais la
proportion d’autodidactes reste forte, en particulier chez les plus
âgés. Elle est pourtant en déclin sur une tendance longue. Le mouvement
de recul chez les autodidactes français aux postes de managers semble
donc bien réel. Chaque année, environ 120 000 jeunes sortent du système
scolaire sans diplôme.
Selon l’Education nationale, 11,9% des Français de 18 à 24 ans ont
quitté leur école avec au maximum le brevet des coll è g e s , plus
particulièrement les garçons. Trois ans après leur sortie du collège,
sont toujours au chômage : – 41% des non-diplômés, – 24% des titulaires
d’un CAP ou d’un BEP, – 13% des titulaires d’un baccalauréat ou
équivalent. On constate que les non-diplômés décrochent souvent des
jobs précaires, en intérim ou en CDD ; leur salaire dépassant rarement
le SMIC.
Le monde économique anglo-saxons se montre plus accueillant pour ce
type de population, le CV n’étant pas la preuve de la valeur de la
personne, loin de là. Il arrive d’ailleurs fréquemment que l’on
embauche un jeune sans se préoccuper de ce qu’il a fait jusque-là, à
lui de faire ses preuves afin de voir s’il a la tête bien faite et est
susceptible de progresser. En réalité, les cabinets anglo-saxons
s’intéressent beaucoup plus au parcours, à l’expérience, alors que le
diplôme reste souvent le sésame en France.
Changer de job : une défi pour les autodidactes
Là où le bât blesse véritablement pour les autodidactes, c’est
lorsqu’ils veulent changer d’entreprise. Certains domaines sont plus
ouverts, par exemple dans le commerce, encore faut-il prouver que l’on
sait gérer un budget et proposer une politique commerciale lorsque l’on
se trouve à un poste de direction. Mais la plupart du temps, une fois
que l’on a bien progressé dans une société, si des difficultés se
présentent, il est beaucoup plus difficile à un autodidacte de se
vendre, surtout s’il lui faut passer par un cabinet. Non pas qu’il
fasse preuve de moins d’assurance ou de capacités, mais son CV sera
moins facilement retenu pour un entretien, le diplôme représentant
souvent pour les cabinets et les directions des ressources humaines une
sorte de filet de sécurité. Si de plus il a passé un certain âge,
autant dire que la situation risque rapidement de devenir préoccupante
pour lui.
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diplômes et permet également à des tiers de vérifier l'authenticité
d'un diplôme grâce à une clé de contrôle fournie par le diplômé. Les
bacheliers de l'édition 2019 peuvent y retrouver leur attestation
numérique certifiée de diplôme.
Les attestations disponibles sur la plateforme varient selon les années
d'obtention et les académies. En novembre 2019, 23 millions
d'attestations délivrées par le ministère de l'Éducation nationale et
de la Jeunesse, et le ministère de l'Enseignement Supérieur, de la
Recherche et de l'Innovation sont référencées. On y trouve notamment le
diplôme national du brevet (DNB), le certificat d'aptitude
professionnelle (CAP), le brevet d'études professionnelles (BEP), le
baccalauréat, le brevet de technicien supérieur (BTS).
La liste complète est consultable dès la page d'accueil. Elle sera
progressivement enrichie avec d'autres diplômes décernés par
l'enseignement supérieur, l'enseignement agricole, etc. Des copies et
attestations de diplômes peuvent en attendant être demandées en
académies.
Pour que les attestations puissent être mises à disposition sur la
plateforme par l'administration, les résultats de tous les groupes
d'épreuves (premier groupe d'épreuves, rattrapages éventuels, deuxième
session, etc.) doivent être connus pour chaque examen.
Diplome.gouv.fr : comment ça marche ?
Pour se connecter au service, le diplômé peut se créer un compte ou
s'identifier via FranceConnect. Il accède ainsi à son tableau de bord
d'attestations de diplômes et a la possibilité de les insérer dans son
coffre-fort numérique Digiposte.
Chaque diplôme comprend une clé de contrôle à huit caractères pour être
authentifié.
Attestations de diplômes non disponibles sur diplome.gouv.fr (CAP, BAC
ou BTS obtenus avant 2009) et diplômes de l'enseignement supérieur
établissement appartenant à l'académie de Paris
Vous pouvez effectuer une demande d’attestation de réussite directement
sur le site internet de la Maison des Examens (ou Service
Inter-académique des Examens et Concours).
> Accéder aux démarches en ligne accessibles sur le site du SIEC
À noter :
La Maison des Examens ne fournit pas de duplicata de diplôme.
L’attestation de réussite fait foi.
(universités, etc.) dans un établissement de l'académie de Paris
Vous devez contacter l'établissement où vous avez suivi vos études.
En savoir plus...
(SIEC) Ouverture dans une nouvelle fenêtre
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toutes les actions mises en place dans l'académie de Paris
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