Présentation des membres du groupe

Kristina YUDENKOVA

Je suis Kristina. Je viens d’une petite région de la Russie qui s’appelle Saratov. Une charmante ville située près de la Volga. J’ai 24 ans et je parle russe, espagnol, français et anglais. Je m’intéresse à l’informatique depuis que j’ai fait un an de licence en gestion informatique de l’entreprise à l’université complutense de Madrid. Et cette experience m’a grandement enrichie et, couplé à mon intérêt pour les langues et la culture en général, m’a naturellement dirigée vers le traitement automatique des langues à l’Inalco.

Emmett STRICKLAND

Originaire des Etats-Unis, je suis venu en France il y a cinq ans pour un master en sciences politiques à l’Institut d’études politiques de Paris. Après près de quatre ans dans un think-tank et une agence de communication parisiens, j’ai décidé de reprendre mes études en intégrant un master en linguistique informatique afin de compléter ma licence en sciences du langage. Je suis particulièrement intéressé par la phonétique et la synthèse vocale, mais j’aimerais également explorer la façon dont le TAL pourrait s’appliquer à l’analyse des opinions politiques vis-à-vis les enjeux politiques internationaux.

Camille REY

J’ai grandi à Bordeaux, où j’ai suivi une filière scientifique au lycée. L’année de ma terminale, une nouvelle spécialité était proposée : spécialité ISN (Informatique et Sciences Numériques). Je l’ai choisie par curiosité et j’ai compris que je ne voulais plus vivre sans algorithmes. Après le bac, j’étais donc tiraillée entre ma passion pour les langues, et mon nouvel amour des algorithmes. J’ai d’abord passé un an à Tokyo dans le cadre d’un échange entre lycées. J’ai ensuite entendu parler du Traitement Automatique des Langues, qui me semblait être la fusion idéale entre les disciplines qui m’intéressaient, et ai donc décidé de commencer deux licences de langue à l’Inalco en 2014 – en russe et en japonais – visant à terme le master TAL. Mon parcours à l’Inalco a été entrecoupé d’années d’échange universitaire, une à Kazan en Russie, et une à Kyoto au Japon. Ni mon intérêt pour le TAL, ni mon amour des langues n’ont faibli durant mes 5 années à l’INALCO, et je suis aujourd’hui déterminée à me plonger entièrement dans l’univers du TAL, pour potentiellement me spécialiser dans la traduction automatique.